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ENERGIE TACHYON

Page créée le 22/05/1999 - Mise à jour le 14/12/2000


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" Nous pensons que l’Univers est extravagant,

mais il l’est encore plus que nous ne pouvons le concevoir. "

Richard Burdon Haldane dans un article de Wirtschafts Blatt


L’espace est certainement rempli par un champ d’énergie dont la concentration est extrêmement élevée.

Dans son discours d’ouverture du congrès de Hanovre, en 1980, le Pr. Eberhard Hamer dit que des scientifiques Japonais, Américains et Européens estiment sa tension à plus de 800 millions de volts par cm3. Ce champ n’appartient pas au spectre des ondes électromagnétiques, on le nomme champ de tachyon ou mer de neutrinos. Les tachyons sont de très petits éléments qui se déplacent plus vite que la lumière, mais pas obligatoirement.

Il est assez évident que la plupart des tachyons sont emmagasinés dans la structure atomique de la matière. Selon Koppitz, la vitesse du centre géométrique (V 50) de tout tachyon est identique à la vitesse de la lumière, c. La vitesse de la lumière est donc déterminée par la vitesse du champ de tachyon respectif. Des expériences expliquent aussi la perte de constance de la vitesse de la lumière. Si la vitesse de la lumière correspond à la moyenne géométrique de la somme des vitesses de tachyon, cela veut dire qu’elle change aussi en fonction des caractéristiques des modifications de ce champ.

W. Smith, physicien canadien disparu, écrivait que l’on supposait que la vitesse de la lumière était assez constante dans notre univers. On la définit comme étant le niveau auquel l’espace se déplace à l’intérieur du temps. Elle dépend des caractéristiques de temps du champ de tachyons. C’est seulement lorsque celles-ci demeurent constantes que la vitesse de la lumière reste elle aussi, constante. Mesurée à la surface de la terre, cette vitesse est loin d’être uniforme.

Il n’y a probablement qu’une petite partie des tachyons qui voyagent à une vitesse supérieure à celle de la lumière. La majorité d’entre eux reste relativement stationnaire, on les appelle bradyons. En raison de leur comportement oscillatoire (tremblotement comme dit Seike), ils ont une énergie énorme. Toute matière baigne dans un champ d’énergie extrêmement dense que nous ne pouvons percevoir. Voilà qui peut expliquer les apparitions de " fantôme " étayé par de nombreux résultats qui se produisent si souvent dans les expériences de photos Kirlian.

La photo Kirlian permet d’obtenir une image sur plaque sensible de toute matière biologique vivante, selon l'exemple suivant. On expose en général pendant huit heures une feuille fraîchement cueillie. Si l’on coupe un petit morceau de feuille avant de prendre la photo, l’image de la feuille demeure complète, partie manquante comprise. L’espace doit donc posséder des caractéristiques qui lui permettent de retenir l’impression de la matière qui y était précédemment contenue (au moins pendant plusieurs heures). C’est le concept de champ de bradyons au repos, mais doté d’une importante énergie qui peut expliquer ce phénomène Kirlian.

Mais, l’accélération gravitationnelle peut être expliquée seulement par des tachyons s’entrecroisant dans l’espace. L’effet de bouclier produit par la proximité d’une masse a pour résultat l’accélération d’une seconde masse vers une précédente, et vice versa. L’accélération gravitationnelle est un phénomène de pression, la compréhension de sa force d’impulsion résidant dans son caractère d’absorption (Magyari, Nieper, Kooy etc.)

Selon les connaissances actuelles, il est évident que l'on on peut transformer l’énergie tachyon en d’autres formes d’énergie. Voici diverses voies.

1.-Le champ de tachyon qui détermine la vitesse de la lumière et l’accélération gravitationnelle est capable de traverser n’importe quelle masse, mais cède à celle-ci par l’effet de freinage, une partie de son énergie. En traversant la Terre, les champs de tachyons perdraient à peu près 4 % de leur énergie, ce qui entraînerait un échauffement de la masse terrestre (géothermie). Il s’agit d’une estimation basée sur des comparaisons avec Jupiter (comme l'explique le Dr Nieper) et sur les exemples fournis par les recherches sur la Lune et Vénus qui donnent maintenant des bases expérimentales assez bonnes pour comprendre la production d’énergie, d’origine externe, dans le cœur des masses. Si l’on considère les besoins en énergie des humains, il ne fait cependant aucun doute que ce champ de tachyons est extrêmement riche.

2.-Towsend Brown a eu une place très importante dans le domaine des champs magnétiques et électromagnétiques qui sont en mesure d’intercepter l’énergie tachyonique. Ce pouvoir semble croître exponentiellement à la tension du condensateur utilisé à cet effet. Des masses dont le degré d’induction magnétique est très élevé doivent être à même d’intercepter une importante quantité d’énergie tachyon (cas de la lune de Jupiter Io ?)

3.- Des variations de tension (voltage) extrêmement rapides arracheraient également de l’énergie au champ de tachyons. Un moteur se base sur ce principe : celui de Gray. (voir aussi Kromrey)

4.- La marge qui sépare les ondes électromagnétiques des champs de tachyons semble réduite par les ondes stationnaires et certains types de modulations. Cet effet permettrait de convertir l’énergie de l’espace en énergie utilisable. C’est sur ce principe que Nikola Tesla a fait ses recherches, il y a plus de 100 ans. C’est ce que les spécialistes appellent aujourd’hui, l’Interféromètre de Tesla. Dès cette époque Tesla avait pu extraire une énergie électrique utile et il avait dit qu’il croyait que l’humanité capterait partout, la puissance illimitée, et ce, bien avant que de nombreuses générations ne soient passées. Récemment, son principe a été développé sous forme de canon Tesla, où les ondes électromagnétiques prennent la forme de faisceau laser, captant ainsi une énergie supplémentaire provenant du champ de tachyons. Ce rayon peut être ainsi une arme puissante à longue portée. En 1889, Tesla avait dirigé son canon sur une plaque éloignée, allumant plus de lampes que ne l’aurait fait l’énergie entrant dans son canon. Le physicien américain Moray, en 1929, n’a pas tiré avec ces ondes modifiées dans l’espace. Au lieu de cela, il les a dirigées dans un câble isolé de 15 mètres de long, produisant un courant continu de 70 kW !

5.- En culbutant brutalement le plan d’un système giratoire, il est possible aussi d’extraire de l’énergie du champ de tachyons. L’accélération qui en résulterait conduirait soit à des effets antigravitationnels soit à l’obtention de courant électrique, ou bien aux deux à la fois. Ces systèmes sont connus sous le nom de disque de Faraday (un aimant en rotation) et un " pivot  " de Laithwaite (gyroscope mécanique tournant à la périphérie d’un gyroscope central). (Voir N-Machine de De Palma et le disque flottant de l’anglais Searl).

6.- Les bobines conçues selon le principe de la bande de Moebius (ruban continu avec une seule face obtenu en collant bout à bout les deux extrémités d'une bande de papier après une demi rotation autour de son axe longitudinal) ou de la bouteille de Klein (corps fermé sur lui-même qui ne possède qu'une seule face et ne présente aucune délimitation tranchée) auraient pour effet d’enfermer les énergies de champ électrique que l’on y envoie. Du fait de la forme particulière, fermée sur elle-même, il serait possible, en faisant passer de l’énergie dans les noyaux de fer des bobines de produire une induction électromagnétique supérieure à celle que l’on obtient avec des électro-aimants ordinaires. Les solénoïdes émettraient alors, dans la direction axiale un faisceau de tachyons assez puissant pour fondre des pierres ou des métaux.

7.- Il est évident que, selon l’axiome de Nieper, toutes les accélérations naturelles sont basées sur un principe simple, à savoir, l’interception de tachyons non isotropiques. C’est vrai dans le cas de l’accélération gravitationnelle, magnétique, électromagnétique, électrostatique et radiesthésique. Cela signifie au fond que toutes ces accélérations pourraient être échangeables par des manipulations expérimentales. (voir Howard Johnson)

8.- Il existe une sorte de conversion d’énergie tachyon en chaleur qui affecte particulièrement les organismes biologiques, y compris ceux des humains. C’est le cas d’ espaces entourés de membranes conductrices. (Voir W. Reich et F. A. Popp, biophysicien allemand et le " Condensateur humain " du Dr Nieper). Pour ce dernier, il n’y a aucun doute : on peut réaliser la conversion de l’énergie tachyon, sans recourir à de lourdes infrastructures centralisées coûteuses nécessitant des câbles ni au pétrole : de petites entreprises peuvent construire des générateurs bon marché, aux principes simples.

Le Dr Nieper écrit :

" Imaginez-vous dans le dôme de Saint-Pierre, ou mieux, à l’Astrodôme à Houston. Au centre est suspendue une balle de golf, et sur le pourtour extérieur de ce grand espace, une hirondelle tourne en rond. C’est là une image approximative de l’atome d’hydrogène qui montre à la fois la petite masse et l’espace existant dans un atome. Imaginez maintenant que cet espace est rempli d’une nuée de moustiques, dont la plupart restent sur place. Certains, moins nombreux, traversent l’espace ; ils viennent de toutes parts et vont dans toutes les directions, leur vrombissement montrant leur énergie. Si on peut appeler tachyon chaque moustique de la nuée errante, ceux des nuées stationnaires s’appellent bradyons. Sans aucun doute, les tachyons ne sont pas reliés à la vitesse de la lumière. Mais celle-ci est plutôt définie par la vitesse moyenne du champ de tachyons. C’est pour cette raison que contrairement aux suppositions antérieures, la vitesse de la lumière n’est pas une constante. Quelques moustiques "  tachyons " frapperont le noyau, c’est à dire la balle de golf. Si l’impact est plus fort d’un côté que de l’autre, la balle sera poussée dans la direction du plus faible impact. C’est ce qu’on appelle l’accélération gravitationnelle en physique."

L’expérience de Michelson Morley





En 1881 et 1887, Michelson et Morley ont construit un interféromètre consistant en deux bras perpendiculaires pivotant sur un bain de mercure. Une modification des franges d’interférences entre les rayons parcourant les deux bras, réfléchis par des miroirs, devait révéler une différence de vitesse selon que le chemin parcouru était parallèle ou perpendiculaire au mouvement de la terre. Mais on ne put déceler la présence d’aucun vent d’éther. Fitzgerald et Lorentz émirent alors une hypothèse radicale : les bras de l’interféromètre se contracteraient au cours du mouvement de manière à compenser le vent d’éther. Plus tard, Poincaré reprit cette hypothèse.

Une explication de cette preuve expérimentale qui est devenue un dogme a été la négation de l’existence de l’éther. D’autres explications consistent à dire que l’éther est entraîné avec la Terre, et que les instruments de mesure sont faussés dans le sens du déplacement de la Terre, lorsqu’ils montrent que la vitesse de la lumière est apparemment la même dans les deux directions.

En Mai 1978, R. A. Muller a publié un article expliquant le nouveau mouvement de l’éther. Ses mesures montrent que le rayonnement de fond venant de l’espace aurait une légère déviation, par rapport à celle qui est partout hors du système solaire. L’interprétation de cette non uniformité dans les radiations est que le système solaire se déplace dans une direction à environ 600 km / seconde. Le mouvement peut comprendre plus que le seul système solaire. Muller suggère qu’un immense volume d’espace dont le diamètre se compte en années lumière, se déplace en rapport avec l’univers lointain. Muller estime donc que la mesure directe d’une partie des émanations électromagnétiques de notre univers montre qu’il y a là une sorte d’éther, et que la Terre se déplace en relation avec lui. Cette découverte vient en contradiction des mesures optiques faites par Michelson et Morley et qui sont devenues improprement la base de la négation de l’énergie de l’espace.

Texte intégral de la conférence donnée à Leyde en 1920 par Albert Einstein intitulée
" L'éther et la théorie de la relativité "

La force qui vient de nulle part.

" L’énergie du vide exerce une pression sur toute chose. Normalement cette pression n’a qu’un effet faible puisqu’elle provient de toutes les directions à la fois et s’annule presque. Mais si 2 atomes sont proches, chacun fera office d’écran à cette pression vis à vis de l’autre. Il y aura un tout petit peu moins de pression du côté de l’atome voisin que dans une autre direction, ce qui fait que les atomes vont avoir tendance à se déplacer ensemble : c’est la force de Van der Waals. Bien que faible, elle a suffisamment de force pour que les atomes et les molécules se tiennent ensemble dans les gaz et les liquides. " (The Economist Juillet 1989)


Nous reviendrons sur la relation entre tachyon et gravitation dans notre prochain dossier.

QUELQUES MOTS SUR LES AIMANTS

Le concept des domaines pour les aimants avait été défini par le chercheur français Pierre Weiss, en 1907. Les domaines (normalement présents dans les dispositions aléatoires) désignent de petites unités, constituées peut-être seulement de quelques atomes de fer, qui sont en eux-mêmes des champs magnétiques. C’est seulement lorsque les axes magnétiques de la plupart de ces domaines sont parallèles qu’un morceau de fer montre ses propriétés magnétiques. Cela peut être sous l’influence d’un champ électrique (magnétisation électromagnétique), ou bien les domaines peuvent être en parallèle en raison de quelque entrecroisement interne. Ce sont alors des aimants statiques.

Dans quelques alliages au samarium (sm) (la Chine qui possède les plus importants gisements de samarium du monde est devenue un leader dans cette recherche) et au cobalt (co), on peut améliorer énormément cette disposition des domaines en parallèle. On soumet ces alliages fondus à un champ magnétique puissant, leur orientation magnétique persiste après refroidissement. Des influences électromagnétiques ultérieures et même des essais d’inversion des pôles modifient très peu le comportement statique de tels super-aimants. On a ainsi découvert, en 1959, qu’un alliage sm1co5convenait bien pour fabriquer des super-aimants, plusieurs centaines de fois plus puissants que des aimants en fer. En 1977, des expériences ont été menées en Suisse et au Japon avec des super-aimants en alliage sm2co17, que l’on appelle aujourd’hui super-superaimants. Selon B.E. Wallace, ces super super-aimants sont 30 millions de fois plus puissants que des aimants de fer statiques.

B. E. Wallace, Professeur à l’Institut de chimie de l’Université de Pittsburgh, un des scientifiques de pointe dans le domaine des superaimants dont il a découvert en 1959, la manière de les fabriquer. Il a fait paraître dans Sciences, publication de l'Académie des Sciences de New York (dont faisait partie le Dr Nieper), en mai - juin 1981, un article intitulé " Domaines éminents." Son article avait pour sous titre " Comment les super-aimants captent une force élémentaire " ce qui renvoie implicitement à l'énergie de gravitation.

Takahashi (dont il sera très bientôt question) utilise, lui de l’yttrium dans ses aimants encore plus puissants que ceux au samarium.

Ces recherches sont très importantes pour la conversion de l’énergie du champ de gravité, les technologies des N-Machines, ainsi que pour les convertisseurs basés sur le principe Tesla-Moray-Seike. Ceux-ci pourraient atteindre des dimensions totalement nouvelles avec l’invention de super-aimants, on pourrait avoir des moteurs électriques très petits, avec une sortie de courant élevée.

Autre exemple : le convertisseur de Johnson. En 1981, un scientifique américain écrivait : "Un petit groupe de l’état de Washington (probablement proche de Boeing, mais pas vraiment dans la Compagnie, cherche en ce moment des partenaires Européens car il possède un moteur de Johnson de construction simplifiée. Comptant sur la baisse du prix des aimants, il projette de sortir, à titre d’essai, des convertisseurs utilisant des aimants Sm Co au prix de $30.000 pour un modèle de 50 kW. " Le programme serait limité aux modèles convenant au marché domestique de 10 à 50 kW (13,5 à 67 CV).

Sommes-nous magnétiques ?

Les biologistes sont restés longtemps perplexes au sujet du lien entre l’électromagnétisme et les maladies telles que les leucémies, les cancers, et aussi le stress. Joseph Kirchvink, directeur de recherche à Caltech (California Institute of Technology) apporte une réponse. Il a découvert au printemps 1993 des cristaux de magnétite dans le cerveau humain.

Il dit :" La magnétite est le premier aimant permanent découvert dans les tissus humains, et elle possède de nouvelles et originales propriétés physiques. La découverte s’est faite d’une façon tout à fait simple. Dans une chambre stérile, sans poussière, et protégée du magnétisme, on a placé un aimant et, dans une ampoule scellée, du tissu cérébral humain. Au bout d’une semaine, les cristaux de magnétite de l’échantillon ont migré vers l’aimant. Un dé à coudre de tissu contient environ 5 millions de cristaux. Le cerveau peut les utiliser pour s’orienter vers le haut ou le bas ou pour une fonction biologique. On peut supposer qu’ils sont associés aux canaux utilisés par les ions pour régulariser le débit des substances à l’intérieur et à l’extérieur des cellules. Lorsqu’ils sont exposés à des champs électriques, les minuscules aimants peuvent se réorienter et aussi bien ouvrir les canaux que les fermer. Voilà qui peut affecter la santé et le fonctionnement cellulaire. Si des lignes électriques éloignées sont sans effets, des champs plus forts, comme ceux des fils dans les murs, des couvertures chauffantes, des cuisinières ou des sèche-cheveux peuvent augmenter les risques."

Rappelons que le Pr Rocard, en France, scientifique de renom, avait déjà publié d’importants résultats de recherche relatifs à la radiesthésie et à la présence de cristaux magnétiques dans le corps humain.




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