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FUSION FROIDE ET PLASMAS : Extraits de divers textes relatifs aux expérimentations BingoFuel, Réacteur à Fusion Froide et transmutation...

Page créée le 20 mai 2003

 


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LE COIN DE L'EXPERIMENTATEUR : UNE EXPERIENCE SIMPLE DE TRANSMUTATION

par Eugène Mallove

Infinite Energy n° 10 Sept/Oct 1996

Résumé de deux expériences stupéfiantes d'arc au carbone dans l'air et dans l'eau, publiées dans Fusion Technology, Vol 26, Novembre 1994, pp261-266.

Réactions anormales pendant la production de l'arc entre des électrodes de carbone dans de l'eau.

R. Sundaresan et J. O'M Bockris *
Texas A&M University, Department of Chemistry, College Station, Texas 77843

Les tiges de carbone pur analysées au spectroscope étaient soumises à un arc dans de l'eau très pur. Le courant de l'arc allait de 20 à 25 Amps et passait de façon intermittente pendant plusieurs heures. Le carbone à l'origine contenait 2 ppm (parties par million) de fer et le résidu contenait jusqu'à 286 ppm de fer. Les tiges de carbone restaient froides à 2 cm de leur extrémité. Il a été établi que l'augmentation du taux de fer n'était pas due à l'absorption de fer de l'eau ou de l'atmosphère ambiante. Il y a une petite corrélation entre le fer formé et la durée de passage de courant. Quand on remplaçait l'O2 dissous par du N2 dans la solution, il ne se formait pas de fer. Par conséquent il a été suggéré que
étaient à l'origine du Fer. L'augmentation de température de la solution correspondait avec ce qu'on attendait de cette réaction.


Vérification de l'expérience de George Oshawa sur la production de fer anormale à partir d'un arc au carbone dans l'eau

M. Singh, M.D. Saksena, V.S.Dixit, et V.B. Kharta
Bhabba Atomic Research Centre, Spectroscopy Division, Trombay, Bombay - 400085, India

" George Oshawa Transmutation Experiments " ont été publiées en Mars 1965 dans East-West Institute Magazine

On a fait passer un arc à courant continu entre des électrodes de graphite très pur plongées dans de l'eau très pure pendant des périodes de 1 à 20 heures. Le résidu de graphite recueilli au fond du bac d'eau a été analysé pour voir ce qu'il contenait en fer au moyen d'une méthode de spectrographie classique. Dans les premières expériences, on a trouvé que le taux de fer dans le résidu était assez élevé et dépendait de la durée de l'arc. L'expérience a été répétée 6 fois et les résultats ont montré de grandes variations dans la quantité de fer (50 à 2000 ppm) dans le résidu. Dans la seconde série d'expériences faites avec le bac totalement couvert, la quantité de fer dans le résidu de carbone diminuait de façon significative (20 à 100 ppm). Là aussi il y avait de grandes variations dans la concentration de fer du résidu, bien que les expériences aient été faites dans les mêmes conditions.
Actuellement, il n'y a pas d'évidence sur le fait que le fer ait été réellement synthétisé par la transmutation provenant du carbone et de l'oxygène comme l'a suggéré George Oshawa, ou qu'il se soit concentré à différents degrés par un autre phénomène. Le fer du résidu a aussi été analysé par un spectromètre de masse, en raison de l'abondance de ses divers isotopes et les résultats étaient plus ou moins les mêmes que ceux du fer naturel. En plus du fer, ont été identifiés également d'autres éléments comme du silicium, du nickel, de l'aluminium et du chrome, et on a trouvé que la variation de concentration suivait la même courbe que celle du fer.

E. Mallove : Tout lecteur muni d'une certaine ambition pourrait essayer de reproduire ces expériences et peut-être aller plus loin pour s'assurer que l'origine de l'apparition du fer ne vient pas d'une contamination. A mon avis le fer qui paraît avoir un taux d'isotopes naturel n'est pas une preuve convaincante qu'il vienne d'une contamination. Pourquoi ? Si les transmutations produisent ceci facilement alors on pourrait bien imaginer que des tas de fer se produisant dans la nature peuvent avoir été " cuits " par ce simple moyen - menant à ces taux.
Faire les expériences avec de l'eau lourde serait une autre amélioration à'essayer.
Et maintenant voyons une expérience plus simple dont les participants à ICCF6 d'Octobre 1995 ont entendu parler.
Il s'agit d'arc au carbone dans l'air annoncés comme produisant du fer : l'eau n'est pas utilisée.

Kenjin Sasaki, 942 Hikida, Akiruno-City, Yokyo 197, Japan
Tél : 81-425-59-5371
Fax : 81-425-59-4927

M. Sasaki, consultant en agriculture de Tokyo a distribué un protocole ** pour faire ces expériences.

1 - Prêt à opérer
2 - Fournitures : Un creuset graphite (pur à 99,9995 % ou davantage) - tige de carbone - plaque de cuivre (pour refroidir) - poste à souder (100V, 10 A) ou batteries et câbles à clips)
3 - Matières : poudre de carbone (très pure) - eau de refroidissement
4 - Ordre à suivre
  A : mettre 2 à 3 grammes de poudre de carbone dans le creuset en graphite
  B : envoyer l'arc de décharge électrique, pendant environ 1 minute (faire ceci 3 à 4 fois seulement pas plus de 4) ce qui implique des pauses entre les arcs d'1 minute
5 - Examen
  A : répandre ce qui reste de poudre de carbone sur un papier
  B : faire glisser un aimant sous ce papier, vous pouvez voir les particules de fer montrer la place de l'aimant
  C - Prenez cette matière (séparée grâce au magnétisme) et examinez la à la loupe, vous y trouverez un alliage brillant
6 - Reproductibilité


Très facile à faire pour des étudiants, des littéraires, des banquiers, des dames…



Poudre de carbone après l'arc : on voit les traces de matière ferro-magnétique qui a été attirée

E : Mallove : Christine Akbar de Boston (diplômée du Département de Physique du MIT, maintenant à la Fondation Kushi) dit qu'elle a essayé l'expérience et que pour elle, cela a fonctionné. Elle dit qu'il est important de maintenir le courant entre 8 et 10 ampères. Elle s'est servie d'un chargeur de batterie auto.
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'avoir une cuvette d'eau de refroidissement sous la plaque de de graphite ou le creuset. J'imagine que faire cette expérience sur une plaque de graphite épaisse fonctionne aussi bien.

Une autre description d'expériences avec arc au carbone

The Philosopher's Stone : Mishio Kushiç's Guide to Alchemy, Transmutations and the new Science
One Peaceful World Press, 1994
disponible chez One Peaceful World Press, PO Box 10, 308 Leland Rd, Becket, MA 01223)

George Oshawa et ses collègues japonais ont réussi leurs expériences avec plusieurs méthodes pour produire du fer à partir de C et O. Plus tard, des scientifiques français *** ont testé des méthodes similaires et ont confirmé le succès de la transmutation. Après avoir créé la méthode permettant de réussir l'expérience de la manière la plus efficace possible, ils ont déposé des brevets en conséquence…

Les exemples suivants montrent seulement quelques méthodes pour accomplir la transmutation du C et O en fer.

Méthode 1 : transmutation dans l'air (A)

Deux creusets de graphite d'environ 2,5 x 5 à 6 pouces l'un couvrant l'autre. Le creuset supérieur a un trou de 10 mm bordé d'un anneau de céramique qui sert d'isolant. Dans ce trou, une tige de carbone de 0,25 pouces de diamètre est insérée jusqu'au point où elle atteint la poudre de carbone (2 à 3 gr) qui se trouve au fond du creuset inférieur. Ce dernier possède un ou deux petits trous sur la paroi latérale et en bas, pour la circulation de l'air. Une base de fer placée sous le creuset inférieur agit en tant que pôle électrode, la tige de carbone étant l'autre pôle. Quand la tige de carbone s'approche de la poudre de carbone il se produit un arc électrique. En poursuivant l'opération 20 à 30 minutes, la poudre de carbone se change en fer. Dans cette expérience le courant appliqué est de 35 à 50 volts et 8 à 10 ampères soit en alternatif, soit en continu.

Méthode 2 : transmutation dans l'eau

Prenez 2 tiges de carbone de 0,25 pouces de diamètre, créez un arc électrique entre elles en les faisant toucher dans l'eau pendant 1 à 5 secondes. Ensuite une poudre brun foncé tombe au fond de l'eau et elle contient du fer. Pour le courant, identique à la méthode 1.

Méthode 3 : transmutation dans l'air (B)

La poudre de carbone est placée sur une plaque de cuivre d'environ 12 pouces de long sur 6 de large, et 0,5 d'épaisseur. Cette plaque fait office de terre. Une tige de carbone est utilisée en tant que pôle électrique et touche de façon répétée la poudre de carbone sur la plaque en produisant un arc électrique. La poudre de carbone se change en fer, pour le courant voir méthodes 1 et 2.

Pendant le processus de transmutation, du nickel est produit mais il disparaît très vite car c'est un isotope radioactif : on considère que la vie d'un isotope de Ni est d'environ 1/1000 ème de seconde. Dans ces expériences, le taux de transmutation du C et O en fer est d'environ 5 à 20 % immédiatement, avec un % supérieur de transmutation qui se produit progressivement dans l'air ce qui a pour effet de refroidir la poudre métallique à une température inférieure à celle ambiante. Le fer ainsi produit par cette transmutation est inoxydable. Il ne rouille pas du tout facilement. Il a aussi une bien moins de réaction à la chaleur que du fer ordinaire en raison de sa composition de 2 Si (silicium) comme l'indique la formule. Ce fer a été appelé par les scientifiques travaillant sur cette transmutation : Fer G.O.S (George Oshawa Steel).
Tous les résultats de la transmutation de fer ont été soigneusement examinés et analysés grâce à plusieurs méthodes comprenant examen magnétique, analyses chimique et spectroscopique, examen par réactif et ils ont été confirmés par des services de tests agréés.

Les divers chercheurs ayant travaillé sur les expériences ci-dessus (et les transmutations biologiques également rapportées)


E. Mallove : N'ayant pas (pas encore !) essayé ces expériences, nous ne savons pas ce qu'on peut en attendre, nous encourageons nos lecteurs à essayer **** et nous ferons part de leurs résultats dans un prochain numéro de la revue (Infinite Energy). Nous publierons ce que vous aurez trouvé. S'il se trouve parmi vous des gens qui ont la possibilité d'avoir des instruments de mesure pour analyser les éléments avant et après les expériences, ils ont particulièrement tous nos encouragements.

...Et juste pour rire, mettez bien votre chapeau pointu décoré d'étoiles !

* Un article de la revue Mystères n° 10 d'Avril 1994: John Bockris et l'Alchimie


** Voir aussi les indications de Jean-Louis Naudin et suivre ses travaux actuels
*** …on aimerait bien savoir qui sont ces scientifiques français ?
**** Avec Jean-Louis Naudin, c'est la Fusion Froide " du pauvre " mais c'est en progrès tous les jours !!!



D'autres numéros de Infinite Energy parlent aussi de Fusion Froide : le n° 20 par exemple


Issue 20
June-July 1998
Infinite Energy Magazine
Table of Contents

Pages FEATURES
9 Do-It-Yourself CF Experiment --"Ohmori-Mizuno Effect"
14 Excess Energy Evolution and Transmutation...by T. Ohmori and T. Mizuno
18 American Nuclear Society Annual Meeting Features Cold Fusion
26 Low-Energy Nuclear Reactions and High-Density Charge Clustersby Hal Fox and Shang Xian Jin
31 Society for Scientific Exploration (SSE) Meeting --Anomalies Galore!
34 Michael McKubre's ICCF-7 Closing Remarks
TECHNICAL ARTICLES
47 Rhodium-Catalyzed Fusion in Palladium by H.C. Josephs
49 The Theory of Excess Energy in a PAGD Reactor (Correa Reactor)by Professor Lev G. Sapogin
53 Formation and Properties of Hydrex and Deutexby Jacques J. Dufour, Jacques H. Foos, Xavier J.C. Dufour
56 Detection of Anomalous Elements, X-Ray, and Excess Heat...by Yasuhiro Iwamura, Takehiko Itoyh, Nobuaki Gotoh, Mitsuru Sakano, Ichiro Toyoda, and Hiroshi Sakata (Mitsubishi)
59 ICCF-7: More Abstracts
70 Recent Observations that Yield Information on Catalytic Particlesby Joseph McKibben
73 Hydrogen Gas from Vacuum - Part IIIby Paul Rowe
80 The Source of Excess Energyby Alexander Frolov
DEPARTMENTS
3 Breaking Through Editorial: Hands-On Cold Fusionby Eugene Mallove
6 Arthur C. Clarke Speaks Out on Cold Fusion in Science Magazine
7 Letters to the Editor
35 Prof. George Miley Comments on Mizuno's Book
36 Briefs:o The March for Peaceful Energy o Cold Fusion Meeting in Italy o Former Exxon Employee Joins CETI o The Demise of IANS o Champion Returns to Jail o Minato Magnetic Motor o Advent of AntiGravity News
40 Yull Brown's Death
41 Words to Eat
44 Calendar of Events
78 The Need for a Plan "B"by Norman Silliman
82 Cold Fusion Comix
83 Francis Bacon - A Look Backby Susan Seddon and Jed Rothwell
86 Classifieds




Extrait du n° 4 de "Future Energy Annual Newsletter"

Histoire de la Fusion Froide par le Laboratoire de Recherche de la Navy

Une révolution tranquille sur la Fusion froide a débuté en 1991 quand le Bureau de la Recherche Navale a proposé que les laboratoires de San Diego, China Lake, et Washington DC mettent en commun leurs efforts. En l'espace de quelques années, le Dr. Ashraft Imam a présenté 8 expériences de sur-unité réussies sur 9 avec du palladium pur. Ensuite, 2 années plus tard, le Dr Melvin Miles a réussi avec 10 expériences sur 11 lors du Nouveau Programme sur l'Energie Hydrogène du Japon. Maintenant un rapport d'ensemble portant sur dix années de recherche a fini par être publié par la Navy qui reconnaît que le Bureau de la Recherche Navale a financé de manière presque continue le Pr Martin Fleischmann et ce depuis les années 1980.

Le titre du rapport est " Thermal and Nuclear Aspects of the Pd/D2O System, Volume 1: A Decade of Research at Navy Laboratories " (Tech Rep #1862), éditions Szpak et Mosier-Boss.

Le rapport de la Navy dit que, au milieu des années 1970, la concentration exceptionnelle d'expériences sur deutérium et hydrogène aux Etats-Unis et en Union Soviétique a été " un élément clé dans le lancement de ce projet de recherche ". Surprise, dans ce rapport, on voit que dès 1934, Oliphant, Harteck & Lord Rutherford avaient démontré qu'une réaction nucléaire peut se produire dans de la matière condensée (Nature, 133, 1934, p. 413).
Dans la décennie suivante Fleischmann, en 1947, étudiait déjà le système Palladium / Hydrogène - ''un des exemples le plus extraordinaire d'électrolyte'' - et cherchait le moyen de comprimer le deutérium dans le palladium.

En 1968, Mizuno s'était motivé aussi et avait écrit une thèse sur l'implantation d'atomes de deutérium dans les métaux (Mizuno, Nuclear Transmutation: Reality of Cold Fusion, p.114, disponible chez IRI). Dans la préface, un scientifique émérite, Frank Gordon remarque que le Dr Miles " a montré qu'il y a une corrélation entre le taux de production de chaleur en excès et la quantité d'hélium dans le courant de gaz. "

Une telle corrélation est une preuve directe de l'origine nucléaire de l'effet Fleischmann-Pons. Le Dr Scott Chubb co auteur, a dit à IRI que la Navy envisage de faire rouler une voiture sur 160.000 km avec une pile à fusion froide chargée.

Le Volume 1 du rapport de la Navy fait environ 121 pages (3,5 Meg) et est disponible en ligne à
http://www.spawar.navy.mil/sti/publications/pubs/tr/1862/tr1862-vol1.pdf

Le Volume 2 est plus important (45 Meg) c'est le rapport de données sur le travail de Fleischmann's et est aussi disponible à
http://www.spawar.navy.mil/sti/publications/pubs/tr/1862/tr1862-vol2.pdf

Une remarque : le seul scientifique nucléaire du Département d'Etat, Peter Zimmerman a tenté d'arrêter la publication du rapport de la Navy, mais sans résultat.




Un des correspondants de Jean-louis Naudin, qui pense d'ailleurs que notre infatigable chercheur national a déjà tout ce qu'il faut pour expérimenter vient juste (ce 20 mai 2003) de lui transmettre un article dont nous reproduisons ici un extrait et qui a été publié le 18 mai 2003 par un correspondant scientifique anglais, Robert Matthews, sous le titre :

" Prenez de l'eau, du carbonate de potassium*, ajoutez de l'électricité
et vous avez - un mystère "
 

Des chercheurs anglais d'une société - Gardner Watts - s'occupant d'environnement à Dedham dans l'Essex, ont présenté une cellule à énergie thermique qui parait produire des centaines de fois plus d'énergie que celle qui y est mise.

Christopher Davies, directeur de Gardner Watts précise bien qu'ils ne parlent pas de fusion froide, mais que l'appareil semble capter autre chose.

C'est en menant des recherches sur les propriétés de l'hydrogène qu'ils ont trouvé ces résultats assez surprenants, vérifiés de manière indépendante par l'Université de Bristol par le Dr Riley. Ce dernier a constaté des gains d'énergie allant de 2 à 26 fois celle apportée à l'entrée.

En faisant passer une petite quantité d'électricité dans un mélange d'eau et de carbonate de potassium, une quantité étonnante d'énergie thermique est libérée. Une grande chaleur apparaît dans un petit volume comme le dit Christopher Eccles (voir les références de son brevet), directeur chez Gardner Watts.

Lors d'autres tests pour The Telegraph, l'eau était presque chauffée à ébullition et l'appareil paraissait produire plus de 3 fois l'énergie d'entrée.

Les scientifiques de l'Université d'Essex (Pr Smith) sont très surpris de cette forte quantité d'énergie. Le Pr Smith rejoint l'opinion du Dr Riley : tous deux souhaitent, après avoir dûment constaté l'élévation de température qu'une recherche approfondie soit effectuée sur cette cellule.

En attendant que se prononcent les scientifiques, un des plus prestigieux cabinets de consultants, le " Cambridge Consultants " fait équipe avec M. Davies et ses collègues dans le but de développer un prototype.

Il leur faudrait environ 6 mois et du capital risque et le prototype envisagé devrait donner 10 kW de chaleur pour 1 kW d'électricité à l'entrée.

Des fabricants de chaudières pourraient breveter et fabriquer pour le marché du chauffage domestique.

Le projet : avoir les premiers appareils disponibles d'ici à 2 ans.

Le brevet de Christopher Eccles à :
http://l2.espacenet.com/espacenet/bnsviewer?CY=ch&LG=en&DB=EPD&PN=WO0025320& ID=WO+++0025320A1+I+

ENERGY GENERATION
No. Publication (Sec.) : WO0025320
Date de publication : 2000-05-04
Inventeur : ECCLES CHRISTOPHER ROBERT (GB)
Déposant : BEITH ROBERT MICHAEL VICTOR (GB); DAVIES CHRISTOPHER JOHN (GB);
ECCLES CHRISTOPHER ROBERT (GB); DAVIES CAROLINE JANE (GB)
Numéro original : WO0025320
No. de depot: WO1999GB03523 19991025

Abrégé
Methods and apparatus are described for releasing energy from hydrogen and/or
deuterium atoms. An electrolyte is provided which has a catalyst therein
suitable for initiating transitions of hydrogen and/or deuterium atoms in the
electrolyte to a subground energy state. A plasma discharge is generated in
the electrolyte to release energy by fusing the atoms together.


*Jean-Louis Naudin précise : le carbonate de potassium ( K2CO3 ) est le produit essentiel utilisé dans la fusion froide ( comme électrolyte )... Je n'utilise plus que ce produit maintenant avec Cold Fusion Reactor.

Pour savoir à quoi sert le K2CO3, regardez à ( c'est en Français ) :
http://www.rock.fr/carbon_pot.htm

Le carbonate de potassium granulé est une excellente solution alternative à l'utilisation du chlorure de sodium pour le déverglaçage des ouvrages sensibles à la corrosion et de manière générale dans les situations où le NaCl est à éviter.

Le carbonate de potassium granulé est d'application aussi aisée que le chlorure de sodium, et possède une efficacité déverglaçante (pouvoir fondant) équivalente à ce dernier.

Le carbonate de potassium est enfin un produit totalement neutre vis à vis de l'environnement.

La fusion froide est vraiment une technologie propre et peu couteuse....


 
Notez bien que malgré tout ça, aucun grand média ne parle de Fusion Froide, et pourtant, quel espoir ce serait pour le futur énergétique de la Terre !
 


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