ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
" Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance " B.Fuller
" Alternative au génie génétique "
de Tsiang Kan Zheng
Phénomènes métapsychiques (bio-energo-informationnels)
Introduction par Quanthomme
Vous connaissez sans doute les travaux d'Alexandre Gurvitch qui avait découvert que sous certaines conditions un corps peut émettre vers un autre corps un rayonnement énergétique qu'il appela rayonnement mitogénétique.
Ces travaux furent repris par Fritz Albert Popp du centre de radiologie de Merbourg qui découvrit que l'énergie était transmise par un rayonnement ultra faible de photons (UV) qu'il appela chimioluminescence sombre. Il découvrit aussi que l'information reçue par le corps se transmettait à l'intérieur de celui-ci par les cellules qui servaient de relais.
Vlaïl Kaznatcheyev continua les travaux et après plus de 15000 expériences rigoureuses à l'Institut de Novossibirsk il mit en évidence, en respectant un protocole précis, la possibilité de transmettre l'information de cellules intoxiquées à d'autres cellules saines situées à, plusieurs mètres dans un récipient et constata que, au bout de 3 à 4 heures, elles étaient infectées et mouraient à leur tour.
Ces rayonnements qui peuvent provoquer la mort peuvent aussi guérir, c'est ce qui se passa avec la machine de Prioré.
Tsiang Kan Zheng, chinois vivant en Russie est allé encore plus loin dans ces transmissions énergétiques et informationnelles. Ces travaux nous font froid dans le dos car avec Tsiang Kan Zheng, nous entrons dans le royaume des chimères.
Texte de la revue AURA- Z n° 3 1993
Nous vous présentons un savant dont les mérites sont bien connus de ses collègues, mais que la science "officielle" a longtemps passé sous silence.
Tsiang Kan Zheng... Ce nom n'a pas besoin de commentaires. Il inspire des sentiments qui vont du respect à la peur. Les uns éprouvent à son égard une profonde gratitude ; d'autres, une méfiance mêlée de curiosité.
Au Moyen Age, le docteur Tsiang aurait sans doute fini sur l'échafaud. A l'avenir, il sera peut-être tout aussi vénéré qu'Albert Einstein ou Constantin Tsiolkovsky...
Celui qui devance son époque se heurte nécessairement à des difficultés. Le cas du docteur Tsiang Kan Zheng ne fait pas exception.
Sans nous attarder sur les détails de sa biographie, qui ne sont pourtant pas dénués d'intérêt (quatre années de prison sous la "révolution culturelle" en Chine, évasion, passage clandestin de la frontière soviétique en 1971, misérable existence d'apatride menée à Khabarovsk, naturalisation en 1989), nous tenons néanmoins à en retracer les étapes principales :
- né en 1933 à Changtu (province de Liaoning) dans la famille d'un directeur d'école ;
- diplômé de l'Université Chinoise de Médecine (1959) ;
- études de la cybernétique, de la mécanique quantique et de la radiotechnique.
Au début des années 60, Tsiang Kan Zheng a formulé une hypothèse selon laquelle les molécules et les atomes de l'organisme vivant sont NECESSAIREMENT liés entre eux par des champs bio-électromagnétiques qui constituent le SUPPORT MATERIEL de l'énergie et de l'information.
Au cours des années suivantes, il s'est employé à obtenir des preuves à l'appui de son hypothèse.
Ses recherches ont abouti à une DECOUVERTE SENSATIONNELLE : la possibilité de transfert directif de l'information génétique, biologique et psychique à l'aide d'un rayonnement bio-électromagnétique à ultra- hautes fréquences (bio-transmission à U.H.F.). Mieux, il a réussi à opérer ce transfert au moyen d'un appareil conçu à cet effet.
Les premières expériences de ce genre ont été effectuées par Tsiang Kan Zheng dans les laboratoires de l'Université Chinoise. Leurs résultats se sont confirmés par la suite lors des investigations qu'il a menées à Khabarovsk.
De temps en temps, la presse soviétique a consacré des reportages au docteur Tsiang, qualifiant ses travaux de "recherches sensationnelles, à la frontière du réel et du fantastique". Mais les autorités officielles du pays gardaient le silence. Et ce, malgré le fait que dès 1974, le savant avait déposé une demande d'enregistrement de sa découverte. Il n'a pas non plus reçu de réponse aux lettres qu'il avait adressées aux instances supérieures : à Brejnev, Andropov, Tchernenko, aux praesidiums, aux ministères, académies...
Deux choses l'ont aidé à riposter aux coups du sort : ses CONNAISSANCES et surtout la foi qu'il avait en ses forces et sa PREDESTINATION...
L'année 1989 a marqué un tournant dans sa carrière. Cette année, Tsiang Kan Zheng a présenté à Novossibirsk un rapport sur la transmission de l'énergie biologique à U.H.F. pendant un séminaire spécialement consacré à ce thème. Dirigé par l'académicien V. Kaznatchéev, le séminaire a réuni environ 130 scientifiques, ainsi que des responsables de l'Académie des Sciences, de l'Académie de Médecine et de l'Académie de l'Agriculture.
La théorie du docteur Tsiang fut enfin reconnue. Une fondation spéciale et un centre de recherche ont été institués. Ceux-ci ont permis au savant de poursuivre ses travaux.
La parole est à Tsiang Kan Zheng :
A l'heure actuelle, le phénomène de rayonnement bio-électromagnétique dans l'organisme vivant est attesté. On sait que l'A.D.N. (acide désoxyribonucléique) est le porteur de l'information génétique. Les récentes découvertes en physique m'ont amené à supposer que l'A.D.N. n'est qu'une cassette avec enregistrement de l'information, tandis que les signaux bio-électromagnétiques en sont le support. En d'autres termes, le champ électromagnétique et l'A.D.N. constituent une MATIERE GENETIQUE COMBINEE existant sous deux formes : passive (A.D.N.) et active (champ bio électromagnétique). Cela dit, la forme passive sert à conserver l'information génétique, alors que la forme active est en mesure de la modifier.
Dans quelle gamme de fréquences s'exerce le rayonnement bio-électromagnétique ?
Les signaux bio-électromagnétiques (à savoir ceux qui transmettent l'énergie et l'information) sont des photons qui revêtent, selon la théorie des quanta, un caractère à la fois corpusculaire et ondulatoire.
Le caractère corpusculaire du photon implique l'utilisation des basses fréquences, car dans ce cas, il devient possible d'obtenir de l'organisme un maximum d'information : plus la fréquence du photon est basse et plus son énergie est faible. Par conséquent, l'énergie limitée de l'organisme pourra exciter le plus grand nombre de photons.
Cependant, le caractère ondulatoire du photon nous amène à étudier la bande U.H.F. du spectre. Cela permettrait d'effectuer la "lecture" de l'information génétique, tout en assurant une excellente qualité de sa transmission.
SCHEMA GENERAL DE L'INSTALLATION "BIO-TRANSMISSION A U.H.F." :
1 - récepteur ;
2 - ligne de transmission dotée d'un bloc régulateur ;
3 - émetteur.
L'installation assure la "lecture" de l'information génétique contenue dans l'A.D.N. d'un organisme vivant et sa transmission à un autre organisme vivant.
Il s'ensuit donc que le champ bio-électromagnétique (support de l'énergie et de l'information) se manifeste dans la bande U.H.F. et dans celle des rayons infrarouges. Effectuées en laboratoire au moyen d'une installation spéciale, les expériences qui consistent à transmettre l'information génétique d'un organisme vivant à un autre ont donné des résultats positifs. Les recherches sont actuellement menées dans l'agriculture (amélioration des plantes et sélection des animaux), la médecine (traitement des maladies, rajeunissement de l'organisme) et la génétique.
Résultats des expériences relatives à l'amélioration de plantes et à la sélection d'animaux.
Action exercée par le champ bio-électromagnétique de germes de blé (donneur) sur des plantules de maïs (percipient).
La variété obtenue avait une multitude de tiges latérales. A la place des panicules, on a vu se former des épis avec des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs. Les plantes soumises à l'expérience ont surpassé les plantes témoins de 300% pour la productivité de la masse végétale et de 200% pour celle des grains. Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.
Action du champ bio-électromagnétique d'un melon (donneur) sur des germes de concombre (percipient).
Les concombres produits avaient un goût de melon ; l'analyse biochimique a révélé des modifications au niveau de l'A.D.N. Ces modifications se transmettent par voie héréditaire.
Action du champ bio-électromagnétique d'une arachide (donneur) sur des semis de tournesol (percipient).
La forme des grains de tournesol a changé. Ils ont partiellement acquis un goût d'arachide.
Action exercée par le champ bio-électromagnétique d'un canard (donneur) sur des oeufs de poule (percipient). Des 500 oeufs de poule soumis à l'action du champ bio-électromagnétique d'un canard, on a vu naître 480 poussins caractérisés par une série de modifications génétiques : pattes palmées (25%), tête plate comme celle d'un canard (80%), long cou (70%), yeux s'ouvrant dans la partie moyenne (90%). Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.
Action du champ bio-électromagnétique d'un bouc aux cornes enroulées (donneur) sur une lapine en gestation (percipient).
Les lapins qui sont nés avaient de longues dents crochues.
Rajeunissement de l'organisme
En tant que médecin, je m'intéresse particulièrement à ce problème. Les premières expériences de rajeunissement ont été effectuées sur de vieilles souris. Celles-ci ont été soumises au rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes plantes et d'embryons d'animaux.
Ces expériences ont donné les résultats suivants :
- rétablissement des fonctions sexuelles et de la capacité de reproduction chez 31% des sujets
- augmentation de la durée de vie de 53% des sujets (de 12 à 18 mois par rapport au groupe témoin)
- amélioration de l'appétit, de la réaction, de la motilité chez 68% des sujets
En 1987, j'ai effectué sur moi-même une expérience analogue qui s'est soldée par des résultats positifs. Le volontaire suivant a été mon père âgé de 80 ans.
A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l'allergie cutanée, le bourdonnement d'oreille (acouphène) et la tumeur bénigne ; six mois plus tard, des cheveux ont repoussé à l'endroit de la calvitie et les cheveux gris sont redevenus noirs. Un an après l'expérience, une dent a repoussé sur l'emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt.
Les résultats positifs obtenus dans ce domaine ont servi de fondement pour délivrer, en 1991, au docteur Tsiang Kan Zheng un brevet d'invention sur le thème "Méthode de rajeunissement de l'organisme" et un certificat du ministère de la Santé Publique de Russie autorisant la thérapeutique U.H.F.
Justification théorique de la méthode de rajeunissement
En biologie, il existe une loi selon laquelle la durée moyenne de la vie des mammifères est de 5 à 7 périodes de développement physiologique. Par conséquent, la durée de vie d'un homme doit varier de 125 à 175 ans, car la période de son développement est de 25 ans. En réalité, elle dépasse rarement 3 périodes.
J'estime que le vieillissement de l'organisme tient à la dégradation des structures subtiles des gènes actifs. Cela dit, le rétablissement de ces structures se révèle impossible. Les gènes actifs constituent tout juste 0,2% à 2,0% de la totalité des gènes présents dans l'organisme.
Le rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes organismes qui appartiennent à d'autres espèces que les vieux parvient à activer chez ces derniers les gènes qui ne s'expriment pas (gènes inactifs). Ce processus déclenche des réactions propres à l'ontogenèse et à la régénération.
Résultats du traitement U.H.F. (y compris la méthode de rajeunissement)
L'autorisation donnée par le ministère de la Santé Publique de Russie m'a permis de procéder aux essais cliniques de la méthode U.H.F. Quatorze volontaires ont accepté de suivre le traitement :
Nombre de sujets |
40 à 50 ans |
51 à 60 ans |
61 à 70 ans |
71 à 80 ans |
TOTAL |
Hommes |
2 |
5 |
3 |
1 |
11 |
Femmes |
1 |
2 |
0 |
0 |
3 |
Total |
3 |
7 |
3 |
1 |
14 |
Du point de vue nosologique, les maladies étaient réparties comme suit : athérosclérose (5 cas), sténocardie (2), congestion cérébrale (2) ulcère de l'estomac (4), hépatite (5), ostéochondrose vertébrale (6), arthrose (2), eczéma (3), psoriasis (1), névrose (1) et tumeur bénigne (2). Cela faisait 37 au total cas d'affections de 11 types pour 14 sujets, soit près de 3 affections par sujet.
Résultats du traitement :
Guérison complète dans 6 cas, dont la tumeur bénigne ; amélioration considérable de l'état de santé dans 21 cas ; amélioration relative dans 8 cas ; sans effet dans 2 cas.
Résultats obtenus en matière de rajeunissement :
- amélioration de l'état général de santé : 12 personnes
- amélioration du physique ("rajeunissement" de 5 à 10 ans) : 11 personnes
- disparition de la canitie : 9 personnes
- activation des fonctions sexuelles : 7 personnes
Traitement du cancer
Le traitement du cancer et du SIDA, ainsi que l'inhibition de l'immunodépression due à la greffe d'organes tiennent une place particulière dans mes recherches.
Les premiers résultats positifs ont été obtenus il y a plus de 20 ans, à l'époque où nous avons effectué une série d'expérience consistant à transmettre l'information génétique de dix lapins (auxquels nous avions inoculé des cellules cancéreuses) à un groupe de 300 souris atteintes de cancer artificiellement provoqué.
On sait que le cancer ne frappe jamais les lapins. Leurs forces immunes stimulées par le vaccin ont aidé la plupart des sujets d'expérience (70%) à surmonter la maladie. Dans le groupe témoin, les 300 souris qui avaient un cancer artificiellement provoqué ont péri.
Quand j'étais laborantin à l'Institut de Médecine de Khabarovsk (1973-1978), j'ai mené des recherches sur le thème "La lutte contre le cancer au moyen de la bio-transmission à U.H.F.". En 1991, j'ai fait breveter ma méthode visant à normaliser les réactions immunitaires en cas de traitement du cancer et de transplantation d'organes.
Recherches immunologiques
Les essais de la méthode de rajeunissement se sont déroulés parallèlement aux recherches immunologiques effectuées dans les principaux laboratoires cliniques de Khabarovsk.
Ces recherches portaient sur divers éléments du système immun :
Phagocytes
T-lymphocytes
T-lymphocytes "actifs"
T-helpers
T-suppresseurs
B-lymphocytes
Leucocytes
Immunoglobulines A
Immunoglobulines G
Immunoglobulines M
Les données obtenues ont permis d'arriver aux conclusions suivantes :
1 - on parvient à optimiser la phagocytose de manière à assurer la réaction adéquate de l'organisme lors de sa réponse immunitaire à la pénétration d'agents pathogènes. Cela dit l'effet du rayonnement bio-électromagnétique dépend essentiellement de l'état de l'organisme : lorsque la fonction des macrophages est affaiblie, le rayonnement bio-électromagnétique arrive à la normaliser ou à la rapprocher de la norme. Toutefois, il demeure sans effet en cas de fonctionnement normal des macrophages.
2 - La dynamique des T-lymphocytes atteste l'action régulatrice et stimulante du rayonnement bio-électromagnétique sur ceux-ci.
3 - La méthode de rajeunissement sert également à régler l'activité des lymphocytes. Cela signifie que le fonctionnement des cellules immunocompétentes a été soit rapproché de la norme physiologique, soit complètement normalisé, ce qui permet d'utiliser le rayonnement bio-électromagnétique en tant que moyen d'immunocorrection.
4 - La dynamique des T-helpers montre la tendance des valeurs extrêmes vers la norme. Il y a lieu de croire que le champ bio-électromagnétique déclenche le mécanisme d'adaptation et d'autorégulation du système immun, ce qui sert à entretenir l'équilibre homéostatique.
5 - Pour donner une caractéristique complète du comportement des T-suppresseurs et en déterminer la dynamique, il serait judicieux de choisir des groupes d'organismes présentant des modifications pathologiques bien déterminées :
- état pathologique caractérisé par une hyperactivité des cellules immunocompétentes (auto-immunité, allergie)
- état pathologique caractérisé par l'insuffisance du système immun (immunodéficience)
- état d'immunité sans changements
Cette approche de la formation des groupes d'organismes sera également adoptée lors de l'examen d'autres populations de T-lymphocyctes, ainsi que de T-helpers et de B-lymphocyctes.
6 - Chez les sujets caractérisés par une insuffisance d'immunoglobulines A, le rayonnement bio-électromagnétique a entraîné une augmentation de cet indice, ce qui atteste l'activation des processus de défense et de réparation dans l'organisme, y compris au niveau du système immun. En cas de fonctionnement normal du système immun, l'effet du rayonnement bio-électromagnétique est pratiquement nul.
7 - Pour le moment, il est impossible d'aboutir à des conclusions définitives quant à l'évolution des leucocytes : cet indice doit être examiné parallèlement à la dynamique des lymphocytes, des T- lymphocytes et à la phagocytose, en partant des particularités qui caractérisent l'état initial du système immun.
Les résultats obtenus permettent d'affirmer que l'action exercée sur l'organisme humain par le rayonnement bio-électromagnétique crée des conditions susceptibles de déclencher dans le système immun des processus de défense, de réparation ou de compensation entraînant la guérison et le rajeunissement de l'organisme.
Commentaires
Je connais le docteur Tsiang Kan Zheng depuis près de 20 ans et je suis attentivement ses recherches. Auteur d'une méthode foncièrement nouvelle, il utilise, pour ses expériences, une installation spéciale qui assure la transmission des ondes bio-électromagnétiques dans la bande des ultra-hautes fréquences.
Je connais certains de ses travaux en la matière. Ainsi, sous l'action du champ bio-électromagnétique transmis de plantules de blé à des germes de maïs, on a vu se former des épis contenant des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs. La plante obtenue à la suite de l'expérience était celle de maïs, mais qui avait plusieurs tiges, ainsi que c'est le cas du blé.
En 1991, j'ai personnellement utilisé des semences d'orge irradiées par le champ bio-électromagnétique du blé. Elles ont donné une espèce caractérisée par une vitalité plus grande. Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes, comme le démontrent mes expériences effectuées en 1992.
Je considère que la découverte de Tsiang Kan Zheng peut être appliquée à grande échelle. Je propose également de fonder un laboratoire en vue d'étudier sa méthode sous tous les rapports.
Grigori Kazmine,
Directeur du Centre de recherches agricoles d'Extrême-Orient,
membre titulaire de l'Académie d'Agriculture de Russie
Khabarovsk, le 29.04.1993
Depuis 15 ans je m'intéresse aux travaux de Tsiang Kan Zheng relatifs à la transmission de l'information biologique d'un organisme vivant à un autre au moyen d'une installation spécialement conçue à cet effet. Si les résultats qu'il a obtenus se confirment et se trouvent corroborés par des expériences d'autres chercheurs, sa théorie sera digne de figurer parmi les plus grandes découvertes du XXe siècle. C'est pour cela qu'il faut encourager les travaux du docteur Tsiang et créer un laboratoire spécial pour étudier ses méthodes. Ce laboratoire est d'autant plus nécessaire que les chimères génétiques résultant de ses recherches sont une réalité. Elles doivent être étudiées du point de vue cytologique, cytogénétique et histologique.
J'ai personnellement répété certaines expériences de Tsiang Kan Zheng à l'aide d'une installation assurant un spectre d'ondes électromagnétiques qui allait des ultra-hautes fréquences aux rayons infrarouges et dont les caractéristiques harmoniques étaient proches de celles qui, selon la supposition du docteur Tsiang, contribuaient à transmettre l'information génétique d'un organisme à un autre. En qualité de sujets, j'ai choisi des chlamydomonades et les chromosomes polyptènes des glandes salivaires de chironomidés. Après être exposées pendant 15 minutes aux ondes électromagnétiques précitées, les chlamydomonades ont subi une métamorphose quant à leur forme, alors que les chromosomes de chironomidés ont connu une série de modifications au niveau génétique (augmentation de la polyténie par rapport à une culture témoin). Ceci atteste que les ondes en question exercent une puissante action génotrope sur les organismes étudiés, sans en perturber les fonctions vitales et la capacité de reproduction, à la différence des mutations provoquées par le rayonnement électromagnétique ayant d'autres fréquences et oscillations harmoniques.
J'estime que la méthode proposée par Tsiang Kan Zheng pourrait trouver une vaste application en médecine, agriculture et dans les recherches génétiques.
Youri Simakov,
Professeur, docteur d'Etat en biologie,
membre titulaire de l'Académie Internationale d'Informatique
Bien que la structure de l'appareil de Tsiang Kan Zheng et le principe de son fonctionnement soient connus, ses recherches appellent toutefois une foule de questions...
J'attire l'attention des lecteurs tout d'abord sur leur aspect moral. A mon avis, on pourrait "pardonner" au savant ses premières expériences "négatives" ("poules-canards", "chèvres-lapins", etc.), leur objectif étant de démontrer l'efficacité de son installation. Quant à ses expériences "positives" (irradiation d'un concombre par le champ électromagnétique d'un melon ou d'un tournesol par celui d'une arachide), elles sont beaucoup plus intéressantes.
Cependant, nul besoin d'avoir une imagination très fertile pour se figurer les multiples variantes de l'action que l'on pourrait exercer sur la matière vivante selon cette méthode. Action d'autant plus aléatoire que ses conséquences sont imprévisibles ? Effectivement : qui peut nous garantir qu'en voulant faire du bien, on ne fera pas de mal ?
Sur ce plan, certaines expériences du docteur Tsiang me semblent douteuses. Je pense à sa tentative de transmettre, à des fins médicales, l'information génétique d'un porc à un homme souffrant d'un ulcère à l'estomac (le choix du porc s'expliquait par le caractère omnivore de cet animal et par la similitude existant entre son appareil digestif et celui de l'homme). Et même si, comme l'affirme Tsiang Kan Zheng, ce procédé de traitement s'est révélé efficace, il comporte néanmoins un risque de mutations génétiques.
C'est pour cela que l'on doit faire preuve de prudence et de pondération dans l'appréciation des expériences de ce genre. Avant d'y procéder, il faut se demander où l'on veut en venir et à quel point les résultats obtenus seront justifiés. A mon avis, il est nécessaire de soumettre les conceptions scientifiques du docteur Tsiang à une expertise minutieuse et d'établir un contrôle sur ses expériences. Si leurs résultats se confirment, la découverte qu'il a faite doit appartenir à toute l'humanité et non pas à un seul pays.
Vu l'importance exceptionnelle de cette découverte, je propose d'instituer une Fondation internationale de soutien à Tsiang Kan Zheng et une Commission internationale de contrôle sur ses recherches.
Alexandre Avchaloumov,
directeur de la revue "AURA-Z"
Tel : (095) 925.76.79
Fax : (095) 422.09.60
Quant'Homme remercie " Ankalagon " d'avoir passé du temps sur ce document et surtout de nous avoir transmis ce texte sous format word pour que tous profitent de ses efforts de transcription !