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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Page créée le 10/08/1999 - mise à jour le 28/05/2007 - le 07/12/09 (Sandberg)
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Né en 1943 à Bruck an er Murr, en Autriche, il était le deuxième fils d’une famille de neuf enfants. Il a suivi une formation de serrurier mécanicien et pilote. Il a fait des études de construction mécanique et d’art publicitaire à Esslingen, et étudié la physique à l’Ecole Supérieure d’Enseignement Technique de Karlsruhe. Il part du principe suivant : poursuivre chaque idée en la contemplant intégralement et avec la part nécessaire de persévérance créative la mener au succès. |
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Yury Potapov chez Interenergoresurs Ltd en Slovaquie en 1997 Académicien, inventeur renommé en République Moldave, Lauréat du prix international "Birmingham Torch", il est l’inventeur de l’appareil appelé YUSMAR , qui produirait, dit-on 2 megawatts d’énergie électrique excédentaire C'est un générateur thermique moldave convenant au chauffage des hôtels et des usines qui devait (enfin, disait à l'époque le Pr Gruber) être produit en série après 1995. Mais c’est un domaine où circulent toujours des bruits. |
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L’eau chaude passe à travers un "venturi". Dans la basse pression du venturi l’eau chaude se vaporise. Le mélange de vapeur d’eau est immédiatement envoyé dans une centrifugeuse où les minuscules bulles de vapeur s’effondrent dans un grand choc. C’est la cavitation, qui produit une lueur bleue. De nombreux rapports comme ceux de Griggs, indiquent que la cavitation peut produire une énergie inhabituelle. Personne ne sait s’il s’agit là d’un processus nucléaire ou de ZPE. |
"Ce dernier brevet par AB Volvo est un rappel et une confirmation que de mélanger avec habileté 20% d' eau à de l' essence ou du diesel, sans modification des performances moteurs et avec une diminution importante de la pollution est non seulement possible mais, est déjà une réalité depuis bientôt plus de quarante années!"
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Né le 30 juin 1885, décédé le 25 septembre 1958, Viktor Schauberger n'a pas voulu poursuivre d'études universitaires. Il avait choisi d'être garde forestier au service d'un prince autrichien, dans la forêt sauvage de Bernerau qui faisait partie de la réserve naturelle de la famille royale. C'est là qu'il fit ses premières observations de la puissance du vortex en mouvement. |
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Juste avant la fin de la deuxième guerre mondiale, la firme viennoise Kertl construisait et testait les turbines à vortex de Schauberger dans l’optique de les utiliser dans des moteurs d’avions. Aloys Kokaly, ingénieur, était employé dans la fabrication de certaines pièces et c’est lors d’une de ses livraisons de pièces à l’usine Kertl qu’on lui dit : " Ceci doit être préparé pour M. Schauberger selon les ordres donnés par une autorité supérieure, mais lorsque ce sera fait, il faudra le mettre dehors, car lors d’un précédent test, un de ces étranges assemblages, est passé carrément à travers le toit de l’usine." Schauberger pensait avoir découvert un moyen de produire la fusion nucléaire à froid. En effet, il assimilait ses turbines à vortex à des engins à implosion. Il supposait aussi que la température du sang favorisait la circulation. Pour lui, la fonction cérébrale, en particulier l’intuition, dépendait de la qualité de l’eau. |
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La première version de ce moteur Stirling avait deux cylindres, avec chacun un piston poussé par l’air chaud au lieu de vapeur, et nécessitait un côté froid et un côté chaud. Dans le cylindre froid, l'air est comprimé puis poussé dans le cylindre de travail qui est chauffé par l'extérieur. La dilatation qui en résulte est transformée en mouvement rotatif par l'intermédiaire du piston de travail. Une élévation considérable du rendement est obtenue par l'utilisation d'un accumulateur qui stocke la chaleur temporairement dans la conduite entre le cylindre froid et le cylindre chaud et réduit de ce fait considérablement les pertes de chaleur. En 1834, déjà, on découvrait une autre possibilité au moteur Stirling, celle de produire du froid : si on ne chauffe pas le cylindre de travail et qu'on entraîne le moteur en sens inverse, il se produit dans le cylindre de compression des pressions de gaz bien plus élevées que dans le cylindre de travail, le gaz de travail se détend en baissant la température, ce qui permet un refroidissement sans CFC. |
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Chaudière Stirling - Hermann 1- Tubulures d’échauffement 2 - Gaz de travail :hélium 3 - Piston de refoulement 4 - Accumulateur thermique 5 - Refroidissement du moteur et production d’eau chaude 6 - Piston de travail 7 - Générateurs 2 x 1,5 kW asynchrone 8 - Embiellage-engrenage |
Extraits de la revue Fusion n° 109
Voir notre nouvelle du 18/10/2005 divers Stirling dont un modèle géant à Sandia
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Le LTPC s’inscrit dans le programme de Better World Technology dans une combinaison de systèmes destinés à procurer une indépendance totale aux utilisateurs. C’est une machine qui utilise la réfrigération pour produire de l’énergie mécanique avec des fluides qui passent de l’état liquide à l’état gazeux à basse température. Rien n'est brûlé, les substances en ébullition à - 40 ° à - 100 ° F sont exposées à l'environnement. Les éléments qui viennent en contact avec ces fluides à l’œuvre, changent d'état en passant du liquide au gaz et produisent la même énergie que si on transformait de l'eau en vapeur. |