ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT "Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller  Tout le site Quanthomme est accessible par  www.quanthomme.fr ou www.quanthomme.com ou www.quanthomme.org
Retour à l'accueil TOUT Quanthomme	Retour à l'accueil de la Partie 2	Retour à la liste des nouvelles		Accès au moteur de recherche

LA MACHINE DE NEWMAN par Jean-Louis NAUDIN et Michel DAVID
 

6.3 Test d’efficacité . ESSAI 4
Courant négatif venant de la bobine

du 24/06/1998

Retour au sommaire

Nouvelle conception de commutateur montrant le courant négatif venant de la bobine et allant à l’alimentation.

• Photo A : Voltage mesuré sur la bobine, la vitesse de rotation étant d’environ 937 tours/minute et le voltage d’allumage de 626 V. On peut remarquer le voltage élevé (supérieur à 1500 V) induit dans la bobine par l’aimant en rotation pendant la phase en marche libre.
• Photo> B : Agrandissement du voltage mesuré sur la bobine. On peut remarquer la forte emf de retour engendrée par l’impulsion d’allumage. Il y a aussi une curieuse onde amortie produite pendant cette phase d’emf de retour…A ce jour, je ne peux l’expliquer, il est possible que cette onde étouffée superposée à l’emf de retour ait été engendrée par l’impulsion tumultueuse précédemment envoyée.
• Photos C, D, E, F : Le courant ‘’noisy’’ (tumultueux) passant à travers la bobine. On peut remarquer la valeur élevée du courant négatif. Celui-ci REVIENT A L’ALIMENTATION, ce qui peut expliquer pourquoi la Machine d’origine de Newman a pu maintenir la charge de sa batterie. Le courant négatif est une ENERGIE NEGATIVE LIBRE, et on peut noter dans les photos E et F que les pointes de courant négatif, sont, dans la plupart des cas, plus élevées que celles du courant positif.

Pour avoir le courant ‘’noisy’’ qui produit le courant négatif, j’ai construit de nouveaux contacts d’allumage sur le commutateur (le reste de la machine étant toujours identique à la version V1.0.)
Le contact d’allumage (un seul par tour) est en ruban aluminium adhésif (de 40mm de largeur). Je me suis servi de papier émeri pour faire une surface rugueuse sur le segment d’allumage. Ainsi, quand les balais passent dessus, cela provoque de mauvais contacts qui créent de cette façon le courant ‘’noisy’’.
J’ai été surpris de voir qu’il N’Y AVAIT PAS D’ETINCELLES à la surface du contact, malgré le haut voltage utilisé. C’est du à la courte durée des impulsions envoyées. Ces impulsions ‘’noisy’’ ont une durée inférieure à la constante de temps de l’inductance ( L/R) et de cette manière, le courant n’a pas le temps de monter dans la bobine ; c’est une sorte de chargement en degrés d’énergie magnétique.

Chapitre suivant:  7.0 Test d’efficacité. Nouveau commutateur ESSAI 5
Chapitre précédent:  6.2 Tests d’efficacité. ESSAI 3

Retour au sommaire


Retour à l'Accueil