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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Du : 24 octobre 2002 Un historique sur les Lifterspar Jean-Louis Naudin ( 14 Octobre 2002 ) http://membres.lycos.fr/jlnlabs/lifters/index.htm version française Le Lifter est un condensateur asymétrique qui utilise de la Haute Tension ( > 20KV ) pour produire une poussée. Le Lifter fonctionne sans pièce mobile, vole silencieusement, utilise seulement de l'énergie électrique et est capable de soulever son propre poids plus une charge utile additionnelle. Le Lifter utilise l'Effet Biefeld-Brown découvert par Thomas Townsend Brown en 1928. Le principe de base du Lifter a été pleinement décrit dans le brevet de Townsend Brown N°US2949550 du 16 Août 1960 et appelé "Dispositif Electrocinétique", vous y trouverez le principe de fonctionnement utilisé par les dispositifs de type Lifters : « It is therefore an object of my invention to provide an apparatus for converting the energy of an electrical otential directly into a mechanical force suitable for causing relative motion between a structure and the surrounding medium. It is another object of this invention to provide a novel apparatus for converting and electrical potential directly to usable kinetic energy. Le 5 Octobre 2000, le brevet de Hector Serrano WO 00/58623 " Dispositif de propulsion et méthode utilisant un champs électrique pour produire une poussée " a été validé. Ce brevet est très proche de l'Asymmetrical Capacitor Thruster ( ACT ) breveté par la NASA ( brevet US 6,317,310 de Nov 2001 ) . Ces deux dispositifs utilisent l'Effet Biefeld-Brown pour produire une poussée par rapport au milieu extérieur ( cet effet a été découvert par Townsend Brown en 1928 avec son Gravitator (voir Brevet GB300311 du 15 Nov 1928 "Méthode et dispositif pour une machine capable de produire une force ou un déplacement" par T.Townsend Brown ). En Juin 2001, Transdimensional Technologies a présenté Power3 montrant un dispositifde type Lifter1 et Lifter2 en lévitation électrocinétique. Ces machines sont capables de soulever leur propre poids et sont une "adaptation moderne" du système de propulsion électrocinétique de Townsend Brown breveté en 1960 ( US Patent N°2949550 ). Un Lifter utilise l'Effet Biefeld Brown pour produire la poussée nécessaire à sa sustentation. Le Lifter1 est une structure triangulaire composée d'un assemblage de trois condensateurs asymétriques. En Octobre 2001, j'ai reproduit avec succès le Lifter1 et le Lifter2 présenté par Transdimensional Technologies en Juin 2001. Vous trouverez tous les détails techniques pour réaliser et tester vous même un Lifter. Le 13 Novembre 2001, le brevet de la NASA US 6,317,310 " Dispositif et Méthode pour produire une poussée utilisant un condensateur asymétrique bi-dimensionnel " a été disponible au public. Sur le serveur Internet TechFinder de la NASA ( information publique du 6 Nov 2001 ), nous pouvons lire :
Le 18 Novembre 2001, j'ai reproduit et testé avec succès le dispositif de propulsion utilisant un condensateur bi-dimensionnel asymétrique de la NASA. Le 19 Janvier 2002, j'ai reproduit et testé avec succès le Dispositif de Propulsion par Champ Electrique (SFPT) breveté par Hector Serrano de Gravitec Inc. Récemment, deux nouveaux brevets de la NASA basés sur l'effet Biefeld-Brown ont été validés, US2002012221le 31 Janvier 2002 et US6411493le 25 Juin 2002. Le 10 Mars 2002, j'ai reproduit et testé avec succès le NASA Orbital Maneuvring Propellantless Thruster v1.0 décrit dans le brevet US2002012221" Dispositif et Méthode pour produire une poussée utilisant un condensateur asymétrique bi-dimensionnel ". Le Lifter n'est pas une simple machine à vent ionique comme le dispositif Ionocraft du major De Seversky ou le dispositif volant de Hagen, le Lifter utilise une géométrie particulière de condensateur asymétrique pour produire un flot asymétrique d'énergie électromagnétique autour de lui. L'effet Biefeld-Brown a été testé avec succès dans un vide à 10e-5 torr par l'université de Purdue - Energy Conversion Lab, des mesures précises et détaillées ont été effectuées en septembre 2000. Ces tests ont pleinement démontré que le vent ionique n'est pas la seule source de la poussée mesurée.... Aujourd'hui, après de nombreuses expériences et recherches sur ce sujet, je suis convaincu que cette technologie mérite d'être développée. Dans un milieu atmosphérique la poussée principale est fournie par un effet électrocinétique sur le milieu ( l'air ), mais il y a aussi une poussée résiduelle dans le vide qui ne peut pas être expliquée par le vent ionique, cette poussée résiduelle ( de quelques milli-Newtons ) pourra être utilisée pour de la propulsion spatiale en absence de gravité. Plus de 100 reproductions de Lifter ont déjà été effectuées avec succès dans le monde par de nombreux expérimentateurs et physiciens (regardez le The Worldwide Lifters replications logbook) Le 10 octobre 2002, j'ai pleinement démontré avec l'expérience du Lifter v3.0 à 3 étages qu'un Lifter pouvait être agrandi et de plus qu'il était capable de soulever jusqu'à 20 g de charge utile supplémentaire ( 183% de poussée ). Il est donc maintenant possible de construire un engin à décollage et atterrissage vertical ( VTOL ) qui utilisera l'effet Biefeld-Brown, volant silencieusement, sans pièce mobile et utilisant uniquement de l'énergie électrique ( regardez le VTOL Lifter-Craft MkIII). Pour compléter ce bref historique sur les Lifters, Quant’Homme a choisi quelques extraits de l’étude de Theodore C. Loder “OUTSIDE THE BOX” SPACE AND TERRESTRIAL TRANSPORTATION AND
University of New Hampshire - Durham, NH 03824 http://users.erols.com/iri/Loder.PDF Le développement de la recherche sur l’antigravité a semblé disparaître au milieu des années 1950. Mais de nombreuses découvertes scientifiques et des témoignages d’observateurs montrent qu’elle est en fait bien vivante et tout à fait une recherche de pointe. La vision de la physique et la technologie du 20 ème siècle quant aux prévisions de besoins énergétiques et transports va changer de manière spectaculaire grâce aux révélations des découvertes dans ce domaine. (Comme le texte de Jean-Louis Naudin le décrit bien, le principe de vol des Lifters n’est pas nouveau.Ndlr) Vers 1953, Thomas Townsend Brown avait fait une démonstration pour des « huiles » de l’armée américaine. Ses deux disques d’environ 1 mètre de diamètre reliés par un fil à un mât ont tourné sur plus d’un kilomètre. Ils recevaient 150.000 volts et émettaient des ions à partir de leurs bords d’attaque en atteignant des vitesses de l’ordre de plusieurs centaines de km/heure. C’était « Pearl Harbor Demonstration » classée par la suite top secret. Dans le projet Winterhaven, T.T. Brown proposa ensuite au pentagone de développer un avion de chasse électrogravitique de forme lenticulaire et volant à Mach 3, ce qui ne représentait jamais qu’une version non rattachée au mât mais à grande échelle des disques cités précédemment. Dans les brevets de T.T. Brown on peut trouver les schémas de cette conception de base. Une fois les découvertes de Brown largement connues, certains scientifiques se sont mis à parler ouvertement de la technologie de vol des OVNIs énormément observés depuis les années 1940. Herman Oberth en personne, le « père » de l’ère spatiale qui a travaillé avec Werner von Braun et pour la NASA dira en 1954 : « Ma thèse, c’est que les disques volants sont réels et que ce sont des vaisseaux spatiaux provenant d’un autre système solaire…Ils volent grâce à des champs artificiels de gravité…Ils produisent des charges électriques à haute tension… »En 1956 Aviation Studies International Ltd (société anglaise) a publié un rapport tenu secret. Son contenu portait sur différents aspects du contrôle de la gravité et évoquait bien entendu le travail de pionnier de T.T.Brown (ce que ne fait même plus la NASA dans ses derniers brevets, NDLR). Dans ce rapport il est dit que l’utilisation d’aluminate de baryum peut élever le facteur (K) de charge du condensateur (pièce maîtresse du système électrogravitique) d’une manière considérable. Si on attribue la valeur 1 au K de l’air on peut ainsi arriver à des K de 6 et même de 6000 avec du titanate de baryum ce qui promet jusqu’à 30.000 convenant à un vol à Mach 3. Mais voilà, en 1954 et 1955 il n’était pas facile de faire prendre ce sujet au sérieux par l’aéronautique. Le mot électrogravité suffisait à lui seul à dissuader. Il semble bien qu’il en soit encore ainsi. Le magazine Aviation Report a publié une liste de sociétés faisant des recherches dans l’antigravité, liste éloquente montrant ce qui se passait en coulisses : Glenn Martin, Convair, Sperry –Tand, Sikorsky, Bell, Lear, Clark Electronics, et avant Lockheed, Douglas et Hiller. D’autres noms de sociétés sont également mentionnés : AT&T, General Electric, Curtiss-Wright, Boeing, North American… En 1954, Aviation Report annonçait « Le Pentagone est maintenant prêt à soutenir une gamme d’appareils et d’arriver ultérieurement à de meilleures connaissances…Le premier disque devrait être terminé avant 1960 et il faudrait bien toute la décennie suivante pour bien le mettre au point même si des engins de combat pouvaient être disponibles en 1964. » Dans les sociétés citées précédemment, on se spécialisait sur l’évolution de composants particuliers des disques électrogravitiques. Pour Aviation report, on peut presque diviser le siècle en deux parties, la première appartenant aux frères Wright et la deuxième à l’électrogravité. A ce jour, on peut se dire que cela n’a pas été tout à fait le cas (Officiellement, mais…Ndlt) Pourquoi l’intérêt existant dans des sociétés de premier plan aussi bien qu’au Ministère de la défense a-t-il été minimisé pendant les 40 dernières années ? Pourquoi a-t-il fallu attendre les années 90 pour qu’une poignée de scientifiques porte leur attention sur les résultats et publient ouvertement sur le sujet de l’électrogravité ? D’anciens personnels civils et militaires jusque là tenus au secret commencent à faire la lumière sur cette recherche d’un demi siècle qui montre des percées significatives cachées aussi bien au public qu’aux scientifiques. L’article précise que le Dr Paul La Violette a publié en 1994 un ouvrage sur le bombardier B2 qui est muni de systèmes utilisant une forme sophistiquée des principes d’antigravité décrits par T.T. Brown, sur ses bords d’attaque et à l’échappement . L’électrodynamique quantique a apporté le cadre de travail théorique permettant d’expliquer le couplage électrogravitique (ce que la relativité générale n’avait pu faire pas plus que pour tout autre phénomène d’antigravité). Théodore Loder recommande de consulter les récents articles publiés par Evans et Anastoksky ainsi que Alcubierre. Ce dernier a montré en 1994 que le voyage à vitesse supérieure à celle de la lumière était possible et ne violait pas la théorie de la relativité. Puthoff, analysant ces découvertes en relation avec SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence) est en accord avec Alcubierre. Et ces analyses conduisent à accepter le fait de possibles visites extra-terrestres ce qui a été refusé dans la majeure partie du 20 ème siècle. Un autre aspect de ces découvertes en physique traite du ZP (Zéro Point) ou énergie du vide. Plusieurs articles parus à la fin des années 80 décrivent la ZPE (Zéro Point Energy) dont les implications sont formidables. Energie démontrée par l’effet Casimir (2 plaques de métal proches l’une de l’autre s’attirent mutuellement en raison du déséquilibre des fluctuations quantiques). Puthoff et Bearden (dont le dernier livre doit paraître en 2002) ont décrit divers moyens d’extraire cette énergie. Il y a de solides preuves que des scientifiques, depuis Tesla ont eu connaissance de cette énergie mais c’est seulement maintenant que l’on en parle dans les journaux scientifiques. L’association des observations des phénomènes électromagnétiques conduit à une nouvelle compréhension de la matière autant que de la gravité. Des questions recevront maintenant des réponses. Qu’est ce qui fait que l’univers continue de « tourner » ? D’où vient l’énergie des électrons absorbée ou libérée ? La réponse la plus simple est : cela vient du Vide et pour Puthoff une réabsorption simultanée compensant le rayonnement émis, c’est à dire un équilibre dynamique dans lequel la ZPE stabilise l’électron sur une orbite de base. Toute la stabilité de la matière elle-même dépendrait donc de l’océan d’énergie électromagnétique du Point Zéro qui est à la base de tout. De plus la rotation des électrons fournit aux atomes l’inertie et la masse. Toutes ces théories qui relient spin d’électron, ZPE, masse et inertie ont été fort bien présentées par Haisch et ses collègues et offrent une explication possible de l’effet Biefeld-Brown : un champ de très haut voltage crée une barrière électromagnétique qui bloque la structure atomique d’un atome l’empêchant d’avoir une interaction avec le ZPE. Ceci ralentit les électrons réduisant leur effet gyroscopique et aussi leur masse atomique et leur inertie et ferait qu’ils se déplacent plus facilement. De nombreux témoignages suivent ce bref extrait, émanant en particulier de personnes ayant vu des disques volants dans des bases secrètes américaines. Un capitaine parle d’un simulateur fonctionnant avec 6 gros condensateurs chargés de 1 million de volts chacun, condensateur utilisé pour un vaisseau ET détenu dans une de ces bases – un OVNI de 30 mètres écrasé à Kingman (AZ) en 1952 ou 1953. On mesure alors toute l’importance de cette déclaration, une des dernières faite par Ben Rich, ancien Directeur de Lockheed Skunkworks : « Tout ce que vous pouvez imaginer, nous savons comment le faire » (Notez bien qu’il y a déjà longtemps que les chercheurs américains et autres ne se posent plus la question de savoir si les OVNIs existent mais celle de savoir comment ils fonctionnent Ndlr). Théodore Loder peut bien conclure en disant que ces technologies préservant la planète du réchauffement global et de la pollution, n’auront pas seulement un impact sur les voyages spatiaux mais aussi un effet capital sur les transports et la production d’énergie sur toute la Terre. La revue Infinite Energy vient de publier un article de 19 pages sur les Lifters dans le monde dans son numéro 45. Jean-Louis Naudin y figure bien sûr en bonne place !
Pour mémoire, d’autres revues ont publié des articles sur ce sujet :
Sans oublier le livre de Alexandre Szames : « L’effet Biefeld-Brown » . Nota : Pour poursuivre vos recherches, vous pouvez bien entendu cliquer sur les liens figurant dans les textes, mais aussi vous servir des moteurs de recherche internes figurant sur les pages d’accueil de nos sites ainsi que sur celles de Jean-Louis Naudin en affichant les mots clefs de votre choix.
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