ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

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7 Décembre 2003


Petite rectification :
http://www.jp-petit.com/Divers/Arme_meteorologique/Arme_climatique1.htm
Nous avions indiqué .....climatique2.htm dans notre précédente nouvelle, mais cette page 2 étant reliée à la page 1 dans le site de J-P Petit, nos lecteurs l'auront certainement retrouvée, toutefois nous précisons qu'il vaut mieux commencer par afficher la page 1






Des informations intéressantes sur les aimants.
http://www.fsg.ulaval.ca/opus/scphys4/resumes/22a.shtml






Un site bien illustré sur les systèmes de Schauberger
http://www.evg-ars.narod.ru/shauberg1.htm






Pour les amateurs de Reich vous trouverez des informations intéressantes sur le serveur du FBI à :
http://foia.fbi.gov/reich.htm
C'est en anglais et lourd à charger, mais si vous connaissez un ami qui a l'ADSL, c'est faisable...






Deux Canadiens découvrent une nouvelle façon de produire de l'électricité

Presse Canadienne 19 novembre 2003 Edmonton

Une équipe de chercheurs de l'Université de l'Alberta a annoncé la découverte d'une nouvelle façon de produire de l'électricité, en projetant tout simplement de l'eau sur une surface solide.
Leurs résultats seront dévoilés lundi dans un article scientifique, publié par l'Institut de physique de Londres.

Lors d'une expérience, les professeurs Daniel Kwok et Larry Kostiuk, de l'Université de l'Alberta, ont été capables d'allumer une ampoule en projetant de l'eau, à l'aide d'une seringue, sur un "filtre" de verre perforé de trous microscopiques.
Ces perforations agissent alors comme des microcanaux qui créent des charges positives et négatives, ce qui permet de transmettre de l'électricité.

Le principe était connu depuis quelques années, mais l'application mise au point par les deux chercheurs laisse entrevoir de nouvelles possibilités.

Des piles à eau reprenant ce principe pourraient être utilisées dans de petits appareils électroniques, comme les téléphones cellulaires ou les agendas électroniques.

Il serait possible de recharger de telles piles à l'aide d'une pompe qui pressuriserait l'eau de nouveau, a indiqué Larry Kostiuk.

Dans Nature du 23 Octobre 2003 Philip Ball fait un commentaire nuancé par rapport à ces résultats. Il se demande comment passer de ces expérimentations à une production à grande échelle, serait-ce rentable de faire passer de l'eau de torrents ou de barrage à travers d'immenses filtres poreux. Il faudrait pour cela que cela marche mieux que toutes les méthodes actuelles de production d'énergie.
http://www.nature.com/Physics

NDLR : il semble bien que cette technologie soit en effet plus adaptée à de petites productions locales qu'à une production de mégawatts.






Une démonstration publique de la voiture à air comprimé MDI Air Car a eu lieu le 7 novembre 2003 à l'Hôtel Juan Carlos à Barcelone (Espagne). Il ne s'agissait pas de la première présentation au public, mais les précédentes ne montraient pas la voiture avec son moteur.
http://www.theaircar.com






Les amoureux de la voiture électrique EV-1 de General Motors sont vraiment mécontents.

22 octobre 2003

Ils disposaient de leur véhicule avec un contrat de location de 3 ans, plutôt onéreux d'ailleurs (275 dollars mensuels) et tenaient à le garder, voire l'acquérir définitivement.
Malgré leur concert de protestations, malgré les soutiens médiatisés dont plus de 100 personnalités et vedettes, General Motors a décidé de reprendre tous ses véhicules. Ce n'est pas du tout parce qu'ils ne marchent pas, depuis 1997, une seconde version avec des batteries plus performantes (160 km d'autonomie au lieu de 50 à 60) était sortie, mais seuls 500 nouveaux modèles de cette série ont été mis en circulation, juste assez pour satisfaire à l'obligation légale des 2 % de l'état..

Une des dernières spécialistes des EV-1, dit que des milliers de personnes étaient prêtes à acquérir ce véhicule.
La direction de GM dit ne plus vouloir continuer ce projet car il est trop coûteux, et ne souhaite surtout pas investir dans tout le service après vente. Les locataires des véhicules proposent même de signer toutes décharges à ce sujet, mais rien n'y fait.

Bien sûr, tout cela se passe en Californie, à Los Angeles. Dans cet état, des normes environnementales ont obligé les constructeurs à mettre pour 1998 sur le marché 2 % de leurs véhicules répondant aux normes de zéro émission, la barre ayant même été placée encore plus haut à 10 % puis assouplie par la suite.

Au début des années 90 le Président de General Motors annonçait son espoir de voir circuler dans tout l'état, des dizaines de milliers de voitures allant se ravitailler dans des stations service adaptées à leurs batteries...Rêvait-il ?
La construction de l'EV-1 s'est arrêtée en 2000, seuls 1000 véhicules ont été fabriqués dont 800 loués.
Et pourtant selon les spécialistes et les gens de la maison GM la voiture est un succès technique.
Mais pour la direction, les sommes déjà investies étant trop importantes (1 milliard de dollars sur 10 ans), il fallait profiter de la fin du leasing de 3 ans pour tout arrêter et rapatrier les voitures dont une grande partie sera démontée, les pièces recyclées, 75 conservées pour le personnel, et quelques unes destinées aux écoles et musées.

Le fin mot de l'histoire, c'est un employé de GM qui tient à garder son anonymat qui le donne :
" Nous avons lancé la voiture en décembre 1996, et dès le mois d'avril je me suis rendu compte qu'on nous avait trompés, ils ne commercialisaient pas la voiture, la politique visant à ne pas faire acheter la voiture a limité les demandes...Ils veulent effacer toute trace d'une voiture qu'ils n'ont jamais eu l'intention de voir réussir "



La voiture électrique ?
Il n’y a pas que chez General Motors, en France aussi c’est la même non-promotion.
« Si la Citroën Visa Electrique Existe encore bel et bien, elle est surtout utilisée par les agents EDF/GDF...Les marques ne font aucune promotion ; de plus une voiture électrique vaut au départ 45% à 52% de plus que le même modèle à essence.... (et ce prix ne contient pas les batteries).... alors que son prix de revient, en raison de la simplicité, devrait être 50% inférieur à un modèle à essence ! Et l'engin devrait être de plus partiellement détaxé, pour l'écosystème et le réchauffement : notre survie !!

De plus il y a un GROS piège , la carte grise est assujettie à la location du pack de batterie de 70 Euros par mois , et si vous ne voulez plus louer ces batteries on vous reprend la carte grise !
De plus, autre gros piège, la revente entre particulier de la voiture est impossible, on ne peut revendre cette voiture qu'à Citroën !

De plus, il n'y a QU'UNE SEULE compagnie d'assurance pour assurer ces voitures, et un seul type de contrat (tout risque). Après ça nos MINISTRES viennent nous dire que la voiture électrique à Paris c'est l'avenir....

Nous avons demandé une documentation sur la Citroën utilitaire électrique, présentée au mondial 2003; mais ils ne veulent pas du tout en faire la promotion, car nous n'avons rien reçu, malgré les promesses ! Aucune promotion....

Vous constaterez que la plupart des marques populaires ont produit pour redorer leur blason et par là même désinformer les consommateurs des modèles électriques ou hybrides. Vous constaterez également que ces modèles, soi disant à la vente en série, n'étaient que des prototypes dont on s'est empressé de cesser la vente : trop fiables et rentables, souples pour l'utilisateur : la mort de la voiture essence ! »

Ndlr : Et les Japonais ? où en sont-ils ? Kawai et Takahashi pour ne citer qu’eux avaient pris une certaine avance dans ce domaine, allègement des batteries en particulier et moteurs spéciaux. Malheureusement rien ne filtre du côté nippon...






Tous nos lecteurs n'étant pas au forum PMC-France (consacré au PMC Pantone), nous avons relevé cette information transmise par un des participants

La thermoélectricité extrait du site SNII (société nationale des inventeurs indépendants)
http://www.snii.org/frigo/Trombe.htm si cela ne marche pas essayer par le cache de google

Autres sources:
a) " SCIENCE et VIE " (n°548).
b) http://depris.cephes.free.fr/archives.htm

Félix TROMBE, avec Albert et Madeleine Lê Phat Vinh ont mis au point un dispositifs de réfrigération qui exploite le phénomène physique de thermoelectricité

Nommé " réfrigérateur gigogne ", il se présentait sous l'aspect d'une boîte aux parois tapissées d'aluminium brillant entourée d'un isolant épais avec, pour fond, une plaque d'alu oxydé et, en guise de couvercle, une pellicule de plastique très fin transparente aux infrarouges de 8 à 13,5 microns de longueur d'onde. En emboîtant plusieurs de ces boîtes, l'une dans l'autre, on pouvait obtenir des différences de température allant jusqu'à 35 degrés !

Ainsi donc, pour une température extérieure de 25 °C, on pouvait descendre jusqu'à -10°C sans énergie externe.

L'équipe du CNRS démontra même que l'on pouvait encore améliorer le procédé et obtenir des différences de température de l'ordre de 50 à 75°C, notamment en stockant la chaleur emmagasinée par des roches exposées au soleil.



Il était donc démontré que l'on pouvait produire du froid presque gratuitement, avec une installation qui ne coûtait que quelques sous et qui pouvait être installée dans le jardin d'une habitation ou dans un recoin d'un village perdu de l'Afrique. Car cette " brillante invention française " offrait de grandes possibilités pour les pays chauds où l'énergie est rare et chère.






Nous remercions vivement la réalisatrice de films Yin Gazda pour son autorisation de publier la transcription totale des interventions de Thomas Bearden extraite des 3 vidéos qu'elle a produites en 1990. (voir dans la partie Energie Encore).
Les lecteurs attentifs savent que ces textes sont dans nos pages depuis déjà 2002, nous pensions bien avoir l'autorisation c'est pourquoi nous avions anticipé, et nous avons bien fait car Yin Gazda (qui a enfin reçu notre demande qui a pris des chemins un peu détournés avant d'aboutir) nous remercie de faire connaître ainsi au public français cette publication qui parle d'énergie libre.
Lors d'un de nos derniers échanges de courrier avec Yin Gazda, nous avons eu quelques nouvelles de John Hutchison, qui n'a plus de laboratoire pour poursuivre ses expériences et espère voir arriver bientôt le mécène pour le soutenir dans ses travaux.






On nous communique :
Je viens d'ouvrir un site perso entièrement dédié à l'écologie où je développe des idées originales. J'y ai mis en ligne mes articles de journaux, des résumés de livres et de nombreuses expériences personnelles susceptibles de vous intéresser.
Jetez-y un oeil et transmettez l'adresse de ce site à des personnes de cette sensibilité.

http://contrepouvoirecologie.chez.tiscali.fr

Les constructeurs de PMC Pantone pourront voir dans ces pages des photos de réalisations intéressantes, dont celles prises chez M Daniel Dubourg (le numéro 41 dans notre dossier).

Nous remercions l'auteur pour son intérêt à ce dossier, et la mention qu'il fait de notre site, ce n'est pas pour nous faire un piédestal (non !) mais ça gagne du temps pour ceux qui veulent atteindre les pages essentielles pour construire leur PMC Pantone.

Voici le début de la page relative au réacteur Pantone par Eric Souffleux.


Le moteur Pantone

Le moteur à eau ou moteur Pantone existe et je l'ai vu fonctionner chez des bricoleurs. Ce moteur a été présenté en 1974 au président de la république par un bricoleur venu avec une DS transformée avec ce système. C'est probablement de là que vient l'expression " En France on n'a pas de pétrole mais on a des idées. ". Le bricoleur décédera peu de temps après dans des circonstances suspectes et sa veuve a aujourd'hui de gros problèmes. Le principe sera alors oublié. Aujourd'hui c'est l'Américain Paul Pantone qui a breveté l'invention...

Pour les personnes qui ne connaîtraient pas du tout le dossier nous apportons les précisions et rectifications suivantes (ce sera également utile pour l'auteur du site.) Les expérimentateurs de ce système rectifieront bien d'eux-mêmes les autres petites erreurs qui se trouvent dans la page.

Puisque nous sommes sur ce sujet quelques petites informations.

On nous a signalé que dans la région parisienne un monsieur vivrait lui aussi très confortablement des rentes qui lui sont allouées depuis des années par un constructeur automobile français à qui il avait montré son moteur à eau...
Précision utile : la personne, très sérieuse, qui nous a informés lors d'une rencontre totalement éloignée de ce sujet d'études, n'est pas du tout polarisée sur les sujets publiés dans notre site.
Ce vieil inventeur n'est peut-être pas le seul dans ce cas...
On connaît aussi un cas de " disparu " depuis 30 ans, et qui avait une moto roulant à l'eau, enquête remise à une date ultérieure encore pour quelque temps ...
Disparus ou grassement rétribués, les " géotrouvetout " de moteur à eau restent en tout cas bien ignorés du public. Et il n'y a pas que les moteurs à eau qui gênent.

Citons le Stern du 19 Avril 1962 qui parle d'un ingénieur sud-africain B. Vandenberger qui mit au point un moteur antigravitique, et qui fut invité à le présenter à Mexico, en 1963 où l'attendaient installations et laboratoires. Cet ingénieur a disparu ...pendant le voyage...

Comme pour d'autres adresses que nous donnons, nous n'avons pas eu le temps de tout lire dans le site précédemment indiqué: à chacun d'y trouver son compte, et de se faire une idée sur les autres sujets qui y sont présents. Pour notre part si nous sommes tout à fait d'accord avec l'auteur du site pour l'utilisation prioritaire de toutes les énergies renouvelables possibles, pour ce qui est de voir une solution, même de secours ou de complément dans la voie des surgénérateurs, là nous ne partageons pas son avis car cette technologie, centralisée comporte tout de même des risques bien connus, dont ceux de la centralisation du lieu de production, les grosses lignes de transport avec leurs pertes (bref les désagréments liés à la production centralisée), la vulnérabilité, les déchets, les produits toxiques dangereux (le plutonium est loin d'être un élément anodin, le sodium non plus).

EDF admet maintenant qu'il n'y a pas de risque zéro, c'est vrai, et nous ne nions pas la qualité des ingénieurs français qui connaissent bien leur boulot et les risques qu'ils encourent, ils bossent sérieusement, mais les informations actuelles, et pas seulement françaises parlant de déréglementation de l'énergie, de privatisations à tout va ne sont pas réjouissantes. Voir notre précédente nouvelle du 29 novembre (Qui fera les frais des dérégulations de l'énergie, des privatisations de réseaux, et des retours à la case départ ?) où l'on parle beaucoup de marché, de stratégie...

Nous espérons que l'auteur de ce site se penchera un jour sur la fusion froide: voilà une énergie d'avenir, propre, renouvelable, inépuisable et qui nous libèrerait de l'utilisation, (enfouies on non) des lignes de transport assez gigantesques en permettant la production d'énergie à proximité des habitants consommateurs, c'est bien ce qu'il y a de plus écologique. La fusion froide n'est pas une utopie, ni un leurre, elle mérite d'être étudiée, certains s'y emploient et non des moindres parmi nos chercheurs. Si une partie des budgets engouffrés dans la fusion chaude Tokamak, Iter etc. avait pu arriver chez les chercheurs en Fusion froide, on n'en serait pas là aujourd'hui, à en être réduit à penser que des surgénérateurs pourraient être des sauveurs énergétiques du futur de l'humanité.

Les problèmes ne sont pas seulement budgétaires. La fusion chaude restera toujours inaccessible au commun des mortels comme l'est le nucléaire aujourd'hui. La question est : veut -on donner au plus grand nombre la possibilité de produire son énergie et de la gérer selon ses propres besoins ?

Vouloir libérer complètement l'énergie pour la rendre accessible au plus grand nombre, ça, personne n'aime en parler, écologistes compris car la pression de la centralisation énergétique est une arme politique redoutable contre les populations des pays développés comme celles des pays en voie de développement (enfin il paraît que c'est plus correct de dire en voie de ... mais certains l'attendent encore ce développement ?)

Avantage supplémentaire de la dispersion énergétique, la réduction quasi-totale de la survenue de grosses pannes et surtout d'attentats paralysant des régions entières, nous ne parlerons pas de contamination radioactive ...Sans vouloir nourrir une polémique nous trouvons quand même un peu " hard " que, selon l'auteur du site le fait d'avoir "... libéré la nature sur une vaste zone (60 km de large) de son premier facteur de pression : l'homme. " donne envie de suivre l'exemple de ce qui s'est passé à Tchernobyl. ! Bien sûr comme ça, on arriverait enfin à" mettre les villes à la campagne ", enfin plus tard, bien plus tard...

Pour terminer avec optimisme nous citons Jean-Louis Naudin qui dès ses premières expérimentations avec le CFR a pu dire

" ce projet CFR est un des plus fascinants que j'ai exploré à ce jour; nous sommes à l'aube d'une nouvelle technologie qui émerge dans le domaine des sources d'une énergie nouvelle et propre. "

et si quelqu'un, en France, peut parler de sujets fascinants, c'est bien Jean-Louis Naudin, car il en a déjà tellement exploré, il n'y a qu'à visiter son site pour comprendre...

à bientôt


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