ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

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Page créée le 31/01/2005,  modifiée le 10/03/2005

Un circuit électronique à énergie libre

Quanthomme remercie Monsieur Zoltan Szili de nous avoir confié la diffusion de son travail.

Pour toute correspondance voici l’adresse mail de Monsieur Jean Zoltazn Szili

p_baril@sympatico.ca

Et comme il le dit lui-même :

"Faisons confiance au travail des amateurs !"

 

 

Introduction

"En publiant ce circuit très simple, j'aimerais donner aux amateurs, l'occasion de prouver que l'extraction d'énergie électrique du vide existe bel et bien.

Le but de ma lettre est de faire connaître mon travail et aider à développer des générateurs quantiques pour l'usage des gens et des industries.

J'ai décidé de rendre publique un premier circuit, et les amateurs vont pouvoir l'expérimenter."

 

Présentation de l'auteur

" Mon nom est Jean Z. S. Toute ma vie, j'ai travaillé dans la recherche scientifique. Depuis sept ans, je suis retraité.

J'ai habité treize ans en France. Cinq ans à Lyon et huit ans à Paris. À Paris, j'ai travaillé à l'Université d'Orsay en Physique des Plasmas. Je suis né en Hongrie. J'ai émigré au Canada ( Québec ) en 1969 et j'ai trouvé du travail à L'Institut de Recherche d'Hydro Québec dans le domaine de la recherche scientifique. J'y suis resté vingt-huit ans jusqu'à ma retraite.

Un jour, au restaurant de l'institut, j'étais assis à une table en face de deux ingénieurs et de leur invité, spécialistes des transformateurs. J'ai écouté la conversation, et les ingénieurs ont dit à leur invité, qu'ils savait calculer les paramètres des transformateurs avec une précision de 0.1 %, mais qu' ils trouvent 2 % de puissance électrique en trop toujours.

Ce surplus de puissance électrique reste inexplicable tout en tenant compte des pertes ohmiques etc.
Je suis sortie du restaurant en pensant que ces 2 % de puissance en trop pourrait venir d'une source inconnue.

Quelques années plus tard, j'ai pris connaissance de la théorie de l'Energie du Point Zéro. J'ai supposé qu'il devrait y avoir un moyen d'extraire une partie de cette énergie phénoménale.
Depuis ma retraite, je travaille intensément pour trouver des circuits électroniques qui pourrait extraire de l'énergie du point zéro.
Rapidement, j'ai laissé de côté le travail de laboratoire pour de la simulation sur ordinateur, afin d'accélérer mon travail. J'ai essayé des milliers de circuits avant d'en trouver un et puis plusieurs autres de ces circuits qu'on dit en anglais " overunity ".

 

Méthode de travail

 

"Quand on explore un domaine inconnu, on doit utiliser le tâtonnement empirique. Petit à petit, on apprend à connaître ce nouveau monde inconnu de la science et utiliser ces nouvelles connaissances pour trouver des circuits de plus en plus performants.

Actuellement, je sais assez bien comment extraire le ZPE. La puissance de mes circuits va de quelques milliwatts à plus de cent kilowatts. Ces circuits doivent être alimentés pour fonctionner, mais à la sortie des circuits, les gains de puissance (COP = énergie de sortie/énergie d'entrée) peuvent être très élevés. Le gain ou COP peut être 2, 10, 100, 1000 et même plus.

Dans ces simulations, j'ai toujours utilisé des composants électroniques existant dans le commerce.
Cela peut faciliter la réalisation de ces circuits au laboratoire. Ce travail reste cependant à faire.

Tout d'abord, ce circuit a été mis au point sur un programme de simulation sur ordinateur. Ce qui permet de réaliser la simulation, c'est le Modèle Jiles-Atherton de l'électromagnétisme. Ce modèle a été conçu pour respecter la réalité expérimentale et non pas la loi de conservation de l'énergie. Je ne peux pas donner de garantie en ce qui concerne le bon fonctionnement de ce circuit, mais jusqu'à preuve du contraire, faisons confiance à la simulation. Ce programme est utilisé partout à travers le monde dans les laboratoires électroniques et physiques. Il est très proche de la réalité expérimentale même si dans 99.999 % des cas sur 100 l'énergie est conservée."

 

Le Mécanisme d'extraction

 

"Il existe des conditions spéciales pour qu'il y ait extraction d'énergie des fluctuations quantiques du vide.
Le mécanisme d'extraction, à mon avis, est basé sur la résonance ferromagnétique. Les électrons libres échangent de l'énergie avec des électrons virtuels du vide. Normalement cet échange est parfaitement symétrique. Résultat : Pas d'extraction d'énergie.
En plus, les électrons sont des fermions, et en mécanique quantique, deux électrons ne peuvent être dans le même état.
Il en résulte une dispersion très large de la fréquence de résonance ferromagnétique, qu'on pourrait appeler semi-collective. Cette résonance se situe entre quelques centaines de MHz et quelques GHz. Néanmoins, les circuits fonctionnent à une fréquence inférieure à un MHz. Par contre le circuit doit être construit comme un circuit fonctionnant au moins à 25 MHz. Il faut éviter les boucles, utiliser des composant adéquats etc.
Dans ces circuits, il faut utiliser des méthodes spéciales pour rendre l'échange d'énergie asymétrique. Dans ce cas seulement, il y aura une extraction d'énergie.

En publiant ce premier circuit, mon but est de stimuler la recherche ZPE. Surtout je pense aux amateurs.

Une nouvelle concernant mes recherches: Je pense avoir trouvé une loi physique, reliant le courant électrique dans une bobine ( comme utilisé dans le circuit envoyé ) et l'inductance de la bobine. Cette relation courant et inductance semble fondamentale dans l'extraction de la puissance électrique. Cette relation est réciproque. Une variation de courant fait varier l'inductance et une variation d'inductance fait varier le courant.

Quand le courant électrique augmente, cela fait diminuer l'inductance, et une diminution de l'inductance fait augmenter le courant... et ainsi de suite. C'est l'effet d'avalanche. Cette diminution d'inductance a une certaine limite déterminée par le circuit électronique. Une fois l'arrêt de l'avalanche, le processus s'inverse. L'inductance augmente et cela fait diminuer le courant...et ainsi de suite. Ce retour prend moins de temps, parce qu'il n'y a pas d'extraction de puissance électrique du vide pendant ce retour. Normalement, à cause des pertes électriques, l'avalanche ne recommence pas sans stimulation ( ex: une impulsion électrique dépassant une certaine valeur ).
La formule physique de cette relation est la suivante:

I (L1) = (K1 / L(L1)) - K2 ou I (L1) est le courant circulant dans la bobine et L(L1) est l'inductance de la bobine.
K1 et K2 sont deux constantes (invariables) dépendant des composants du circuit.

Par l'ajustement des constantes K1 et K2, les courbes du courant et de l'inductance sont pratiquement identiques.
Pour d'autres circuits, la formule pourrait changer, mais ce qui est important, c'est que la relation courant et l'inverse de l'inductance devrait rester valable."

 

Le circuit électronique à énergie libre

de Monsieur Zoltan Szili

"Ce circuit est bien simple en apparence, mais pour réussir à le faire fonctionner, il va falloir prendre des précautions draconiennes. C'est vrai, qu'il fonctionne à une fréquence relativement basse de 20 kilohertz. Par contre, le signal du générateur d'impulsion doit être un signal carré, positif, avec un temps de montée de 10 nanosecondes de 0 volts à + 5 volts.

La simulation indique très clairement, que si le temps de montée du signal carré est plus lent que 10 nanosecondes, l'extraction diminue très rapidement et s'annule complètement entre 50 et 100 nanosecondes.

La simulation montre également qu'une capacité parasite, au point de connexion du transistor (M1), de l'inductance (L1) et la résistance de sortie (R1) d'une valeur de 100 picofarads vers la masse, détruit complètement l'extraction (cette capacité de 100 picofarads peut-être la capacité d'une sonde d'oscilloscope).

Les inductances parasites peuvent également empêcher l'extraction, si elle dépasse 10 micro Henry.

Au montage du circuit, il faut minimiser les boucles, comme si le circuit devait fonctio.nner à 25 Mhz

En fait l'élément d'extraction est le ferrite toroïdal de l'inductance (L1)."

Schéma et mesures

 

"Pas besoin d'un oscilloscope pour prouver la sur unité : il suffit de mesurer 2 courants ex : entre la terre et la résistance R2, et entre la terre et la résistance R1"

 

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Complément d'informations au 10 mars 2005

Voici les réponses et quelques conseils donnés par M Zoltan Szili

Le nombre de spires: 40

Le diamètre du fil: 0.3 mm ou plus.

Le noyau est de forme annulaire et de section carrée (5 mm x 7 mm ). Dia ext: 20 mm. Dia du trou int: 10 mm. Épaisseur: 7 mm.

La surface de section spécifiée par ferroxcube est de 0.336 cm carré. ( AREA=0.336 )

Le parcours du champ magnétique est de 4.36 cm ( PATH = 4.36 ).  Circonférence effective pour le champ magnétique.

La forme annulaire assure, que le champ magnétique soit refermé. Très importante ( GAP = 0 ).

La perméabilité magnétique du ferrite 3E5 est de 8000.

Le courant électrique dans la bobine doit être 15 à 20 mA minimum pour être proche de la saturation magnétique.

C'est la non linéarité qui permet d'extraire de l'énergie libre.

Très important: Le circuit doit être construit comme un circuit de 25 MHz. ( la résonance ferromagnétique est entre 20 MHz et 10 GHz )

Le transistor DNMOS  FET doit être IRF510.

D'autres ferrites ont peu de chances de fonctionner.

 

(FERROXCUBE TX20/10/7 avec perméabilité magnétique de 3E5) était annoncé comme difficile à trouver, certains fournisseurs le proposant en France par 1500 pièces, même à 1 euro l’un, cela fait un peu trop de dépenses pour un petit montage.

Mais selon Guy D.  RadioSpares (ndlr : ce n’est pas pour faire de la pub !) en a en stock. Merci à Guy D. dont nous  publierons les résultats d’expérimentations dès qu’il nous les aura transmis.