Entre terre et ciel
Eclairs - Rayons gamma - Haarp - Générateur
éolien - Chez John Hutchison - MEC Roschin-Godin
Electricité :
Lumière sur les éclairs
par Frédéric Lewino
"
Orage, ô désespoir, une grande
partie de ce qu'on a pu nous raconter sur la formation des éclairs se
révèle faux. S'il est vrai que la décharge électrique à l'origine du flash
de lumière s'élance d'une zone du cumulo-nimbus chargée négativement vers
une autre chargée positivement (dans le nuage ou sur le sol), en revanche,
l'ionisation naturelle du nuage est reconnue largement insuffisante pour
permettre le passage de l'éclair. Selon le magazine Newsweek, le Russe
Alexis Gurevitch aurait été le premier à soupçonner la « vraie » vérité :
à savoir que la très forte ionisation nécessaire serait déclenchée par les
rayons cosmiques qui arrosent en permanence la Terre ! Quand ceux-ci
heurtent de plein fouet une molécule d'air, il l'ionise tout en éjectant
illico presto un électron très énergétique. Ce dernier heurte à son tour
une molécule d'air qui s'ionise elle aussi en perdant un électron. De fil
en aiguille, ce phénomène en cascade ionise fortement une partie du nuage,
permettant ainsi la charge héroïque de l'éclair. Récemment, Charlie Moore,
de l'Institut des mines et de technologie du Nouveau-Mexique, a apporté la
preuve de l'existence de ce phénomène en détectant les rayons X émis par
la collision des rayons cosmiques. D'autres expériences in situ menées
depuis l'été dernier confirment définitivement l'origine céleste des
éclairs. C'est lumineux !"
Des bouffées de
rayons gamma dans l'atmosphère de la Terre
On
pensait le phénomène réservé au lointain cosmos . La production de rayonnements extrêmement énergétiques n'est pas l'apanage
d'étoiles géantes qui explosent : la Terre aussi, à sa modeste échelle,
est une source de rayons gamma. Et celle-ci s'avère bien plus importante
que prévue selon les dernières observations du satellite RHESSI (Reuven
Ramaty High Energy Solar Spectroscopic Imager) publiées dans la revue
Science. Umran Inan
*
(22 février 2005)
En 1994, un satellite observant les rayons gamma dans l'univers, le CGRO
(Compton Gamma-Ray Observatory), détecte des flashes de rayonnement gamma
dont la particularité est d'être extrêmement brefs, quelques millisecondes
tout au plus, et de très haute énergie. À la surprise des astrophysiciens,
ces étincelles ne proviennent pas du lointain cosmos mais de la Terre que
survole le satellite. La très forte énergie de ce rayonnement gamma, avec
des photons ayant jusqu'à 20 millions d'électronvolts, pouvait provenir de
l'interaction avec la haute atmosphère d'électrons portés à des vitesses
extrêmes, très proches de celles de la lumière.
L'explication de ce phénomène atmosphérique s'est faite en deux temps. Les
scientifiques se sont d'abord aperçu que les flashes de rayons gamma
coïncidaient avec les orages, plus précisément avec le déclenchement des
éclairs, ces énormes décharges électriques entre la Terre et l'atmosphère.
Puis des modélisations informatiques ont pu prédire que d'intenses champs
électriques pouvaient se développer au-dessus de ces nuages d'orage entre
20 et 80 km d'altitude. Avec l'énorme différence de potentiel développée
sur cette hauteur, 30 millions de volts, on pouvait envisager non
seulement que les électrons puissent être accélérés à des vitesses
extrêmes vers la ionosphère supérieure, mais aussi qu'ils deviennent
capables d'en entraîner d'autres arrachés aux molécules de l'air,
provoquant ainsi une véritable avalanche électronique. Pris dans cet
accélérateur naturel de particules, des masses d'électrons peuvent, après
avoir été accélérées, entraîner l'émission de rayons gamma extrêmement
énergétiques lors de leur décélération dans les dernières couches de
l'atmosphère.
Les enregistrements effectués par un petit satellite beaucoup plus
sensible que le CGRO appelé RHESSI confirment aujourd'hui ce scénario,
avec l'apparition de flashes ultra-énergétiques, et ce principalement dans
les zones tropicales où se déroulent une grosse partie des orages sur
Terre. Les chercheurs ont également profité de RHESSI, lancé en 2002 par
la Nasa et initialement destiné à la détection des rayonnements X et gamma
solaires, pour effectuer une première évaluation de la fréquence de ces
flashes de rayons gamma dans l'atmosphère terrestre. Après trois mois de
mesures, les universitaires californiens de Santa Cruz et de Berkeley
annoncent qu'une cinquantaine au minimum d'entre eux se produisent chaque
jour.
Plusieurs raisons laissent penser que cette production de rayons gamma
terrestres pourrait être beaucoup plus importante. D'une part, il est
possible que RHESSI ne détecte que les faisceaux orientés dans sa
direction, ce qui limiterait fortement le nombre de flashes observables à
un moment donné. D'autre part, les éclairs semblent déclencher l'activité
des énormes accélérateurs de particules stratosphériques par un mécanisme
encore inconnu. Or les éclairs sont beaucoup plus fréquents dans
l'atmosphère terrestre, environ 44 par seconde, et selon les chercheurs
les flashes de rayons gamma terrestres pourraient théoriquement être aussi
nombreux.
Que deviennent les électrons extrêmement accélérés du faisceau qui n'ont
pas rencontré de molécules de l'air sur leur passage ? Ils pourraient être
captés par la ceinture du champ magnétique terrestre, la magnétosphère, et
suivre ses lignes de champ sur des milliers de kilomètres. Leur retour
dans l'atmosphère à des vitesses proches de celle de la lumière pourrait
également provoquer l'émission de rayons gamma. De vastes mais brefs
faisceaux d'électrons pourraient ainsi jaillir sur des distances de
plusieurs kilomètres à l'occasion des orages, et les chercheurs étudient
maintenant les conditions qui permettraient de les observer par satellite.
Les astrophysiciens découvrent ainsi que notre modeste Terre produit en
permanence et à leur insu des rayonnements dignes par leur énergie des
plus grosses étoiles ou trous noirs de l'univers. L'objectif des
chercheurs est maintenant de comprendre leur relation avec les
spectaculaires manifestations électriques de l'atmosphère que sont les
éclairs et à une altitude plus élevée les farfadets rouges et les jets
bleus. Bien haut dans les cieux, une nouvelle physique des hautes énergies
est en train d'apparaître.
*
Umran Inan, chercheur à l'université de Stanford (Californie), a publié
un article dans le dernier numéro de la revue internationale Science (18
février 2005), éditée par l'Association américaine pour l'avancement des
sciences (AAAS).
Source : Article traduit et édité par
Pierre Kaldy pour Le Figaro. Internet :
www.aaas.org et
www.scienceonline.org
Où l'on reparle de Haarp
-
L'armée américaine,
HAARP et les
aurores boréales (pdf)
-
HAARP projet
controversé (pdf)
-
Voir " LES ANGES NE JOUENT PAS DE
CETTE HAARP" de Jeane Manning et le Dr Nick Begich (Edition Louise
Courteau), livre traduit par notre amie Liliane Roth , également
traductrice du livre de Jeane Manning " ENERGIE LIBRE ET TECHNOLOGIES A la
Recherche de l'Energie Libre "
Le Dr Nick Begich est médecin ; il
est aussi un écologiste de renommée internationale. Jeane Manning est une
journaliste indépendante, spécialisée dans les recherches sur les énergies
non conventionnelles.
Angels Don't Play this HAARP (High-frequency Active Auroral Research
Project : Programme de recherches sur les hautes fréquences de
l'ionosphère et des aurores boréales) est un livre qui fait grand bruit
aux États-Unis, parce qu'il révèle, sur la base de données sérieuses, les
applications occultes du projet HAARP. Le fruit de l'enquête des auteurs a
été corroboré par d'autres scientifiques comme le Prof. Zielinski,
physicien allemand, spécialisé en électrodynamique quantique, et le Dr
Richard Williams, chimiste américain.
Le but du projet HAARP est d'étudier, de stimuler et de diriger des
processus ionosphériques susceptibles d'altérer l'efficacité des systèmes
de communication et de surveillance, de générer un bouclier protecteur
global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou
conventionnelles et de les traiter de façon adéquate. HAARP déploiera
l'installation la plus polyvalente et la plus performante du monde
concernant les recherches sur l'ionosphère. Cependant, elle doit
absolument être montée sur le territoire américain, en terrain militaire,
entre 61° et 65° de latitude nord ou sud. Avec l'aboutissement de ce
projet, les Américains pourront rendre LEUR système de communication quasi
inviolable. Aucune répercussion sur le climat ou la couche d'ozone ? C'est
juré, paroles de militaires ! Voilà pour la version officielle !
Un document de l'Armée américaine nous apprend que : S'il faut porter une
attention soutenue à l'affaiblissement des performances humaines, avec des
moyens thermiques et électromagnétiques, il va falloir explorer les
possibilités de diriger et d'interroger le fonctionnement mental, en
utilisant des champs externes. Cela pourrait ouvrir une voie
révolutionnaire pour se défendre contre les attaques ennemies et obtenir
des renseignements avant le déclenchement des hostilités… Il semble donc
que l'objectif de la recherche de HAARP est la manipulation mentale à
distance. Ce qui permet à l'Armée, non seulement d'altérer le processus de
penser, mais aussi de savoir ce que pensent les gens !!
Ce nouveau système a donc la capacité de pousser les cerveaux humains à
disjoncter, de couper le réseau de communication de n'importe quelle
grande ville du monde, de manipuler et de modifier le climat à l'échelle
planétaire (regardez donc par la fenêtre…) et, par ailleurs, de porter
atteinte à notre santé (surtout au système nerveux) et aux écosystèmes.
Est-ce de la science-fiction ? Depuis combien de temps l'Armée mène-t-elle
ce type de recherches, pour qu'il soit maintenant permis de divulguer de
telles informations dans un document accessible au grand public ? Est-il
possible que l'Armée ait tranquillement développé ses technologies
derrière le voile du secret ?
Nous prennent-ils pour des canards sauvages qui auraient perdu le sens de
leur migration vers le sud ?
Vive
le vent ! vive le vent !...

Dr. Andy Knight et son modèle de
turbine
A l'Université d'Alberta (Canada)
des ingénieurs ont fait un générateur simple, fiable, qui exploite
l'énergie de vents à faible vitesse mais avec un gain électrique plus
élevé que les appareils concurrents et qui coûtera moins cher
Les appareils actuels coûtent environ 2400
dollars et produisent en une journée (c'est une moyenne) 5,2 kwH .
Au Canada, la consommation d'une habitation de taille moyenne est de 34 à
67 kwH/jour. Il leur faut des vitesses de vent de 18 km/h minimum alors
que l'appareil du Dr Knight peut être utilisé dans des endroits où les
vents moyens sont à 10 km/h.
Certes ces générateurs même coûteux sont intéressants pour donner de
l'énergie dans des endroits isolés.
Les problèmes classiques de
l'éolien sont toujours le coût élevé et le faible retour sur
investissement, et particulièrement pour les petits générateurs. L'énergie
perdue est d'autant plus importante que les vents sont trop faibles.
Le Dr. Andy Knight est professeur d'ingénierie électrique et
informatique auteur d'un article récemment publié dans les transactions de IEEE sur la conversion d'énergie.
Il est ici avec son système, facile à utiliser et à entretenir, qui peut
être fabriqué à moindre coût avec des composants électroniques peu onéreux
et courants. C'est peut-être un appareil qui
peut fournir un petit changement, mais c'est probablement l'addition de ces
petits changements ici et là qui feront qu'un jour ils auront un impact
important.
Knight et ses collègues n'en sont
pas encore à commercialiser leur appareil, ils le testent sérieusement
pour l'améliorer avant de déposer une application de brevet.
http://www.eurekalert.org/pub_releases/2005-07/uoa-rma071805.php
D'Ouest en Est ...
Une
visite chez John Hutchison
(16.09.2005)
http://www.americanantigravity.com/
Harold Berndt (agent immobilier de
son état depuis 20 ans) est un fervent auditeur d'émissions de radio, comme
celle de Tim Ventura, et un participant à CSETI (projet de divulgation). Il
s'est trouvé de faire partie d'un groupe de visiteurs du fameux
laboratoire de John Hutchison. Il y avait entre autres ce jour là
Tim Ventura qui réalisait l'interview, Mike Shafer
diplômé de Cornell et directeur chez Microsoft, et Colby Harper.
John ne peut certainement pas
recevoir de groupes plus importants, ses visiteurs étaient tassés
dans la cuisine, enfin plutôt son laboratoire -
appartement occupé à 10% avec le strict minimum ménager.

Harold raconte combien il a été
impressionné par John, pour lui, c'est un génie, très humble, menant une vie toute simple.
Ils se sont remémorés tous les
deux des histoires de leur jeunesse car Harold a grandi à Vancouver.
Harold s'est mis à lui décrire un
lieu rêvé où des inventeurs, des physiciens, et des bricoleurs en général
pourraient aller pour pouvoir tester leurs théories. En général, cette
absence de lieu adéquat touche les inventeurs marginaux. Et on imagine la
réaction de John quand il lui a parlé de ça !
"Il était comme un
poisson sur un pont de bateau à qui on propose de le remettre à l'eau ! " dit
Harold.
Cette idée de nouveau laboratoire
permettant à des technologies alternatives de progresser est dans l'air du
temps pour Harold. On en est seulement au début, il devrait en donner des
nouvelles...à suivre...
Quanthomme : on s'est si souvent
demandé comment, depuis toutes ces années, John n'avait pas eu la chance
que quelqu'un ou un groupe réussisse à lui trouver un logement plus isolé,
qui conviendrait mieux aux effets de ses expériences et surtout avec de
la place pour son laboratoire...il serait bien temps que ce projet de
Harold Berndt aboutisse...
http://quanthomme.free.fr/energielibre/convertisseurs/SPM2.htm
Le convertisseur
d'énergie magnétique (MEC)
de
Sergei
Roschin et Vladimir Godin

C'est un des projets soutenus par IRI,
Integrity
Research Institute, 1220 L St. NW, Ste. 100-232, Washington, DC 20005,
dirigé par
Thomas Valone.
Ces deux chercheurs ont fait
savoir en juin 2000 au Ministère de l'Energie américain qu'il y aurait
besoin d'avis d'experts pour comprendre le phénomène expérimental provenant
d'une expérimentation de leur convertisseur, basé sur le SEG (Searl
Effect Generator) et l'IGV "Inverse Gravity Vehicle" développés en
1946 par John Searl.. L'article a été publié peu de temps après dans
Technical Physics Letters (Vol. 26, No. 24, p. 70) et le Ministère l'a
fait circuler auprès d'un certain nombre de personnes, des gens choisis
dans ce domaine de recherche.
L'appareil expérimental est
stupéfiant
- il n'a besoin seulement que d'un moteur de démarrage qui
devient autonome à 300 tours/minute
- il produit une perte de poids de l'ordre de 35 %
- il a besoin de 5-7 kw d'énergie extraite pour l'empêcher de s'emballer
- à cause de lui la température du voisinage baisse de 6 à 8 degrés C
- il crée des zones magnétiques anormales jusqu'à 15 mètres autour de lui
- on voit autour de lui des barres lumineuses horizontales inexpliquées
quand il est chargé à 20 kV de haut voltage
Cette avancée russe, est une conception plus simple
du SEG et qui vérifie bien plus
de choses que celles se trouvant dans la littérature sur le SEG.
Les applications potentielles de ce procédé sont nombreuses, et
particulièrement dans le domaine des transports, y compris aériens.
IRI souhaite bien entendu que des investisseurs se présentent ...
Voir
http://jnaudin.free.fr/html/fepmenu.htm et http://www.rialian.com/rnboyd/godin-roschin.htm
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