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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 13/09/2005  

 

Entre terre et ciel

Eclairs - Rayons gamma - Haarp - Générateur éolien - Chez John Hutchison - MEC Roschin-Godin

  Electricité : Lumière sur les éclairs

par Frédéric Lewino

" Orage, ô désespoir, une grande partie de ce qu'on a pu nous raconter sur la formation des éclairs se révèle faux. S'il est vrai que la décharge électrique à l'origine du flash de lumière s'élance d'une zone du cumulo-nimbus chargée négativement vers une autre chargée positivement (dans le nuage ou sur le sol), en revanche, l'ionisation naturelle du nuage est reconnue largement insuffisante pour permettre le passage de l'éclair. Selon le magazine Newsweek, le Russe Alexis Gurevitch aurait été le premier à soupçonner la « vraie » vérité : à savoir que la très forte ionisation nécessaire serait déclenchée par les rayons cosmiques qui arrosent en permanence la Terre ! Quand ceux-ci heurtent de plein fouet une molécule d'air, il l'ionise tout en éjectant illico presto un électron très énergétique. Ce dernier heurte à son tour une molécule d'air qui s'ionise elle aussi en perdant un électron. De fil en aiguille, ce phénomène en cascade ionise fortement une partie du nuage, permettant ainsi la charge héroïque de l'éclair. Récemment, Charlie Moore, de l'Institut des mines et de technologie du Nouveau-Mexique, a apporté la preuve de l'existence de ce phénomène en détectant les rayons X émis par la collision des rayons cosmiques. D'autres expériences in situ menées depuis l'été dernier confirment définitivement l'origine céleste des éclairs. C'est lumineux !"

 

Des bouffées de rayons gamma dans l'atmosphère de la Terre

 

On pensait le phénomène réservé au lointain cosmos . La production de rayonnements extrêmement énergétiques n'est pas l'apanage d'étoiles géantes qui explosent : la Terre aussi, à sa modeste échelle, est une source de rayons gamma. Et celle-ci s'avère bien plus importante que prévue selon les dernières observations du satellite RHESSI (Reuven Ramaty High Energy Solar Spectroscopic Imager) publiées dans la revue Science. Umran Inan * (22 février 2005)

En 1994, un satellite observant les rayons gamma dans l'univers, le CGRO (Compton Gamma-Ray Observatory), détecte des flashes de rayonnement gamma dont la particularité est d'être extrêmement brefs, quelques millisecondes tout au plus, et de très haute énergie. À la surprise des astrophysiciens, ces étincelles ne proviennent pas du lointain cosmos mais de la Terre que survole le satellite. La très forte énergie de ce rayonnement gamma, avec des photons ayant jusqu'à 20 millions d'électronvolts, pouvait provenir de l'interaction avec la haute atmosphère d'électrons portés à des vitesses extrêmes, très proches de celles de la lumière.

L'explication de ce phénomène atmosphérique s'est faite en deux temps. Les scientifiques se sont d'abord aperçu que les flashes de rayons gamma coïncidaient avec les orages, plus précisément avec le déclenchement des éclairs, ces énormes décharges électriques entre la Terre et l'atmosphère. Puis des modélisations informatiques ont pu prédire que d'intenses champs électriques pouvaient se développer au-dessus de ces nuages d'orage entre 20 et 80 km d'altitude. Avec l'énorme différence de potentiel développée sur cette hauteur, 30 millions de volts, on pouvait envisager non seulement que les électrons puissent être accélérés à des vitesses extrêmes vers la ionosphère supérieure, mais aussi qu'ils deviennent capables d'en entraîner d'autres arrachés aux molécules de l'air, provoquant ainsi une véritable avalanche électronique. Pris dans cet accélérateur naturel de particules, des masses d'électrons peuvent, après avoir été accélérées, entraîner l'émission de rayons gamma extrêmement énergétiques lors de leur décélération dans les dernières couches de l'atmosphère.

Les enregistrements effectués par un petit satellite beaucoup plus sensible que le CGRO appelé RHESSI confirment aujourd'hui ce scénario, avec l'apparition de flashes ultra-énergétiques, et ce principalement dans les zones tropicales où se déroulent une grosse partie des orages sur Terre. Les chercheurs ont également profité de RHESSI, lancé en 2002 par la Nasa et initialement destiné à la détection des rayonnements X et gamma solaires, pour effectuer une première évaluation de la fréquence de ces flashes de rayons gamma dans l'atmosphère terrestre. Après trois mois de mesures, les universitaires californiens de Santa Cruz et de Berkeley annoncent qu'une cinquantaine au minimum d'entre eux se produisent chaque jour.

Plusieurs raisons laissent penser que cette production de rayons gamma terrestres pourrait être beaucoup plus importante. D'une part, il est possible que RHESSI ne détecte que les faisceaux orientés dans sa direction, ce qui limiterait fortement le nombre de flashes observables à un moment donné. D'autre part, les éclairs semblent déclencher l'activité des énormes accélérateurs de particules stratosphériques par un mécanisme encore inconnu. Or les éclairs sont beaucoup plus fréquents dans l'atmosphère terrestre, environ 44 par seconde, et selon les chercheurs les flashes de rayons gamma terrestres pourraient théoriquement être aussi nombreux.

Que deviennent les électrons extrêmement accélérés du faisceau qui n'ont pas rencontré de molécules de l'air sur leur passage ? Ils pourraient être captés par la ceinture du champ magnétique terrestre, la magnétosphère, et suivre ses lignes de champ sur des milliers de kilomètres. Leur retour dans l'atmosphère à des vitesses proches de celle de la lumière pourrait également provoquer l'émission de rayons gamma. De vastes mais brefs faisceaux d'électrons pourraient ainsi jaillir sur des distances de plusieurs kilomètres à l'occasion des orages, et les chercheurs étudient maintenant les conditions qui permettraient de les observer par satellite.

Les astrophysiciens découvrent ainsi que notre modeste Terre produit en permanence et à leur insu des rayonnements dignes par leur énergie des plus grosses étoiles ou trous noirs de l'univers. L'objectif des chercheurs est maintenant de comprendre leur relation avec les spectaculaires manifestations électriques de l'atmosphère que sont les éclairs et à une altitude plus élevée les farfadets rouges et les jets bleus. Bien haut dans les cieux, une nouvelle physique des hautes énergies est en train d'apparaître.
 

* Umran Inan, chercheur à l'université de Stanford (Californie), a publié un article dans le dernier numéro de la revue internationale Science (18 février 2005), éditée par l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS).

Source : Article traduit et édité par Pierre Kaldy pour Le Figaro. Internet : www.aaas.org  et www.scienceonline.org

 

 Où l'on reparle de Haarp

  • L'armée américaine, HAARP et les aurores boréales (pdf)

  • HAARP projet controversé (pdf)

  • Voir " LES ANGES NE JOUENT PAS DE CETTE HAARP"  de Jeane Manning et le Dr Nick Begich (Edition Louise Courteau), livre traduit par notre amie Liliane Roth , également traductrice du livre de Jeane Manning " ENERGIE LIBRE ET TECHNOLOGIES A la Recherche de l'Energie Libre "

 

  • Extrait de notre notre nouvelle du 19.05. 2003 parue dans notre site quanthomme.org)

 

Le Dr Nick Begich est médecin ; il est aussi un écologiste de renommée internationale. Jeane Manning est une journaliste indépendante, spécialisée dans les recherches sur les énergies non conventionnelles.
Angels Don't Play this HAARP (High-frequency Active Auroral Research Project : Programme de recherches sur les hautes fréquences de l'ionosphère et des aurores boréales) est un livre qui fait grand bruit aux États-Unis, parce qu'il révèle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet HAARP. Le fruit de l'enquête des auteurs a été corroboré par d'autres scientifiques comme le Prof. Zielinski, physicien allemand, spécialisé en électrodynamique quantique, et le Dr Richard Williams, chimiste américain.
Le but du projet HAARP est d'étudier, de stimuler et de diriger des processus ionosphériques susceptibles d'altérer l'efficacité des systèmes de communication et de surveillance, de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou conventionnelles et de les traiter de façon adéquate. HAARP déploiera l'installation la plus polyvalente et la plus performante du monde concernant les recherches sur l'ionosphère. Cependant, elle doit absolument être montée sur le territoire américain, en terrain militaire, entre 61° et 65° de latitude nord ou sud. Avec l'aboutissement de ce projet, les Américains pourront rendre LEUR système de communication quasi inviolable. Aucune répercussion sur le climat ou la couche d'ozone ? C'est juré, paroles de militaires ! Voilà pour la version officielle !
Un document de l'Armée américaine nous apprend que : S'il faut porter une attention soutenue à l'affaiblissement des performances humaines, avec des moyens thermiques et électromagnétiques, il va falloir explorer les possibilités de diriger et d'interroger le fonctionnement mental, en utilisant des champs externes. Cela pourrait ouvrir une voie révolutionnaire pour se défendre contre les attaques ennemies et obtenir des renseignements avant le déclenchement des hostilités… Il semble donc que l'objectif de la recherche de HAARP est la manipulation mentale à distance. Ce qui permet à l'Armée, non seulement d'altérer le processus de penser, mais aussi de savoir ce que pensent les gens !!
Ce nouveau système a donc la capacité de pousser les cerveaux humains à disjoncter, de couper le réseau de communication de n'importe quelle grande ville du monde, de manipuler et de modifier le climat à l'échelle planétaire (regardez donc par la fenêtre…) et, par ailleurs, de porter atteinte à notre santé (surtout au système nerveux) et aux écosystèmes. Est-ce de la science-fiction ? Depuis combien de temps l'Armée mène-t-elle ce type de recherches, pour qu'il soit maintenant permis de divulguer de telles informations dans un document accessible au grand public ? Est-il possible que l'Armée ait tranquillement développé ses technologies derrière le voile du secret ?
Nous prennent-ils pour des canards sauvages qui auraient perdu le sens de leur migration vers le sud ?

 

 Vive le vent ! vive le vent !...

Dr. Andy Knight et son modèle de turbine

A l'Université d'Alberta (Canada) des ingénieurs ont fait un générateur simple, fiable, qui exploite l'énergie de vents à faible vitesse mais avec un gain électrique plus élevé que les appareils concurrents et qui coûtera moins cher 

Les appareils actuels coûtent environ 2400 dollars et produisent en une journée (c'est une moyenne) 5,2 kwH . Au Canada, la consommation d'une habitation de taille moyenne est de 34 à 67 kwH/jour. Il leur faut des vitesses de vent de 18 km/h minimum alors que l'appareil du Dr Knight peut être utilisé dans des endroits où les vents moyens sont à 10 km/h.
Certes ces générateurs même coûteux sont intéressants pour donner de l'énergie dans des endroits isolés.

Les problèmes classiques de l'éolien sont toujours le coût élevé et le faible retour sur investissement, et particulièrement pour les petits générateurs. L'énergie perdue est d'autant plus importante que les vents sont trop faibles.

Le Dr. Andy Knight est professeur d'ingénierie électrique et informatique auteur d'un article récemment publié dans les transactions de IEEE sur la conversion d'énergie. Il est ici avec son système, facile à utiliser et à entretenir, qui peut être fabriqué à moindre coût avec des composants électroniques peu onéreux et courants. C'est peut-être un appareil qui peut fournir un petit changement, mais c'est probablement l'addition de ces petits changements ici et là qui feront qu'un jour ils auront un impact important.

Knight et ses collègues n'en sont pas encore à commercialiser leur appareil, ils le testent sérieusement pour l'améliorer avant de déposer une application de brevet.

http://www.eurekalert.org/pub_releases/2005-07/uoa-rma071805.php

 

D'Ouest en Est ...

 

Une visite chez John Hutchison (16.09.2005)

http://www.americanantigravity.com/

Harold Berndt (agent immobilier de son état depuis 20 ans) est un fervent auditeur d'émissions de radio, comme celle de Tim Ventura, et un participant à CSETI (projet de divulgation). Il s'est trouvé de faire partie d'un groupe de visiteurs du fameux laboratoire de John Hutchison. Il y avait entre autres ce jour là Tim Ventura qui réalisait l'interview, Mike Shafer diplômé de Cornell et directeur chez  Microsoft, et Colby Harper.

John ne peut certainement pas recevoir de groupes plus importants, ses visiteurs étaient tassés dans la cuisine, enfin plutôt son laboratoire - appartement occupé à 10% avec le strict minimum ménager.

 

Harold raconte combien il a été impressionné par John, pour lui, c'est un génie, très humble, menant une vie toute simple.

Ils se sont remémorés tous les deux des histoires de leur jeunesse car Harold a grandi à Vancouver.

Harold s'est mis à lui décrire un lieu rêvé où des inventeurs, des physiciens, et des bricoleurs en général pourraient aller pour pouvoir tester leurs théories. En général, cette absence de lieu adéquat touche les inventeurs marginaux. Et on imagine la réaction de John quand il lui a parlé de ça ! "Il était comme un poisson sur un pont de bateau à qui on propose de le remettre à l'eau ! " dit Harold.

Cette idée de nouveau laboratoire permettant à des technologies alternatives de progresser est dans l'air du temps pour Harold. On en est seulement au début, il devrait en donner des nouvelles...à suivre...

Quanthomme : on s'est si souvent demandé comment, depuis toutes ces années, John n'avait pas eu la chance que quelqu'un ou un groupe réussisse à lui trouver un logement plus isolé, qui conviendrait mieux aux effets de ses expériences et surtout avec de la place pour son laboratoire...il serait bien temps que ce projet de Harold Berndt aboutisse...

http://quanthomme.free.fr/energielibre/convertisseurs/SPM2.htm

 

 Le convertisseur d'énergie magnétique (MEC)

de Sergei Roschin et Vladimir Godin

 

C'est un des projets soutenus par IRI, Integrity Research Institute, 1220 L St. NW, Ste. 100-232, Washington, DC 20005, dirigé par Thomas Valone.

Ces deux chercheurs ont fait savoir en juin 2000 au Ministère de l'Energie américain qu'il y aurait besoin d'avis d'experts pour comprendre le phénomène expérimental provenant d'une expérimentation de leur convertisseur, basé sur le SEG  (Searl Effect Generator) et  l'IGV "Inverse Gravity Vehicle" développés en 1946 par John Searl.. L'article a été publié peu de temps après dans Technical Physics Letters (Vol. 26, No. 24, p. 70) et le Ministère l'a fait circuler auprès d'un certain nombre de personnes, des gens choisis dans ce domaine de recherche.

L'appareil expérimental est stupéfiant

- il n'a besoin seulement que d'un moteur de démarrage qui devient autonome à 300 tours/minute
- il produit une perte de poids de l'ordre de 35 %
- il a besoin de 5-7 kw d'énergie extraite pour l'empêcher de s'emballer
- à cause de lui la température du voisinage baisse de 6 à 8 degrés C
- il crée des zones magnétiques anormales jusqu'à 15 mètres autour de lui
- on voit autour de lui des barres lumineuses horizontales inexpliquées quand il est chargé à 20 kV de haut voltage

Cette avancée russe, est une conception plus simple du SEG et qui vérifie bien plus de choses que celles se trouvant dans la littérature sur le SEG.

Les applications potentielles de ce procédé sont nombreuses, et particulièrement dans le domaine des transports, y compris aériens.
IRI souhaite bien entendu que des investisseurs se présentent ...

Voir http://jnaudin.free.fr/html/fepmenu.htm et  http://www.rialian.com/rnboyd/godin-roschin.htm