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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 25/02/2005 et accessible aussi par www.quanthomme.com
Quelques informations et adresses1 - Vallée-Naudin (suite)
1- Le générateur
synergétique de Vallée par Jean-Louis Naudin http://jlnlabs.imars.com/vsg/index.htm Nous vous recommandons de suivre les reportages photos de Jean-Louis directement sur son site. Nous ne pouvons pas ajouter de nouvelles quasi quotidiennes dans nos pages. Mais ne
vous privez d’une visite en direct sur son site sous prétexte que les
comptes rendus sont en anglais, les schémas, photos et tableaux parlent
d’eux-mêmes. Depuis le 6 février, les expériences sur le VSG se succèdent et leurs résultats s‘améliorent à chaque fois. Les résultats des tests du VSG v3.1 sont très encourageants avec un rendement énergétique de 253% : http://jlnlabs.imars.com/vsg/vsg31.htm « La version
précédente (v3.0) avait été un peu décevante car j'avais remplacé la
bobine d'alignement par une bobine courte (provenant d'un simple relais)
mais avec plus de spires : les résultats avec/sans champ magnétique était
~100%.
De plus Jean-Louis publie un certain nombre de textes en français TRES INTERESSANTS, extraits de différents numéros de "Synergétique" dont voici les liens directs Le Vide producteur d'énergie -
Captation de l'énergie diffuse La gravitation et la radioactivité,
actions des milieux sur la matière. Les certitudes du modèle
"Synergétique" et le principe d'incertitude de "Heisenberg" Document sur un incident très
instructif sur le Tokamak... Sur son site, Franck Vallée publie
des documents accessibles à tous les internautes intéressés par le sujet
Synergétique. Pour ceux qui se souviennent que Eric d’Hoker avait tenté une expérimentation basée sur la synergétique de Vallée
http://personnel.physics.ucla.edu/directory/faculty/index.php?f_name=dhoker 2 - Alimenter des appareils électriques avec l’énergie extraite de l’atmosphère. Brevet US de Lloyd R. Crump
2.812.242 12 novembre 1957 L’auteur du brevet annonce dès le
départ qu’il offre son invention au gouvernement. Le système de Crump permet de faire
fonctionner des circuits et appareils électroniques utilisant des
transistors et peu gourmands en énergie . L’énergie extraite de
l’atmosphère (qui peut provenir de fréquences radio reçues d’un ou
plusieurs émetteurs) est suffisante pour alimenter de manière autonome par
exemple un récepteur radio à transistor qui peut ainsi fonctionner sans
piles.
3 - Un système
permettant d’extraire l’électricité de l’atmosphère par Hermann Plauson Images et texte complet sur le
site de B.A. Perreault
4 - Un brevet de Westlund n° 5.949.176 décrit comment les éclairs sont produits et pourquoi la seconde loi de la thermodynamique n’est pas valable. research@westlundtech.com Texte complet de l’information
passée entre autres au 2 juillet 2004 sur Dans un dossier d’une quarantaine de pages, avec schémas, les expériences menées par Westlund montrent qu’une chaleur ambiante à température constante peut être convertie directement en électricité. Pour l’instant ils ne réalisent que de faibles quantités d’énergie. Mais partant de là ils estiment qu’il doit être possible de construire un appareil qui ferait cette conversion de manière économique et que cela n’engagerait que de petites équipes et des sommes raisonnables. Le rapport Westlund contient un
autre système apparenté celui de Boyd B. Bushmann 5 - Une histoire
des carburateurs à vapeur Le texte complet sur http://www.keelynet.com/ Au 31 janvier 1999, un article de
Robert Félix sur l’histoire des carburateurs à vapeur Robert Félix donne dans son article une liste de plus de 500 brevets US (569) utilisant la chaleur et l’action mécanique pour vaporiser l’essence. Les brevets US concernant les carburateurs à vapeur sont placés dans la classe 123 qui correspond aux moteurs à combustion interne. La sous classe 545 correspond à un type de carburateur qui vaporise l’essence avec un échangeur de chaleur. La plupart de ces brevets se servent à cette fin de la chaleur des gaz d’échappement. Plusieurs carburateurs de ce genre ont été commercialisés dans la première moitié du XX ème siècle. En 1923 la Société Stewart Warner commercialisait un système de carburateur vaporiseur fonctionnant avec échangeur de chaleur favorablement décrit dans la littérature de l’époque ce qui est normal puisqu'il éliminait la formation de carbone. En 1924 des ingénieurs de Chicago produisaient et vendaient un vaporiseur utilisant la chaleur de l’échappement pour vaporiser l’essence, et constataient une réduction de CO, le carburant étant même plus efficace. En 1925 à Canton (Ohio), un autre vaporiseur annonçait ceci : « le carburant est vaporisé, non pas par le contact avec la zone très chaude et relativement petite, ce qui produit souvent un cracking, mais grâce à une action différentielle qui enlève en premier les constituants les plus légers et amène ensuite en contact ce qui reste avec des surfaces à température élevée jusqu’à ce qu’il soit aussi vaporisé ». On trouve un certain Holley en 1925 sur tracteurs Fordson, et R. Covey brevet US 4,611,567, et Voight avec son brevet 2,733,698, et Spindler le 2,185,573 etc. Les fermiers du monde entier connaissaient le vaporiseur Holley qui était, selon un rapport d'une Instituion d'Ingénieurs en Mécanique, largement utilisé en Angleterre en 1962. Il y a aussi, bien entendu, le très bon carburateur de Charles Nelson Pogue de Winnipeg (Canada ) : brevets 1,750,354 et 1,997,497 et aussi 2,026,798. Le carburateur Pogue (dont nous avons déjà un peu parlé dans notre site de base) utilisait les gaz d’échappement comme source de chaleur. A pleine charge il permettait d’économiser la moitié ou le tiers de la consommation normale. Il était monté sur des tracteurs et autres véhicules à la fin des années 1930. Et on dit que c’est grâce aux gains en autonomie doublés sur les chars américains que l’Afrika Korps du Général Irwin Rommel a perdu la bataille en Afrique du Nord (le carburateur Pogue était alors préservé par le secret défense) Par la suite, un échangeur de chaleur du type système à vapeur a été produit aux USA et au Canada. En 1936, Fiat sortait le 'Naftoil'
conçu pour le fuel lourd, et composé en fait de 2 carburateurs l’un
démarrant à l’essence et une fois le moteur assez chaud on passait sur le
carburateur à vaporisateur. On peut aussi réchauffer le collecteur d’entrée ce qui évite aux vapeurs d’essence de se condenser, voir le brevet de General Motors n° 3,892,214. Les gouvernements américains et anglais possèdent des brevets sur les vapeurs d’essence, exemple le n° US 3,640,256 inventé par George M. Low en 1970 et détenu par la NASA. C. Findlay, un anglais a obtenu un brevet sur un vaporiseur attribué à … Shell Tous ces systèmes inconnus du public ne fonctionnent pas avec de l’essence contenant des additifs au plomb ou des détergents... Les constructeurs automobiles ont fait des prototypes et travaillé sur ce genre de carburateurs depuis la crise pétrolière des années 1970, mais les grands médias n'en ont pas informé le public. (ndlr : ça vous étonne ?!) Aux USA en 1958-1960, suite à une
demande faite selon le FOIA (Loi sur la Liberté d’information) le Bureau
National des Standards, avec approbation du Congrès, a détruit
certaines archives de tests après les avoir conservées pendant 20 ans. Petit supplément extrait d’un de nos documents « Le carburateur » de René Bardin - Librairie centrale des sciences (1929) Système de réchauffage de carburant de Salmson
On peut
remarquer des similarités entre le système de PMC Pantone et ce système
Salmson… Comme Bruce de Palma disait pour sa ‘’N Machine’’: « Par rapport à la dynamo unipolaire de Faraday et à son moteur, la ‘’N machine’’ consiste simplement en la rotation des aimants en même temps que les disques. » Donc, il ne manquait pas grand chose entre la machine de Faraday et des systèmes type ''N Machine'' tout comme il ne manque pas grand chose entre le PMC Pantone et le réchauffeur monté sur Salmson. Depuis, au moins 1929, le système de réchauffage : carburateur Zénith monté sur le moteur d'avion Salmson (système Canton-Unné) et réalisé très simplement comme le montre le schéma ci-dessus, aurait pu être utilisé largement. Il aurait certainement été perfectionné pour s'adapter aux véhicules de série des constructeurs automobiles, ce qui aurait permis de faire des économies substantielles de carburant et surtout de ne pas amener la planète et ses habitants à subir le taux de pollution actuelle.
6 -
Des pompes spéciales Au XVII ème siècle Torricelli avait découvert qu’il n’y avait pas de pompe, en tout cas celles qui sont basées sur l’effet de succion, capables de fonctionner à plus de 33,9 pieds au niveau de la mer sous une pression de une atmosphère. Pour des puits plus profonds il faut un piston ou tout autre système de compression pour que l’eau monte, cet appareil étant ancré au bas du tuyau à la profondeur maximale. Ces pompes spéciales ne sont pas financièrement accessibles aux nombreux pays du tiers monde. Mais selon Bellocq, dans son brevet US 1.730.337 « Le système
permet de travailler à n’importe quelle profondeur pourvu que la pression
ait été bien calculée, les pistons peuvent être plus petits et bénéficier
de l’effet de transformation de l’onde ou de l’impulsion. Ainsi, un piston
avec un déplacement donné, sous une pression donnée sera capable d’élever
à chaque coup un volume de liquide plusieurs fois supérieur au même
déplacement mais sous une pression plusieurs fois inférieure…. Dans ses brevets suivants Bellocq montre une utilisation pratique de la vieille analogie électricité - fluide comme le croyaient Tesla et les scientifiques du XIX ème siècle. Le voltage est analogue à la pression et le courant ou l’ampérage à la quantité de flux d’eau. Il traite de cela dans son brevet US 1.941.593. Les ondes de compression se déplaçant dans un liquide sont plus ou moins contrôlées ou fonctionnent selon les lois qui gouvernent le courant alternatif. Les courbes de pression et les flux de telles ondes sont analogues aux courbes de voltage et d’ampérage du courant électrique en ce sens que la différence et la phase peuvent déterminer la valeur de l’onde. L’inertie, la capacité, la résistance, la friction ou les fuites dans un système liquide correspondent plus ou moins à l’induction, la capacité, la résistance, et les pertes en électricité. Les ondes de compression dans le liquide d’un système de pompage sont quelque part analogues aux ondes sonores. Par conséquent, par commodité, pour les ondes qui modifient le liquide de la pompe on peut faire référence à des éléments acoustiques. Ce terme étant alors relatif à un élément modifiant les ondes de compression dans le liquide et plus ou moins en accord avec les lois des ondes sonores dans le liquide. Dans le brevet US 1.730.336 Bellocq parle de son système comme étant un circuit résonant dont la fréquence de résonance dans la gamme audio est déterminée par la longueur du tuyau A et du compresseur C qui fournit les oscillations. Une soupape V (remplaçant la pompe submersible traditionnelle) est au fond du tuyau. Si une fréquence des coups de compression du compresseur C est équivalente à la longueur d’onde du tuyau, une onde stationnaire s’établira. Si le nœud N de l’onde stationnaire tombe sur la soupape V elle fonctionnera. Le nœud N est réglé pour tomber sur la soupape V grâce aux changements de fréquences en cycles/secondes du compresseur. Quand l’eau rebondit, il va y voir une aspiration dans une certaine quantité d’eau du puits et un déplacement de l’eau vers le haut du tuyau. Une fois ce rebondissement terminé, la soupape V se ferme ce qui empêche à la colonne d’eau du tuyau A de sortir par le fond. Ce fonctionnement ne vient pas contredire la loi de Torricelli. Comme la pompe de puits artésien classique dont le mécanisme est au fond du puits cela pousse l’eau vers le haut mais en utilisant une onde stationnaire produite par un compresseur C sur la surface pour pousser la colonne d’eau dans le tuyau de bas en haut. Dans les années 1920-1930, les examinateurs des brevets ont demandé à Bellocq une démonstration dûment contrôlée et on a vu fonctionner sa pompe remontant de l’eau de 80 pieds. Il y a d’autres systèmes ressemblant à la pompe de Bellocq. La pompe de Arthur Perry Bentley (de la famille qui a fabriqué les limousines Bentley) qui a un brevet US 4.295.799. La pompe de Jean Pascoe président d’une société de Tucson et qui a un débit de 2 gallons à la minute en utilisant un moteur de 1/5 de CV alimenté par 4 panneaux solaires. 7 -
Un système apparenté au MEG :"Dispositif
statique générateur de courant électrique" Brevet FR2312135 de Paul Marcel
Lucien Galey 17 décembre 1976
http://l2.espacenet.com/dips/bnsviewer?CY=ch&LG=fr&DB=EPD&PN=FR2312135& Deux extraits
Selon Jean-Louis Naudin, ce brevet parait TRES INTERESSANT : clair et bien expliqué, à la lecture il semble que le montage a réellement fonctionné... Des reproductions seraient bien utiles…alors, avis aux amateurs d’électricité et d’électronique, artistes du fer à souder et spécialiste en montages…
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