ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

 Tout le site Quanthomme est accessible par 
www.quanthomme.fr
ou
www.quanthomme.com ou www.quanthomme.org

Retour à l'accueil TOUT Quanthomme Retour à l'accueil de la Partie 2 Retour à la liste des nouvelles   Accès au moteur de recherche

Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 25/02/2005 et accessible aussi par www.quanthomme.com  

 

Quelques informations et adresses

1 - Vallée-Naudin (suite)
2 - Brevet de Crump
3 - Hermann Plauson
4 - Brevet Westlund
5 - Histoire de carburateurs réchauffeurs à vapeur
6 - Pompes de Bellocq
7 - Brevet de Paul Galey

1- Le générateur synergétique de Vallée par Jean-Louis Naudin
 

http://jlnlabs.imars.com/vsg/index.htm

Nous vous recommandons de suivre les reportages photos de Jean-Louis directement sur son site. Nous ne pouvons pas ajouter de nouvelles quasi quotidiennes dans nos pages.

Mais ne vous privez d’une visite en direct sur son site sous prétexte que les comptes rendus sont en anglais, les schémas, photos et tableaux parlent d’eux-mêmes.


 

Depuis le 6 février, les expériences sur le VSG se succèdent et leurs résultats s‘améliorent à chaque fois.

Les résultats des tests du VSG v3.1 sont très encourageants avec un rendement énergétique de 253% : http://jlnlabs.imars.com/vsg/vsg31.htm

« La version précédente (v3.0) avait été un peu décevante car j'avais remplacé la bobine d'alignement par une bobine courte (provenant d'un simple relais) mais avec plus de spires : les résultats avec/sans champ magnétique était ~100%.
Cette nouvelle version v3.1 utilise la bobine de la V2.0, c'est à dire une bobine longue couvrant la totalité du barreau de carbone. J'ai augmenté sa tension d'alimentation et le champ magnétique mesuré avec mon gaussmètre à effet Hall est de 48 gauss. Le champ électrique dans le carbone est de 1214 V/m. Le rayonnement mesuré est plus faible, car cela provient de l'effet de blindage du transfo qui est plus gros. (0.08 -> 0.20 µSv/h) .

C’est actuellement la version 4.1 qui est en cours, elle commence à me donner de bons résultats, il chauffe pas mal et les salves de décharges doivent être bien espacées sous risque de fondre les composants du réacteur... »

 

 

De plus Jean-Louis publie un certain nombre de textes en français TRES INTERESSANTS, extraits de différents numéros de "Synergétique" dont voici les liens directs

Le Vide producteur d'énergie - Captation de l'énergie diffuse
http://jlnlabs.imars.com/vsg/nrjduvide.htm

La gravitation et la radioactivité, actions des milieux sur la matière.
http://jlnlabs.imars.com/vsg/neutrino.htm

Les certitudes du modèle "Synergétique" et le principe d'incertitude de "Heisenberg"
http://jlnlabs.imars.com/vsg/certitudes.htm

Document sur un incident très instructif sur le Tokamak...
http://jlnlabs.imars.com/vsg/nrjduvide.htm

Sur son site, Franck Vallée publie des documents accessibles à tous les internautes intéressés par le sujet Synergétique.

http://franckvallee.free.fr/SYNERGETICS/bulletins/
http://franckvallee.free.fr/SYNERGETICS/tutorial/introduction-1.PDF
http://franckvallee.free.fr/SYNERGETICS/tutorial/introduction-2.PDF

Pour ceux qui se souviennent que Eric d’Hoker avait tenté une expérimentation basée sur la synergétique de Vallée

http://personnel.physics.ucla.edu/directory/faculty/index.php?f_name=dhoker
 


2 - Alimenter des appareils électriques avec l’énergie extraite de l’atmosphère.

Brevet US de Lloyd R. Crump 2.812.242 12 novembre 1957
 

L’auteur du brevet annonce dès le départ qu’il offre son invention au gouvernement.
 

Le système de Crump permet de faire fonctionner des circuits et appareils électroniques utilisant des transistors et peu gourmands en énergie . L’énergie extraite de l’atmosphère (qui peut provenir de fréquences radio reçues d’un ou plusieurs émetteurs) est suffisante pour alimenter de manière autonome par exemple un récepteur radio à transistor qui peut ainsi fonctionner sans piles.
 


 


3 - Un système permettant d’extraire l’électricité de l’atmosphère par Hermann Plauson
 

Images et texte complet sur le site de B.A. Perreault
http://www.nuenergy.org/alt/PlausonMarch1922.htm
 

Cela date de 1922, et l’idée était déjà dans l’air (si on ose dire !) mais les ingénieurs se heurtaient à des difficultés dues à l’électricité statique.

Plauson qui s’est inspiré de plusieurs brevets allemands, décrit dans son rapport comment extraire plusieurs kilowatts d’électricité de l’atmosphère grâce à des ballons, comme il l’a fait en Finlande ou plutôt de façon plus permanente, grâce à une tour, très bien isolée et dont les fils sont à l’abri des intempéries.

Plauson avait également prévu un moteur spécial fonctionnant avec une excitation statique et ne développant aucun champ magnétique.

Une tour comme la tour Eiffel ne pouvait pas convenir à des expériences car elle est mise à la terre.

 


4 - Un brevet de Westlund n° 5.949.176 décrit comment les éclairs sont produits et pourquoi la seconde loi de la thermodynamique n’est pas valable.

research@westlundtech.com

Texte complet de l’information passée entre autres au 2 juillet 2004 sur
http://www.pureenergysystems.com/news/2004/07/02/6900030WestlundtechThermodynamics/index.html

Dans un dossier d’une quarantaine de pages, avec schémas, les expériences menées par Westlund montrent qu’une chaleur ambiante à température constante peut être convertie directement en électricité. Pour l’instant ils ne réalisent que de faibles quantités d’énergie. Mais partant de là ils estiment qu’il doit être possible de construire un appareil qui ferait cette conversion de manière économique et que cela n’engagerait que de petites équipes et des sommes raisonnables.

Le rapport Westlund contient un autre système apparenté celui de Boyd B. Bushmann
Brevet US 5.637 746 10 juin 1997 sur une source d’énergie électrique alimentée par le thermique
 


5 - Une histoire des carburateurs à vapeur
 

Le texte complet sur http://www.keelynet.com/

Au 31 janvier 1999, un article de Robert Félix sur l’histoire des carburateurs à vapeur
(Parascience #2, Winter,1998 ISSN 1464-6935)

Robert Félix donne dans son article une liste de plus de 500 brevets US (569) utilisant la chaleur et l’action mécanique pour vaporiser l’essence.

Les brevets US concernant les carburateurs à vapeur sont placés dans la classe 123 qui correspond aux moteurs à combustion interne. La sous classe 545 correspond à un type de carburateur qui vaporise l’essence avec un échangeur de chaleur.

La plupart de ces brevets se servent à cette fin de la chaleur des gaz d’échappement.

Plusieurs carburateurs de ce genre ont été commercialisés dans la première moitié du XX ème siècle.

En 1923 la Société Stewart Warner commercialisait un système de carburateur vaporiseur fonctionnant avec échangeur de chaleur favorablement décrit dans la littérature de l’époque ce qui est normal puisqu'il éliminait la formation de carbone.

En 1924 des ingénieurs de Chicago produisaient et vendaient un vaporiseur utilisant la chaleur de l’échappement pour vaporiser l’essence, et constataient une réduction de CO, le carburant étant même plus efficace.

En 1925 à Canton (Ohio), un autre vaporiseur annonçait ceci :

« le carburant est vaporisé, non pas par le contact avec la zone très chaude et relativement petite, ce qui produit souvent un cracking, mais grâce à une action différentielle qui enlève en premier les constituants les plus légers et amène ensuite en contact ce qui reste avec des surfaces à température élevée jusqu’à ce qu’il soit aussi vaporisé ».

On trouve un certain Holley en 1925 sur tracteurs Fordson, et R. Covey brevet US 4,611,567, et Voight avec son brevet 2,733,698, et Spindler le 2,185,573 etc.

Les fermiers du monde entier connaissaient le vaporiseur Holley qui était, selon un rapport d'une Instituion d'Ingénieurs en Mécanique, largement utilisé en Angleterre en 1962.

Il y a aussi, bien entendu, le très bon carburateur de Charles Nelson Pogue de Winnipeg (Canada ) :  brevets 1,750,354 et 1,997,497 et aussi 2,026,798. Le carburateur Pogue (dont nous avons déjà un peu parlé dans notre site de base) utilisait les gaz d’échappement comme source de chaleur. A pleine charge il permettait d’économiser la moitié ou le tiers de la consommation normale. Il était monté sur des tracteurs et autres véhicules à la fin des années 1930. Et on dit que c’est grâce aux gains en autonomie doublés sur les chars américains que l’Afrika Korps du Général Irwin Rommel a perdu la bataille en Afrique du Nord (le carburateur Pogue était alors préservé par le secret défense)

Par la suite, un échangeur de chaleur du type système à vapeur a été produit aux USA et au Canada.

En 1936, Fiat sortait le 'Naftoil' conçu pour le fuel lourd, et composé en fait de 2 carburateurs l’un démarrant à l’essence et une fois le moteur assez chaud on passait sur le carburateur à vaporisateur.

Après la crise pétrolière, en 1977 on trouve le ''Electric Fuel Vaporizer'' de Douglas R. Hamburg de chez Ford et son brevet séparé 4,161,931 en 1979.

On peut aussi réchauffer le collecteur d’entrée ce qui évite aux vapeurs d’essence de se condenser, voir le brevet de General Motors n° 3,892,214.

Les gouvernements américains et anglais possèdent des brevets sur les vapeurs d’essence, exemple le n° US 3,640,256 inventé par George M. Low en 1970 et détenu par la NASA.

C. Findlay, un anglais a obtenu un brevet sur un vaporiseur attribué à … Shell

Tous ces systèmes inconnus du public ne fonctionnent pas avec de l’essence contenant des additifs au plomb ou des détergents...

Les constructeurs automobiles ont fait des prototypes et travaillé sur ce genre de carburateurs depuis la crise pétrolière des années 1970, mais les grands médias n'en ont pas informé le public. (ndlr : ça vous étonne ?!)

Aux USA en 1958-1960, suite à une demande faite selon le FOIA (Loi sur la Liberté d’information) le Bureau National des Standards, avec approbation du Congrès,  a détruit certaines archives de tests après les avoir conservées pendant 20 ans.
 

Petit supplément extrait d’un de nos documents

« Le carburateur » de René Bardin - Librairie centrale des sciences (1929)

Système de réchauffage de carburant de Salmson

 

 

On peut remarquer des similarités entre le système de PMC Pantone et ce système Salmson…
 

Comme Bruce de Palma disait pour sa ‘’N Machine’’:

« Par rapport à la dynamo unipolaire de Faraday et à son moteur, la ‘’N machine’’ consiste simplement en la rotation des aimants en même temps que les disques. »

Donc, il ne manquait pas grand chose entre la machine de Faraday et des systèmes type ''N Machine'' tout comme il ne manque pas grand chose entre le PMC Pantone et le réchauffeur monté sur Salmson.

Depuis, au moins 1929, le système de réchauffage :  carburateur Zénith monté sur le moteur d'avion Salmson  (système Canton-Unné) et réalisé très  simplement comme le montre le schéma ci-dessus,  aurait pu être utilisé largement.

Il aurait certainement été perfectionné pour s'adapter aux véhicules de série des constructeurs automobiles, ce qui aurait permis de faire des économies substantielles de carburant et surtout de ne pas amener la planète et ses habitants à subir le taux de pollution actuelle.

 


6 - Des pompes spéciales
 

Au XVII ème siècle Torricelli avait découvert qu’il n’y avait pas de pompe, en tout cas celles qui sont basées sur l’effet de succion, capables de fonctionner à plus de 33,9 pieds au niveau de la mer sous une pression de une atmosphère.

Pour des puits plus profonds il faut un piston ou tout autre système de compression pour que l’eau monte, cet appareil étant ancré au bas du tuyau à la profondeur maximale.

Ces pompes spéciales ne sont pas financièrement accessibles aux nombreux pays du tiers monde.

Mais selon Bellocq, dans son brevet US 1.730.337

« Le système permet de travailler à n’importe quelle profondeur pourvu que la pression ait été bien calculée, les pistons peuvent être plus petits et bénéficier de l’effet de transformation de l’onde ou de l’impulsion. Ainsi, un piston avec un déplacement donné, sous une pression donnée sera capable d’élever à chaque coup un volume de liquide plusieurs fois supérieur au même déplacement mais sous une pression plusieurs fois inférieure….
 

Dans ses brevets suivants Bellocq montre une utilisation pratique de la vieille analogie électricité - fluide comme le croyaient Tesla et les scientifiques du XIX ème siècle. Le voltage est analogue à la pression et le courant ou l’ampérage à la quantité de flux d’eau. Il traite de cela dans son brevet US 1.941.593.

Les ondes de compression se déplaçant dans un liquide sont plus ou moins contrôlées ou fonctionnent selon les lois qui gouvernent le courant alternatif. Les courbes de pression et les flux de telles ondes sont analogues aux courbes de voltage et d’ampérage du courant électrique en ce sens que la différence et la phase peuvent déterminer la valeur de l’onde. L’inertie, la capacité, la résistance, la friction ou les fuites dans un système liquide correspondent plus ou moins à l’induction, la capacité, la résistance, et les pertes en électricité.

Les ondes de compression dans le liquide d’un système de pompage sont quelque part analogues aux ondes sonores. Par conséquent, par commodité, pour les ondes qui modifient le liquide de la pompe on peut faire référence à des éléments acoustiques. Ce terme étant alors relatif à un élément modifiant les ondes de compression dans le liquide et plus ou moins en accord avec les lois des ondes sonores dans le liquide.

Dans le brevet US 1.730.336 Bellocq parle de son système comme étant un circuit résonant dont la fréquence de résonance dans la gamme audio est déterminée par la longueur du tuyau A et du compresseur C qui fournit les oscillations. Une soupape V (remplaçant la pompe submersible traditionnelle) est au fond du tuyau. Si une fréquence des coups de compression du compresseur C est équivalente à la longueur d’onde du tuyau, une onde stationnaire s’établira. Si le nœud N de l’onde stationnaire tombe sur la soupape V elle fonctionnera. Le nœud N est réglé pour tomber sur la soupape V grâce aux changements de fréquences en cycles/secondes du compresseur.

Quand l’eau rebondit, il va y voir une aspiration dans une certaine quantité d’eau du puits et un déplacement de l’eau vers le haut du tuyau. Une fois ce rebondissement terminé, la soupape V se ferme ce qui empêche à la colonne d’eau du tuyau A de sortir par le fond. Ce fonctionnement ne vient pas contredire la loi de Torricelli. Comme la pompe de puits artésien classique dont le mécanisme est au fond du puits cela pousse l’eau vers le haut mais en utilisant une onde stationnaire produite par un compresseur C sur la surface pour pousser la colonne d’eau dans le tuyau de bas en haut.

Dans les années 1920-1930, les examinateurs des brevets ont demandé à Bellocq une démonstration dûment contrôlée et on a vu fonctionner sa pompe remontant de l’eau de 80 pieds.

Il y a d’autres systèmes ressemblant à la pompe de Bellocq.

La pompe de Arthur Perry Bentley (de la famille qui a fabriqué les limousines Bentley) qui a un brevet US 4.295.799.

La pompe de Jean Pascoe président d’une société de Tucson et qui a un débit de 2 gallons à la minute en utilisant un moteur de 1/5 de CV alimenté par 4 panneaux solaires.


7 - Un système apparenté au MEG :"Dispositif statique générateur de courant électrique"
 

Brevet FR2312135 de Paul Marcel Lucien Galey 17 décembre 1976
 

http://l2.espacenet.com/dips/bnsviewer?CY=ch&LG=fr&DB=EPD&PN=FR2312135&
ID=FR+++2312135A1+I+

Deux extraits

 

 

Selon Jean-Louis Naudin, ce brevet parait TRES INTERESSANT : clair et bien expliqué, à la lecture il semble que le montage a réellement fonctionné...

Des reproductions seraient bien utiles…alors, avis aux amateurs d’électricité et d’électronique, artistes du fer à souder et spécialiste en montages…