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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 27/03/2005
Infos, infos, infos ...Une centrale électrique fonctionnant à la pression atmosphérique Quand l'eau et l'air se mettent au courant. Au Maroc, un technicien en hydraulique, Cherif Massaoudi Zoheir, vient d'inventer et de breveter la toute première centrale électrique fonctionnant avec la pression atmosphérique. Ce concept avait fait l'objet de nombreuses recherches dans le monde sans jamais aboutir. Le procédé est un artifice qui piège la pression atmosphérique entrante et la met en situation de surpression afin de permettre son refoulement par l'échappement. Ainsi, la réserve de vide n'est jamais entamée et constitue un attrait continu à la pression atmosphérique. http://www.elecmag.com/articles.php?id_articles=233 Cette invention a été présentée aux ingénieurs marocains du Centre du Développement des Energies Renouvelables (Ministère de l'Energie et des Mines du Royaume du Maroc). Elle a reçu un écho très favorable étant donné qu'elle permet la génération gratuite d'électricité en respectant l'environnement. Le principe est basé sur l'emprisonnement de l' air entrant à la pression atmosphérique du moment, qui se retrouve mis en situation de surpression dans la centrale. Ce gradient de pression permet de réaliser un flux d'air sortant qui génère un courant électrique. C'est un peu le principe de l'air qui se retrouve emprisonné dans un pot de confiture maison, pot que l'on a ensuite parfois du mal à ouvrir à cause des différences de pression entre l'intérieur et l'extérieur. Rappelons également que les vents sont générés par des différences de pression atmosphérique. Reste à savoir si ce procédé
pourra être développé à grande échelle. Monsieur MASSAOUDI ZOHEIR nous a fourni les éléments suivants pour mieux comprendre le principe de fonctionnement : "Au sein de la centrale on crée un vide poussé afin d'avoir un gradient de pression pour attirer la pression atmosphérique vers l'intérieur de la centrale. Plus le vide effectué est important plus la puissance de la turbine située à l'admission de la centrale est importante. Le gradient de pression est la différence de pression existant entre deux points divisée par la distance qui les séparent. Donc, (P1-P2)/distance. C'est donc la différence de pression entre deux points qui crée une force nommée force du gradient de pression. Plus le vent est fort, plus la force du gradient de pression est élevée (donc, ou bien la différence P1-P2 est grande ou bien la distance est faible). Sur une carte avec isobares (en météorologie), plus ces derniers sont rapprochés et plus la force du gradient de pression sera forte et plus le vent sera fort. La direction de la force du gradient de pression va de la haute pression vers la basse pression. Toutefois, noter que plus on s'élève dans les latitudes, plus la force de coriolis diminue et plus la force du gradient de pression sera faible et plus le vent sera faible aussi. Au sein de la centrale on crée une dépression artificielle ce qui crée une tempête contrôlée au niveau de l'admission de la centrale. Vous pouvez devinez la puissance de la centrale. En météorologie une dépression de quelques dizaines de millibars provoque une tempête d'environ 150 Km/h ; alors une dépression d'environ 1000 millibars provoque des vents de plus de 1000 Km/h. Le vent est un déplacement d'air visant à compenser les différences de pression. Les paramètres qui rentrent en jeu sont la différence de pression et la distance entre les zones géographiques correspondantes. Plus cette différence de pression est grande plus le vent est fort. Il en est de même lorsque la distance de séparation est faible. Quand on a une grande variation de pression sur une courte distance on parle de fort gradient de pression. Les vents soufflent d'une zone de haute pression à une zone de basse pression, comme nous l'avons dit. La force du vent est évidemment liée aux différences de pression atmosphérique. Un vent souffle d'autant plus fort que cette différence est plus grande. La force du vent est évidemment liée aux différences de pression atmosphérique. Le mouvement de l'air existe uniquement pour combler les vides relatifs des dépressions. Le gradient de pression est en partie l'explication du déplacement de l'air. Donc nous pouvons résumer la technique : Lorsqu'une zone de basses pressions (dépressions) se situe près d'une zone de hautes pressions (anticyclones), il se crée des déplacements d'air plus ou moins forts suivant la différence de la pression. Suivant le principe des vases communicants, ce phénomène est en fait un déplacement d'air (vent) qui s'effectue pour égaliser les pressions. Donc plus la différence de pression est grande plus les vents sont forts (tempêtes)." En savoir plus http://www.moroccotimes.com/paper/article.asp?idr=115&id=1997 http://www.notre-planete.info/ Cette information intéressante a été reprise par d'autres sites et nous a été signalée plusieurs fois. Stations électriques autonomes avec moteur moléculaire http://www.faraday.ru/faraday_english.html http://www.zid.ru/ru/products/perspective/md.html (en russe) fax : 7-812-380-3844
Le procédé fonctionne avec de l'air, sans carburant, ce sont les molécules d'air qui font le travail, et le flux d'air à la sortie peut même être respiré. L'appareil démarre avec une source d'énergie extérieure d'air comprimé ou un moteur électrique, ensuite il fonctionne de manière autonome. Il faut seulement de 15 à 30 % de l'énergie de sortie pour les besoins du compresseur, les 70 à 85 % restants servent pour la charge. Le brevet et les licences sont au nom de Yu S Potapov D'après le site, il serait possible de commander à l'usine russe des générateurs de 200 ou 1000 KW. Les prix indiqués sont élevés : 500 dollars US par KW construit plus le port. Selon les caractéristiques de leurs projets, l'usine accepte de discuter des détails avec ses clients. On peut assister à une démonstration d'un modèle de 37 KW à l'usine de production, auprès des représentants officiels de l'usine à Faraday Lab Ltd, St.-Petersburg. Dans cette même usine sont produits des générateurs de chaleur à vortex d'eau, modèles de 11 et 22 KW. Voici les informations sur Yuri Potapov que nous avons publiées au 10 août 1999
Yury
Potapov chez Interenergoresurs Ltd en Slovaquie en 1997 Dans le YUSMAR, l’eau chaude passe à travers un "venturi". Dans la
basse pression du venturi l’eau chaude se vaporise. Le mélange de vapeur
d’eau est immédiatement envoyé dans une centrifugeuse où les minuscules
bulles de vapeur s’effondrent dans un grand choc. C’est la cavitation, qui
produit une lueur bleue. De nombreux rapports comme ceux de Griggs,
indiquent que la cavitation peut produire une énergie inhabituelle.
Personne ne sait s’il s’agit là d’un processus nucléaire ou de ZPE. http://members.aol.com/FZNIDARSIC/index.html Apparemment, depuis cette époque les problèmes ont été résolus . Un aperçu du SOMMAIRE DE TOP SECRET n°18 ''L'aventure continue...'' la revue offre un copieux bon menu de documents
Comme d'habitude des extraits récents de nos nouvelles, avec un témoignage qu'un expérimentateur de PMC Pantone sur moteur de tondeuse a adressé directement à Roch. Au début du compte-rendu, on peut lire ''Je me suis lancé (avec suspicion, je dois dire).....et à la fin : ''l'efficacité du PMC Pantone est dingue !'' Et nous ajoutons, l'intérêt de cet expérimentateur n'en est qu'au début, s'il pratique sur tracteur ou autres moteur par la suite, il risque seulement d'être encore plus enthousiaste ! Dans NOUVELLES TECHNOLOGIES : La Quasiturbine, un moteur pour l’exploration spatiale, par Jean Rémillard Dans SCIENCE INTERDITE : L’histoire des “Black Program” américains par Jean-Marc Roeder, bien connu des lecteurs de Top Secret, avec ses précédents articles UNE ENIGME : Des avions antédiluviens par Jean Sider, des photos de bas-reliefs égyptiennes sidérantes (si on ose dire !) Dans ARCHEOLOGIE
IMPOSSIBLE : Les objets métalliques impossibles par
Th. Van De Leur De l'acétone ajoutée au carburant = des économies... Un de nos fidèles lecteurs (merci Jean-Yves !) a trouvé ce qui suit au 17 mars 2005 et nous le communique http://pesn.com/2005/03/17/6900069_Acetone/ http://www.lubedev.com/smartgas/additive.htm Un extrait : L'auteur, Louis LaPointe (qui se dit lui-même être un expert en la matière), affirme qu'il économise de 15 à 35% de carburant (essence ou diesel) simplement en y rajoutant (un peu) d'acétone. Il dit faire cela sans problème depuis plus de 50 ans. "L'optimum moyen" se situerait à environ 2.5 onces d'acétone pour 10 gallons (assurant une économie de consommation de 20% minimum). ''Après
conversion des unités US et, sauf erreur de ma part: Étonnant, Non ? '' Notre correspondant ajoute : ‘’ J'imagine cela couplé au système à hydrogène de Jean-Marc Moreau Les économies s'additionnent t-elles ? Je lui ai posé la question.'' Réponse : ‘’Oui , effectivement , je connais ce procédé ( tout comme les boules de naphtalines / Anti-mites ) à mettre dans le carburant. A utiliser de préférence combiné avec d'autres molécules de protection. Il existe d'ailleurs plusieurs additifs, pré-dosés et stabilisés, connus des fabricants de produits pour automobiles…. Nous savons tous qu'il existe mille et une manière d'économiser notre carburant . Vous devez savoir que si vous ajoutez de l'éther, du toluène ou différents autres produits à nos carburants, il se produira la même chose et des gains réels seront constatés. Il faut cependant rester prudent. Par exemple l'acétone sans autre additifs sert à dissoudre la colle et fait fondre les joints réalisés dans de nombreux matériaux ... les autres produits cités peuvent aussi être agressifs s'ils sont mal utilisés. "J-M M Une bougie révolutionnaire Voici une info récente (13 mars
2005) extraite de :
http://www.nexusmagazine.com/articles/Firestorm.html Information transmise par un commercial d’un grande société automobile japonaise, parfaitement au courant du fait que les prix des carburants ne pouvaient que continuer à s’envoler. Il a déniché un monsieur Robert Krupa, de Farmington Hills (Michigan) qui a dénommé sa bougie "FireStorm". Avec cette bougie spéciale, il est possible selon R Krupa d’avoir plus de puissance de diminuer la consommation de 44 à 50 %, et de manière spectaculaire réduire les émissions à l’échappement. De plus, il n’est plus nécessaire d’avoir de pot catalytique, les interférences RFI et l’utilisation de résistances dans l’électrode centrale sont éliminées, plus besoin de systèmes faisant recirculer les gaz d’échappement…
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