H2O Utopia Technology
de
Jean-Marc Moreau, ingénieur R&D
www.utopiatech.fr
Au
service d’enjeux planétaires majeurs : un concept technologique exclusif,
simple et
facile à mettre en œuvre pour moins polluer, afin de moins consommer.
A - H2O
Utopia Technology et ce qui se fait ailleurs
B - Le
générateur de gaz Di-Hydroxygène
C - Gains
réels et réalistes en autonomie carburant
D -
Programme hydrogène
1 - Principe de fonctionnement de H2O UTOPIA TECHNOLOGY
et règles de protection et de sécurité
2 - Protections électroniques : (Des règles de Sécurité draconiennes !)
3 - Attention ! erreurs à ne pas commettre
PROSPECTIVE : Et si la Voiture à Eau devenait un jour réalité ?
E - Caltech :
hydrogène et couche d'ozone : "vaine
polémique" dit Jean-Marc Moreau "l’hydrogène et l’oxygène dépolluent
la Planète !"
A -
H2O Utopia Technology
de Jean-Marc Moreau
Une
prouesse technologique à découvrir
- La plus forte
quantité de gaz pur produit, hydrogène + Oxygène, par Watt / Heure
consommé, parmi tous les générateurs embarqués actuellement
développés sur le marché mondial .
- Une technologie d’électrolyse 3 Fils,
auto accordée et auto protégée unique au monde : une multitude de
capteurs et d’informations ’’Feedback’’ communiquant sans câblage
complexe .
- Une stabilité thermique
inégalée et une efficience encore jamais rencontrée
- Le plus petit
générateur de gaz ’’Haut Débit’’, autonome et autorégulé, adaptable
sans câblage complexe et sans modification du moteur, sur tout type de
véhicule. Une base technologique idéale pour la mise en place
rapide, et indispensable aujourd’hui, d’un bouclier planétaire de
protection environnementale
3 à 4,3 W/heure par litre
de gaz produit
(Procédé
H2O Utopia Technology / 30 litres heure *)
* Note : Produit
standard 30 litres/heure (Calibrage usine autorisant 35 à 52 litres
heure)
Le 1er Electrolyseur embarqué Haut Débit,
sur le Marché Mondial
"Ainsi, si
aujourd'hui j'affirme que ce produit est le premier électrolyseur
commercial au monde, sécurisé et asservi, produisant 30 litres par
heure de gaz sur une voiture, en utilisant la plus faible quantité
d'énergie prélevée, ce qui est un critère essentiel, c'est que ceci
peut aujourd'hui même être démontré en laboratoire, devant toute
personne s'intéressant à ce sujet (Sur rendez-vous tout de même)."
Ecrire par
MAIL à l’adresse suivante :
jmm.moreau@laposte.net
|
et ce qui se fait ailleurs
en Amérique du Nord en
électrolyse embarquée basse tension
Pour mesurer l’avancée technologique de ces travaux de recherche dans
le secteur de l’électrochimie et particulièrement de l’électrolyse
embarquée basse tension, nous pouvons nous référer aux produits
concurrents Nord-américains, à travers trois sociétés oeuvrant dans le
domaine du Transport Poids Lourds (Truck), et fournissant des
électrolyseurs pour assistance hydrogène (Poids : 45 kg ,
Dimensions : 60 cm x 30 cm x 30 cm ), commercialisés entre 14000 et
17500 Dollars, fonctionnant suivant les critères ci-dessous :
-
Consommation en eau : 1,8 litres d’eau pour 90 heures de
fonctionnement
-
Consommation énergétique : 15 A
-
Tension
d’alimentation : 24 V / Soit 27,5 Volts avec alternateur
-
Quantité
d’énergie instantanée consommée : 27,5 x 15 = 412 W
-
De cette
consommation non négligeable, nous pouvons déduire avec certitude que
30 % de ces 1,8 litres d’eau seront assurément transformés en vapeur
résiduelle durant ces 90 heures de fonctionnement (d’où la présence
d’un filtre séparateur intermédiaire)
-
Soit 1,8
litres d’eau – 30 % d’évaporation = 1,26 litres d’eau transformés en
gaz
-
Un litre
d’eau se dissocie en 1850 litres de gaz Di-Hydroxygène (loi physique)
-
La quantité
réelle de gaz produit en 90 heures sera donc de : 1,26 litres d’eau
multiplié par 1850 litres = 2331 litres de gaz
-
Soit une
production de : 25,9 litres de gaz pur par heure .
-
Efficience : 412 W / h pour 25,9 litres de gaz
Soit
un rendement de : 15,9 W/heure par litre de gaz produit
Constat :
Actuellement 15 W par litre de gaz produit correspondent au rendement
constaté sur les meilleurs électrolyseurs professionnels basse tension
présentement sur le Marché. Les moins performants, travaillant sans
régulation, en sont encore autour de 30 W/litre de gaz ( avec effet
joule important garanti ). Sur cette base, un autre produit, dédié
voiture, vient d’être présenté par la Gazette de Montréal (Septembre
2005). Utilisant 1 litre d’eau pour 80 heures de fonctionnement, sur
la base de 30 % consommés en évaporation diffuse sur 80 heures, ce
produit possède un débit horaire moyen de 16 litres de gaz par heure
(Prix de vente envisagé : 7500 Dollars). Ces technologies nouvelles,
débouchant sur des marchés porteurs énormes, se négocient actuellement
à hauteur de plusieurs dizaines de millions de dollars en direction de
pays demandeurs, par les différents acteurs du domaine, maîtrisant
cette technologie. |
 |
B - Le générateur de gaz
Di-Hydroxygène
H2O Utopia technology
"Deux éléments idéalement accordés, dans un tourbillon
aquatique Haute Fréquence de milliards de micro bulles de gaz
énergétique (Vx Technology)"
"Communiquer sur un seul fil,
les multiples informations de niveaux d’eau, de température, de
qualité ionique du liquide et des paramètres d’accord du réacteur
d’hydrogène, ceci dans un concert d’harmoniques HF de la plus belle
des signatures, reste un exercice d’électronique fort captivant, à la
limite de la torture mentale !"
" Les deux défis technologiques majeurs à relever, très
coûteux en temps, furent de maîtriser l’emballement thermique en
pulvérisant les barrières habituellement infranchissables en matière
de rendement, et de faire communiquer l’ensemble sur un seul fil"
(J-M Moreau )

|

L'élément de contrôle du générateur de gaz
Di-Hydroxygène
H2O Utopia technology
|
UTOPIATECH (www.utopiatech.fr)
propose aux investisseurs du monde entier de découvrir un produit
innovant possédant des caractéristiques inconnues à ce jour sur le
marché. Un principe d’électrolyseur 3 fils, avec feedback intégré (9,5
cm x 42 cm ), ayant une efficience exceptionnelle de :
3 à 4,3
W/heure par litre de gaz produit
(Procédé
H2O Utopia Technology /30 litres heure)
Démonstration garantie
d’un débit constant de 30 litres de gaz pur, par heure, sous très
faible énergie consommée, à partir du produit de série.
Sur la base d’un
électrolyseur miniature modulable, pour la réalisation d’une gamme
d’électrolyseurs embarqués de 30 à 300 litres heure et plus.
Une technologie unique et inégalée à ce jour sur le
marché mondial des électrolyseurs embarqués, qui doit dès maintenant
être partagée par le plus grand nombre de pays à forte concentration
de véhicules. Les investisseurs, conscients des enjeux planétaires
d’un tel dispositif anti-pollution appliqué à grande échelle (avec
retour d’investissement garanti par les économies de carburant
engendrées), sont invités à se manifester et à prendre rendez-vous
pour une démonstration, dans notre laboratoire, du potentiel de cet
électrolyseur hors du commun, et à télécharger prochainement le
dossier : ’’ Bouclier Planétaire.pdf ’’. Une technologie recommandée
pour embellir le parc automobile actuel (deuxième monte), ou pour
intégrer en série sur les véhicules neufs (Constructeurs).
|
C - Gains
réels et réalistes en autonomie carburant
pouvant être
effectivement constatés en conduite mixte apaisée ?
EXEMPLE PRATIQUE
: Véhicule de marque MITSUBISHI, Type SPACE WAGON 1992 -
(270000 Km / Moteur Turbo Diesel avec Turbo usagé d’origine)
Trajets réitérés
(allers et retours) : Saumur-Orléans- Saumur, soit plusieurs fois 400 Km

Consommation habituelle de ce
véhicule usagé : 8 litres pour 100 Km sur ce type de trajet (grandes
routes + Ville) soit 700 Kilomètres avec un plein de carburant de 56
litres de Gasoil). Avant montage du dispositif standard H2O UTOPIA
TECHNOLOGY de dépollution globale et d’optimisation de la combustion, par
Assistance Hydrogène : Modèle H2UT30 + MC²E .
Sur la base de ces trajets réitérés SAUMUR / ORLEANS /
SAUMUR (via NOYANT, CHATEAU LA VALLIERE / BLOIS), le plein de carburant
habituel autorise, avec ce même véhicule équipé du dispositif : 1050 à
plus de 1100 Kilomètres (entre les passages à la pompe).
Cette expérience quantifiée a été réalisée en roulant
entre 90 et 100 km/heure, afin de respecter les limitations de vitesse
(Trajets effectués en plein jour, avec certains parcours sous la pluie et
embouteillages sur Orléans aux heures de pointe). Vidange réalisée avec
l’apport d’un additif de protection Anti-Friction, un filtre à air usagé
mais nettoyé et soufflé, et des pneus correctement gonflés (ceci afin
d’indiquer très honnêtement que toute la performance ne peut être
attribuée au seul procédé H2O Utopia Technology, mais à l’ensemble de ces
mesures).
L’apport de gaz continuel,
auto fabriqué sur le véhicule et mesuré durant les trajets, démarrait sur
une valeur de 30 à 35 litres / heure en début de parcours pour se
stabiliser autour de 50 litres / heure de gaz pur Hydrogène + Oxygène,
durant ces parcours de 400 Kilomètres environ. L’énergie prélevée restant
modeste, de par la bonne efficience du dispositif et les moments d’inertie
du véhicule, on constate que l’apport de ce gaz très énergétique est
significatif, et que grâce au processus de reformage du carburant initial,
une réelle et importante autonomie supplémentaire peut être constatée. A
noter que, pris dans les embouteillages sur Orléans et plus généralement
lors des arrêts à chaque feu rouge, une belle régularité du ralenti
moteur est observable (avec quelques dizaines de tours minutes
supplémentaires). N’oublions pas, pour commenter et analyser en toute
objectivité ces phénomènes, que le gaz di-hydroxygène reste le gaz le plus
énergétique connu à ce jour, et que l’hydrogène possède un pouvoir de
détonation très important et une vitesse de propagation de flamme 14 fois
supérieure à celle du gaz naturel, et 9 fois supérieure à celle de
l’essence. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que cette vitesse de
propagation agisse en synergie avec les propriétés du carburant habituel,
pour engendrer une combustion plus complète au sein du moteur,
garantissant des taux d’émissions polluantes à la baisse et plus de
kilomètres parcourus avec un même plein de carburant **.
Si rien n’indique, à travers cet
exemple, que ce cas de figure sera reproductible à l’identique sur chaque
véhicule, il laisse en revanche entrevoir ce qui à ce jour a été
universellement constaté à travers le monde dans de nombreux essais, c’est
à dire que des gains en pollution jusqu’à hauteur de 50 % seront quasi
toujours acquis *** et que suivant les véhicules : 20 %, 30 %, 40
%, ou ici 50 % de kilomètres en plus
sont envisageables !
** Il est d’autre part à
noter que suivant l’âge et le kilométrage du véhicule, ces performances
iront croissantes sur quelques mois, durant toute la phase préliminaire de
nettoyage et de décalaminage de la chambre de combustion, opérée par
l’utilisation de ce gaz .
*** le
contrôle sera publié prochainement
D
- Programme hydrogène
Un enjeu majeur et incontournable :
50 % de remise garantie sur l’Etat de Santé de la Planète
GESTION DU MODULE HYBRIDE DE
PUISSANCE
’’VORTEX
ELECTROLYTIC INTENSIFIER’’
(Harmonic
Hight Frequency Electrolytic Intensifier)
VTFE
Technology: VORTEX Torsion Field Effect Technology (ZPE)
Application
du Procédé H2O UTOPIA-TECHNOLOGY *
1
- Principe de fonctionnement
2 - Règles de protection et de sécurité
3 - Erreurs à ne pas commettre
PROSPECTIVE : Et
si la Voiture à Eau devenait un jour réalité ?
|
* Procédé
exclusif H2O Utopia Technology d’électrolyse HF par ondes VORTEX, assisté
par récupération d’énergie, déposé auprès de l’INPI (Institut National de
la Protection Industrielle) par Jean-Marc Moreau le 1er Octobre 2005.
Droits de Propriété Antériorité : J-M M et Fils, déposants, 49160 St
Philbert du Peuple – France Parce qu’aucun autre électrolyseur au monde ne
peut s’identifier à notre cellule Feedback, 3 fils, et parce qu’aucun
autre produit ne peut imiter notre signature harmonique fréquentielle
multiphasique et asymétrique, aucun Brevet bloquant, déposé par des
imposteurs, ne pourrait être opérant par rapport à notre réalité
technologique démontrée. Rien, ni personne ne pourrait entraver
l’application conventionnelle depuis la France, ou sinon la diffusion
moins conventionnelle depuis l’extérieur, d’un tel procédé légal et
indispensable.
Juste
un exercice pointu pour ingénieur ELECTRO-CHIMISTE :
Ne consommant que
3 à 4,5 W/h par litre de gaz produit, contre 15 à 35 W/h par litre
pour l’ensemble des électrolyseurs 12 V répertoriés sur le marché
mondial, et commercialisés à ce jour (10 W sur quelques rares gros
électrolyseurs 24 V), les performances de notre électrolyseur
restent d’autant plus honorables si on prend en compte le constat
que, travaillant sur la base d’une électronique Haute Fréquence de
Puissance, une partie de cette énergie reste dissipée par les seuls
transistors de puissance et selfs d’accord harmonique (contrainte
technologique HF difficile à minimiser, malgré un choix de
composants de dernière génération). Par déduction, il apparaît que
pour la première fois un procédé d’électrolyse à très haut rendement
serait ainsi aujourd’hui commercialisé. Bien que très rarement
constatés à ce jour dans les laboratoires sur des électrolyses en
volume, de tels rendements restent du jamais vu sur des produits
commerciaux, y compris à travers les innombrables INTOX du Net
décrivant des schémas d’électrolyseurs 12 V incapables de descendre
en dessous de cette barrière de 15 W/h par litre de gaz produit…
Quelques Pionniers nous ont ouvert la voie (Stanley Meyer, A.
Puharich et quelques autres…) aucun n’a réussi à aller jusqu’au
produit de série… Car, c’est une chose de faire un Proto qui
démontre une belle formation de Gaz, des dépôts et des formations de
boue, sous un encombrement important, mais c’est une toute autre
histoire d’en faire un produit de série, possédant une bonne
efficience, parfaitement sécuritaire et gommant ces inconvénients.
C’était aussi cela notre Challenge !
Programme de
recherche
Aujourd’hui, nous
travaillons à la suite du programme : Electro-Cinétique par force
centrifuge, initiée par MHD, et Sono-Fusion à 110 dB par pression
acoustique HF et effets de torsion de champ, sont déjà en cours
d’expérimentation… D’énormes efforts ont ainsi été réalisés pour
vous offrir le meilleur de la technologie actuelle dans ce domaine
de l’électrolyse embarquée. Un produit peu gourmand en énergie
électrique prélevée, nous garantit surtout un meilleur rendement et
des échauffements fortement minimisés. Car mettez une petite bougie
sous une casserole d’eau durant 8 heures et mesurez sa température
finale…vous découvrirez ainsi juste une infime partie des problèmes
ardus à résoudre, lorsque l’on veut réaliser un bon électrolyseur
pour Poids Lourds et véhicules légers. Cette maîtrise énergétique
reste essentielle !
|
1 - Principe
de fonctionnement de H2O UTOPIA TECHNOLOGY et règles de protection et de
sécurité :
Le procédé H2O UTOPIA
TECHNOLOGY définit un électrolyseur à très haut rendement, pourvu d’un
système de récupération d’énergie et utilisant des harmoniques Hautes
fréquences, favorables à la dissociation de la molécule d’eau par effets
de torsion de champs. Un algorithme complexe, gérant 182 fonctions
mathématiques imbriquées ensemble, assure le maintien des paramètres de
fonctionnement dans une fourchette idéale. Un auto calibrage permanent,
basé sur l’analyse de 15 paramètres physico-chimiques, accorde en
permanence le cœur du réacteur et garantit l’asservissement fréquentiel et
la stabilité ionique du milieu.
Sur un plan purement électronique, ce
générateur est asservi en puissance par 4 fréquences fondamentales
ultrasonores, situées très au delà du domaine audible, excitant un orgue
aquatique chargé de pulvériser le milieu électrolytique en milliard de
micro bulles d’Hydrogène et d’Oxygène. Cet étage de puissance est accordé,
grâce à des transistors HF choisis spécifiquement pour leurs réponses dans
ce mode d’utilisation non conventionnel, afin de former un double
oscillateur harmonique à ondes VORTEX, auto asservi par feedback aux ondes
de formes complexes retransmises par une des branches de l’orgue
aquatique, faisant parallèlement office de transducteur et de capteur
électrochimique du milieu à analyser. Opérant dans les Mégahertz le
procédé H2O UTOPIA TECHNOLOGY garantit une électrolyse efficiente, peu
gourmande en courant consommé, prélevé sur le véhicule. Ainsi, alors que
trop d’électrolyseurs, expérimentés sur des voitures, utilisent encore 15
à 35 W/heure par litre de gaz produit, notre électrolyseur embarqué bat
des records en matière de consommation énergétique sur des véhicules,
puisqu’il reste le seul à n’utiliser que 3 à 4,5 W/heure par litre de gaz
produit. Ce "Tricotage" d’ondes particulier, électroniquement très
élaboré, géré par logiciel dédié et enfoui en mémoire, nous permet
d’entrevoir d’autres applications à venir, déclenchant par effet VORTEX
une dissociation amplifiée de la molécule d’eau. Notre électrolyseur
accordé pourra ainsi recevoir ultérieurement de nouvelles versions "UP-GRADE",
améliorant encore notre quantité de gaz produit par W/heure consommé
...
2 -
Protections électroniques :
(Des règles de Sécurité draconiennes !)
-
1 Si la tension
batterie est trop basse, le générateur d’hydrogène le signale.
-
2 Si la cuve du
générateur n’est pas en eau, le générateur d’hydrogène reste sur arrêt.
-
3 Si la
concentration ionique reste insuffisante, le générateur d’hydrogène le
signale.
-
4 Si la
température interne du générateur devient trop élevée, le générateur se
met en sécurité, sur arrêt.
-
5 Si le générateur est
installé dans le coffre et que le bouchon de remplissage d’eau n’est pas
hermétiquement fermé, une sécurité hydrogène*, calée sur 10 ppm, met le
générateur en sécurité sur sa position arrêt, et actionne une alarme
sonore. Seules la mise sur arrêt de la clé de contact et la résolution
consécutive de cette étourderie autoriseront l’acquittement du défaut,
et la remise en fonctionnement du générateur d’hydrogène.
(*Option en sus)
-
6 Si la température du
boîtier électronique dépasse une valeur critique, le générateur est mis
sur arrêt, jusqu’au retour à une température de fonctionnement
acceptable.
-
7 Si le niveau d’eau
mini est atteint, un voyant clignote dans l’habitacle pour indiquer la
nécessité de faire l’appoint d’eau, lors du prochain plein en carburant
(Modèle voiture). Un automatisme, géré par microprocesseur, actionne une
pompe de remplissage sur la version Poids Lourds.
-
8 Le voyant de report
d’alarme différencie l’indicateur de remplissage en eau (Niveau mini),
des alarmes techniques de sécurité. En cas de niveau mini d’eau, le
voyant clignote au rythme de 1 Flash par 10 secondes. En cas d’alarme
technique de dépassement de paramètres et de mise en sécurité du
réacteur les Flashs sont toutes les quatre secondes. Le voyant de report
d’alarme peut être une double fonction d’un voyant déjà câblé au tableau
de bord, ou sinon un voyant spécifique installé pour cet usage.
-
9 En câblant la fonction
’’RECUPERATION D’ENERGIE’’ ** du Processeur de Contrôle électronique sur
un ’’Capteur d’Accélération Magnétique’’ (REF : AMC * *), nous
optimisons au mieux l’intégration du procédé et favorisons un meilleur
rendement global par récupération d’énergie. En utilisant les ’’temps
morts’’ de sollicitation moteur, chaque fois que nous levons le pied de
l’accélérateur pour ralentir ou pour freiner, aux arrêts en ville ou
dans les descentes en montagne et sur routes sinueuses, nous continuons
de faire l’appoint de la charge batterie en énergie électrique gratuite,
tout en mettant le générateur d’hydrogène dans un mode ’’REPOS PAR
RECUPERATION D’ENERGIE’’. Cette énergie électrique gratuite, précieuse
pour alimenter notre processus de décomposition de l’eau en gaz, sera
ensuite à nouveau consommée par le générateur lors des périodes normales
d’accélération. En effet, tout comme dans n’importe quel véhicule
hybride, notre générateur fonctionnant exclusivement avec l’électricité
produite par le véhicule, il a lui aussi, par cet artifice, une facilité
innée à récupérer de l’énergie lors des périodes de décélération,
améliorant ainsi le bilan énergétique global du véhicule : La valeur
réelle en Watts/heure consommés par le procédé H2O UTOPIA TECHNOLOGY,
bénéficiant de cette ’’addition / soustraction’’ permanente, peut ainsi
être globalement diminuée d’un pourcentage important. L’autre intérêt
majeur d’un tel dispositif étant de préserver le frein moteur, lors des
descentes en montagne. (* * Option ’’AMC’’ à commander en
plus).
-
10 Si le niveau d’eau
maxi est atteint (par mauvais remplissage) ou que la sécurité ’’EAU /
GAZ’’ détecte un risque de mélange EAU / GAZ, le générateur se met en
sécurité, sur arrêt, avant que tout mélange EAU / GAZ important
n’atteigne la conduite. L’eau n’étant pas compressible, le générateur
H2O UTOPIA TECHNOLOGY gère électroniquement le processus pour n’envoyer
exclusivement qu’un gaz, hautement énergétique et parfaitement
compressible, vers le moteur. Notre technologie électronique nous permet
de comptabiliser en millilitres / heure la quantité d’eau consommée, et
de quantifier avec précision le nombre de litres de gaz proposés au
moteur. Un litre d’eau peut se dissocier en 1850 litres de gaz Hydrogène
+ Oxygène. Parce que nous évitons les déperditions énergétiques, notre
générateur standard (modèle voiture) fabrique plus de 30 litres de ce
gaz énergétique par heure, en ne consommant que 8 à 10 Ampères. Nous
transformons ainsi la totalité d’un litre d’eau en gaz, en minimisant
les pertes par évaporation : Ceci explique notre consommation d’eau
dérisoire.
3 - Attention !
erreurs à ne pas commettre
D’autres
électrolyseurs Asiatiques ou Américains, travaillant sur la base d’une
technologie différente, consomment jusqu’à 30 A, prélevés sur le véhicule,
sous une température menant vers des emballements thermiques immédiats
engendrant une grosse évaporation par ébullition (avec perte d’électrolyte
importante). Leur consommation en eau peut être entre 5 et 10 fois
supérieure, alors que l’offre en gaz énergétique restera limitée entre 9
et 12 litres par heure. Certains, confondant alors volontairement
gaz et vapeurs nocives (chargées d’électrolyte) feront alors une simple
règle de trois, pour transformer mathématiquement la quantité d’eau
évaporée et consommée par effet joule en une quantité supposée de gaz
équivalent produit (ce qui est faux !) : Arrivant ainsi à tromper les
utilisateurs en prétendant produire 1 litre de gaz toutes les 4 secondes,
alors que la réalité de ce type de montage empirique, parfaitement
démontrée scientifiquement, indique qu’un maximum de 10 à 12 litres réels
de gaz énergétiques ont été produits à l’heure et que près de 500
millilitres d’eau ont été transformés uniquement en vapeur d’eau, chargée
d’électrolyte! De tels produits démarrent généralement entre 12 et 15 A,
puis glissent très rapidement en température vers une consommation de 25 à
30 A. Ce type de comportement et le fait que les consommations en eau, en
électricité et en électrolyte, deviennent excessives, signent la mauvaise
efficience du produit et les déperditions énergétiques par emballement
thermique dues à l’effet joule.
Le calcul à faire pour démontrer cette réalité est simple :
pour évaporer un gramme d’eau il faut environ 450 Calories.
1
Watt/heure = 860 Calories/heure et 1 Watt/heure permet d’évaporer 1,9
grammes d’eau.
Un électrolyseur de ce type, fonctionnant entre 25 et 30 A, évapore
environ 500 grammes d’eau par heure en régime de croisière, soit 250 à 300
W/heure perdus par effet Joule (signé par l’emballement thermique et le
glissement caractéristique des paramètres électriques!) En effet, ce type
d’électrolyseur n’utilise généralement que 60 à 80 W pour faire un peu de
gaz, alors que 250 à 300 W sous 13,5 V (Batterie plus alternateur en
fonctionnement) sont gaspillés en pur échauffement thermique.
Etant donné qu’un litre d’eau (ou 1000 grammes d’eau) se dissocie en 1850
litres de gaz hydrogène et oxygène, ces 500 grammes d’eau évaporée
pourraient être assimilés (par erreur) à une production de gaz
équivalente, calculée frauduleusement et inversement comme suit :
(1850 litres de gaz/1000 grammes d’eau) x 500 grammes d’eau évaporée =
925 litres d’équivalent gaz/heure
Soit une production assimilée par erreur à 1 litre de gaz toutes les 4
secondes! Ceci reste donc une très grossière erreur à ne pas commettre, si
on ne veut pas ridiculiser la profession …
Parce que d’autres produits de ce type, risquant d’induire les
utilisateurs en erreur et pouvant nuire à l’utilité réelle du procédé,
seront très certainement proposés, il était important de le démontrer.
Ceci explique en même temps pourquoi il y a encore actuellement peu d’élus
dans ces domaines : l’apport de ce gaz di-hydroxygène, comme
enrichissement de nos carburants pour améliorer le rendement de nos
moteurs, sera d’autant plus efficace qu’on ne gaspillera pas stupidement
l’énergie initiale produite par ces moteurs.
Cette caractéristique
essentielle, propre à notre technologie, nous permet de vous garantir un
produit sans danger et d’une bien meilleure efficacité. Parce que le
générateur H2O UTOPIA TECHNOLOGY transforme la quasi totalité de son eau
en gaz, et non pas en vapeur, nous travaillons avec une concentration en
électrolyte dérisoire (non agressive), et cette charge ionique ne sera à
renouveler que beaucoup plus rarement.
Pour ceux qui douteraient encore de notre avance technologique, il sera
bon de méditer sur ce qui suit. L’intérêt majeur du module hybride "VORTEX
- ELECTROLYTIC - INTENSIFIER", mis en œuvre dans cette électrolyse non
conventionnelle, appliquée sur le générateur H2O UTOPIA TECHNOLOGY, reste
d’autoriser une réelle amélioration des caractéristiques moteur et du
rendement global.
Jamais la moindre baisse de puissance ne pourra être constatée sur un
véhicule neuf ou ancien, puisque l’apport exclusif d’un gaz purement
énergétique (et non de vapeur d’eau incontrôlée) démontre une augmentation
du couple moteur, plus de puissance, et une diminution drastique des
émissions polluantes par amélioration de la combustion (plus régulière et
plus complète sur toute la surface du piston), entraînant mathématiquement
une augmentation d’autonomie des véhicules en kilomètre parcourus, pour
une même dépense en carburant. L’acquisition d’une bonne maîtrise de la
dépense en énergie électrique, initiant le processus reste donc
primordiale ! (3 à 4 W par litre de gaz, au lieu de 15 à 35 W par litre,
ce n’est pas anodin). Chacun est donc aujourd’hui à même de constater que,
grâce à l’apport d’une telle technologie Haute Fréquence, additionnée à la
régulation dynamique due à la masse inertielle du véhicule et au processus
de récupération d’énergie, nous en arrivons maintenant à produire des
quantités non négligeable de gaz énergétique additionnel, "presque" sans
consommation d’énergie supplémentaire.
PROSPECTIVE : Et si la
Voiture à Eau devenait un jour réalité ?
Prochainement, l’apport
d’un mini turboalternateur embarqué, additionné à cette technologie,
permettra de récupérer en énergie perdue jusqu’à 6 Kw d’énergie électrique
gratuite, à partir des seuls gaz d’échappement moteur, permettant de
multiplier par 100 et plus notre production en gaz hautement énergétique.
Imaginez alors quel fabuleux espoir pour demain !
Alors nous ne
sommes déjà plus dans la fiction puisque cette technologie existe et que
nous la maîtrisons, car 3000 litres de gaz par heure, autoproduits et
autoconsommés en roulant, n’est ce pas un schéma réaliste et
envisageable de VOITURE à EAU, par une simple extension de notre
procédé, même en gardant éventuellement une infime quantité de notre
carburant habituel ?
Si vous y croyez et que cela vous tente, merci de
continuer de nous apporter, très nombreux, votre soutien …
E
- Hydrogène et couche d'ozone :
"vaine polémique" dit Jean-Marc Moreau "l’hydrogène et l’oxygène
dépolluent la Planète !"
"Un carburant
alternatif qui déchire... la couche d'ozone" (source
13/06/2003 http://www.transfert.net/a8964)
Dossier : "L'impasse énergétique" /
"L'hydrogène, une énergie (presque) propre"
"Selon des chercheurs du
California Institute of Technology (Caltech), la généralisation du moteur
à hydrogène provoquerait une extension du trou de la couche d'ozone. Et
ce, en raison des fuites de gaz inévitables que cela engendrerait.
Alors que nombreux sont ceux qui doutent que ce combustible soit une
solution à l'accroissement des émissions de gaz à effet de serre (Voir Le
moteur à hydrogène, une solution miracle contre la pollution ?), cette
découverte indique que l'hydrogène pourrait se révéler encore plus néfaste
pour l'environnement que les énergies fossiles qu'il est censé remplacer.
Simulation informatique
Dans un article paru dans Science, Tracey K. Tromp, Run-Lie Shia, Mark
Allen John M. Eiler, Y. L. Yungont, chercheurs au Caltech, estiment
l'impact qu aurait sur l'environnement une économie basée sur l'hydrogène.
Pour cela, ils se sont servis d'une simulation informatique qui leur a
permis de tester plusieurs scénarios, en fonction de paramètres comme la
production totale d hydrogène ou la quantité de ce gaz qui peut être fixée
par les organismes et les minéraux.
En se basant sur un taux de fuite de 10% - bien inférieur à celui aujourd
hui constaté pour les moteurs à hydrogène, l'équipe du Caltech estime
qu'en cas de passage à une économie tout-hydrogène, 60 à 120 millions de
tonnes de ce carburant seraient relâchés dans l'atmosphère. Soit 4 à 8
fois plus ‘qu actuellement.
En s'accumulant et en se transformant en eau dans les couches supérieures
de l'atmosphère, ce gaz provoquerait une "humidification" de la
stratosphère, ce qui aurait pour effet de fragiliser la couche d'ozone en
interférant avec les réactions chimiques qui entretiennent cette dernière.
Selon les chercheurs, un passage brusque au tout-hydrogène entraînerait
une rétraction de 7 à 8% de la couche d'ozone aux deux pôles.
Stabilisation fragile
La couche d'ozone permet de filtrer la plupart des rayons ultra-violets
solaires, qui sont responsables, entre autres, de cancers de la peau. Dès
les années 1970, on s'était aperçu que l'accumulation dans l'atmosphère
des composés CFC, utilisés dans les aérosols et les réfrigérateur, avait
entraîné une "fonte", puis un déchirement de cette couche d'ozone.
Au milieu des années 80, ce problème avait provoqué une prise de
conscience mondiale et entraîné, contrairement au problème des gaz à effet
de serre, une réponse volontariste globale d'élimination des CFC. Quinze
ans plus tard ces mesures semblaient porter leurs premiers fruits : des
clichés satellites montraient en effet que la couche d'ozone avait cessé
de se désagréger. Une stabilisation fragile, et qui pourrait être remise
en question par l'utilisation du carburant hydrogène si les craintes des
scientifiques du Caltech se confirment." Yaroslav Pigenet
Des amis nous
ayant transmis cet article au moment de la préparation de cette page, nous
avons
demandé à Jean-Marc Moreau ce qu'il en pensait. Voici sa réponse
:
Des polémiques
environnementales vaines : L’hydrogène
et l’oxygène dépolluent la Planète !
Des chercheurs
’’découvrent’’ un vilain défaut à l’hydrogène :
l’hydrogène
détruirait la couche d’ozone ?
par Jean-Marc Moreau
Ce que
j’en pense ? Si cet ‘’hydrogène sale’’, distribué à la pompe,
devait avoir ce pouvoir maléfique, alors le gaz noble di-hydroxygène
(issu de l’eau), que nous utilisons, aux vertus ré hydratantes et
au pouvoir de décontamination radioactive, pourrait bien avoir un
réel avenir dans le paysage énergétique actuel !
Cependant, comme en matière de désinformation et de manipulation, au
service d’intérêts égoïstes et privilégiés, tout est possible, ce
type de démonstration ’’pseudo scientifique’’ (ou réellement
scientifique ???) est à coup sûr destiné à jeter le doute sur une
économie hydrogène que de nombreux lobbies redoutent …
Il faut
savoir qu’il existe des théories alarmistes similaires sur
l’exploitation de l’énergie du vide quantique (ZPE), indiquant que
si nous devions réussir à l’utiliser à grande échelle sur notre
malheureuse petite planète, pourtant ’’bien dérisoire’’, nous
pourrions déséquilibrer l’univers tout entier et nous diriger vers
un énorme ’’Scratch planétaire’’ !
Et
pourtant qu’est-ce qu’ils en savent ?
Rappelez-vous la bataille du rail, à cette époque quelques hommes de
sciences affirmaient que l’homme ne pourrait survivre s’il se devait
d’être soumis à des vitesses supérieures à 100 kilomètres par
heure.
Ceci indique juste qu’en masquant
quelques autres réalités scientifiques qui changent toute la donne,
ils peuvent, par malhonnêteté intellectuelle ou par simple
aveuglement et méconnaissance, tenter de dissuader de s’engager vers
de nouvelles voies, pourtant probablement indispensables et utiles
pour la Planète. Bref, comme ils n’ont pas le quart des données
réelles pour répondre à cette éventuelle problématique, il y a plus
de chance qu’ils se soient fait plaisir en nous bâtissant sur
informatique un scénario idéal pour servir des buts inavouables, que
toute autre hypothèse sérieuse et globale à prendre en
considération. *
Ces
gens là en pensent quoi de la multitude des explosions atomiques,
atmosphériques et souterraines, qui se sont perpétuées durant un
siècle à la surface de la Terre ? Ce type d’âneries et combien
d’autres toutes aussi stupides, ça donne quoi dans notre atmosphère
ambiante et dans notre stratosphère, ça fait quoi à la couche
d’ozone ? … Et est-ce que l'exploitation raisonnable de
l'énergie quantique (ZPE) ou du gaz di-hydroxygène disloquerait
(théorie alarmiste pas forcément fondée) notre planète au sein de
l’Univers ? Elle a subi plus violent et est toujours là même
bien endommagée...
Cependant, si quelques unes de ces analyses devaient s’avérer
exactes, cela signifierait surtout que ce n’est peut être pas
l’économie Hydrogène qu’il faudrait remettre en question, mais la
manière employée à grande échelle pour fabriquer cet hydrogène, et
surtout la manière de stocker et de distribuer à grande échelle cet
hydrogène. C’est un peu comme pour le CO2 : Celui provenant de la
combustion de nos énergies fossiles déséquilibre notre atmosphère
terrestre, alors que celui qui est issu de nos bio-carburants conçus
en surface ne perturbe pas cet équilibre.
Suivant
ce même schéma, il y a de fortes chances que l’économie tout
hydrogène, distribué à la pompe, à partir d’un hydrogène pur,
produit par reformage du méthane, ou de tout autre moyen similaire,
puisse à terme nous mener vers quelques inconvénients à la hauteur
de ceux rencontrés par l’utilisation intensive de nos carburants
habituels. Et parce que cet hydrogène sera conditionné sous
pression, il y aura assurément des fuites importantes et des pertes
…
Et
parce que cet hydrogène est isolé et séparé d’un oxygène terrestre
qu’il affectionne, nous pouvons imaginer que les avions qui
utiliseront ce carburant, pourraient alors être accusés, suivant les
hypothèses alarmistes de Caltech, de détruire la couche d’ozone …
Alors,
ceci démontre juste que ce n’est peut-être pas l’économie hydrogène
qu’il faut remettre en cause, mais juste les moyens de fabriquer cet
hydrogène et la manière de l’utiliser sur terre. Les chercheurs de
Caltech se sont focalisés sur l’utilisation du carburant ’’pur
hydrogène’’, privé de son équilibre naturel : l’oxygène . Il ne faut
jamais briser totalement l’équilibre !
Au
niveau terrestre, en transport routier, fluvial ou maritime,
l’utilisation d’un carburant Di-Hydroxygène, autoproduit et
autoconsommé en roulant (en flottant) annule totalement cette
hypothèse.
En
effet ce gaz parfaitement équilibré pour redevenir immédiatement de
l’eau, n’étant ni stocké, ni distribué à la pompe, mais produit
uniquement moteur tournant sur chaque véhicule, n’aura jamais
l’occasion de monter vers les hautes couches de la stratosphère. Et
ceci démontre une nouvelle fois que l’économie hydrogène ne peut
être viable et non risquée sur un plan environnemental, que si elle
s’accompagne de l’autonomie hydrogène, non centralisée. Nous devons
privilégier la fabrication et l’utilisation de ce gaz hydrogène dans
son seul rapport idéal 2/3 1/3 avec son oxygène, dans des système
de combustions par admission dépressionnaire (cas de nos véhicules
à moteurs thermiques). Pour rester dans ce scénario favorable et
réaliste, ce gaz Di-Hydroxygène ne peut provenir que de l’eau, et
nous devons alors proscrire toute fabrication d’hydrogène par
reformage de méthane ou de carburant fossile.
Au
niveau aérien, la problématique est toute autre, cependant on pourra
utilement se demander comment se réalise actuellement la combustion
de nos hydrocarbures habituels en haute atmosphère, tout en s’y
délestant du carbone en supplément ? Il me semble que le comburant
utilisé exclusivement par nos avions actuels est bien l’oxygène
prélevé en altitude. Actuellement la combustion des molécules
d’hydrogène contenues dans les hydrocarbures de nos avions se
re-combinent avec l’oxygène atmosphérique pour faire de la vapeur
d’eau (Qui n’a jamais perçu ces traces dans le ciel ?). Alors, à
énergie de propulsion sensiblement égale, il y a peu de chance que
l’hydrogène, utilisé en propulsion aérienne, provoque une
humidification supplémentaire à celle initialement provoquée par nos
avions habituels, déjà accusés de détruire la couche d’ozone, il ne
faut pas l’oublier.
Alors,
si nous voulons éviter cela, nous devrons, soit éliminer le
transport aérien pour privilégier le transport maritime, soit plus
sérieusement étudier comment on pourrait à la fois utiliser les
avions sur la base d’un carburant propre, à partir d’un gaz
essentiellement issu de l’eau, et utiliser systématiquement sur
chaque avion des dispositifs de compensation régénérateur d’ozone en
haute atmosphère.
Ma
conviction personnelle, issue d’une logique d’équilibre, reste que
l’utilisation privilégiée à grande échelle d’un gaz Di-Hydroxygène,
autoproduit et autoconsommé à la demande, reste une alternative
sûre, pouvant nous mettre à l’abri de ce type d’hypothèse alarmiste
du tout hydrogène ("’Pur Hydrogène").
Ceci
démontre juste que les simulations informatiques, débouchant sur ce
scénario catastrophe, ne prennent en compte qu’un aspect du futur
possible de l’économie hydrogène, à travers les procédés classiques
et universellement connus de production de cet hydrogène. La
production d’un gaz hybride, contenant aussi en association la
molécule oxygène (garante d’un reformage en surface en eau, sans
dispersion en altitude) n’est ici pas mentionnée.
Ainsi,
si les auteurs de ce rapport alarmiste veulent signifier que ce type
d’hydrogène n’est pas une énergie, mais un simple support et vecteur
énergétique, et qu’il nous faudra en plus couvrir la terre de
centrales nucléaires et autres moyens classiques pour produire ce
’’sale hydrogène’’, alors nous sommes bien d’accord que cette
économie hydrogène n’apportera rien de plus et que la dégradation
de la couche d’ozone et autres problèmes annexes, qui
s’amplifieront. C’est juste une fois de plus une confirmation que
notre vieux schéma énergétique ne peut nous mener qu’à la
catastrophe .
Cependant, si les virtuoses de l’informatique, qui projettent ces
simulations, voulaient bien se donner la peine d’étudier l’ensemble
des autres théories fiables et démontrées qui laissent espérer de
nouveaux moyens de produire proprement, sous très haut rendement, un
gaz Di-Hydroxygène propre, ils déboucheraient assurément vers
d’autres scénarios possibles et tout aussi réalistes . Il suffit de
prendre connaissance de l’ensemble des travaux présentés lors de
l’ICCF-11 (Dernière conférence internationale sur la Fusion Froide,
réunissant à Marseille le 31 Nov. 2004, les plus éminents chercheurs
du monde entier). Faites une recherche sur les deux sujets
suivants :
’’ Expérimental study of glow discharge in light water with W
electrodes.’’ By D.Y. Chung, T.Mizuno, Y. Aoki, F.Senftle .
’’ Cold Fusion and the Future’’ by Jed Rothwell LENR-CANR.org
Ces
technologies, ne sont plus du domaine de la fiction, mais une
réalité palpable, et il en est de même des travaux annexes
débouchant sur des principes d’électrolyse sous basse température,
de gaz hydrogène + oxygène, par des procédés de dissociation
moléculaire non conventionnels, expérimentés par différents
chercheurs à travers le monde, démontrant des rendements inespérés
en quantité de gaz produit par Watt heure consommé (Kanarev).
Ce qui
reste réconfortant c’est que ces imprécisions volontaires permettent
d’affirmer qu’il y a peu de chance que le gaz hybride issu de l’eau,
et que nous utilisons dans nos applications, ne modifie un jour la
couche d’ozone . Car au niveau même de nos applications actuelles,
cette eau devenue gaz sur le véhicule puis immédiatement redevenue
eau, seulement quelques secondes après avoir subi cette
transformation, en repassant par la chambre de combustion du moteur
(et sans pouvoir s’en échapper), reste véritablement l’une des plus
belles façons, écologiquement propre, d’utiliser en combinaison
intime le gaz hydrogène et le gaz oxygène.
L’économie Hydrogène vue sous cet angle est promise à un bel avenir,
et pourra prétendre à être qualifiée de procédé universel de
dépollution de la planète, sans risquer la moindre critique vis à
vis d’éventuels inconvénients envers notre environnement . Utiliser
le gaz di-hydroxygène actuellement sur nos véhicules c’est
réellement participer au sauvetage de la planète, en réduisant
jusqu’à 50 % (et plus) les émissions polluantes et en participant à
hauteur de 20 à 30 % minimum à la diminution des gaz à effet de
serre (CO2), responsables du réchauffement planétaire et des
bouleversements climatiques actuels.
En ce
sens tout rapport abusivement alarmiste, refusant la prise en compte
de ces nouvelles réalités énergétiques, progressivement en train de
s’imposer, reste incomplet et fort suspect.
La
Terre est en Feu, et nos discours doivent être guidés par le sens de
la responsabilité. La Santé de la Terre n’est pas négociable !
Jean-Marc MOREAU ( H2O Utopia Technology )
*
"Un chercheur américain sur trois
confesse avoir péché : 15% avouent avoir cédé aux pressions
de ceux qui financent leurs recherches. Résultats falsifiés, oubli
volontaire de données suspectes, utilisation non autorisée de
données confidentielles, usage d'une idée d'autrui… Les
scientifiques américains ne se distinguent pas en matière de
déontologie. Selon une enquête publiée cette semaine dans Nature, un
tiers des scientifiques du Nouveau Monde confesse avoir fauté au
cours des trois dernières années."
voir
http://www.arsitra.org/forum/index.php
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