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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 05/11/2005 - mise à jour le 15/11/2005 

H2O Utopia Technology est arrivée au stade de la livraison, très attendue, de ses premiers générateurs de gaz Di-Hydroxygène.
Ils vont être expérimentés sur plusieurs véhicules dont les propriétaires communiqueront leurs résultats et commentaires.
Nous félicitons Jean-Marc Moreau et son équipe pour en être arrivés là, en présentant un générateur tout à fait "pro" car chacun sait bien qu'une petite entreprise à l'échelle artisanale n'a pas les mêmes facilités qu'une grosse société.

En prenant connaissance de cette page (un extrait des documents communiqués par Jean-Marc Moreau), vous comprendrez sans doute la complexité des études ayant permis d'arriver au stade actuel du générateur. Mais la compétence et la générosité de Jean-Marc ont encore beaucoup à nous offrir...

A suivre !

 

 

H2O Utopia Technology

de Jean-Marc Moreau, ingénieur R&D

  www.utopiatech.fr

Au service d’enjeux planétaires majeurs : un concept technologique exclusif, simple et facile à mettre en œuvre pour moins polluer, afin de moins consommer.

 

A - H2O Utopia Technology  et ce qui se fait ailleurs

B - Le générateur de gaz Di-Hydroxygène

C - Gains réels et réalistes en autonomie carburant

D - Programme hydrogène

1 - Principe de fonctionnement de H2O UTOPIA TECHNOLOGY et règles de protection et de sécurité
2 - Protections électroniques : (Des règles de Sécurité draconiennes !)
3 - Attention ! erreurs à ne pas commettre

PROSPECTIVE : Et si la Voiture à Eau devenait un jour réalité ?

                   E - Caltech : hydrogène et couche d'ozone : "vaine polémique" dit Jean-Marc Moreau  "l’hydrogène et l’oxygène dépolluent la Planète !"

 

 

A - H2O Utopia Technology

de Jean-Marc Moreau

Une prouesse technologique à découvrir

  • La plus forte quantité de gaz pur produit, hydrogène + Oxygène, par Watt / Heure consommé, parmi tous les générateurs embarqués actuellement développés sur le marché mondial .  

 

  • Une technologie d’électrolyse 3 Fils, auto accordée et auto protégée unique au monde : une multitude de capteurs et d’informations ’’Feedback’’ communiquant sans câblage complexe . 

 

  • Une stabilité thermique inégalée et une efficience encore jamais rencontrée

 

  • Le plus petit générateur de gaz ’’Haut Débit’’, autonome et autorégulé, adaptable sans câblage complexe et sans modification du moteur, sur tout type de véhicule. Une base technologique idéale pour la  mise en place rapide, et indispensable aujourd’hui, d’un bouclier planétaire de protection environnementale  

 

 

 

 

 

 

3 à 4,3 W/heure par litre de gaz produit

 (Procédé  H2O Utopia Technology / 30 litres heure *)

* Note :  Produit standard 30 litres/heure (Calibrage usine autorisant  35 à 52 litres heure)

 

Le 1er Electrolyseur embarqué Haut Débit, sur le Marché Mondial

 

"Ainsi, si aujourd'hui j'affirme que ce produit est le premier électrolyseur commercial au monde, sécurisé et asservi, produisant 30 litres par heure de gaz sur une voiture, en utilisant la plus faible quantité d'énergie prélevée, ce qui est un critère essentiel, c'est que ceci peut aujourd'hui même être démontré en laboratoire, devant toute personne s'intéressant à ce sujet (Sur rendez-vous tout de même)."

Ecrire par MAIL à l’adresse suivante :  jmm.moreau@laposte.net

 

et ce qui se fait ailleurs

en Amérique du Nord en électrolyse embarquée basse tension

Pour mesurer l’avancée technologique de ces travaux de recherche dans le secteur de l’électrochimie et particulièrement de l’électrolyse embarquée basse tension, nous pouvons nous référer aux produits concurrents Nord-américains, à travers trois sociétés oeuvrant dans le domaine du Transport Poids Lourds  (Truck), et fournissant des électrolyseurs pour assistance hydrogène (Poids : 45 kg , Dimensions :  60 cm x 30 cm x 30 cm ), commercialisés entre 14000 et 17500 Dollars, fonctionnant suivant les critères ci-dessous :   

     -   Consommation en eau :  1,8 litres d’eau pour 90 heures de fonctionnement
-
         
Consommation énergétique :  15 A
-
         
Tension d’alimentation :  24 V  /  Soit  27,5 Volts avec alternateur
-
         
Quantité d’énergie instantanée consommée :  27,5 x 15  =  412 W
-
         
De cette consommation non négligeable, nous pouvons déduire avec certitude que 30 % de ces 1,8 litres d’eau seront assurément transformés en vapeur résiduelle durant ces 90 heures de fonctionnement  (d’où la présence d’un filtre séparateur  intermédiaire)
-
         
Soit 1,8 litres d’eau – 30 % d’évaporation  = 1,26 litres d’eau transformés en gaz
-
         
Un litre d’eau se dissocie en 1850 litres de gaz Di-Hydroxygène  (loi physique)
-
         
La quantité réelle de gaz produit en 90 heures sera donc de : 1,26  litres d’eau multiplié par 1850 litres =  2331 litres de gaz
-
         
Soit une production de :  25,9 litres de gaz pur par heure . 
-
         
Efficience :  412 W / h pour 25,9 litres de gaz

 Soit un rendement de : 15,9 W/heure par litre de gaz produit

 

Constat : Actuellement  15 W par litre de gaz produit correspondent au rendement constaté sur les meilleurs électrolyseurs professionnels basse tension présentement sur le Marché.  Les moins performants, travaillant sans régulation, en sont encore autour de 30 W/litre de gaz  ( avec effet joule important garanti ). Sur cette base, un autre produit, dédié voiture, vient d’être présenté par la Gazette de Montréal  (Septembre 2005). Utilisant 1 litre d’eau pour 80 heures de fonctionnement, sur la base de 30 % consommés en évaporation diffuse sur 80 heures, ce produit possède un débit horaire moyen de 16 litres de gaz par heure  (Prix de vente envisagé : 7500 Dollars).  Ces technologies nouvelles, débouchant sur des marchés porteurs énormes, se négocient actuellement à hauteur de plusieurs dizaines de millions de dollars en direction de pays demandeurs, par les différents acteurs du domaine,  maîtrisant cette technologie.

 

 

 

  

 

B - Le générateur de gaz Di-Hydroxygène

H2O Utopia technology

"Deux éléments idéalement accordés, dans un tourbillon aquatique Haute Fréquence de milliards de micro bulles de gaz énergétique (Vx Technology)"

"Communiquer sur un seul fil, les multiples informations de niveaux d’eau, de température, de qualité ionique du liquide et des paramètres d’accord du réacteur d’hydrogène, ceci dans un concert d’harmoniques HF de la plus belle des signatures, reste un exercice d’électronique fort captivant, à la limite de la torture mentale !"  

" Les deux défis technologiques majeurs à relever, très coûteux en temps, furent de maîtriser l’emballement thermique en pulvérisant les barrières habituellement infranchissables en matière de rendement, et de faire communiquer l’ensemble sur un seul fil"   (J-M  Moreau ) 

 

 

 

L'élément de contrôle  du générateur de gaz Di-Hydroxygène

H2O Utopia technology

 

 

UTOPIATECH (www.utopiatech.fr) propose aux investisseurs du monde entier de découvrir un produit innovant  possédant des caractéristiques inconnues à ce jour sur le marché. Un principe d’électrolyseur 3 fils, avec feedback intégré (9,5 cm x 42 cm ), ayant une efficience exceptionnelle de :   

3 à 4,3 W/heure par litre de gaz produit

 (Procédé  H2O Utopia Technology /30 litres heure)

Démonstration garantie d’un débit constant de 30 litres de gaz pur, par heure, sous très faible énergie consommée, à partir du produit de série.

Sur la base d’un électrolyseur miniature modulable, pour la réalisation d’une gamme d’électrolyseurs embarqués de 30 à 300 litres heure et plus.

Une technologie unique et inégalée à ce jour sur le marché mondial des électrolyseurs embarqués, qui doit dès maintenant être partagée par le plus grand nombre de pays à forte concentration de véhicules. Les investisseurs, conscients des enjeux planétaires d’un tel dispositif anti-pollution appliqué à grande échelle (avec retour d’investissement garanti par les économies de carburant engendrées), sont invités à se manifester et à prendre rendez-vous pour une démonstration, dans notre laboratoire, du potentiel de cet électrolyseur hors du commun, et à télécharger prochainement le dossier : ’’ Bouclier Planétaire.pdf ’’. Une technologie recommandée pour embellir le parc automobile actuel (deuxième monte), ou pour intégrer en série sur les véhicules neufs  (Constructeurs).

 

 

 

C - Gains réels et réalistes en autonomie carburant

pouvant être effectivement constatés en conduite mixte apaisée ?

EXEMPLE  PRATIQUE  :  Véhicule de marque MITSUBISHI, Type SPACE WAGON 1992 - (270000 Km / Moteur Turbo Diesel avec Turbo usagé d’origine)

 Trajets réitérés (allers et retours)  : Saumur-Orléans- Saumur, soit plusieurs fois 400 Km

Consommation habituelle de ce véhicule usagé :  8 litres pour 100 Km sur ce type de trajet (grandes routes + Ville) soit 700 Kilomètres avec un plein de carburant de 56 litres de Gasoil). Avant montage du dispositif standard H2O UTOPIA TECHNOLOGY de dépollution globale et d’optimisation de la combustion, par Assistance Hydrogène :  Modèle H2UT30 + MC²E .

Sur la base de ces trajets réitérés  SAUMUR / ORLEANS / SAUMUR  (via NOYANT, CHATEAU LA VALLIERE / BLOIS), le plein de carburant habituel autorise, avec ce même véhicule équipé du dispositif :  1050 à plus de 1100 Kilomètres (entre les passages à la pompe).

Cette expérience quantifiée a été réalisée en roulant entre 90 et 100 km/heure, afin de respecter les limitations de vitesse  (Trajets effectués en plein jour, avec certains parcours sous la pluie et embouteillages sur Orléans aux heures de pointe). Vidange réalisée avec l’apport d’un additif de protection Anti-Friction, un filtre à air usagé mais nettoyé et soufflé, et des pneus correctement gonflés (ceci afin d’indiquer très honnêtement que toute la performance ne peut être attribuée au seul procédé H2O Utopia Technology, mais à l’ensemble de ces mesures).

L’apport de gaz continuel, auto fabriqué sur le véhicule et mesuré durant les trajets, démarrait sur une valeur de 30 à 35 litres / heure en début de parcours pour se stabiliser autour de 50 litres / heure de gaz pur Hydrogène + Oxygène,  durant ces parcours de 400 Kilomètres environ. L’énergie prélevée restant modeste, de par la bonne efficience du dispositif et les moments d’inertie du véhicule, on constate que l’apport de ce gaz très énergétique est significatif, et que grâce au processus de reformage du carburant initial, une réelle et importante autonomie supplémentaire peut être constatée. A noter que, pris dans les embouteillages sur Orléans et plus généralement lors des arrêts à chaque feu rouge, une belle régularité du ralenti moteur  est observable (avec quelques dizaines de tours minutes supplémentaires). N’oublions pas, pour commenter et analyser en toute objectivité ces phénomènes, que le gaz di-hydroxygène reste le gaz le plus énergétique connu à ce jour, et que l’hydrogène possède un pouvoir de détonation très important et une vitesse de propagation de flamme 14 fois supérieure à celle du gaz naturel, et 9 fois supérieure à celle de l’essence.  Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que cette vitesse de propagation agisse en synergie avec les propriétés du carburant habituel, pour engendrer une combustion plus complète au sein du moteur, garantissant des taux d’émissions polluantes à la baisse et plus de kilomètres parcourus avec un même plein de carburant **. 

Si rien n’indique, à travers cet exemple, que ce cas de figure sera reproductible à l’identique sur chaque véhicule, il laisse en revanche entrevoir ce qui à ce jour a été universellement constaté à travers le monde dans de nombreux essais, c’est à dire que des gains en pollution jusqu’à hauteur de 50 % seront quasi toujours acquis *** et que suivant les véhicules : 20 %,  30 %,  40 %, ou ici  50 % de kilomètres en plus sont envisageables !

** Il est d’autre part à noter que suivant l’âge et le kilométrage du véhicule, ces performances iront croissantes sur quelques mois, durant toute la phase préliminaire de nettoyage et de décalaminage de la chambre de combustion, opérée par l’utilisation de ce gaz .

*** le contrôle sera publié prochainement

 

 D - Programme hydrogène

 

PROGRAMME     HYDROGENE

Un enjeu majeur et incontournable : 50 % de remise garantie sur l’Etat de Santé de la Planète

 GESTION DU MODULE HYBRIDE DE PUISSANCE

 ’’VORTEX ELECTROLYTIC INTENSIFIER’’

 (Harmonic Hight Frequency Electrolytic Intensifier)

 VTFE Technology:  VORTEX Torsion Field Effect Technology (ZPE)

 Application du Procédé H2O UTOPIA-TECHNOLOGY *

1 - Principe de fonctionnement
2 - Règles de protection et de sécurité
3 - Erreurs à ne pas commettre

PROSPECTIVE : Et si la Voiture à Eau devenait un jour réalité ?

 

 

* Procédé exclusif H2O Utopia Technology d’électrolyse HF par ondes VORTEX, assisté par récupération d’énergie, déposé auprès de l’INPI (Institut National de la Protection Industrielle) par Jean-Marc Moreau le 1er Octobre 2005. Droits de Propriété Antériorité : J-M M et Fils, déposants, 49160 St Philbert du Peuple – France Parce qu’aucun autre électrolyseur au monde ne peut s’identifier à notre cellule Feedback, 3 fils, et parce qu’aucun autre produit ne peut imiter notre signature harmonique fréquentielle multiphasique et asymétrique, aucun Brevet bloquant, déposé par des imposteurs, ne pourrait être opérant par rapport à notre réalité technologique démontrée. Rien, ni personne ne pourrait entraver l’application conventionnelle depuis la France, ou sinon la diffusion moins conventionnelle depuis l’extérieur, d’un tel procédé légal et indispensable.   

 

 

 Juste un exercice pointu pour ingénieur ELECTRO-CHIMISTE :

Ne consommant que 3 à 4,5 W/h par litre de gaz produit, contre 15 à 35 W/h par litre pour l’ensemble des électrolyseurs 12 V répertoriés sur le marché mondial, et commercialisés à ce jour (10 W sur quelques rares gros électrolyseurs 24 V), les performances de notre électrolyseur restent d’autant plus honorables si on prend en compte le constat que, travaillant sur la base d’une électronique Haute Fréquence de Puissance, une partie de cette énergie reste dissipée par les seuls transistors de puissance et selfs d’accord harmonique (contrainte technologique HF difficile à minimiser, malgré un choix de composants de dernière génération). Par déduction, il apparaît que pour la première fois un procédé d’électrolyse à très haut rendement serait ainsi aujourd’hui commercialisé. Bien que très rarement constatés à ce jour dans les laboratoires sur des électrolyses en volume, de tels rendements restent du jamais vu sur des produits commerciaux, y compris à travers les innombrables INTOX du Net décrivant des schémas d’électrolyseurs 12 V incapables de descendre en dessous de cette barrière de 15 W/h par litre de gaz produit… Quelques Pionniers nous ont ouvert la voie (Stanley Meyer, A. Puharich et quelques autres…) aucun n’a réussi à aller jusqu’au produit de série… Car, c’est une chose de faire un Proto qui démontre une belle formation de Gaz, des dépôts et des formations de boue, sous un encombrement important, mais c’est une toute autre histoire d’en faire un produit de série, possédant une bonne efficience, parfaitement sécuritaire et gommant ces inconvénients. C’était aussi cela notre Challenge ! 

Programme de recherche

Aujourd’hui, nous travaillons à la suite du programme : Electro-Cinétique par force centrifuge, initiée par MHD, et Sono-Fusion à 110 dB par pression acoustique HF et effets de torsion de champ, sont déjà en cours d’expérimentation… D’énormes efforts ont ainsi été réalisés pour vous offrir le meilleur de la technologie actuelle dans ce domaine de l’électrolyse embarquée. Un produit peu gourmand en énergie électrique prélevée, nous garantit surtout un meilleur rendement et des échauffements fortement minimisés. Car mettez une petite bougie sous une casserole d’eau durant 8 heures et mesurez sa température finale…vous découvrirez ainsi juste une infime partie des problèmes ardus à résoudre, lorsque l’on veut réaliser un bon électrolyseur pour Poids Lourds et véhicules légers.  Cette maîtrise énergétique reste essentielle !

 

 

1 - Principe de fonctionnement de H2O UTOPIA TECHNOLOGY et règles de protection et de sécurité :

 

Le procédé H2O UTOPIA TECHNOLOGY définit un électrolyseur à très haut rendement, pourvu d’un système de récupération d’énergie et utilisant des harmoniques Hautes fréquences, favorables à la dissociation de la molécule d’eau par effets de torsion de champs. Un algorithme complexe, gérant 182 fonctions mathématiques imbriquées ensemble, assure le maintien des paramètres de fonctionnement dans une fourchette idéale. Un auto calibrage permanent, basé sur l’analyse de 15 paramètres physico-chimiques, accorde en permanence le cœur du réacteur et garantit l’asservissement fréquentiel et la stabilité ionique du milieu.

Sur un plan purement électronique, ce générateur est asservi en puissance par 4 fréquences fondamentales ultrasonores, situées très au delà du domaine audible, excitant un orgue aquatique chargé de pulvériser le milieu électrolytique en milliard de micro bulles d’Hydrogène et d’Oxygène. Cet étage de puissance est accordé, grâce à des transistors HF choisis spécifiquement pour leurs réponses dans ce mode d’utilisation non conventionnel, afin de former un double oscillateur harmonique à ondes VORTEX, auto asservi par feedback aux ondes de formes complexes retransmises par une des branches de l’orgue aquatique, faisant parallèlement office de transducteur et de capteur électrochimique du milieu à analyser. Opérant dans les Mégahertz le procédé H2O UTOPIA TECHNOLOGY garantit une électrolyse efficiente, peu gourmande en courant consommé, prélevé sur le véhicule. Ainsi, alors que trop d’électrolyseurs, expérimentés sur des voitures, utilisent encore 15 à 35 W/heure par litre de gaz produit, notre électrolyseur embarqué bat des records en matière de consommation énergétique sur des véhicules, puisqu’il reste le seul à n’utiliser que 3 à 4,5 W/heure par litre de gaz produit. Ce "Tricotage" d’ondes particulier, électroniquement très élaboré, géré par logiciel dédié et enfoui en mémoire, nous permet d’entrevoir d’autres applications à venir, déclenchant par effet VORTEX une dissociation amplifiée  de la molécule d’eau. Notre électrolyseur accordé pourra ainsi recevoir ultérieurement de nouvelles versions "UP-GRADE", améliorant encore notre quantité de gaz produit par W/heure consommé ...     

2 - Protections électroniques : (Des règles de Sécurité draconiennes !)

 

  • 1  Si la tension batterie est trop basse, le générateur d’hydrogène le signale.
     

  • 2  Si la cuve du générateur n’est pas en eau, le générateur d’hydrogène reste sur arrêt.
     

  • 3  Si la concentration ionique reste insuffisante, le générateur d’hydrogène le signale.
     

  • 4  Si la température interne du générateur devient trop élevée, le générateur se met en sécurité, sur arrêt.
     

  • 5 Si le générateur est installé dans le coffre et que le bouchon de remplissage d’eau n’est pas hermétiquement fermé, une sécurité hydrogène*, calée sur 10 ppm, met le générateur en sécurité sur sa position arrêt, et actionne une alarme sonore. Seules la mise sur arrêt de la clé de contact et la résolution consécutive de cette étourderie autoriseront l’acquittement du défaut, et la remise en fonctionnement du générateur d’hydrogène. (*Option en sus) 
     

  • 6 Si la température du boîtier électronique dépasse une valeur critique, le générateur est mis sur arrêt, jusqu’au retour à une température de fonctionnement acceptable.
     

  • 7 Si le niveau d’eau mini est atteint, un voyant clignote dans l’habitacle pour indiquer la nécessité de faire l’appoint d’eau, lors du prochain plein en carburant (Modèle voiture). Un automatisme, géré par microprocesseur, actionne une pompe de remplissage sur la version Poids Lourds.
     

  • 8 Le voyant de report d’alarme différencie l’indicateur de remplissage en eau  (Niveau mini), des alarmes techniques de sécurité. En cas de niveau mini d’eau, le voyant clignote au rythme de 1 Flash par 10 secondes. En cas d’alarme technique de dépassement de paramètres et de mise en sécurité du réacteur les Flashs sont toutes les quatre secondes. Le voyant de report d’alarme peut être une double fonction d’un voyant déjà câblé au tableau de bord, ou sinon un voyant spécifique installé pour cet usage. 
     

  • 9 En câblant la fonction ’’RECUPERATION D’ENERGIE’’ ** du Processeur de Contrôle électronique sur un ’’Capteur d’Accélération Magnétique’’ (REF : AMC * *), nous optimisons au mieux l’intégration du procédé et favorisons un meilleur rendement global par récupération d’énergie.  En utilisant les ’’temps morts’’ de sollicitation moteur, chaque fois que nous levons le pied de l’accélérateur pour ralentir ou pour freiner, aux arrêts en ville ou dans les descentes en montagne et sur routes sinueuses, nous continuons de faire l’appoint de la charge batterie en énergie électrique gratuite, tout en mettant le générateur d’hydrogène dans un mode ’’REPOS PAR RECUPERATION D’ENERGIE’’. Cette énergie électrique gratuite, précieuse pour alimenter notre processus de décomposition de l’eau en gaz, sera ensuite à nouveau consommée par le générateur lors des périodes normales d’accélération. En effet, tout comme dans n’importe quel véhicule hybride, notre générateur fonctionnant exclusivement avec l’électricité produite par le véhicule, il a lui aussi, par cet artifice, une facilité innée à récupérer de l’énergie lors des périodes de décélération, améliorant ainsi le bilan énergétique global du véhicule :  La valeur réelle en Watts/heure consommés par le procédé H2O UTOPIA TECHNOLOGY, bénéficiant de cette ’’addition / soustraction’’ permanente, peut ainsi être globalement diminuée d’un pourcentage important.  L’autre intérêt majeur d’un tel dispositif étant de préserver le frein moteur, lors des descentes en montagne. (* * Option ’’AMC’’ à commander en plus).  
      

  • 10 Si le niveau d’eau maxi est atteint  (par mauvais remplissage)  ou que la sécurité ’’EAU / GAZ’’ détecte un risque de mélange EAU / GAZ, le générateur se met en sécurité, sur arrêt, avant que tout mélange EAU / GAZ important n’atteigne la conduite. L’eau n’étant pas compressible, le générateur H2O UTOPIA TECHNOLOGY gère électroniquement le processus pour n’envoyer exclusivement qu’un gaz, hautement énergétique et parfaitement compressible, vers le moteur. Notre technologie électronique nous permet de comptabiliser en millilitres / heure la quantité d’eau consommée, et de quantifier avec précision le nombre de litres de gaz proposés au moteur. Un litre d’eau peut se dissocier en 1850 litres de gaz Hydrogène + Oxygène. Parce que nous évitons les déperditions énergétiques, notre générateur standard  (modèle voiture) fabrique plus de 30 litres de ce gaz énergétique par heure, en ne consommant que 8 à 10 Ampères. Nous transformons ainsi la totalité d’un litre d’eau en gaz, en minimisant les pertes par évaporation : Ceci explique notre consommation d’eau dérisoire.

3 - Attention ! erreurs à ne pas commettre

 D’autres électrolyseurs Asiatiques ou Américains, travaillant sur la base d’une technologie différente, consomment jusqu’à 30 A, prélevés sur le véhicule, sous une température menant vers des emballements thermiques immédiats engendrant une grosse évaporation par ébullition (avec perte d’électrolyte importante). Leur consommation en eau peut être entre 5 et 10 fois supérieure, alors que l’offre en gaz énergétique restera limitée entre 9 et 12 litres par heure. Certains, confondant alors volontairement gaz et vapeurs nocives (chargées d’électrolyte) feront alors une simple règle de trois, pour transformer mathématiquement la quantité d’eau évaporée et consommée par effet joule en une quantité supposée de gaz équivalent produit  (ce qui est faux !) : Arrivant ainsi à tromper les utilisateurs en prétendant produire 1 litre de gaz toutes les 4 secondes, alors que la réalité de ce type de montage empirique, parfaitement démontrée scientifiquement, indique qu’un maximum de 10 à 12 litres réels de gaz énergétiques ont été produits à l’heure et que près de 500 millilitres d’eau ont été transformés uniquement en vapeur d’eau, chargée d’électrolyte! De tels produits démarrent généralement entre 12 et 15 A, puis glissent très rapidement en température vers une consommation de 25 à 30 A. Ce type de comportement et le fait que les consommations en eau, en électricité et en électrolyte, deviennent excessives, signent la mauvaise efficience du produit et les déperditions énergétiques par emballement thermique dues à l’effet joule. 

Le calcul à faire pour démontrer cette réalité est simple : pour évaporer un gramme d’eau il faut environ 450 Calories.

1 Watt/heure = 860 Calories/heure  et  1 Watt/heure permet d’évaporer 1,9 grammes d’eau.

Un électrolyseur de ce type, fonctionnant entre 25 et 30 A, évapore environ 500 grammes d’eau par heure en régime de croisière, soit 250 à 300 W/heure perdus par effet Joule (signé par l’emballement thermique et le glissement caractéristique des paramètres électriques!) En effet, ce type d’électrolyseur n’utilise généralement que 60 à 80 W pour faire un peu de gaz, alors que 250 à 300 W sous 13,5 V (Batterie plus alternateur en fonctionnement) sont gaspillés en pur échauffement thermique.

Etant donné qu’un litre d’eau (ou 1000 grammes d’eau) se dissocie en 1850 litres de gaz hydrogène et oxygène, ces 500 grammes d’eau évaporée pourraient être assimilés (par erreur) à une production de gaz équivalente, calculée frauduleusement et inversement comme suit :

(1850 litres de gaz/1000 grammes d’eau) x 500 grammes d’eau évaporée =  925 litres d’équivalent gaz/heure

Soit une production assimilée par erreur à 1 litre de gaz toutes les 4 secondes! Ceci reste donc une très grossière erreur à ne pas commettre, si on ne veut pas ridiculiser la profession … 

Parce que d’autres produits de ce type, risquant d’induire les utilisateurs en erreur et pouvant nuire à l’utilité réelle du procédé, seront très certainement proposés, il était important de le démontrer. Ceci explique en même temps pourquoi il y a encore actuellement peu d’élus dans ces domaines : l’apport de ce gaz di-hydroxygène, comme enrichissement de nos carburants pour améliorer le rendement de nos moteurs, sera d’autant plus efficace qu’on ne gaspillera pas stupidement l’énergie initiale produite par ces moteurs.

Cette caractéristique essentielle, propre à notre technologie, nous permet de vous garantir un produit sans danger et d’une bien meilleure efficacité. Parce que le générateur H2O UTOPIA TECHNOLOGY transforme la quasi totalité de son eau en gaz, et non pas en vapeur, nous travaillons avec une concentration en électrolyte dérisoire (non agressive), et cette charge ionique ne sera à renouveler que beaucoup plus rarement.

 

Pour ceux qui douteraient encore de notre avance technologique, il sera bon de méditer sur ce qui suit. L’intérêt majeur du module hybride "VORTEX - ELECTROLYTIC - INTENSIFIER", mis en œuvre dans cette électrolyse non conventionnelle, appliquée sur le générateur H2O UTOPIA TECHNOLOGY, reste d’autoriser une réelle amélioration des caractéristiques moteur et du rendement global. 

Jamais la moindre baisse de puissance ne pourra être constatée sur un véhicule neuf ou ancien, puisque l’apport exclusif d’un gaz purement énergétique (et non de vapeur d’eau incontrôlée) démontre une augmentation du couple moteur, plus de puissance, et une diminution drastique des émissions polluantes par amélioration de la combustion (plus régulière et plus complète sur toute la surface du piston), entraînant mathématiquement une augmentation d’autonomie des véhicules en kilomètre parcourus, pour une même dépense en carburant.  L’acquisition d’une bonne maîtrise de la dépense en énergie électrique, initiant le processus reste donc primordiale !  (3 à 4 W par litre de gaz, au lieu de 15 à 35 W par litre, ce n’est pas anodin). Chacun est donc aujourd’hui à même de constater que, grâce à l’apport d’une telle technologie Haute Fréquence, additionnée à la régulation dynamique due à la masse inertielle du véhicule et au processus de récupération d’énergie, nous en arrivons maintenant à produire des quantités non négligeable de gaz énergétique additionnel, "presque" sans consommation d’énergie supplémentaire.

 

PROSPECTIVE : Et si la Voiture à Eau devenait un jour réalité ?

Prochainement, l’apport d’un mini turboalternateur embarqué, additionné à cette technologie, permettra de récupérer en énergie perdue jusqu’à 6 Kw d’énergie électrique gratuite, à partir des seuls gaz d’échappement moteur, permettant de multiplier par 100 et plus notre production en gaz hautement énergétique.  Imaginez alors quel fabuleux espoir pour demain !

Alors nous ne sommes déjà plus dans la fiction puisque cette technologie existe et que nous la maîtrisons, car 3000 litres de gaz par heure, autoproduits et autoconsommés en roulant, n’est ce pas un schéma réaliste et envisageable  de  VOITURE à EAU, par une simple extension de notre procédé, même en gardant éventuellement une infime quantité de notre carburant habituel ?

Si vous y croyez et que cela vous tente, merci de continuer de nous apporter, très nombreux, votre soutien … 

E - Hydrogène et couche d'ozone :
"vaine polémique" dit Jean-Marc Moreau  "l’hydrogène et l’oxygène dépolluent la Planète !"

"Un carburant alternatif qui déchire... la couche d'ozone" (source 13/06/2003 http://www.transfert.net/a8964)

Dossier : "L'impasse énergétique" /  "L'hydrogène, une énergie (presque) propre"

"Selon des chercheurs du California Institute of Technology (Caltech), la généralisation du moteur à hydrogène provoquerait une extension du trou de la couche d'ozone. Et ce, en raison des fuites de gaz inévitables que cela engendrerait.
Alors que nombreux sont ceux qui doutent que ce combustible soit une solution à l'accroissement des émissions de gaz à effet de serre (Voir Le moteur à hydrogène, une solution miracle contre la pollution ?), cette découverte indique que l'hydrogène pourrait se révéler encore plus néfaste pour l'environnement que les énergies fossiles qu'il est censé remplacer.

Simulation informatique
Dans un article paru dans Science, Tracey K. Tromp, Run-Lie Shia, Mark Allen  John M. Eiler, Y. L. Yungont, chercheurs au Caltech, estiment l'impact qu aurait sur l'environnement une économie basée sur l'hydrogène. Pour cela, ils se sont servis d'une simulation informatique qui leur a permis de tester plusieurs scénarios, en fonction de paramètres comme la production totale d hydrogène ou la quantité de ce gaz qui peut être fixée par les organismes et les minéraux.
En se basant sur un taux de fuite de 10% - bien inférieur à celui aujourd hui constaté pour les moteurs à hydrogène, l'équipe du Caltech estime qu'en cas de passage à une économie tout-hydrogène, 60 à 120 millions de tonnes de ce carburant seraient relâchés dans l'atmosphère. Soit 4 à 8 fois plus ‘qu actuellement.
En s'accumulant et en se transformant en eau dans les couches supérieures de l'atmosphère, ce gaz provoquerait une "humidification" de la stratosphère, ce qui aurait pour effet de fragiliser la couche d'ozone en interférant avec les réactions chimiques qui entretiennent cette dernière.
Selon les chercheurs, un passage brusque au tout-hydrogène entraînerait une rétraction de 7 à 8% de la couche d'ozone aux deux pôles.

Stabilisation fragile
La couche d'ozone permet de filtrer la plupart des rayons ultra-violets solaires, qui sont responsables, entre autres, de cancers de la peau. Dès les années 1970, on s'était aperçu que l'accumulation dans l'atmosphère des composés CFC, utilisés dans les aérosols et les réfrigérateur, avait entraîné une "fonte", puis un déchirement de cette couche d'ozone.
Au milieu des années 80, ce problème avait provoqué une prise de conscience mondiale et entraîné, contrairement au problème des gaz à effet de serre, une réponse volontariste globale d'élimination des CFC. Quinze ans plus tard  ces mesures semblaient porter leurs premiers fruits : des clichés satellites montraient en effet que la couche d'ozone avait cessé de se désagréger. Une stabilisation fragile, et qui pourrait être remise en question par l'utilisation du carburant hydrogène si les craintes des scientifiques du Caltech se confirment." Yaroslav Pigenet

 

Des amis nous ayant transmis cet article au moment de la préparation de cette page, nous avons demandé à Jean-Marc Moreau ce qu'il en pensait. Voici sa réponse : 

Des polémiques environnementales vaines : L’hydrogène et l’oxygène dépolluent la Planète !

 

Des chercheurs ’’découvrent’’ un vilain défaut à l’hydrogène :

l’hydrogène détruirait la couche d’ozone ?

par Jean-Marc Moreau

Ce que j’en pense ?  Si cet  ‘’hydrogène sale’’, distribué à la pompe, devait avoir ce pouvoir maléfique, alors le gaz noble di-hydroxygène (issu de l’eau),  que nous utilisons, aux vertus ré hydratantes et au pouvoir de décontamination radioactive,  pourrait bien avoir un réel avenir dans le paysage énergétique actuel !   

Cependant, comme en matière de désinformation et de manipulation, au service d’intérêts égoïstes et privilégiés, tout est possible, ce type de démonstration ’’pseudo scientifique’’  (ou réellement scientifique ???) est à coup sûr destiné à jeter le doute sur une économie hydrogène que de nombreux lobbies redoutent …

Il faut savoir qu’il existe des théories alarmistes similaires sur l’exploitation de l’énergie du vide quantique (ZPE), indiquant que si nous devions réussir à l’utiliser à grande échelle sur notre malheureuse petite planète, pourtant ’’bien dérisoire’’, nous pourrions déséquilibrer l’univers tout entier et nous diriger vers un énorme  ’’Scratch planétaire’’ !   

Et pourtant qu’est-ce qu’ils en savent ?

Rappelez-vous la bataille du rail, à cette époque quelques hommes de sciences affirmaient que l’homme ne pourrait survivre s’il se devait d’être soumis à des vitesses supérieures à 100 kilomètres par heure. 

Ceci indique juste qu’en masquant quelques autres réalités scientifiques qui changent toute la donne, ils peuvent, par malhonnêteté intellectuelle ou par simple aveuglement et méconnaissance, tenter de dissuader de s’engager vers de nouvelles voies, pourtant probablement indispensables et utiles pour la Planète.  Bref, comme ils n’ont pas le quart des données réelles pour répondre à cette éventuelle problématique,  il y a plus de chance qu’ils se soient fait plaisir en nous bâtissant sur informatique un scénario idéal pour servir des buts inavouables, que toute autre hypothèse sérieuse et globale à prendre en considération. *

Ces gens là en pensent quoi de la multitude des explosions atomiques, atmosphériques et souterraines, qui se sont perpétuées durant un siècle à la surface de la Terre ? Ce type d’âneries et combien d’autres toutes aussi stupides, ça donne quoi dans notre atmosphère ambiante et dans notre stratosphère, ça fait quoi à la couche d’ozone ?  … Et est-ce que l'exploitation raisonnable de l'énergie quantique (ZPE) ou du gaz di-hydroxygène  disloquerait (théorie alarmiste pas forcément fondée) notre planète au sein de l’Univers ?  Elle a subi plus violent et est toujours là même bien endommagée...

Cependant, si quelques unes de ces analyses devaient s’avérer exactes, cela signifierait surtout que ce n’est peut être pas l’économie Hydrogène qu’il faudrait remettre en question, mais la manière employée à grande échelle pour fabriquer cet hydrogène, et surtout la manière de stocker et de distribuer à grande échelle cet hydrogène.  C’est un peu comme pour le CO2 :  Celui provenant de la combustion de nos énergies fossiles déséquilibre notre atmosphère terrestre, alors que celui qui est issu de nos bio-carburants conçus en surface ne perturbe pas cet équilibre. 

Suivant ce même schéma, il y a de fortes chances que l’économie tout hydrogène, distribué à la pompe, à partir d’un hydrogène pur, produit par reformage du méthane, ou de tout autre moyen similaire, puisse à terme nous mener vers quelques inconvénients à la hauteur de ceux rencontrés par l’utilisation intensive de nos carburants habituels. Et parce que cet hydrogène sera conditionné sous pression, il y aura assurément des fuites importantes et des pertes …

Et parce que cet hydrogène est isolé et séparé d’un oxygène terrestre qu’il affectionne, nous pouvons imaginer que les avions qui utiliseront ce carburant, pourraient alors être accusés, suivant les hypothèses alarmistes de Caltech, de détruire la couche d’ozone … 

Alors, ceci démontre juste que ce n’est peut-être pas l’économie hydrogène qu’il faut remettre en cause, mais juste les moyens de fabriquer cet hydrogène et la manière de l’utiliser sur terre.  Les chercheurs de Caltech se sont focalisés sur l’utilisation du carburant ’’pur hydrogène’’, privé de son équilibre naturel : l’oxygène . Il ne faut jamais briser totalement l’équilibre ! 

Au niveau terrestre, en transport routier, fluvial ou maritime, l’utilisation d’un carburant Di-Hydroxygène, autoproduit et autoconsommé en roulant (en flottant) annule totalement cette hypothèse. 

En effet ce gaz  parfaitement équilibré pour redevenir immédiatement de l’eau, n’étant ni stocké, ni distribué à la pompe, mais produit uniquement moteur tournant sur chaque véhicule, n’aura jamais l’occasion de monter vers les hautes couches de la stratosphère. Et ceci démontre une nouvelle fois que l’économie hydrogène ne peut être viable et non risquée sur un plan environnemental, que si elle s’accompagne de l’autonomie hydrogène, non centralisée. Nous devons privilégier la fabrication et l’utilisation de ce gaz hydrogène dans son seul rapport idéal 2/3  1/3 avec son  oxygène, dans des système de combustions par admission dépressionnaire  (cas de nos véhicules à moteurs thermiques). Pour rester dans ce scénario favorable et réaliste, ce gaz Di-Hydroxygène ne peut provenir que de l’eau, et nous devons alors proscrire toute fabrication d’hydrogène par reformage de méthane ou de carburant fossile.

Au niveau aérien, la problématique est toute autre, cependant on pourra utilement se demander comment se réalise actuellement la combustion de nos hydrocarbures habituels en haute atmosphère, tout en s’y délestant du carbone en supplément ?  Il me semble que le comburant utilisé exclusivement par nos avions actuels est bien l’oxygène prélevé en altitude.  Actuellement la combustion des molécules d’hydrogène contenues dans les hydrocarbures de nos avions se re-combinent avec l’oxygène atmosphérique pour faire de la vapeur d’eau (Qui n’a jamais perçu ces traces dans le ciel ?).  Alors, à énergie de propulsion sensiblement égale, il y a peu de chance que l’hydrogène, utilisé en propulsion aérienne, provoque une humidification supplémentaire à celle initialement provoquée par nos avions habituels, déjà accusés de détruire la couche d’ozone, il ne faut pas l’oublier.

Alors, si nous voulons éviter cela, nous devrons, soit éliminer le transport aérien pour privilégier le transport maritime, soit plus sérieusement étudier comment on pourrait à la fois utiliser les avions sur la base d’un carburant propre, à partir d’un gaz essentiellement issu de l’eau, et utiliser systématiquement sur chaque avion des dispositifs de compensation régénérateur d’ozone en haute atmosphère.

Ma conviction personnelle, issue d’une logique d’équilibre, reste que l’utilisation privilégiée à grande échelle d’un gaz Di-Hydroxygène, autoproduit et autoconsommé à la demande, reste une alternative sûre, pouvant nous mettre à l’abri de ce type d’hypothèse alarmiste du tout hydrogène  ("’Pur Hydrogène").

Ceci démontre juste que les simulations informatiques, débouchant sur ce scénario catastrophe, ne prennent en compte qu’un aspect du futur possible de l’économie hydrogène, à travers les procédés classiques  et universellement connus de production de cet hydrogène.  La production d’un gaz hybride, contenant aussi en association la molécule oxygène  (garante d’un reformage en surface en eau, sans dispersion en altitude) n’est ici pas mentionnée. 

Ainsi, si les auteurs de ce rapport alarmiste veulent signifier que ce type d’hydrogène n’est pas une énergie, mais un simple support et vecteur énergétique, et qu’il nous faudra en plus couvrir la terre de centrales nucléaires et autres moyens classiques pour produire ce ’’sale hydrogène’’, alors nous sommes bien d’accord que cette économie hydrogène n’apportera rien de plus et  que la dégradation de la couche d’ozone et autres problèmes annexes, qui s’amplifieront.  C’est juste une fois de plus une confirmation que notre vieux schéma énergétique ne peut nous mener qu’à la catastrophe .

Cependant, si les virtuoses de l’informatique, qui projettent ces simulations, voulaient bien se donner la peine d’étudier l’ensemble des autres théories fiables et démontrées qui laissent espérer de nouveaux moyens de produire proprement, sous très haut rendement, un gaz Di-Hydroxygène propre, ils déboucheraient assurément vers d’autres scénarios possibles et tout aussi réalistes . Il suffit de prendre connaissance de l’ensemble des travaux présentés lors de l’ICCF-11  (Dernière conférence internationale sur la Fusion Froide, réunissant à Marseille le 31 Nov. 2004, les plus éminents chercheurs du monde entier). Faites une recherche sur les deux sujets suivants : 

’’ Expérimental study of glow discharge in light water with W electrodes.’’ By D.Y. Chung, T.Mizuno, Y. Aoki, F.Senftle . 

’’ Cold Fusion and the Future’’  by Jed Rothwell  LENR-CANR.org

Ces technologies, ne sont plus du domaine de la fiction, mais une réalité palpable, et il en est de même des travaux annexes débouchant sur des principes d’électrolyse sous basse température, de gaz hydrogène + oxygène, par des procédés de dissociation moléculaire non conventionnels, expérimentés par différents chercheurs à travers le monde, démontrant des rendements inespérés en quantité de gaz produit par Watt heure consommé  (Kanarev).

Ce qui reste réconfortant c’est que ces imprécisions volontaires permettent d’affirmer qu’il y a peu de chance que le gaz hybride issu de l’eau, et que nous utilisons dans nos applications, ne modifie un jour la couche d’ozone . Car au niveau même de nos applications actuelles, cette eau devenue gaz sur le véhicule puis immédiatement  redevenue eau, seulement quelques secondes après avoir subi cette transformation, en repassant par la chambre de combustion du moteur (et sans pouvoir s’en échapper), reste véritablement l’une des plus belles façons, écologiquement propre, d’utiliser en combinaison intime le gaz hydrogène et le gaz oxygène. 

L’économie Hydrogène vue sous cet angle est promise à un bel avenir, et pourra prétendre à être qualifiée de procédé universel de dépollution de la planète, sans risquer la moindre critique vis à vis d’éventuels inconvénients envers notre environnement . Utiliser le gaz di-hydroxygène actuellement sur nos véhicules c’est réellement participer au sauvetage de la planète, en réduisant jusqu’à 50 % (et plus) les émissions polluantes et en participant à hauteur de 20 à 30 % minimum à la diminution des gaz à effet de serre (CO2), responsables du réchauffement planétaire et des bouleversements climatiques actuels.    

En ce sens tout rapport abusivement alarmiste, refusant la prise en compte de ces nouvelles réalités énergétiques, progressivement en train de s’imposer, reste incomplet et fort suspect.

La Terre est en Feu, et nos discours doivent être guidés par le sens de la responsabilité.  La Santé de la Terre n’est pas négociable ! 

 Jean-Marc MOREAU  ( H2O Utopia Technology ) 

* "Un chercheur américain sur trois confesse avoir péché : 15% avouent avoir cédé aux pressions de ceux qui financent leurs recherches. Résultats falsifiés, oubli volontaire de données suspectes, utilisation non autorisée de données confidentielles, usage d'une idée d'autrui… Les scientifiques américains ne se distinguent pas en matière de déontologie. Selon une enquête publiée cette semaine dans Nature, un tiers des scientifiques du Nouveau Monde confesse avoir fauté au cours des trois dernières années."  voir http://www.arsitra.org/forum/index.php

 

 

 

 

Compléments d'informations au 15.11.2005

 

Un gaz hybride très particulier

 Notre générateur haute fréquence privilégie la production d’un gaz au pouvoir très énergétique.

Contrairement au gaz hydrogène H2 (plus stable) et à l’oxygène O2, nos générateurs produisent un gaz hybride, dont l’application générale est son utilisation sous forme de plasma.

Ce gaz à consommer dès sa constitution est composé d’hydrogène monoatomique et d’oxygène monoatomique combinés. Sous cette forme particulièrement instable, et devant être utilisés immédiatement, l’énergie dégagée par la température de flamme d’un tel gaz (sous sa forme atomique simple) est de 3,8 fois supérieure à celle de sa forme ordinaire H2 et O2. Soit 442,4 Kcal contre 115,7 Kcal, pour 4 moles d’hydrogène et 2 moles d’oxygène. 

Ceci explique l’utilisation habituelle de ce gaz hybride, sous forme de plasma dans des chalumeaux aux capacités très supérieures à toutes les autres techniques de soudure. Offrant une flamme particulièrement propre, il permet de fondre même le tungstène grâce à une température proche de celle présente à la surface du soleil. Bien qu’aujourd’hui, absolument personne n’ait pu établir comment un tel plasma d’hydrogène et d’oxygène, excité sous haute fréquence,  agit au sein d’un moteur, les résultats inexpliqués, fournis par la recherche expérimentale, indiquent que ce gaz, même en quantité modeste de l’ordre de 30 à 50 litres par heure, a un impact non négligeable en terme de reformage du carburant, ceci en dynamisant la combustion au sein des moteurs.  Ce phénomène semble à la fois dû à la nature monoatomique de ce gaz, et à sa vitesse éclair de propagation de flamme équivalente à 14 fois celle du gaz naturel. L’ensemble de ces caractéristiques additionnées ’’décuple’’ visiblement sa puissance et en font le gaz monoatomique le plus énergétique connu à ce jour. 

Avant toute polémique en terme de bilan énergétique, par rapport à la quantité d’air aspiré par un moteur et la dilution en volume du gaz injecté par nos générateurs, il sera bon pour chacun de mettre à jour ses connaissances sur les différences de potentiel énergétique pouvant exister entre un gaz Para Hydrogène et un gaz Ortho Hydrogène, entre un Hydrogène diatomique et un hydrogène monoatomique, entre un oxygène diatomique et un oxygène monoatomique, tout en tentant de modéliser l’impact d’un plasma additionné à un carburant en phase gazeuse au sein d’un moteur.  Personne n’ayant actuellement la maîtrise de ces phénomènes.  (JMM) 

 Pour infos comparatives :

Température Maximum de quelques Gaz de Soudure

5650 °C    Hydroxygène  (Gaz hybride Hydrogène-Oxygène stoechiométrique) 

5502 °C    Température moyenne du soleil  (Référence de comparaison) 

3165 ° C   Gaz Oxy-acétylène  

2204 ° C   Gaz Hydrogène + Oxygène Normal    

Point de fonte du Tungstène :  3410 ° C 

Point d’ébullition du Tungstène :  5660 ° C