ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 19/07/2008 - mise à jour le 30/09/08

 

En bref ...

 

Transformation de véhicules en véhicules électriques

http://www.austinev.org signalé par Jean-Marc D. (AVEC12)

http://autos.canada.com/news/story.html?id=6ecb84d0-9436-4cd1-85c6-75a0e82faca4

La Porsche électrique, une des trois voitures électriques de John Littauer, homme d'affaires de Calgary.

Pensez aussi à retourner voir

http://web.mac.com/pierrelanglois/iWeb/PLanglois-PCA/B0F53E3B-BD31-4D16-B7FD-1C6772B267CC.html

Deux images extraites du site de Pierre Langlois

 

Mise à jour du 30/09/2008

Et en France ?

De quoi dévisser et démonter !

Une Dyane allégée

"Avancement de notre prototype de Dyane Électrique : le moteur thermique est supprimé, l'échappement démonté, ainsi que le réservoir de carburant. Tous nos efforts nous auront permis de gagner près de 120kg !"

Voir tous les détails sur

http://www.bientotelectrique.com/bientotelectrique.php?l=3&c=73&t=avancement%20du%20projet

 

Et si, un bon petit générateur électromagnétique sur-unitaire voyait le jour bientôt ?

Avec juste une batterie de démarrage, voilà qui serait le "must", n'est-ce pas ?

 


Entre les moteurs de tracteurs et l'eau * , déjà une longue histoire.

"Je m' appelle Stéphane R.  j' ai 46 ans et suis un particulier habitant près de Nantes en Loire-Atlantique.
Je vous écris pour vous communiquer une information relative à l' article de Mr Langlois du 27 juin 2008 au sujet du témoignage de Mr Jean-Jacques Olivier et de son tracteur Mc Cormick de 1929.
A la lecture de celui-ci apparaît l' existence d' un carburateur fonctionnant à l' eau et qui aurait pour charge, en complément de celui à kérosène, l' alimentation économique de cet engin des champs.

 

 

Or, ayant effectué une petite recherche sur le site esp@cenet j' ai trouvé, en effet, un brevet américain daté du 4 janvier 1949, déposé par Mrs Crozier et Vanderpoel de Los Angeles en Californie, qui décrit justement un appareil de ce type: un carburateur à eau.
 

Je ne sais pas s' il s' agit de ceux qui équipaient à l' époque ces tracteurs Mc Cormick mais, estimant cette information susceptible de vous intéresser, je me suis permis de vous écrire et d' accompagner ce courriel du brevet en pièce jointe.
 

Pour finir avec les (nombreux) dispositifs brevetés d' alimentation en eau des moteurs à combustion interne je n' ai pas pu résister à vous épargner ce dernier déposé par des employés de la société automobile bien connue: l' entreprise suédoise Volvo.
 

Il décrit un injecteur à eau utilisé en complément de celui du carburant et employé dans un moteur turbocompressé; il est daté de septembre 1984.
 

Ce qui est intéressant, en plus de la relative jeunesse du brevet et de la motorisation, c' est d' y trouver un court récit, de la part des auteurs, extrait de leurs expériences effectuées sur cette invention:

"Durant des essais réalisés avec un véhicule automobile muni du moteur selon l' invention, le véhicule a été conduit à une vitesse constante et à une pression constante dans la tubulure d' admission au cours d' une des séquences d' essai, avec enregistrement de l' effort de traction et de la température des gaz de combustion. Le moteur à d' abord tourné avec un mélange de carburant ayant une teneur "normale" en CO. Le mélange carburant/air a ensuite été appauvri jusqu' à ce qu' apparaisse des cognements prononcés, après quoi on a commencé l' injection d' eau et on l' a réglée de façon à faire disparaître les cognements et à diminuer la température des gaz d' échappement pour la ramener à son niveau d' origine. On a alors découvert que 20% du carburant avait été remplacé par de l' eau sans aucune modification à la température des gaz d' échappement ou à la puissance de sortie. On a de plus établi qu' il serait possible d' obtenir à la sortie du moteur en refroidissant à l' aide d' une injection d' eau une puissance supérieure à celle qu' on obtient par refroidissement à l' aide d' un enrichissement supplémentaire du mélange."
 

Un brevet  parle mieux, je crois, qu' un constructeur automobile."

* Précision : ce n'est pas du Gillier-Pantone, mais c'est bien intéressant

Merci à Stéphane R. pour ces informations


Jean-Yves Gauchet, bien connu des lecteurs de la revue "Effervesciences" nous communique cette information :

 

 

 

Il est temps de penser aux activités de septembre !

Voir à http://www.effervesciences.com/s_sites/h2o/H2o_coll/col08.htm


----- Original Message -----
From: "Dominique A.
To: <quanthomme@wanadoo.fr
Sent: Friday, May 30, 2008 7:43 AM
Subject: J'ai traduit quelques articles récents pour votre site
 

 Bonjour les amis,
 Je vous propose gratuitement ces traductions de quelques articles très  récents que j'ai extraits du site keelynet.com. Si vous voulez, vous  pouvez les mettre sur votre site dans la rubrique "Nouvelles" que je lis  avec grand intérêt depuis plusieurs années. Inutile de citer mon nom.
 Si vous appréciez ma contribution, je pourrais continuer à vous traduire  d'autres articles intéressants. Vous pouvez même m'en proposer à traduire. A bientôt de vous lire.  Dominique A.

 

 

Traductions de Dominique A. de quelques articles récents  extraits du site keelynet.com.

Des chercheurs japonais et chinois démontrent officiellement une réaction de fusion froide stabilisée et reproductible.

Sur un arrière-plan de mauvaise publicité faite à la fusion froide depuis 1989, des chercheurs japonais ont démontré le 22 mai, la production de chaleur en excès et d’hélium 4, résultant d’une expérimentation historique  sur une réaction nucléaire à basse énergie. Le grand cerveau derrière cette démonstration est Yoshiaki Arata, un physicien japonais extrêmement réputé au Japon et qui a reçu la distinction japonaise la plus élevée, l’Ordre du Mérite Culturel; il est la première personne à avoir réalisé une expérience de fusion thermonucléaire démontrant une forte proportion de réactions d-d au Japon.

Une conférence du Pr Arata a précédé la  démonstration devant un auditoire très intéressé dans le hall Arata (nommé ainsi en son honneur) au Joining and Welding Research Institute de l’université d’Osaka.La démonstration a eu lieu dans le centre des innovations et de la science avancée de l’université d’Osaka avec l’aide de l’associé du Pr  Arata, le professeur Yue Chang Zhang de l’université Shianghai Jiotong en Chine. Le professeur Akito Takahashi de l’université d’Osaka fut le témoin de la démonstration. “Arata et Zhang ont démontré avec une grande réussite  la production d’une énergie (chaleur) en excès continue à partir d’échantillons de poudres de ZrO2-nano-Pd chargées de deutérium (un gaz) D2 avec génération simultanée d’hélium 34 “ a écrit le Pr Takahashi. “ La démonstration en temps réel ressemblait tout à fait aux données que les auteurs avaient rapportées dans leurs articles publiés (J. High Temp. Soc.  Jpn, Feb. and March issues, 2008). Cette démonstration a montré que la  méthode employée est complètement reproductible.”

 

Un moteur électrique qui produit environ 120 % de plus de watts cinétiques qu’un moteur conventionnel de la même puissance

a été développé et pourrait bientôt être disponible sur le marché. Le développeur du  prototype Zhaan Jordaan rapporte que le concept derrière ce moteur à  énergie efficace, qui a été présenté à un ingénieur électricien  indépendant pour tests, est d’utiliser 12 volts de puissance continu (DC) avec 7,5 Ampères appliqués. Ceci permet à ce moteur de produire 288 W de  puissance mécanique mesurés sur un dynamomètre. Jordaan ajoute que cela a  été réalisé en n’utilisant aucun carburant dans le moteur. L’expérience  est donc revenue à réaliser un moteur qui est 300% plus efficace qu’un  moteur conventionnel. En 200, Jordaan s’est mis à expérimenter avec des  aimants permanents pour construire une machine de ce genre. La croyance  traditionnelle est que 12 V couplés à une intensité de 7,5 Ampères ne  peuvent produire théoriquement que 90 W d’électricité, avec une efficacité  maximum de 90%, ce qui revient à 81 Watts réels. Jordaan dit que si l’on  est capable de calculer que si une machine suffisamment grosse est couplée  à une batterie de 12 V et un alternateur, il est possible de produire plus  de watts électriques que ce moteur n’en utilise et qu’on peut avoir ainsi  un ampérage supplémentaire qui est capable de produire 120 Ampères de  courant. Le moteur magnétique utilisait 64 A délivrant 2200 W, ce qui est  plus que suffisant pour entraîner l’alternateur. Ceci laisse un surplus de  56 A. Avec ce surplus on pourrait alimenter un inverseur de courant  alternatif de 900 W qui utiliserait 49 A et il y aurait encore une réserve de 7 A qui serait suffisante pour garder la batterie chargée à tout  moment. Il ajoute que bien que le prototype n’est pas été utilisé sur un projet, un futur positif est prévisible.

 

Après 17 ans de recherche, un inventeur bangladais de 37 ans; Giasuddin  Kachi a montré à des professeurs d’une université d’ingénierie, et  également à d’autres scientifiques et ingénieurs électriciens, qu’il a  créé un système de conversion de l’énergie magnétique qui produit de l’électricité sans aucun besoin de carburant.

Giasuddin Kachi près de son générateur

Les professeurs ont dit en commentaire que  cette invention défiait les principes fondamentaux de l’électricité et de  conservation de l’énergie. La première démonstration publique de l’invention  de Kachi s’est faite apparemment à la Foire Internationale de Chittagong,  au début de cette année. Il a montré que son générateur pouvait activer  une perceuse de 800 watts. Il a ensuite allumé une lampe de 500 watts. Il  déclare que son invention peut éventuellement être reformatée à grande  échelle pour produire jusqu’à 10 et même 50 mégawatts. Des unités d’une  telle taille pourraient être utilisées pour remplacer le besoin d’alimenter  les centrales en charbon ou en uranium. Au début de ce mois, après avoir  observé son invention un visiteur qui a vu la machine a dit : “Il utilise  deux circuits. Le premier est un circuit primaire car il a besoin au début d’une source externe de puissance pour exciter l’appareil. Après celui-ci  est excité et alimenté par un circuit secondaire, qui est induit par le circuit primaire. Il continue à marcher ensuite indéfiniment. Une très  petite partie de la puissance du circuit secondaire est utilisée pour  alimenter le circuit primaire. L’énergie électrique restante produite par  le deuxième circuit est utilisée pour alimenter des charges externes”.

www.peoples-view.org/day_by_day/2008/04/20/Chittagong_Highlights.php

 

Les hybrides hydrauliques ressemblent conceptuellement à leurs cousins  hybrides électriques.

Seulement, dans ce cas, le stockage de l’énergie n’a pas lieu dans une batterie, mais dans des accumulateurs hydrauliques à  haute pression chargés en excès à 3000 psi. Les meilleurs de ces accumulateurs ont des densités de puissance d’environ 500 kW/kg, d’après  Jim O’Brien, fondateur et directeur en chef de la technologie chez Hybra  Drive Systems, une start-up qui se consacre au développement de mécanismes  de puissance hydrauliques. Les concepts pour ces hybrides hydrauliques  varient, mais dans tous les cas des moteurs des voitures diesel ou à gaz  alimentent en puissance un moteur de pompe hydraulique, qui charge cet  accumulateur à haute pression. L’accumulateur, à son tour, fait tourner  une ou plusieurs autres moteurs de pompe connectés aux roues. Un deuxième  accumulateur à basse pression complète d’habitude le circuit hydraulique.

En fonction de la conception, il peut y avoir un moteur de pompe qui  conduit une paire de roues par l’intermédiaire d’un différentiel ou d’un  moteur de pompe pour une version alimentant toutes les roues avec un  contrôle indépendant des couples. Pendant le freinage, les moteurs des  pompes sur les roues s’inversent et rechargent l’accumulateur et capturent  l’énergie qui serait sinon perdue sous forme de chaleur. Les hybrides hydrauliques maintenant en développement peuvent communiquer avec les  moteurs modernes et ont certains contrôles électroniques. Cependant, sous  leur forme la plus pure, il n’ont pas vraiment besoin d’électronique pour  fonctionner. Hybra Drive, par exemple, a casé un prototype de mécanisme à  puissance hydraulique dans une Volkswagen de 1968, la Coccinelle. “La  seule chose électrique sur cette voiture est la bougie” dit O’Brien. Hybra  Drive, a aussi considérablement accru le kilométrage d’un Humvee pour les  forces militaires et d’un Hummer H1 qu’elle a rétrofitté avec un mécanisme  de puissance hydraulique hybride et cela fait partie d’un accord avec le  Gates Corp. O’ Brien dit que le kilométrage du Humvee, par exemple, a  augmenté de 10 à 23 miles par gallon d’essence. En terme de performance de  conduite, les hybrides hydrauliques ont encore autre chose pour eux, le  potentiel d’augmenter leur capacités de stockage de l’énergie à haute  densité pour obtenir de brèves bouffées de puissance qui de loin dépassent  leur puissance nominale. Et de combien ? O’ Brien dit que la conversion en  Hybra Drive d’un Hummer H1 utilise un moteur diesel de 190 chevaux mais  peut offrir de brèves poussées de puissance allant jusqu’à 600 chevaux.
Les hybrides hydrauliques stockent aussi l’énergie sous la forme d’un  fluide pressurisé (qui peut être utilisé sans conversion de puissance).

Les hybrides hydrauliques offrent aussi divers autres avantages  significatifs comparés aux hybrides électriques. Une composante du HHPT,  le moteur/pompe à embrayage variable, est devenu une chose très demandée  sur le marché de par ses qualités propres. C’est un produit de  remplacement à amélioration incrémentale que l’on peut mettre rapidement  sur le marché. La simplicité de sa conception le rend facile à construire  et il est moins coûteux que la technologie existante (c’est-à-dire avec  des vannes et pompes à pistons) à fabriquer et à réparer. Sa taille plus  petite et son poids plus faible le rendent facile à emballer, un bénéfice  réel dans une industrie où les consommateurs demandent plus de capacité à même coût et une meilleure efficacité.

 

D’anciennes mines de charbon, nouvelles sources d’énergie géothermique.

D’anciennes mines de charbon à Cape Breton qui sont inondées par de l’eau  chauffée par la chaleur de la Terre sont vues comme source possible d’énergie  géothermique pour chauffer des écoles ou des hôpitaux. La Cape Breton  Development Corp. a consulté l’université de Cape Breton à propos de la  possibilité de capter la chaleur de cette eau, qui peut atteindre jusqu’à  15°C. Collin Harker, un consultant qui travaille avec une corporation du  nom de Devco, a dit que l’énergie géothermique peut être captée en amenant  l’eau des mines à la surface pour passer dans une pompe à chaleur.

“Ce  sont des choses courantes”, dit-il “ Les conditionneurs d’air marchent sur  des pompes à chaleur qui prennent la chaleur à l’eau et la transfèrent en  matériau qui parcourt l’immeuble”. Il peut aussi être possible de puiser  dans l’énergie géothermique en immergeant une technologie captatrice de  chaleur dans l’eau. La mine de Johnston est utilisée pour chauffer un  immeuble appartenant à Ropak Can Am. LTD., une fabrique de produits d’emballage  en plastique à Springhill. “Si vous obtenez un certain niveau d’efficacité  en termes de composantes que vous enchaînez pour faire sortir cette eau,  en échanger la chaleur et ensuite l’utiliser pour chauffer, vous pouvez  réellement lui faire obtenir le statut d’énergie renouvelable”, dit-il.

 

Les prix élevés des carburants ont conduit un fermier du Warren County  (USA) et ses fils à atteler un râteau de tracteur à une paire de mules pour ratisser le foin dans leurs champs.

T. R. Raymond a acheté Dolly et  Molly à une vente de mules à Dixon, l’année dernière. Son fils Danny Raymond les a formées et a aussi modifié le râteau de sorte que les mules  puissent le tirer. Raymond dit que les mules sont plus lentes qu’un  tracteur à gasoil, mais les bénéfices sont là. “Ce gasoil est si cher, qu’on  ne peut plus le payer”, dit-il. "Nous pouvons nourrir ces mules à moindre  prix que le gasoil que nous pouvons acheter. Voilà la vérité”.

 

Merci Dominique ! Comment ne pas apprécier votre contribution ! Nous vous encourageons à poursuivre, en créant même votre site (?) vers lequel nous pourrions diriger nos lecteurs francophones.


Quelques liens signalés par nos lecteurs...

 - www.theorionproject.org

- les prototypes du groupe de recherche  http://www.gravity-one.com/fr/page8/page8.html

- des vidéos à

http://www.dailymotion.com/existance12d/video/x5z7tn_moteur-lopinot_tech
http://www.dailymotion.com/video/x5w1hi_magnevex-motor-part1_tech
http://www.dailymotion.com/related/x5w1hi/video/x5fsxo_maxforce-engine_tech

Merci Jacques G. et à Stéphane!