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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 10/08/2010
Un peu de tout...
Golfe de Guinée : les puits de
pétrole fuient depuis 50 ans.
"Seule la presse pourrait le sauver"
écrit Vincent Rémy.
"Le delta du Niger, où la
richesse du sous-sol est inversement proportionnelle à la pauvreté de la
surface, a enduré l'équivalent d'un Exxon Valdez chaque année depuis cinquante
ans."
"Les puits fuient, les pipe-lines rouillent. C'est la faute à pas de chance aux voleurs, aux saboteurs" disent les compagnies qui ne s'appellent pas BP mais Royal Dutch Shell ou Exxon Mobil."
Aucun dédommagement des dégâts n'est demandé par les gouvernants. Aux USA, des milliards sont demandés, mais au Niger, rien. "Personne ne se préoccupe de notre catastrophe", dit un responsable local. "Nous n'avons pas de médias internationaux pour parler de nous, alors tout le monde s'en fiche".
"Que la vivacité de la démocratie soit liée à la bonne santé de la presse est plus que jamais une évidence. Ce n'est que sous la pression médiatique que le président des USA est revenu sur des concessions antérieures faites aux lobbies pétroliers. Cette pression ne doit pas faiblir. Mais elle doit surtout devenir planétaire. Et pour cela, Internet est nécessaire mais n'a de sens qu'avec le maintien d'une grande presse quotidienne. Face à la rapacité des compagnies pétrolières occidentales, exploitant l'impéritie ou la faiblesse des Etats africains, notre responsabilité citoyenne est immense. "
Source: Télérama n° 3154 de Juin 2010.
Des chercheurs en énergies
nouvelles de Highland Inc.victimes d’un crash d’avion
Highland Inc. dispose depuis le 1er juin d’un bâtiment
industriel près de Tulsa. C'est une société en partenariat avec Millennial
Research Corporation qui a une technologie révolutionnaire en matière de moteur
électrique.
Quelques jours avant le crash (10/07/2010) un représentant de la société avait fait une
présentation à des scientifiques. Millenial est une société qui est en cours de
licence pour un moteur générateur et Highland un concepteur et fabricant de
cycles motorisés. Ses ingénieurs avaient acquis leur compétence auparavant chez
Husqvarna.
Le 1er juillet Highland annonçait qu’ils avaient terminé, après deux ans de mise
au point avec leur partenaire, un moteur révolutionnaire basé sur la technologie
magnétronique brevetée de Millennial. Ce moteur, léger, a besoin de bien moins
d’énergie tirée d’une batterie qu'un moteur classique.
Quelques points forts de ce moteur :
Les bobinages (avec des fils à section non-ronde, voire aplatis) des bobines
magnétroniques sont moins compliqués que ceux des bobines classiques
Il est facile à réparer même si les réparations sont peu probables, les champs
magnétiques y sont plus forts pour un coût plus réduit
Il fonctionne sans chauffer ce qui indique une plus grande efficacité
Le rapport poids-énergie est en sa faveur
Sa structure modulable le rend résistant à une mauvaise utilisation, ou des fils
rompus
Son démarrage n’est pas gourmand en énergie...
Pour en savoir plus
Source :
http://changingpower.net/articles/plane-crash-kills-team-who-embraced-game-changing-motor/
L'autorité de Sûreté nucléaire se fâche : on ne joue pas avec les risques de
séisme dans une installation nucléaire.
En 2004, le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) a identifié des risques liés à un éventuel séisme sur son site de Cadarache. Celui-ci, qui concentre 18 installations nucléaires sur 1 600 hectares, est situé à une quarantaine de kilomètres au nord d’Aix-en-Provence et sur la faille de la moyenne Durance, où s’est produit le plus gros tremblement de terre connu en France, il y a 101 ans.
Et depuis ? La Marseillaise, qui a épluché la
correspondance du CEA avec l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), le « gendarme
du nucléaire », conclut à « un bras de fer, et une volonté manifeste de la part
du CEA de différer au plus tard les nécessaires et coûteuses rénovations
techniques » concernant le Laboratoire d’études et de fabrications
expérimentales de combustibles avancés (Lefca).
Pour faire court, le CEA joue la montre, en publiant de nouvelles études qui
minimisent les risques et en exigeant des délais supplémentaires. Mais après
qu’il a affirmé en mars qu’« il ne prendrait aucun engagement relatif à la
réalisation du dispositif », l’ASN a sorti le carton jaune : elle lui demande de
faire le nécessaire d’ici 3 ans, sous peine de « sanctions administratives et
pénales ». Soit « deux ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende », ainsi
que la réquisition des sommes nécessaires pour faire les travaux, voire l’arrêt
de l’installation.
Pour en savoir plus : aller à la source http://www.terra-economica.info/Seismes-et-nucleaire-le-CEA-mis-en,11561.html
Recyclage des
déchets nucléaires: 1,7% au lieu de 12% annoncés
"Pour faire marcher les réacteurs nucléaires, c’est comme pour votre poêle à bois, il faut du combustible. Vu qu’il ne brûle pas, mais se transforme, au bout de trois ans, il est considéré comme usé. Mais tout n’est pas perdu : il contient encore « 94 à 95 % d’uranium et 1 % de plutonium, tous deux recyclables en combustible “neuf” », nous explique toujours Areva sur son site. Ce qui permet « d’économiser les ressources en uranium naturel et de réduire le volume et la toxicité des déchets ultimes ». Une source énergie à 96% recyclable : voilà de quoi relativiser le problème des déchets radioactifs.
96% recyclable, 1,7% recyclé
Sauf qu’en octobre 2009, cette belle histoire est remise en cause par la
diffusion du documentaire "Déchets : le cauchemar du nucléaire", co-réalisé par
notre collaboratrice Laure Noualhat, où l’on voit un champ de containers
radioactifs exportés en Russie. Dans la polémique qui s’en suit, aggravée par
une erreur d’évaluation des stocks de plutonium à Cadarache, le ministre du
Développement durable Jean-Louis Borloo demande un rapport au Haut comité pour
la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN).
Présenté en début de semaine, il pourrait se résumer à un chiffre : 12%. C’est
la proportion de combustible recyclé qui entre dans les centrales françaises. A
partir des chiffres auxquels elles ont pu accéder, plusieurs associations qui
ont participé aux travaux ont fait leur propre calcul du « taux de recyclage
de la matière première, à savoir l’uranium naturel » et parviennent au résultat
suivant : 1,7% de ce qui entre au tout début de la chaîne serait effectivement
réutilisé à la sortie.
Perspective crédible ?
Pourquoi cet écart considérable ? "
Pour en savoir plus : aller à la source http://www.terra-economica.info/Le-recyclage-des-dechets,11503.html
Commentaire : ce n'est pas demain la veille que les engins qui raclent et défoncent le sol en Afrique pour le compte d'Areva vont s'arrêter. Ces travaux de géants et ce % si réduit de recyclage prouvent bien que l'indépendance énergétique due au parc nucléaire est un leurre...
Et
que faire des déchets radioactifs ?
"L'ennui avec les déchets radioactifs, c'est qu'ils le
restent longtemps, parfois très longtemps. Comme d'autres pays européens, la
France veut les stocker des centaines de mètres sous terre. Mais dans la zone
sélectionnée, les opposants donnent de la voix. Que faire des déchets
nucléaires ? La majorité d’entre eux sont enfermés à double tour en attendant
que leur radioactivité redevienne quasi-normale. Mais pour 10% de déchets dits à
"vie longue", même 300 ans ne suffisent pas. Le problème prend alors une
tournure quasi-philosophique : qui est capable de dire à quoi ressemblera la
France en 2310, en l’an 102 010 ? Réponse : personne.
Mais comme ils ne peuvent pas non plus rester les bras croisés, de nombreux pays
nucléarisés misent sur le stockage géologique profond. Pendant que huit pays
européens commencent à réfléchir à un site commun en Europe de l’Est, d’autres
peaufinent déjà leur projet en solo. C’est le cas de la la Finlande, qui compte
sauter le pas en 2020, de la Suède (2023) et de la France (2025).
Lire la suite dans http://www.terra-economica.info/Enfouir-les-dechets-nucleaires-le,8878.html
Les
gens compétents en nucléaire sont de moins en moins nombreux
"L’atome a la cote en ce moment. Mais cet engouement est à
double tranchant pour le secteur. Entre les départs en retraite et le manque de
jeunes diplômés, pas sûr que les réacteurs trouvent de quoi tourner rond dans un
proche avenir.
La question a commencé à sérieusement agiter la filière au début des années
2000. La préoccupation était même mondiale, au point qu’au sein de
l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’Agence
pour l’énergie nucléaire (AEN) réalise un imposant rapport sur la question :
Lire la suite dans
http://www.terra-economica.info/Nucleaire-Et-si-la-faille-c-etait,5382.html
Commentaire: N'est-il pas surprenant de voir que cette baisse significative de compétences nécessaires au bon fonctionnement des réacteurs existants est connue, et que, malgré tout, de nouvelles installations sont lancées ?
La
"modification notable"
Le nucléaire était hors Grenelle...Toutefois, le gouvernement a introduit à l'article 94 quater l'abandon des enquêtes publiques en considérant "qu'un accroissement significatif" de rejets radioactifs n'est pas une "modification notable" d'une installation nucléaire.
Commentaire: Que serait donc une modification notable ? Cette information est à rapprocher de l'article 36bis A assujettissant la restriction ou le retrait d'un produit dangereux (pesticide par exemple) à une évaluation des effets socio-économiques. Les effets sur la santé ? sans doute on verra plus tard, quand les dégâts seront là, ce qui coûtera encore plus cher à la société, et permettra à ce moment-là d'évaluer vraiment les effets socio-économiques...
Grenelle (2) encore
Eolien : Pour mémoire 1500 éoliennes en France, 30000 en Allemagne. Le vent doit y être bien différent sans doute ? et s'arrêter à la frontière comme le nuage de Tchernobyl !
L'article 34 de la loi Grenelle 2 prétend encadrer l'installation des éoliennes, en ajoutant des contraintes (classement ICPE, schémas régionaux, obligation des 5 mâts...) à celles antérieures. Il sera bien difficile aux éoliennes communales et coopératives adoptées par les citoyens, les agriculteurs et les institutions de réaliser ce genre d'équipement. Pour installer, seuls de grands groupes financiers le pourront, donc c'est la mort du petit éolien.
Celui qui contrairement aux grandes installations est plus rentable, ne serait-ce que parce qu'à partir du moment où on centralise les productions, on augmente parallèlement les coûts de transport, les lignes et les pertes. D'où l'intérêt de produire local et consommer local.
Restent les équipements à l'échelle du particulier, encore coûteux. Nous en avons signalé un certain nombre dans nos pages et au fil de nos nouvelles.
Solaire : le kwh à 14 cents - et en baisse - contre 16 cents au nucléaire
"En Caroline du Nord le coût de l'électricité nucléaire solaire est de 16 cents par kWh alors que le solaire descend maintenant à 14 cents par kWh, et ne cesse de baisser. Et encore les données portent sur le solaire photovoltaïque classique et pas les systèmes à concentrateurs qui font également baisser les coûts. Cette étude est une réponse au lobbying de l'industrie nucléaire qui se pose comme le meilleur moyen de réduire les émissions de carbone. Même si tous les soutiens au solaire étaient retirés, cette énergie serait moins chère en moins d'une dizaine d'années."
http://inhabitat.com/2010/07/29/solar-power-is-cheaper-than-nuclear-for-the-first-time/
Commentaire : Cette étude vient des USA...Les coûts réels des installations nucléaires comprennent-ils tous les coûts depuis l'extraction de l'uranium (voir les gros engins qui fonctionnent aux hydrocarbures), tous les coûts pendant la construction, et encore on ne parle pas du bilan carbone, plus la gestion des déchets, dont certains à remuer pendant x années, et le démantèlement, pas vraiment chiffré ni chiffrable; toutes choses qui sont rarement incluses dans le coût réel du nucléaire. Et encore, on oublie les coûts en santé ...
Transgreen : les autoroutes d'énergie verte sous la
Méditerranée = électricité solaire centralisée, transportée
Ce sera quoi Trangreen ? Des câbles sous-marins de plus de 1000 km chacun, coûtant plus d'un milliard d'euros pièce capables de "transporter, d'ici à 2020, 5 gigawatts d'électricité d'origine solaire de la rive sud vers la rive nord de la Grande Bleue", soit la puissance de 3 réacteurs nucléaires EPR. De quoi annoncer qu'en 2020, l'objectif de tirer 20% de l'énergie renouvelable sera atteint.
Les allemands avec "Desertec" ont déjà un projet de 15.000 km2 de miroirs pour produire de l'électricité verte à destination de l'Europe.
Et les autochtones ? "Ils pourront en acheter les trois quarts de cette électricité verte. Et le développement des réseaux très haute tension en Afrique servira aussi la cause de l'industrie nucléaire française. En effet, une centrale atomique n'a pas lieu d'être si elle n'est pas adossée à une infrastructure de distribution adaptée. " dit un conseiller de la présidence (côté français s'entend)
Extraits d'un article de Jean-Luc Porquet dans le Canard enchaîné" du 14 juillet 2010.
On peut peut-être faire autre chose ? |
Batterie
à patate chaude
De nombreux écoliers ont fait des batteries en collant
des bandes de cuivre et de zinc dans une pomme de terre. Ca ne marche pas très
bien. Mais Alex Goldberg et ses collègues de l'Université Hébreu de Jérusalem
ont trouvé un moyen simple d'obtenir 10 fois le voltage, juste en faisant
préalablement bouillir les pommes de terre. Cela paraît léger, mais la
production de courant par les patates pourraient être 50 fois moins chère que
par des batteries classiques et pourrait être vraiment utile pour des
applications à faible puissance dans les pays en voie de développement.
Source : Alex Goldberg et al. 2010 JRSEnergy2 033103 dans CERN CourierJuillet/Août 2010
Commentaire : Encore faudrait-il que les pays en question aient les patates, et puissent les cuire, eux qui n'ont déjà pas de bois pour leur cuisine. Ce sera donc Manger ou Produire de l'électricité...Et puis, ces patates, même cuites, vont sécher, et/ou pourrir, donc il faut les remplacer.
Mais ces pauvres peuples auront bientôt de quoi cuisiner mieux...puisqu'ils pourront acheter les 3/4 de l'électricité solaire produite sur leurs terres comme indiqué ci-dessus.
"Small is
beautiful" ...
"Eolien, marin, photovoltaïque… les journalistes ibériques ont fait le tour du monde des parcs d’énergies renouvelables les plus gigantesques. Ces technologies n’émettent pas de gaz à effet de serre et ne génèrent pas de déchets radioactifs. Mieux, elles s’avèrent aussi « intéressantes » à petite échelle : miniturbines sur les toits, cellules photovoltaïques sur les appareils électroniques, cratères de biomasse domestique. "
Lire la suite dans http://www.terra-economica.info/Les-outsiders-du-nucleaire.html
La meilleure énergie : celle que nous ne dépensons
pas
"Or l’enjeu est là : pour éviter d’accélérer le changement climatique - qui est déjà en marche - les scientifiques soulignent qu’il faut réduire significativement les émissions de gaz à effet de serre. Mais surtout qu’il faut le faire dès aujourd’hui. "Dans ces conditions, le nucléaire, qui répond aux seuls besoins en électricité, et non à l’ensemble des besoins en énergie, n’est pas LA solution. C’en est une pour produire de l’électricité dans certains pays riches. Mais la solution énergétique consiste à réduire la consommation", confie une ingénieure spécialiste du nucléaire.
Lire la suite dans http://www.terra-economica.info/a3413.html
Une éolienne de toit
L'AeroCube® conçu par Aeolta®
Il
permet "d'exploiter
sans nuisance un phénomène naturel pour produire de l'électricité :
l’accélération naturelle du vent due à la pente des toits.
Un toit pentu constitue pour le vent un obstacle à contourner. Les études approfondies menées par Aeolta® ont permis de comprendre ce phénomène, d’en analyser et d'en mesurer les effets. De ces études est né l'AeroCube®, la micro-éolienne domestique, capable de produire de l'électricité propre, sans nuisances visuelles ni sonores.
Pour maximiser ses
performances, l'AeroCube® est positionné à l'endroit précis de la toiture où le
vent présente son accélération maximale : la faîtière.
L'enjeu initial pour Aeolta® était exploiter efficacement le potentiel
énergétique du vent dans des environnements urbains habités. Au lieu de chercher
à atteindre les vents les plus forts à des altitudes élevées, à l'aide de tours
ou de mâts envahissants, contraignants et dangereux, l’AeroCube® capture le vent
de façon à la fois intelligente et discrète.
Les tests réalisés ont permis de déterminer que, selon la configuration de
l'habitation ou du bâtiment, l’accélération du vent due à la pente du toit
atteint en moyenne 1,6 fois la vitesse du vent mesurée au même endroit en champ
libre."
Commentaire : Le principe des turbulences de l'air sur les toits est connu de tous temps par les architectes, constructeurs et installateurs de cheminées, donc l'exploitation de ce fait est intéressante. Reste à savoir si l'on dispose d'un toit adéquat avec une bonne orientation suivant les vents dominants permettant les meilleures performances de l'équipement qui représente tout de même un investissement.
Ohmasa Gas
Apparemment ce n'est pas de la "Fusion Froide" ni du Gaz de Brown. Il y a de l'eau à l'entrée et en sortie de l'eau + de l'énergie. Masaru Emoto parle d'un gaz d'eau.
Mr. Ohmasa, président of Japan Techno a conçu une méthode de production d'un gaz hydrogène-oxygène inhabituel. Ce gaz pourrait devenir une alternative au carburant dans le futur, capable de remplacer l'essence grâce à ses caractéristiques de combustion et aussi à sa facilité de stockage et transport. Ce procédé breveté utilise des vibrations à basse fréquence pour faire circuler de l'eau sans autre mécanisme agitateur. Cette eau a une tension de surface réduite à un point tel qu'il ne se forme pas de bulles même si un détergent y est ajouté et malgré l'agitation due à la circulation. En fait il se forme des bulles mais minuscules, à l'échelle nano. Mr Ohmasa a découvert qu'en faisant une électrolyse avec cette eau, un gaz hydrogène-oxygène très stable se forme. On le nomme Ohmasa gaz. Il a des caractéristiques inhabituelles; il n'explose pas sous pression, mais se recombine seulement en brûlant. Alors que la liquéfaction de l'oxygène se fait normalement à -183° C et celle de l'hydrogène à -253°C , le gaz Ohmasa se liquéfie à -178°C. Il ne fuit pas des containers, peut se transporter facilement et pourrait être utilisé dans les moteurs actuels munis de quelques modifications.
Pour en savoir plus : http://peswiki.com/index.php/Directory:Ohmasa_Gas_by_Japan_Techno_Co.,_Ltd.
Un
bus chinois électrique
"La Chine bouge vite dans le monde des transports, et ils vont débuter la construction d’une voie de 186 km pour un mégabus biberonné à Pékin d’ici la fin de l’année. nous dit Pierre Langlois
Plutôt original, avouez! L’art de faire circuler un autobus à travers la circulation sans problème."
Proposé par Shenzhen Hashi Future Parking Equipment Co., Ltd, ce curieux modèle
de transport en commun, peut faire voyager 300 passagers par voiture à 60km/h,
sans bloquer le reste du trafic automobile qui passe en dessous.
Sont prévues les sécurités par ultrasons et lasers empêchant à un véhicule trop
haut d’entrer sous ce bus, et aux véhicules légers déjà engagés dessous de ne
pas trop se rapprocher des parois.
Rapide à construire : un an pour 40 km, alors que pour la même distance il faut
3 ans pour le métro et à un coût bien supérieur, il peut réduire le trafic de 25
à 30 % et de ce fait permettre d’économiser 860 tonnes de carburant par an et de
ne pas libérer dans l’environnement 2640 tonnes de CO2.
Il peut se garer à ses stations, sans gêner la circulation
Certes, il faut remodeler les voies, poser les rails et construire les
plateformes des stations.
L’alimentation se fait par “biberonnage” sur les rails placés dessus à partir
d’électricité de la ville et aussi d’origine solaire. Un super condensateur
permet de charger et décharger rapidement l’électricité.
Sont également prévus des équipements de sécurité pour permettre une évacuation
rapide des passagers, un peu comme dans les avions.
Première étape de démonstration : le Beijing’s Mentougou District a un projet
intercommunal pour 186 km de voies dont la construction débutera fin 2010.
Vous aurez une meilleure idée en regardant le vidéo sur le site suivant
Commentaire : On se demande pourquoi ce genre de bus n'a pas été imaginé et réalisé plus tôt dans le monde?
Autres infos
Le
site de Jeane Manning
http://changingpower.net/
A Suivre
![]() |
Le 09/01/2010, Jeane indique qu'elle va faire un suivi plus régulier dans son site, en parlant de ce qui peut se passer sur la scène des nouvelles énergies. Ses motivations n'ont pas changé. Le souci de remplacer des carburants polluants par de nouvelles sources d'énergie qui n'en utilisent pas est toujours bien présent. De quelque côté que l'on se tourne, l'exploitation des sables bitumineux au Canada, les forêts dévastées dans les Appalaches, les fuites radioactives des réacteurs à Chesapeake Bay, les déserts lointains où de jeunes hommes perdent la vie à cause du pétrole, le delta du Niger où la Shell pollue honteusement le paysage et ruine l'alimentation locale...la liste est longue |
![]() Son dernier ouvrage
|
En glanant dans le site de Jeane Manning
Le Dr
Kiril Chukanov,
un physicien qui sait comment maîtriser l'énergie de la foudre en boule, trouve
étrange que la bourse canadienne refuse la demande présentée par sa société de
le mettre sur la liste des sociétés publiques, alors qu'il y a tant de dommages
causés à l'environnement.
Voir les détails dans le site de Jeane Manning http://changingpower.net/
Disparition de
Mr Lambertson
: voici un extrait de cet hommage que Jeane Manning lui rend le 13/07/2010
"Le Dr Lambertson, résidant en Floride, est décédé le 10 mai
2010, quelques semaines avant ses 90 ans, suivant de près son épouse décédée en
début d’année. Il a pu voir les plages polluées par le pétrole, lui qui a voué
sa vie à une énergie propre et à des emplois capables de remplacer ceux dans les
mines de charbon.
Mais il n’a jamais obtenu le financement pour qu’une équipe de spécialistes
puisse l’aider à développer son convertisseur à ZPE sans pièces mobiles. Sa
méthode était basée sur l’accélération des charges d’électron WIN process (World
Into Neutrinos). Vers la fin de sa vie il avait rêvé qu’en 2018, son procédé
serait enfin prêt à être utilisé dans le monde.
…"J’ai
(c'est Jeane qui parle) eu des
informations confidentielles venant d’un autre scientifique dont les expériences
récentes sur une petite échelle, mais très précises qu’il a faites avec un
collègue « prouvent qu’un champ existe dans l’espace, et qui peut travailler
sur un système mécanique afin d’augmenter son énergie cinétique quand il y a
accélération. »
Cet expérimentateur prudent dit : « Il est possible que ce champ soit une
conséquence de l’éther auquel Einstein * a fait allusion en 1920 »
Jeane Manning ne peut en dire davantage car un brevet sur cette nouvelle
expérimentation est en cours.
"Par coïncidence, l’accélération (dans le cas du Dr Lambertson, il s’agissait de
celle des charges d’électron) était la partie vitale des deux expérimentations,
y compris celle de cet appareil sans nom testé ce mois. C’était ce facteur
d’accélération que Win Lambertson croyait capable de faire en sorte que son
système WIN capte dans l’énergie de l’espace et par conséquent ajoute de
l’énergie à la sortie de son système.
Il n’avait rien de l’inventeur travaillant dans son garage. En fait, il était
l’ancien directeur de la Commission scientifique et technique du Kentucky, qui
avait surmonté son scepticisme académique au sujet des extraordinaires
affirmations disant que l’on peut obtenir de l’énergie libre de l’espace et lui
faire faire un travail utile.
Voici ce qu’écrit sa fille :
Il avait reçu ses diplômes et doctorat à l’Université Rutgers dans les
domaines de l’ingénierie de la céramique. Alors qu’il était à Rutgers, il avait
inventé un revêtement céramique réfractaire pour des chaudières de la Navy.
C’était important pour la Navy d’augmenter la durée de vie de leurs équipements.
Ensuite, le Dr Lambertson est parti pour Chicago aux laboratoires National
Argonne. Il a travaillé sur un problème de dispositifs réfractaires dans
l’énergie atomique. Puis, il a été enseignant à l’Université de Toledo, dans
l’Ohio. C’est par la suite qu’il a été à Grand Island et a travaillé sur le
Carborundum. En 1963, il est parti avec sa famille à Lexington Spindletop
Research. Là encore, il était dans la recherche.
Il est venu en Floride passer sa retraite, en consacrant tout son temps au ZPE.
C’était un homme dont les rêves étaient en avance sur son temps, et jusqu’à très
tard dans sa vie, il a cru qu’il y avait là une source d’énergie viable. Il a
continué à lire et écrire jusqu’à la fin de ses jours."
* A ce sujet, voir dans notre site, à la date du 20 avril 2003 :
Texte intégral de la conférence de Leyde donnée en 1920 à Leyde
par
Albert Einstein
qui concluait ainsi :
"Selon la théorie de la relativité
générale, un espace sans éther est inconcevable..."
Petite annonce : Si vous avez 50.000 dollars à
dépenser, et surtout si vous êtes un acheteur sérieux, vous pouvez vous faire
livrer par camion le matériel que vend John Hutchison qui déménage. Il habitait
près de Vancouver et il vend tout ce qu'il a utilisé pour produire de l'antigravité,
y compris des pièces qu'il a construites lui-même. Il a mis l'annonce sur
Internet en Juillet 2010.
Pour en savoir plus :
http://changingpower.net/articles/john-hutchisons-moving-sale
On nous a signalé
"Un nouveau moyen de production d'électricité. Il s'agit d'une conversion indirecte de l'énergie solaire, qui peut être associée à un ajout d'énergie grâce à la géothermie. Le tout actionnant une nouvelle machine thermique (air chaud et air froid). D'autres sources de chaleur peuvent être utilisées et rentabilisées par ce dispositif, cependant la conversion de l'énergie solaire devrait être la plus employée. Le cœur de la machine est essentiellement un échangeur thermique de conception particulière et utilisé dans des conditions nouvelles. Il est aussi possible d'associer ce dispositif à un véhicule automobile hybride pour lui donner plus de puissance à bas régime tout en réduisant sa consommation de carburant."
A voir ici: http://www.inventinnov.fr/air-fr.htm
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"Ce quatrième volume de biographies de savants méconnus, "Savants maudits Chercheurs exclus" T4 par l'écrivain Pierre Lance, comporte trois biographies pour lesquelles j'ai documenté en tout ou partie l'auteur : celles du docteur Jean Laigret, du professeur Raoul Estripeau et du docteur Arthur Vernes." nous dit Thierry
Voir
Merci à l'infatigable Thierry St-G. !
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En 1991 Igor et Grichka Bogdanov avaient déjà écrit avec Jean Guitton dans "Dieu et la Science" : il est possible "d'appréhender l'Univers comme un message exprimé dans un code secret, une sorte de hiéroglyphe cosmique que nous commençons tout juste à déchiffrer". Ils viennent de publier chez Grasset "Le visage de Dieu". Ne vous attendez pas à avoir l'image... Mais suivez les astronomes de métal que sont COBE, WMAP, et PLANCK tout en continuant à vous poser la question fondamentale : "Pourquoi y a -t-il quelque chose plutôt que rien?" "Finalement, les astronomes et les cosmologues se retrouvent nez à nez avec les théologiens, qui ont toujours pensé que ce qu'on pourrait appeler une force surnaturelle, une force créatrice, est responsable de ce qui s'est passé à l'origine du monde" Robert Jastrow in "La science et la création" "L'histoire des sciences est l'histoire de l'amélioration des approximations successives qui suscitent de nouvelles questions et orientent la recherche vers des approximations encore plus fines." P.J. E. Peebles - Université de Princeton 29/03/2010 Commentaire : à Quant'homme, c'est ce qu'on a essayé de faire, depuis 1995 : des approximations... Complément d'info (merci à Daniel C.) : cet entretien sur 4 pages http://www.chronicart.com/webmag/article.php?id=1659
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Voir la mise à jour dans le calendrier 2010 des stages Gillier-Pantone