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Page publiée le 21/04/2014

Page confidentielle créée le  14/11/06 - dernière mise à jour 10/08/09  à l'attention des

Expérimentateurs du système de chauffage d'eau de Peter Davey

1 - Jean- Luc S. (Belgique)
2 - Jean-Yves H. (Bretagne)
3 - Alain P. (Sud-Ouest)
4 - Jean et Bernadette Soarès (Quanthomme - 03)
5 - Mr X. (France)

 

1 - Jean- Luc S. (Belgique) le pionnier !

Commentaires de Jean-Luc au 07/07/2006

Quelques photos  du montage. Toutes les pièces sont issues d'objets détournés. Les bols sont : pour le grand, le fond d'une tasse en inox, le petit la partie décorative d'un vieux bougeoir en laiton.

 1)      Le film n° 970 le récipient contient ¾  de L d'eau du robinet nous avons stoppé pour protéger l'ampèremètre la ligne est équipée d'un disjoncteur de  20 A il ne s'est pas déclenché.
 2)      Le film n° 971, nous avons débranché le contrôleur. Nous voyons l'importance de l'ébullition et de la production de vapeur.
 3)      Le film n° 973 le récipient est rempli avec l'eau du sèche linge, celle ci étant presque pure sa résistivité est grande, il faudrait augmenter la tension pour avoir une réaction .
 4)      Le film n° 974 ou bien rajouter des minéraux à dissoudre le plus simple "comme en cuisine rajouter du sel".
 5)
            Le film n° 975 la pincée de sel est complètement dissoute, l'eau est toujours celle du sèche linge, intéressante la courbe de l'ampèremètre ! Je pense que la création de bulles au niveau des bols agie comme isolant stabilisant la consommation. L'ébullition n'a pas diminuée pour autant et bien sur la production de vapeur toujours intense ! Sur les quelques dizaines de secondes des films le niveau d'eau à baissé de 250ml, il sera facile de calculer l'énergie récolté, sachant que chaque gramme d'eau en s'évaporant absorbe 537 calories.

............Juste une petite réflexion matinale. Vu l'importance et la grosseur des bulles ;
 1)      l'expansion du gaz dissout  dans l'eau doit fournir une énergie en plus de la vaporisation de l'eau ?!
 2)      Comment se comporte le "bullage" dans un milieu fermé, sachant que normalement la pression augmentant la température d'ébullition augmente proportionnellement ??

 

 

Video060706 2 Mo

 

Commentaires de Jean-Luc au 11/07/2006

J'ai des nouvelles. Une mauvaise et une bonne, enfin ça dépend !
La mauvaise manifestement l'appareil ne fonctionne que sur la résistance de l'eau, la preuve avec les photos.
La bonne l'ébullition est toujours aussi vigoureuse, la consommation moindre puisque les rondelles employées plus petites.
Il est certain que ce mode de chauffage pourrait être d'un bon rendement, il se pose alors le problème de l'isolation électrique. Il faudrait comme dans une centrale nucléaire un circuit fermé isolé, avec un échangeur de chaleur c'est alors le coût qui monte.
Maintenant il est peut être encore possible d'affiner les réglages ...

Commentaires de Jean-Luc au 28/07/2006

En ce qui concerne le Davey il m'est arrivé une chose amusante, j'ai testé toutes sortes de tensions et courants, alternatifs et continus, toutes sortes d'eaux et de PH de 5,5 à7.5 au cours de l'un de ces essais de drôles de petites bulles sont remontées à la surface, leur aspect n'était pas commun. J'ai mis une allumette un claquement sec et grave!!! Depuis je suis à la recherche de tubes austénitiques.
Je ne vous fais pas l'affront de vous expliquer pour quel usage.

Commentaires de Jean-Luc au 31/07/2006

Je dirai même qu'il faut éviter de provoquer une électrolyse, je me suis servi de l'autre partie des bols, toujours avec l'eau du sèche linge le PH 6.03 la tension de 12 V cc (chargeur de batterie) le courant était de 0.00A. les bulles arrivent au bout de deux à trois minutes. Après plusieurs mises sous tension on voit très bien la nécessité d'un inox austénitique, l'eau se couvre d'oxyde de fer le milieu est moins diélectrique le courant augmente, les bulles ne sont plus polarisées
et si l'on insiste l'eau commence à chauffée, l'appareil est court-circuité. Pour obtenir des bulles efficaces il faut vraiment appréhender ce montage comme la fabrication d'un condensateur. (enfin c'est juste mon avis)

Commentaires de Jean-Luc au 27/09/2006

Les tous premiers pas d' un système de chauffage.

 

 

La partie inférieur est un siphon en laiton.
Le cylindre est un échangeur de chaleur.
Il est surmonté d'une soupape de sécurité.

Selon la formule: P= U I .
L'appareil a fonctionné sous des tensions allant de 12v jusqu'a 220v .
La puissance électrique consommée : Sous 12V 6A = 72W

220v 3A = 660w
La quantité d'eau dans le circuit primaire est déterminante pour la consommation du courant, ici 40 cc d'eau du robinet.
Le circuit primaire étant celui en contact avec le Davey. Cette eau est en circuit fermé, elle se vaporise sous l'effet du radiateur, monte dans l'échangeur se condense cédant sa chaleur latente au contact du circuit secondaire et le cycle continue.
Après 2 à 3 minutes la consommation se stabilise et reste stable aussi longtemps que l'appareil est sous tension.
Toute perte de vapeur ou fuite dans le circuit primaire, occasionne une baisse importante de puissance allant même jusqu'à l'arrêt complet du radiateur le circuit devenant dans ce cas isolant, ce qui est une grande sécurité.
Maintenant comment évaluer le rendement réelle de cette chaudière, il n'est pas très facile( pour un amateur) de chiffrer précisément une quantité de chaleur?

Le principe est le suivant, le réacteur (dans le siphon) est vissé sur le circuit primaire de l'échangeur de température photo n° 1000242, ce circuit est étanche, fermé dans sa partie supérieur par une soupape de sécurité tarée sur 7 bars.
Quand on met le réacteur sous tension, l'eau entre en ébullition se vaporise et monte dans le circuit primaire de l'échangeur se condense au contact de l'eau froide du circuit secondaire, retombe au niveau du réacteur est vaporisée de nouveau et le cycle continu Les films n° 2 et 3 représentent un fonctionnement de 45 minutes
Dans le circuit secondaire que l'on désigne sous le terme de manteau sur la photo la partie qui entoure les petits tubes, passe l'eau qui doit être chauffée.
Par exemple l'eau des radiateurs de chauffage central ( l'eau qui coule sur les films)
Photo n° 100033 : le thermomètre indique la température de l'eau du circuit secondaire pour le film n°4.
Cette eau est alimenté sur les films par le tuyau d'arrosage (vert) c'est tout simplement de l'eau du robinet dont le température est de 13° C
La partie électrique du réacteur était alimenté sur le secteur: 220 V.
La consommation de courant sur les films sont en ampères.
Deux critères influences cette consommation:
1) La tension d'alimentation les premiers frémissement ont été obtenus vers 15V, les réelles chaleurs débutent vers 50V toujours alternatif .
2) La quantité d'eau dans le réacteur à tension égale, sur les films 2 et 3 30ml d'eau la tension 220 V l'ampérage aux alentours de 3 A P= U I donc 660W /h
Le film n°4 60ml d'eau dans le circuit primaire la tension toujours 220 V plus-minus 7 A = 1540 W /h
Sur le CD n° 1 deux expériences une pour bien entendre la vibration due au courant à 50hz au niveau du réacteur, c'est maintenant sur la perfection de l'accord obtenu par un usinage le plus précis possible qu'il faut ce concentrer afin de développer un COP supérieur à 1 voir plus ( enfin c'est juste mon avis) !

Commentaires de Jean-Luc au 28/09/2006

Le premier contient deux films d'expérimentations.
Le deux et le trois ont été réalisés sur le même temps de fonctionnement ininterrompu de 45 minutes, et 40 ml d'eau dans le radiateur.
Le quatre avec 60 ml d'eau dans le radiateur.
Le grand thermomètre est fiable, par contre il faut rajouter quelques degrés pour le petit.
Au point actuel je pense que le Davey ne fonctionne pas encore en accord parfait sur la fréquence, pour bien faire il faudrai trouver quelqu'un qui serai apte à usiner des pièces. Le laiton est un matériau qui fonctionne très bien pour le corps de l'appareil. Ces deux pièces devront être "rigoureusement" parallèles pour donner le maximum de puissance.

Commentaires de Jean-Luc au 17/10/2006

Comme promis les résultats du protocole.
Maintenant on est sûr on peut passer à autre chose sans arrière pensée.
A moins que je me sois trompé contrôlez quand même on ne sait jamais.

 

 

PROTOCOLE REACTEUR DAVEY 18/10/2006
par Jean-Luc S.

 

Poids du réateur en grammes contenant 40 ml d'eau du robinet

199

température initiale de l'eau en ° C

13

Durée d en seconde

 

 

300

Energie électrique d'entrée en joules

 

p1

20 A/1''

20

 

 

p2

14A/3''

42

 

 

p3

8,8A/2''

17,6

 

 

p4

6A/2"

12

 

 

p5

5A/4''

20

 

 

p7

4A/4''

16

 

 

p8

3A/10"

30

 

 

p9

2,5/30"

75

 

 

p10

2A/10"

20

 

 

p11

1A/109"

109

 

 

p12

0,5A/123"

61,5

 

 

 

 

423,1

x 220 V

93082

Poids final du réacteur en gramme

166

Poids d'eau évaporée en gramme

33

Poids du réacteur vide en gramme

154

poids restant dans le réacteur en gramme

12

température de l'eau restante en °C

93

Energie de chauffage en joules

 

4012,8

Energie de vaporisation en joules

74580

 

 

 

 

78592,8

C O P

 

 

 

0,844

 

Commentaires de Jean-Luc au 20/10/2006

C'est certain que pour des bricolages un COP qui frôle l'unité c'est déjà un beau résultat. Je suis convaincu que pour aller au delà il faut que les coupelles soient rigoureusement parallèles. Nous devons trouver un spécialiste de l'usinage et un bon musicien pour les régler !! En ce qui concerne le chauffage ça marche très bien c'était le but des films, vous pouvez constater que plus le système fonctionne dans la durée plus il est économe et silencieux, le circuit étant fermé les seules pertes sont utiles.
Si j'ai bien compris je suis coupable d'avoir provoqué le démarrage du Quant'homme Labs... Je lui souhaite longue vie et beaucoup de découvertes!

En préparation par Jean-Luc : un projet chaudière.

Jean-Luc a réalisé bien d'autres vidéos de ses expérimentations, non ajoutées à cette page vu leur poids !

 

2 - Jean-Yves H. (Bretagne)

Commentaires de Jean-Yves au 18/10/2006

OU TROUVER LES PIECES ?

 

Outre les anciennes sonnettes de vélo vous pouvez essayer avec :

Une coupe à glaces que l'on trouve chez Emmaus pour une poignée de moules.
Diamètre de la partie supérieure = 90 m/m, diamètre du pied = 59 m/m

Un (maxi) réveil de blaireau dans les boutiques de cadeaux nuls.
Diamètre des cloches = 62 m/m. 
Les coupes 'trophée sportif' ne semblent pas bien fonctionner. Métal trop fin?
Un sucrier ?
Ne doit pas non plus être efficace car en métal trop fin.
Petit matos divers.

MONTAGE

 

Quelques photos sur mes "sonnettes".
J'ai fait une quatrième version non photographiée.

Le montage est simplissime. Il faut simplement veiller à bien isoler les deux coupoles.

 

Le diamètre du trou de la coupole intérieure est de 5 m/m, celui de la coupole extérieure de 8 m/m.
Les deux diamètres sont respectivement de 90 m/m et 67 m/m.
Les deux coupoles sont isolées par des rondelles en nylon. On met aussi du ruban adhésif pour isoler la tige filetée (de diamètre 5 m/m).

 

 

On a vissé une cosse à souder sur la coupole extérieure
 
Le modèle n°1 terminé (il n'est plus utilisé).

La prise est une prise de récup. Il serait plus prudent d'utiliser une prise plus sérieuse et de rajouter un fusible  (10 ampères).

 

LES DIFFERENTS MODELES

 

Modèle n°1 avec sa prise d'époque. Diamètres 90/67 m/m.

Modèle N°2. C'est le même que le modèle N° 1. La prise est un peu plus sérieuse et les 2 coupoles sont plus rapprochées.

 

Modèle N°3. Il y a deux coupoles intérieures composées de pieds de coupe à glace.
 Diamètres 89/59 m/m.

 

Commentaires de J-Yves au téléphone :

"Ca chauffe, vite, mais les mesures du thermomètre électronique sont fantaisistes : l'eau bout, pas question de plonger la main dans le bocal, et pourtant, le thermomètre indique une température bien inférieure. Le même thermomètre testé dans une bouilloire électrique du commerce, affiche pourtant bien les 100 °. Un nouveau thermomètre est prévu.

 

Des résultats sont attendus...

 

Commentaires de Jean-Yves au 16 décembre 2006

J'ai renoncé à utiliser un thermomètre électronique pour mesurer la rempérature de l'eau pendant la  mise sous tension. Celui çi semble s'affoler. C'est pourquoi j'ai aussi renoncé à faire bouillir l'eau (atteindre les 100°). A quoi bon ? Si c'est pour faire du thé à l'eau oxygènée, pourquoi pas ?  Il semblerait en  effet que le système fasse aussi électrolyse. Si c'est pour étudier un appareil de chauffage, c'est inutile.

Procédure:
On mesure la température initiale et le volume de l'eau . On branche. On laisse chauffer le tout pendant un certain temps (comme le fût du canon). On débranche. On remue soigneusement. On mesure la température finale. On note la consommation en kilowatt-heure.

Avant de faire d'autres expériences j'attends d'avoir fabriqué un système de branchement plus sûr composé d'une boite en plastique de deux prises, d'un interrupteur, d'un disjoncteur (10A) et d'un galva (ampèremètre). Je vais aussi fabriquer un doubleur de tension pour y brancher les "sonnettes". Le "Bingo Fuel" de J. L. Naudin "aime bien" les ampères continus (on le branche sur un poste à soudure). Le système Davey aime peut être les volts alternatifs (ou pulsés)?

PREMIERS RESULTATS D'EXPERIENCES DE JEAN-YVES

 

Données de base :

Pour augmenter la température d'un gramme d'eau de 1 degré il faut 1 calorie.
1 calorie = 4.2 joules.
1 watt-heure  = 3600 joules.
1 kilowatt-heure = 3 600 000 joules.
1 litre d'eau = 1000 grammes.

 

Nous avons mesuré l'énergie dépensée avec un wattmètre de chez Conrad, genre: 

Les températures ont été mesurées avec le thermomètre suivant (de chez Conrad, la pub pour Conrad est gratuite.)

 

Expérience n°1 avec une bouilloire :

On porte à ébullition (100°) 1.5 litres d'eau  initialement à 21.8°.

Energie théorique nécessaire :
(100-21.8)*1500= 117 300 calories = 117 300* 4.2 = 492 660 joules =.
492 660/3 600 000= 0.137 kilowatt-heure.
Le wattmètre indique une consommation de  0.146  kilowatt-heure.

Rendement énergétique  = 0.137/0.146 = /=
94 % ( le plastique de la bouilloire chauffe aussi).

Expérience n°2 avec la même bouilloire :

On porte à ébullition (100°) 1.5 litres d'eau  initialement à 22.6°.

Energie théorique nécessaire :
(100-22.6)*1500= 116 100 calories = 116 100* 4.2 = 487 620 joules =.
492 660/3 600 000= 0.135 kilowatt-heure.
Le wattmètre indique 0.144  kilowatt-heure.

Rendement énergétique =  0.135/0.144 = /=
94 %.

 

Expérience n°3 avec les 'sonnettes' :

On utilise un container en métal (alu).
La quantité d'eau est de 4.2 litres.

Température de départ de l'eau 24.4°
Température de fin = 76.7° (après avoir débranché le système et  'touillé').

Energie théorique nécessaire :
((76.7-24.4)*4200*4.2)/3 600 000=0.256 kilowatt-heure.
Le wattmètre indique 0.253  kilowatt-heure.

Le rendement énergétique
0.256/0.253 serait très légèrement > à 1.

Compte tenu de la précision des mesures et des appareils (le thermomètre est donné pour +- 1°) on ne peut cependant pas conclure. à la sur-unité.
Tout au plus peut-on dire - pour le moment -  qu'il semblerait que les 'sonnettes' soient plus efficaces que la bouilloire. Le container alu est également chauffé et la phase de 'touillage' de l'eau prend un certain temps.
C'est prometteur, mais Il faut procéder à d'autres mesures. "

Quanthomme, Jean  à Jean-Yves: C'est prometteur compte tenu de la quantité d'eau et des pertes. De notre côté, nous poursuivons avec l'objectif de voir ce que la variation de distance entre les coupes peut apporter aux résultats, en cherchant des coupes dont les courbures soient le plus parallèles possible.

Commentaires de Jean-Yves au 18 décembre 2006

J'ai fait quelques d'expériences sur le système Davey avec ma nouvelle interface "sécuritaire". J'obtiens toujours quasiment la même chose : un COP de
1 environ (ceci que le système soit fixé ou laissé 'en pendant'). A présent la consommation en ampères augmente légèrement au cours du temps (avant elle
diminuait !) et mon disjoncteur de 10 ampères se déclenche en moins d'une minute. C'est assez décevant et incompréhensible...

Quanthomme : Un COP de 1 compte tenu des pertes, ce n'est pas si mal ? mais c'est vrai que les différences de résultats d'une manip à l'autre, alors que l'on procède absolument de la même façon sont assez déroutantes...Pourquoi ces variations?
 

3 - Alain P. (Sud-Ouest)

Commentaires de Jean-Yves au 12/09/2006

Bonjour,
Le radiateur de DAVEY ça marche très bien
1 litre d'eau chauffé avec cet appareil en 30 secondes de 20 à 80 degrés et même plus.
Consommation 220v 7 à 12 ampères , conso comme une grosse bouilloire mais plus rapide
Essai effectué avec l'eau de la ville 334 µs (assez conductrice).
Il n'y a pas d'électrolyse mais on ressent une vibration!
Avec de l'eau distillée ça ne marche pas.

 

Commentaires de Alain au 16/11/2006

Très bien votre article sur le radiateur Davey. Pour l'instant je n'ai pas trop avancé mais il y a un phénomène bizarre , lorsque l'appareil est branché on ressent une vibration et une fois débranché , les coupelles sont moins chaudes que l'eau, il n'y a pas beaucoup de différence !
Je vais poursuivre les tests en modifiant l'écartement des coupelles et mesurer la température avec le temps de chauffe.

17/11/2006 : Jean et Bernadette à Alain P. "Nous avons nettement constaté la vibration mais maintenant nous allons regarder la température des coupelles..."

16/12/2006 : "Pas facile d'avoir une mesure juste, le temps de débrancher, touiller, mesurer la température de l'eau, puis braquer le laser sur les coupes, l'indication est forcément inférieure à la réalité, leur température est inférieure à celle mesurée pour l'eau. Et puis tout dépend encore de l'endroit où est orienté le laser, entre les coupes, la température est plus élevée que sur les bords..."

  Commentaires de Alain au 19 décembre 2006

"Un autre essai avec le radiateur, diamètre coupelles 55mm, écartement 4mm - Alim 220v 50hz conso 5 ampères au départ lorsque l'eau est tiède puis au fur et mesure que la température monte l'intensité monte pour finir 9 à 10 ampères.
Au bout de 2 mn 1 litre d'eau de 17 degrés est passé a 70 degrés mais toute l'eau dans la carafe, car si on utilise le radiateur en surface l'eau chaude reste en surface et bout.
J'ai fait un autre radiateur plus petit avec des coupelles de 36mm

Alim en 220v 50hz conso 3 a 6 ampères toujours 1 litre d'eau 17 degrés à 60 degrés en 2 mn.
L'eau utilisée est conductrice 335 µS. (eau du réseau).
Il y a un peu d'électrolyse surtout lorsque les coupelles sont très rapprochées ça "ronronne" ça"bouillonne" surtout lorsque le radiateur est incliné et un peu hors de l'eau.
Attention au 220v avec l'eau !
 

Quanthomme : Oui, ! ne pas y mettre les doigts ...

4 - Jean et Bernadette Soarès (Quanthomme - 03)

24/08/2006

V0

Les premiers essais avec ce montage, ont été faits avec une troisième coupe libre, en résonance avec les deux premières. Pas de mesures réalisées, simplement un constat qui montrait une vibration très nette avec ronflement, et un chauffage rapide.

Peu après, lors du démontage du cerclage de plastique, le pot s'est cassé. D'où le montage suivant : la version1 dans un grand bocal

12/10/2006 et 17/10/2006

V1

Le montage est fait avec des sonnettes en fer

  

Radiateur Davey –expérimentations J&B - 12/10/2006 et 17/10/2006

Matériel : grand bocal – 2 coupes – 1 kg eau -

 

Exp 1

Exp 2

Exp 3

Exp 4

Température ambiante

23°6

23°6

24°2

23°1

Température eau avant exp.

24°

19°5

22°4

22°2

Température eau pendant exp.*

90°

A T+5’ : 91°8

A T+6’ : 93°

A T+4’ : 94°

A T+5’ : 96°

A T+6’ : + 100°

A T+2’ : 82°

A T+7’ : 93°

* Températures prises de l’extérieur avec thermomètre à laser

Température eau après exp.

96°2

96°

95°8

96°4

Poids montage à vide

1181g

1167g

1167g

1161g

Poids montage avec 1kg eau

2181g

2167g

2167g

2161g

Poids montage après exp.vapeur

1758g

1919g

1862g

1912g

Poids vapeur

423g

248g

305g

249g

Durée exp

15’

10’

10’

10’

Remarques : T + 15s bruit de chauffe - vibration ressentie sur la table – grosses bulles
T + 19s
bruit ébullition – aspect eau en gelée entre le fond et les coupes
Les mesures des watts fluctuent sans arrêt, montent, descendent, mais sur la durée, descendent nettement (moins de poids d’eau ?)

 

Récapitulatif des calculs

Merci Jean-Louis pour les calculs !

Dans cette expérience, nous voulions voir la conso pour chauffer 1kg d’eau pendant 2 minutes.

Radiateur Davey –expérimentations J&B – 17/10/2006

Matériel : grand bocal – 2 coupes – 1 litre eau -

Exp 5 - 1kg d’eau sur 2 minutes

Température ambiante

23°6

Température eau avant exp.

20°

Température eau pendant exp. prise de l’extérieur avec thermomètre à laser

Température eau après exp.

81° après agitation

Poids montage à vide

1159g

Poids montage avec 1 kg eau

2159g

Poids montage après exp.

2140g

Poids vapeur

19g

Conso 56W - Low : 1438W - HI : 2315W - Les fluctuations sont continuelles entres ces deux affichages, avec toujours la tendance à la baisse.

Pour la 5 ème expérience (chauffage en 2 mn), Mr. X a calculé ceci :

"D'après vos données (de 56 W/h relevés sur l'énergie-mètre ; en effet, 1 W/h = 3,6 Kilojoules) et les calculs (56w/h x 3600j = 201600j ; 297920/ 201600 = 147) la 5 ème expérience est sur-unitaire à 147 %"

Ca donne envie de continuer, n'est-ce pas ? en faisant des montages différents, sans monter jusqu'à l'ébullition, en allant par exemple jusqu'à 40 ou 50° (en pensant au chauffage basse température) ou bien jusqu'à 70 ° comme pour un chauffe-eau.

19/10/2006

  Montage V2 avec isolant et sonnettes fer

Radiateur Davey V2 –expérimentations J&B 19/10/2006

Matériel : grand bocal verre isolé – 2 sonnettes – 1000g eau -

 

Exp 6

 

Température ambiante

23°5

 

Température eau avant exp.

22°8

 

Température eau pendant exp.*

102°

 

* Température prise avec long thermomètre plongeant jusqu’au fond du bocal 

Température eau après exp.

102°

 

Poids montage à vide

1252g

 

Poids montage avec 1kg eau

2252g

 

Poids montage après exp.

2107g

 

Poids vapeur

145g

 

Durée exp

600s

 

 

  Montage V2 avec isolant et coupes à glace inox dans un bidon en plastique

Bidon plastique calorifugé

 

 

Remarque : les mesures de température sont faites en brassant bien l'eau avec un thermomètre de stérilisateur

Radiateur Davey maxi –expérimentations J&B - 19/10/2006

Matériel : bidon plastique isolé – 2 coupelles inox – 1500g eau

 

Exp 7

Température ambiante

23°5

Température eau avant exp.

22°7

Température eau pendant exp.*

100°

* Température prise avec long thermomètre plongeant jusqu’au fond du bocal 

Température eau après exp.

100°

Poids montage à vide

705g

Poids montage avec 1kg eau

2205g

Poids montage après exp.

2062g

Poids vapeur

143g

Durée exp

600s

 

 

Remarque : L’affichage des watts démarre moins haut, la production de vapeur est moins importante

11 décembre 2006

Montages V3 et V4

Commentaires et surtout interrogations.

Malgré notre idée de faire les relevés en fonction de températures plus basses, 40, 50, et jusqu'à 70°, la montée en température étant tellement rapide, nous avons été obligés de revenir à des relevés à grande ébullition dans toute l'eau du bidon. Dans le meilleur des cas, l'eau bout fortement dans la masse et le thermomètre indique 90°, ou même parfois 95°. Ce qui est inférieur à la réalité, certainement. Dans nos calculs, ce sont ces chiffres qui ont été retenus (en utilisant 100° dans nos calculs, les COP seraient encore supérieurs)

Nous avons utilisé au minimum 1000g d'eau, ce qui réduit aussi le risque d'erreurs. Mais compte tenu de nos moyens techniques, il est difficile de faire d'autres manipulations avec très peu d'eau, surtout sans relevés instantanés et en continu.

Après une douzaine d'essais avec des coupes à glace en inox (plus résonantes que les vieilles sonnettes en fer), espacées d'environ 5 mm, mais malheureusement pas sur l'ensemble de la courbure, nous avons constaté que les meilleurs résultats étaient obtenus lorsque

- les coupes étaient orientées l'ouverture vers le haut (disposition qui donne de meilleurs résultats

- on avait laissé le pied de la coupe inférieure

- on a rigidifié l'ensemble entre l'étrier  sur lequel sont fixées les coupes et le fond du récipient  pour éviter le ballottement des coupes dans l'eau

- on a fait affleurer le niveau de l'eau à 1 cm environ au-dessus de la coupe du dessus

Le problème majeur : ce sont les mesures de température.

Nous avons utilisé plusieurs types de thermomètres

- à alcool (thermomètre de stérilisateur à conserve)
Pas assez rapide pour suivre l'évolution de la température (même en le plongeant préalablement  dans un bocal d'eau chaude extérieur pour que la colonne d'alcool arrive à 50°), car l'eau arrive très rapidement à ébullition dans l'environnement direct des coupes

- à affichage digital
Nous avons essayé 2 modèles, un petit (visible sur la table dans la V1 et dans le compte rendu de Jean-Yves) dont la lecture n'était pas facile à cause de la vapeur, d'où l'achat d'un autre avec une sonde au bout d'un raccord de 90 cm (LCD Handthermometer chez Conrad, toujours sans pub!).

 

Les résultats ne sont pas davantage fiables : c'est n'importe quoi quand on mesure dans l'eau pendant le fonctionnement ! Jean-Yves l'avait constaté dès ses premiers essais. Les champs électrique et vibratoire perturbent complètement le système. Et puis, comme les sondes des thermomètres sont des pièces métalliques, elles sont soumises à des contraintes qu'on ne peut maîtriser, et sont source d'erreurs de mesure. C'est pour ça que Jean,  juste pour vérifier, a mis le doigt dans l'eau - décharge électrique !  l'eau était vraiment bouillante alors que le thermomètre indiquait 20°.

 

Laissant de côté ces thermomètres, nous nous sommes seulement fiés au thermomètre à visée laser,  avec mémoire, en dirigeant le faisceau dans l'eau en ébullition (au plus près de l'eau, ça chauffe), mais pas sur les coupes, au contraire, au plus loin d'elles. La  lecture se fait une fois la main retirée du bidon et là,  l'affichage donne des indications correctes, plus fiables, certainement inférieures à la température réelle.

 

C'est pour cela que dans les dernières expériences, nous avons laissé la température monter pour avoir une forte ébullition dans la masse d'eau.

 

 

 

 

Quelques résultats d'essais

 Avec les coupes placées comme indiqué, en suivant le même protocole, et toujours avec de l'eau du robinet, sans remettre dans cette page les tableaux avec les poids d'eau, les watts etc.  nous avons pu calculer les COP suivants plus qu'intéressants.

 

Test 8 Dans ce test V4, une coupe supplémentaire avait été placée en résonateur, maintenue par un étrier indépendant sur le côté du bidon mais, pour que l'eau recouvre les 2 coupes fixées à l'étrier, il fallait 2000 g d'eau COP 2,87
Test 9 V4 avec 2000 g d'eau sans la coupe résonateur COP 3,53
Test 10 V3 avec 1000g d'eau (lors d'une précédente expérience, avec la même configuration, le COP avait été de 3,89 ! ) COP 2,06
Test 11 V3 avec 1000g d'eau COP 5,33
Test 12 V3 avec 1000g d'eau COP 2,62
Test 13 V3 avec 1000g d'eau COP 3,06
Test 14 V3 avec 1000g d'eau COP 4,47

Nota : les essais 10 à 14  ont été faits dans cet ordre les uns à la suite des autres, en suivant le protocole et après avoir laissé refroidir le matériel.

? Interrogations

Pourquoi autant de variations ? Avec le même protocole et le même matériel ?

Jean pensait  que le fait d'empêcher le ballottement des coupes stabiliserait les mesures, apparemment, ce n'est pas un élément déterminant de leur variation. Toutefois cette fixation permet d'avoir quand même de meilleurs COP.

Comment s'effectuent les résonances au sein de l'eau ?

Les meilleurs résultats ont été obtenus avec des coupes ayant un très beau timbre, c'est à dire avec de nombreuses harmoniques, ce qui donne la possibilité de tomber sur les bonnes fréquences.

Le bouillonnement ultra rapide et intensif (de l'ordre de 2 à 3 secondes) entre les coupes créant beaucoup de bulles d'air et doit certainement être responsable des variations de COP constatées.

Il faudrait tenir compte de la chaleur dissipée dans la matière même du bidon. Dans ces derniers essais, tout a été fait dans un bidon plastique d'eau déminéralisée, et entouré d'un calorifuge, celui des essais du 19/10. Il y a donc peu de matière qui capte les calories, l'isolant étant placé tout contre la paroi plastique du bidon. Le verre du bocal des premiers essais devait piéger davantage d'énergie, mais à notre stade de modestes expérimentateurs - défricheurs, et avec les problèmes de thermomètres, il n'est pas possible d'évaluer toutes les pertes.

Conclusion provisoire

Malgré les moyens du bord et les risques d'erreurs dus aux appareils de mesures, et justement en raison de cette simplicité dans les manipulations, nous n'avons pas de doutes: il y a bien sur-unité.
Ce système Davey mérite certainement d'être étudié par des personnes compétentes ayant des connaissances en électricité, en thermodynamique, et en acoustique, et surtout équipées d'appareils pour des prises de mesures instantanées tenant compte de la spécificité de ce type de recherche...
Finalement un seul paramètre paraît utile à connaître, c'est le prix de revient du chauffage d'une quantité d'eau. Il serait intéressant de calculer par exemple le prix de revient pour chauffer les 15 litres d'eau d'un petit chauffe-eau instantané, en comparant l'énergie dépensée en fonctionnement classique avec la résistance d'origine à celle du fonctionnement avec système Davey...encore que, le thermostat du chauffe-eau pourrait bien lui aussi devenir incohérent !
Bonnes manips à tous !

Commentaires de Jean au 22/12/2006

Nos prochains essais seront faits comme précédemment, en observant en plus ce qui s'affichera sur l'oscilloscope. Enfin, on va essayer car il faut pouvoir capter les fréquences se produisant dans l'eau, et on risque bien d'affoler tous les systèmes de micros ou petits écouteurs de casques...Le premier essai fait avec Michel David n'a pas été concluant. Et puis on veut faire varier mm par mm (si possible) l'écartement des coupes.

Il est difficile de savoir quelles sont les bonnes fréquences par rapport au 50Hz dans l'eau. Les coupes vibrent dans l'eau, et comme toute vibration dans l'eau entraîne déjà par agitation un échauffement supplémentaire, il faudrait trouver des coupes émettant un maximum d'harmoniques qui puissent se recouper avec la fréquence de base. De notre côté, les coupes qui ont donné de bons COP sont celles qui "sonnent" bien dans l'air, émettent un maximum d'harmoniques et résonnent longtemps. 

Toutefois, le système doit-il être vraiment harmonique ?
Dane Rudhyar, breton d'origine qui vivait aux USA et qui, pour vous le situer un peu, était musicologue, musicien, compositeur, philosophe, poète, peintre, théoricien de l'esthétique et également auteur d'études astrologiques d'une valeur reconnue mondialement, s'est penché sur la puissance dynamique émise par les sons. Il  fait remarquer que les sons légèrement décalés, créant un battement, apportent une meilleure dynamique. Il a étudié, entre autres, les instruments tels que les cymbales tibétaines qui sont légèrement désaccordées pour notre oreille occidentale, et qui ont des pouvoirs dynamiques particuliers.

Dans son livre "La magie du ton et l'art de la musique", Dane Rudhyar écrit : "Lorsqu'on les frappait l'une contre l'autre, elles donnaient un ton vibrant d'une grande beauté à cause de l'interférence des ondes sonores de fréquences rapprochées. Ce phénomène produit des "battements" dont l'espacement est égal à la différence entre la fréquence des deux tons. Des tons combinatoires apparaissent aussi, lorsqu'on fait résonner en même temps deux temps forts et ces effets sont utilisés, de façon diverses, pour certains orgues....Ce que révèlent en fait ces phénomènes, c'est la complexité de l'expérience dès qu'il s'agit de tons ou de résonance holistique. Les grands gongs de la Chine, certains instruments tibétains, du Japon et de Java, et les cloches des cathédrales européennes en produisent de fort émouvants...Leurs tons sont à la fois non harmoniques et périodiques...ou alors, les harmoniques sont tellement riches qu'elles s'interfèrent, donnant à l'oreille cet effet non harmonique et harmonique à la fois ? comme dans les cloches que l'on peut entendre de très loin, elles étaient d'ailleurs faites pour ça.
...L'étude des intervalles musicaux entre les sons, c'est à dire celle des rapports mathématiques entre les fréquences ou nombre de vibrations par seconde, tend à se substituer à l'expérience directe des tons, chargés d'énergie psycho-active et dont l'énergie est de nature magico-sacrée..."
Pour la petite histoire : la onzième harmonique d'une série ascendante commençant par un do, se situe aux environs du fa dièse. Ce fa dièse ramené à la gamme d'origine constitue un "triton" et il a été considéré pendant tout le Moyen-âge et surtout dans le chant grégorien comme un intervalle maudit, à ne pas utiliser et il était appelé "le diable" en musique...Il faudrait se replonger aussi dans les livres du Dr Tomatis qui explique les effets puissants du chant grégorien et de la musique de Mozart sur les humains, mais là, on s'éloigne...mais qui sait?

Dans la section gravitation de notre site, nous avions cité ceci:
Dan Davidson témoigne d'un cas particulièrement intéressant au Tibet :" Une pierre de un mètre cube et demi est placée dans une cuvette hémisphérique de un mètre de diamètre située dans le sol. Les prêtres émettent un bruit continu au moyen de cors, de tambours et de tout objet capable d’ajouter à la cacophonie. Je pense que le trou dans le sol réfléchit ces sons dans la pierre. Après quelques minutes, la pierre est comme sensibilisée et se trouve dans un état proche du chaos. Cinq minutes après, on frappe un gros tambour qui joue le rôle de déclencheur sonore, ce qui pousse la pierre par dessus bord (hors limite au sens énergétique).
L’afflux de l’éther dans les centres neutres de la pierre fait qu’ils sont perturbés par la cacophonie. Lorsque retentit le gros tambour, tous les sons se concentrent, comme dans un laser acoustique, pour repousser et détourner l’éther de la pierre. Comme dans l’expérience Finlandaise à l’Université Tampere (
voir Podkletnov),  le poids de la pierre est réduit fondamentalement (pas supprimé). Alors, la pierre ressemble à un bloc de polystyrène pendant quelques secondes. La pression de l’air accumulé dans la cavité sous la pierre fournit une poussée explosive qui la projette en l’air et sur le bord."

Dans notre région, il y a une chapelle du XIIème siècle, rescapée de trois que l'on dit avoir été construites par des Templiers, et dont l'une d'elle était à Aubepierre. Cette chapelle est située sur une hauteur, elle est dédiée à Sainte Madeleine, au bord d'une vallée menant aux Monts de la Madeleine (et sur une faille géologique, en plus). Depuis Cusset, un pèlerinage s'y déroulait dans les périodes de sécheresse, portant la Vierge Noire de la ville afin de demander la pluie. Elle  possède une cloche qui avait la propriété d'éloigner les orages de grêle lorsqu'on la faisait battre. Et détail curieux (intéressant pour les géobiologues), au plafond était suspendu un serpent qui avait terrorisé la région et qu'avait tué un des templiers du Mont-Peyroux.

Revenons à nos modestes résonances : toutes ces cogitations combinées nous laissent tout de même avec cette question : les variations dans nos résultats de mesure proviennent de quoi ? Certes, il y a les tolérances en plus ou en moins de nos appareils (on n'est pas doté de matériel sophistiqué comme au CNRS !) mais à ce stade, nous supposons qu'il peut se passer par moments un phénomène de capture de...l'énergie du vide. Pourquoi, nous pensons à cela?

Il nous est arrivé une fois d'observer une stagnation de l'affichage du wattmètre, alors que l'eau continuait de bouillir, le système paraissant à l'oreille stabilisé, ce qui en final avait  donné une consommation très basse et permis de calculer un COP de 27 (!) Il y a de quoi être interpellé ? La manip suivante, faite absolument dans les mêmes conditions, comme celles d'avant, avait donné un COP bien inférieur. Pensant à un quelconque problème, nous ne vous avions pas mentionné cette manip qui se situait entre les nos 11, 12 ou 13. Toutefois, suivant les conseils de Jean-Louis, ce wattmètre a été vérifié (avec une simple ampoule de 40W sur une heure) et  il fonctionne correctement...Donc ce COP de 27 doit tout de même être considéré.

La molécule d'eau se mettrait-elle à osciller ? On pense à ce que disait Meyer :
"
...C’est vraiment l'oscillation de la particule (d'eau) qui joue un rôle de générateur d'énergie. Meyer dit que, dans un élément d'injection de W.F.C., on a accès à un ZPE supplémentaire. C’est à travers un orifice situé dans le noyau, et que la tension électrique fait ouvrir et fermer que l’on peut faire travailler le ZPE. ...La molécule d'eau est l’intermédiaire qui permet de puiser dans l'éther..."

Alors, s'il s'agit bien de cela, quelles sont les conditions qui assureraient que l'on peut obtenir régulièrement des COP de 20, au moins, comme l'assurait Davey?  Qu'est-ce qui peut déterminer le bon moment pour qu'on stabilise l'effet et le reproduise à volonté avec nos montages de coupes et de sonnettes? Le problème est déjà d'avoir des espaces identiques entre les parois des coupes...Pourrait-on faire des essais avec de belles petites cloches de bronze ? des bols tibétains harmoniques ou pas ?  faut-il rajouter des résonateurs indépendants ?

Merci à tous pour ce que vous avez d'ores et déjà apporté à cette recherche-défrichage ! A ce stade, pour notre part, nous sommes encore perplexes et cogitons...avec l'intention d'avancer encore un peu sur ce modeste chemin de recherche.

 

5 - Mr X. (France)

Commentaires de Mr X. sur ses expérimentations du 23/10/06 au 28/03/07

pdf DaveyTests 1,57 Mo

  VideodaveyXtest061106 1,53 Mo


 

Jean-Marc :

Des idées sur le système de Davey

 

..." Imaginez qu'excepté la forme des coupelles, c'est le système HHO que vous présentez. ...
 

Pour ce qui vous concerne, le résultat est évident si l'on y pense, et on peut même aisément l'améliorer.

Réfléchissez à la forme des coupelles, des paraboles, donc focalisation des l'effet. Si phénomène acoustique est induit, les coupelles font office de haut-parleur.

Amusez vous à brosser l'intérieur en cercles et vous améliorez encore les performances car vous rajoutez l'équivalent d'une lentille de Fresnel. Vous faites une sorte de cavitation statique avec les coupelles, attention à l'effet catalyse et emballement du système.

Je vous conseille de commencer progressivement avec des rondelles légèrement déformées en les martelant puis en étape deux, de les brosser en cercles. Vous reproduirez le miroir d'Archimède qui incendia les navires ennemis, ancêtre du laser.

Pensez toujours en ondes et en leur point de focale. Imaginez, en prenant les cotes, que c'est une loupe et vous aurez ainsi les niveaux d'eau optimaux..."

 

 

Protocole d'expérimentation conseillé par Jean-Louis Naudin

Pour la mesure de la puissance électrique d'entrée, vous pouvez utiliser un énergie-mètre du genre de ce que l'on trouve chez Conrad ( Energy Check 3000 (ref : 12 21 81-54) à 25 € HT ).

 A la mise en route et sans modification des paramètres, l'énergie-mètre vous indique la puissance consommée en Watt. Pour connaître l'énergie électrique d'entrée, il vous suffit de chronométrer le temps de fonctionnement de votre réacteur .

 Energie électrique d'entrée (Joules) = Puissance (W) x Temps de fonctionnement (s)

 Vous pouvez utiliser aussi un voltmètre AC et un ampèremètre AC ( 10-20 A max ). Le Davey étant résistif, il n'y a pas de problème de Cos Phi. Dans ce cas, l'énergie électrique d'entrée est :

  Energie électrique d'entrée (Joules) = Tension moyenne AC  (V) x courant moyen AC (A) x Temps de fonctionnement (s)

 Pour la mesure de l'énergie thermique de sortie, c'est un peu plus compliqué.

 Vos devez mesurer exactement la quantité d'eau ( m en g) avant l'expérience, par exemple 1000 mL (soit m=1000 g).

1) le réacteur étant remplit, déconnecter les fils d'alimentation et pesez le tout, vous aurez ainsi la masse initiale du réacteur, soit M1 (en g).
2) connectez les fils électriques d'alimentation ( le courant n'étant toujours pas branché ).
3) mesurez la température initiale de l'eau (T1) avec un simple thermomètre à alcool ou mercure (capable de monter à 100°C) ou avec votre thermomètre pyrométrique.
4) Branchez électriquement le réacteur et déclenchez le chronomètre.
5) après une durée (d en sec) d'expérience que vous avez déterminé à l'avance
6) notez la puissance en Watt indiquée par votre énergie-mètre et/ou la tension et le courant de vos appareils de mesure, et notez aussi la température finale de l'eau ( T2 )
7) Débranchez électriquement le réacteur
8) Déconnectez les fils électriques du réacteur
9) Pesez le réacteur pour avoir son poids final, soit M2 (en g)

 Voilà pour la partie expérimentale, il reste maintenant à faire les calculs:

Pour le calcul de l'énergie d'entrée, c'est indiqué plus haut...

Pour le calcul de l'énergie thermique en sortie, il y a 2 énergies à prendre en compte :

 a) l'énergie de chauffage : C'est l'énergie nécessaire pour chauffer m gramme d'eau.

 Energie de chauffage ( en J ) = 4.18 * m(g) * ( T2(s) - T1(s) )

 b) l'énergie de vaporisation : sacahnt qu'il faut 2260 Joules pour évaporer 1 g d'eau, on a donc  :

 Energie de vaporisation ( en J ) = 2260 * ( M2(g)  - M1 (g) )

 Ce qui donne *l'énergie thermique totale en PRODUITE* par votre réacteur :

 Energie thermique produite ( en J ) = Energie de chauffage + Energie de vaporisation

 Et voilà, maintenant vous pouvez calculer le COP de votre réacteur :

 COP = Energie thermique produite / Energie électrique d'entrée

 Bonnes expériences ;-)

 

Fréquences