DES INVENTEURS ET DES APPAREILS A ENERGIE LIBRE
SANS PIECES EN MOUVEMENT
: Page 4 de
Seike à Yglesias
Page créée le 17 octobre 1999
- mise à jour le
18 mai 2006
SEIKE SHINICHI
Research Institut, 1 et 2 Ohmiyachoh, Uwajima City Ehime 798 Japon.
Tél: /0895(24)0225 et Fax: /0895(24)7325
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Le Pr Seike est né en 1935, il a fait ses études à Tokyo, et enseigne à lUniversité Keio au Japon. Ses collaborateurs sont peu nombreux et de grand talent. Il est directeur du laboratoire - subventionné - de recherche sur la gravité. Selon le Dr Nieper les compétences et la fermeté de Seike sont telles que le Japon et la Chine (le Pr Seike travaille avec le Dr Cho) vont certainement jouer rapidement un rôle central dans ce domaine. |
De nombreux jeunes physiciens américains et canadiens, attirés par la présence du Pr Seike, sont venus au symposium de Hanovre en 1980. Trois éminents représentants de lindustrie électronique japonaise assistaient aussi à ce congrès.
Son livre : " Principes de lUltrarelativité " est un classique dans ce domaine. Il a réussi avec une énergie très faible au départ à produire des rayons dénergie tachyon concentrée (des centaines de fois plus puissants) qui ont fondu acier et pierre. Le principe mis en pratique est leffet de champ électrique " embrayé " dans une bobine enroulée comme une bouteille de Klein autour dun solénoïde. Le Pr Seike en fit une démonstration au congrès de Toronto, en 1981.
Intervention du Pr Seike au congrès de Hanovre en 1980
Le modèle tridimensionnel du ruban de Möbius est la bouteille de Félix Klein, célèbre mathématicien du XIX e siècle.)
Modèle de bouteille de Klein pour lenseignement produit par Mitsugi Ohno, de luniversité dEtat du Kansas. Cest le seul artiste capable de réaliser cette merveilleuse bouteille de verre.
On peut partager la bouteille de Klein en deux rubans de Möbius, chacun deux étant le miroir de lautre. En dautres termes, deux rubans de Möbius qui sont des miroirs lun de lautre proviennent dune bouteille de Klein. Cest un fait dont nous nous servirons plus tard. Ensuite, nous procéderons à une transformation électronique du ruban de Möbius. Nous pouvons marcher à la surface dun ruban de Möbius deux fois, ce qui fait une série de doubles anneaux. Si nous faisons deux terminaux à ces doubles anneaux, nous obtenons un double solénoïde.
Le double solénoïde du Pr Seike
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On fabrique un double solénoïde oscillateur, à 3 phases. Sur le dessus, les 1000 tours des bobines à double solénoïde. Au centre dans le "delta set ", composé de 3 condensateurs sphériques, se trouve un disque de Baryum- Strontium-Titanate et un bloc de ferrite. Juste en face des doubles solénoïdes, on a placé les 40 tours dune bobine oscillateur, simple solénoïde. Entre les doubles solénoïdes, se trouvent des diodes 1S34 et environ 11 Ks2 de bobine. Avec des transistors de type étoile 3 2SC 50, loscillateur est terminé. On lalimente en 3 volts DC.
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Le comportement de cet oscillateur est très intéressant. La détection de la fréquence, au moyen dun compteur de cycles, indique une diminution, seconde après seconde, heure par heure, jour après jour. En partant de la fréquence initiale de 100 kHz, on arrive en 3 jours environ à 1, 5 kHz. Le champ de tachyon perd de lénergie avec lexcitation. Loscillateur à double solénoïde perd de lénergie avec le temps. Loscillation du double solénoïde est par conséquent celle des tachyons, ce qui revient à dire que le double solénoïde absorbe et émet des tachyons, présents dans tout lespace G.
Des générateurs de S. Seike
Modèle expérimental de Sugimoto
Il est composé dun oscillateur double solénoïde (divisé en plusieurs bobines), un Delta sous la bobine, connecté à un disque Baryum-Strontium-Titanate à 3 trous, dont chacun est équipé dun condensateur sphérique. De plus, on a un affichage par oscillographe sur loscillateur. Les résultats ont conduit à découvrir que lespace G contient une énergie tachyon infinie qui ne cesse dentrer et de sortir de lappareil.
Modèle de Takamura
Il comprend un des générateurs de courant G, constitué de : un disque de Barium-Strontium-Titanate, 3 condensateurs sphériques, un bloc de ferrite, et une bobine de Klein Roll OPT. On alimente en courant triphasé pour obtenir un champ électromagnétique tournant. Le potentiel de sortie augmente au fil des heures et des jours, absorbant graduellement lénergie de la contrainte G. Le potentiel de départ est de 2 volts environ, et atteint 40 volts en 3 mois environ, ce qui montre un influx graduel dénergie G. La fréquence du champ électromagnétique tournant est de 1 MHz environ, le potentiel de 100 volts, létage final des transistors de 2SC42s. Cette expérience montre implicitement que lon peut obtenir gratuitement de lénergie à nimporte quel endroit du globe.
La fusion des roches avec l'appareil du Pr Seike
La bobine enroulée en bouteille de Klein va avoir un comportement différent mais intéressant quand on introduira une source de courant triphasé. On se sert de tubes électriques de type UY 807. Linduction mutuelle produit un courant triphasé. On fournit une décharge entre la source B+et le terminal où finissent les trois phases. Une flamme de décharge apparaît. Si on maintient une roche dans cette flamme, elle fond complètement. Comme on le sait bien, la somme des potentiels du courant triphasé disparaît selon le théorème daddition de trigonométrie :A+B+C= 0
Il ny a aucun potentiel entre les terminaux de la source B+, cependant toute roche fond et disparaît. Il semble que ce soit la structure en torsion de lenroulement de Klein qui en soit la cause. Les tachyons entreraient à partir dune partie tordue de la bouteille, puisquune telle action serait faite par des particules, à super - signaux, ce qui est assez naturel.
Lappareil est relié de très près à lindustrie des semi - conducteurs, car on doit se servir dun semi - conducteur de type p. Lénergie de gravité G a une densité négative. Elle afflue sous forme détats inoccupés de matière, cest à dire des trous, pour lesquels le fil semi - conducteur de type p est nécessaire, car il transporte les trous. Cette industrie prospérera avec le générateur de courant G.
J-L Naudin a testé avec succès un absorbeur dénergie G-Strain basé sur les travaux du Pr Seike
Cet amplificateur circulaire, ou amplificateur sans fin a un seul tour de bobine semi - conductrice. Cette version du GSEA V est assez différente de la conception dorigine de S. Seike (qui utilise 3 transistors 2SC521SiliconNPN, Triple diffused MESA transistors). En ce qui me concerne, jai utilisé 3 TIP3055 et ce montage me donne des résultats identiques, et je peux maintenant confirmer que :
La fréquence décroît de seconde en seconde, de minute en minute, comme la table lindique, mais cet effet semble être produit par le glissement thermique des transistors utilisés.
Le but principal de ce test est de vérifier si cest la température ou leffet de pompage dénergie G qui a un effet majeur sur le changement de fréquence. Jai monté un ventilateur (dont on se sert pour CPU pour un gros ordinateur) à 15 mm au-dessus de laxe du GSEA (juste au-dessus des trois transistors, pour un refroidissement bien réparti)
Les tests ont porté sur quatre phases à température ambiante
A le GSEA est branché sans ventilateur : la fréquence décroît avec le temps comme la théorie la annoncé, la fréquence de départ est 4517 MHz -> 4.303 MHz en 860 secondes
B le GSEA toujours sur ON, on branche le ventilateur : la fréquence augmente alors que la température baisse, 4.303 MHz -> 4.494 MHz en 212 secondes
C le GSEA toujours branché, on coupe le ventilateur : la fréquence diminue alors que la température augmente, 4.494 MHz -> 4.303 MHz en 690 secondes
D le GSEA toujours sur ON, on branche le ventilateur : la fréquence augmente alors que la température baisse, 4.303 MHz -> 4.494 MHz en 212 secondes
Ces premières séries de tests montrent clairement leffet de la température sur le changement de fréquence. Aussi, à ce jour je ne peux que confirmer que : le pompage de lénergie G fait baisser la fréquence dans ma version de la bobine transistorisée de Seike. Il me faudrait trouver un transistor de type jonction MESA et recommencer lessai pour être conforme à la conception dorigine.
Le livre du
Pr Seike : Principle of
Ultrarelativity (7,71 Mo)
SEVERSKY (DE) ALEXIS P.
Dans les laboratoires de l'Electron. Atom. Inc, une société de recherche établie à Long Island, un aéronef à propulsion ionique, sans hélice, ni moteurs à réactions, ni plans de sustentation a été mis au point. Il ne contient aucune pièce mobile et ressemble un peu à un sommier. Pourtant, il décolle à la verticale et on pense qu'il peut monter jusquà 100 km de hauteur. Il peut faire des mouvements à peine perceptibles ou se déplacer plus vite quun réacteur. On ne connaît pas ses limites de vitesse.
Linventeur de ce système daéronef est le major Alexis P. de Seversky qui na rien dun fou, mais est plutôt un visionnaire ayant à son actif des réalisations dans de nombreux domaines. Né en 1894, amputé dune jambe depuis la première guerre mondiale, il a passé 50 ans à réaliser et piloter des avions, inventer des viseurs de bombardiers (dans les années 20). Il a été conseiller du général Bill Mitchell, et a contribué à réaliser les avions de chasse P-35 et P-43 qui ont donné le P-47 Thunderbolt.
A cette époque il disait :
"Nous espérons réaliser un modèle qui peut soulever sa propre source dénergie
un jour la propulsion ionique se révélera dun meilleur rendement que la propulsion par hélice ou par réaction des aéronefs. On obtiendra grâce à ce principe la sustentation avec une moindre dépense dénergie et de carburant
ce sera la méthode la plus économique pour convertir lélectricité en mouvement."
Pour le major, la forme la plus facile à piloter sera celle, arrondie dune soucoupe volante.
Ce tapis magique baptisé
"ionocraft" est mû par un phénomène purement électrique. Il est basé sur la loi fondamentale en électricité qui fait quun courant électrique va toujours du négatif au positif et tire parti de ce phénomène à laide de deux dispositifs de base - de grandes antennes métalliques montées au-dessus dune armature en tiges métalliques. Les antennes ont un potentiel très élevé par rapport à larmature. La décharge qui va des antennes à larmature traverse lair et y crée des ions négatifs. Ces ions sont attirés par larmature positivement chargée. En se précipitant vers larmature ou grille, les ions entrent en collision avec les molécules neutres de lair, des molécules dont les charges intérieures séquilibrent. Ces chocs ont pour effet de précipiter une masse de molécules neutres vers larmature en même temps que les ions. Quand ils arrivent à larmature, les ions négatifs sont captés par la charge positive de larmature, mais larmature nexerce aucune attraction sur les molécules neutres qui ont été poussées par les ions. Ces molécules passent donc à travers la grille, créant un courant dair vers le bas. Lappareil est soulevé par la réaction de ce mouvement obtenant sa sustentation de la même manière quun hélicoptère en poussant lair vers le bas. Cest donc une décharge ionique qui remplace le rotor et les pales.
Le modèle prototype na que 81 dm2de surface et est en balsa et fil daluminium.
Le problème est daugmenter le rendement pour avoir une poussée suffisante car les prototypes sont encore retenus par leur câble dalimentation. Les techniciens qui réalisent cet appareil disent quil faut fournir 90 watts (3mA à 30.000 volts) pour faire monter un modèle pesant 60 grammes. Si lon traduit cela en rapport classique puissance/poids, on obtient environ 2 CV au kg, les rapports typiques étant de 0,18 CV au kg pour un hélicoptère et 0,12 CV pour un avion léger.
Les efforts portent sur le remplacement de lapplication dun potentiel constant par des impulsions fortes mais brèves. Dautres dispositions de la grille et des antennes permettant de réduire les pertes dénergie par turbulence du courant descendant sont à létude. (Source Mécanique Populaire n° 220, 1964)
SWEET FLOYD
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Sweet Floyd et son premier VTA de 6 watts |
Floyd Sweet "Sparky" Photo extraite du film THRIVE
Né en 1912 dans le Connecticut, décédé le 5 juillet 1995, F. Sweet était un spécialiste du magnétisme. Il a accompli une carrière remarquable dans lindustrie où ses affirmations techniques nont pas pu être rejetées facilement par les critiques. Très jeune, à lépoque des postes à galène, il construisait et démontait des postes et dautres appareils électriques par exemple une bobine Tesla à étincelles Model T.
Grâce à un ami de la famille, à 18 ans, il a travaillé dans une installation de General Electric tout en poursuivant ses études. Il doit son surnom de " Sparky " à lexplosion dun appareil aux fils mal raccordés, explosion qui avait produit une gerbe détincelles spectaculaires. Ses employeurs lont gardé malgré tout car ils étaient satisfaits de son travail et surtout car il avait un don pour résoudre certains problèmes électriques.
F. Sweet est resté six ans chez General Electric après avoir terminé ses études. De 1957 à 1962, il a travaillé au centre de R&D de Schenectady à Londres : période rêvée où il disposa dun laboratoire bien équipé pour travailler sur des projets fascinants concernant des curiosités magnétiques. Lidée que tout lunivers était imprégné par un champ magnétique le passionnait. En 1969, il obtint un diplôme du MIT.
Au milieu des années 1970, en mi - retraite, il partit avec sa femme Rose pour Los Angeles. Il était consultant pour General Electric et il concevait aussi des équipements électriques pour dautres clients.
Parvenu à une retraite complète en 1980, la construction de son appareil fut compromise par les sept dernières et coûteuses années dinvalidité de sa femme. Lui-même devint presque aveugle pendant un certain temps.
F. Sweet a eu deux bons amis Al Margolin et Bill Lawry qui lont beaucoup aidé. Mais il eut à faire avec deux Australiens se disant désireux de laider. Ces derniers lui ont volé son carnet de notes et l'ont transmis à John Bedini pour obtenir son aide dans la construction dun VTA. J. Bedini ayant reconnu immédiatement lécriture de F. Sweet les a chassés illico, mais le carnet est resté définitivement perdu.
F. Sweet a été exposé aux tracasseries tout comme dautres inventeurs : coups de fil assortis de menaces à nimporte quelle heure (480 appels en 6 mois, non identifiés par le FBI qui, prévenu par l'inventeur surveillait sa ligne), vols avec effraction de ses notes (par la suite F. Sweet les a codées) et menaces directes par un homme extrêmement élégant disant sappeler Cecil Brown. Ce dernier lui a montré une photo très nette manifestement prise de dehors et montrant Floyd Sweet dans sa salle à manger au troisième étage
de quoi être troublé. Lhomme lavait menacé et lui avait dit appartenir à une société qui, ne voulant pas voir arriver le VTA sur le marché, était tout à fait capable déliminer linventeur.
F. Sweet arrêta ses travaux et les harcèlements sarrêtèrent.
Deux semaines avant son décès, F. Sweet avait annoncé (information non confirmée) quil était en relation daffaires avec General Motors qui avait fait tourner pendant 5000 heures un VTA adapté à lautomobile.
Après son décès Walter Rosenthal servit de médiateur dans les litiges qui se sont produits entre la seconde épouse de F. Sweet et plusieurs mécènes qui réclamaient des droits sur linvention, dont deux personnes qui voulaient un musée Sweet dans lequel les notes techniques et inventions pourraient profiter à dautres chercheurs.
Le V.T.A. de Floyd Sweet ou Tube Triode utilisé en Amplificateur du Vide
F. Sweet avait observé leffet appelé auto-oscillation dans des transformateurs électriques. Il pensait que lon pouvait faire en sorte que cette vibration continuelle fasse un travail utile, de production dénergie par exemple.
Il se disait quen trouvant la manière précise de faire vibrer ou perturber le champ de force dun aimant, celui-ci continuerait à vibrer tout seul, comme une cloche qui continuerait à sonner une fois frappée.
Cette idée de générateur statique est venue à F. Sweet dans un rêve et il a mis à profit lexpérience quil avait acquise dans le domaine des aimants. Il savait que lon pouvait se servir des aimants pour produire de lélectricité (comme M. B. King, Tom Bearden) et il voulait vérifier si on pouvait obtenir de lénergie à partir dun aimant au moyen dun autre procédé que celui, classique, de linduction.
F. Sweet voulait maintenir laimant immobile en ébranlant seulement son champ magnétique, cette vibration créant en retour un courant électrique. Pour lui, capter lénergie de lespace ressemblait au mouvement de va et vient effectué par une feuille darbre sagitant dans le vent qui lui, na pas du tout ce genre de mouvement. Lénergie de lespace est analogue au vent, le champ magnétique, à la feuille. Il pensa quil suffisait donc de fournir une petite quantité dénergie pour mettre le champ magnétique en mouvement et que lénergie de lespace entretiendrait ce mouvement.
En 1985, il en était arrivé à un montage daimants disposés de façon particulière et entourés de fils. Pour ses essais, il faisait décharger un courant dans la bobine qui entourait laimant, et celle-ci perturbait alors le champ magnétique. Cétait comme si F. Sweet avait donné lordre au champ de laimant de sortir de son emplacement pour être mis en mouvement.
Pensant que lappareil produirait de lélectricité, l'inventeur connecta ensuite une ampoule de flash de 12 volts à la bobine. Les résultats, déconcertants, dépassèrent ses espérances : un jaillissement dénergie sortit de la bobine, lampoule se mit à briller vivement et fondit. Il poursuivit ses travaux en fabriquant ensuite dautres modèles.
Thomas Bearden que Sweet a pu rencontrer grâce à John Bedini a pu constater que lappareil sortait près de 6 watts de lair ambiant pour une fraction de watt dalimentation et 28 volts en courant alternatif. Tom Bearden était ravi de voir ce petit appareil matérialiser les idées quil avait émises depuis des années. Il le définit comme étant un " Mixage de conjugué de phase à quatre ondes " dont la source dénergie est lEnergie du Champ du Vide (VFE) ou Energie du Champ gravitationnel ou Energie Radiante et il le baptisa V.T.A. Cétait donc une porte dentrée par laquelle lénergie de lespace serait gardée et contrôlée dans un circuit électrique.
Dans un modèle de 1988, 330 microwatts donnaient 500 watts dénergie utilisables, soit un million et demi de fois lénergie dentrée. Dautres observations font état de modèles qui, à partir dune batterie de démarrage de 9 volts, ont fourni de 500 W à 50 kW.
On saperçut que le V.T.A donnait des effets bizarres auxquels Tom Bearden, grâce à ses travaux de recherche fondamentale était préparé. Cest ainsi qu'en 1987, Tom Bearden demanda à F. Sweet de faire une expérience sur lantigravitation. Selon ses calculs une machine de 2,5 kg devrait léviter lorsquon en extrairait 1500 watts. Le risque étant lexplosion des aimants, Tom Bearden conseilla à l'inventeur de se limiter à 1000 watts.
Un VTA placé sur une balance permettant den contrôler le poids avec précision fut raccordé à un socle de douilles pour les ampoules destinées à extraire lénergie. F. Sweet tout excité put ainsi confirmer à T. Bearden quil avait vissé lune après lautre 10 ampoules de 100 watts et que lappareil avait progressivement perdu de 170 à 567 grammes. Lexpérience na pas duré davantage car lappareil risquait de planer ou senvoler.
Thomas Bearden explique cette perte de poids par le fait que la gravité devient plutôt une force de poussée que dattraction dans certaines conditions. Pour lui, lénergie de lespace a une pression - la densité dénergie. Si lon diminue la pression au-dessus dun objet, alors que celle qui est en dessous est augmentée, lobjet va monter. Le VTA devait donc avoir modifié la densité dénergie en puisant dans lénergie de lespace.
Selon des témoins dignes de foi, lingénieur californien Walter Rosenthal et un chercheur canadien, le poids de la machine a diminué en même temps que la charge représentée par les lampes augmentait, jusquau moment où un bruit énorme fut perçu par sa femme et dautres personnes dehors. F. Sweet sest cru au centre dun tourbillon gigantesque mais sans mouvement dair réel. Cette expérience effrayante na pas été renouvelée.
Contrairement aux appareils électriques classiques, le VTA produisait aussi un froid inhabituel. La température interne de lappareil était inférieure de 20 ° par rapport à celle de lair ambiant et ce phénomène samplifiait en même temps que la charge augmentait. Si lon court - circuitait accidentellement les fils du VTA, ils émettaient un vif éclair de lumière et on les retrouvait couverts de givre ; il est même arrivé à F. Sweet qui les avait touchés de souffrir dune gelure à un doigt. Cet effet de froid (qui brisait les aimants et provoquait larrêt du VTA) est aussi décrit par John Bedini et John Searl dans leurs propres travaux.
Le VTA sest arrêté lors dun tremblement de terre, bien insuffisant pour provoquer le déplacement des aimants et des bobines : on a supposé que lappareil avait été perturbé par son intense électromagnétisme.
F. Sweet découvrit encore dautres effets intéressants, mais la mise au point de lappareil fut ralentie par des problèmes de matériels et des complications financières. Il fallait à F. Sweet des aimants qui ne variaient pas. De plus les calculs mathématiques classiques ne marchaient pas avec le VTA. F. Sweet lui-même narrivait pas toujours à reproduire ses expériences, les prototypes nétant pas toujours fiables.
Pourtant, en 1991, un grand pas fut accompli avec la publication dune théorie mathématique permettant à dautres chercheurs de reproduire son travail dont les résultats sont actuellement améliorés par dautres expérimentations. Un modèle montrait linfluence du nombre de tours de fil sur le comportement de lappareil.
Cest Thomas Bearden qui a contribué à létablissement de la théorie dont lorigine se trouve dans le domaine des conjugués de phase en optique, étude spécialisée de la lumière utilisée par les scientifiques travaillant sur le laser et les armements. Tom Bearden considère que le noyau hautement non linéaire de latome est comme un miroir de conjugué de phase " pompé " (PPCM). Il assimile cet effet à un tube triode puisque la réplique de conjugué de phase amplifié de londe du signal ressemble beaucoup à la sortie amplifiée dune triode, et lentrée dans un PPCM à une entrée de signal de grille de triode. F. Sweet a mis au point des appareils qui fonctionnent et sont basés sur cette idée de triode à vide en se servant daimants FeBa accouplés (conditionnés au préalable selon un processus resté secret) et de circuits résonants.
Walter Rosenthal parle du VTA
" La machine montre un voltage de sortie denviron 120 VRMS à 60 hZ et produit 120VRMS dune énergie qui ressemble à de lélectricité, mais que lon nomme négative et pour laquelle Tom Bearden dit quil faut utiliser un temps négatif où la gravité est une force répulsive.
La charge augmentant de 100 watts en 100 watts jusquà 1000 watts, sans changement visible de voltage de sortie, est lindice dune impédance équivalente interne extrêmement basse. Le fil émaillé de calibre 20 dans les bobines de sortie à plusieurs centaines de tours a une résistance en courant continu significative, qui nest pas reliée au voltage terminal invariable de sortie, sous différentes charges. On suppose que cette énergie ne circule pas à lintérieur du fil de cuivre, ou que son passage à travers le fil de cuivre ne produit pas de chute de voltage - caractéristique des plus utiles lorsque lon transfère de lénergie dun endroit à un autre.
Un autre aspect frustrant du VTA : ses échecs mis en évidence par le voltage de sortie tombant lentement à zéro pendant quelques secondes ou minutes. Il y a eu aussi des cas où, spontanément le voltage sélevait à plus de 120 VRMS, comme le montrait la brillance accrue de la série de lampes. Les appareils, voltmètre, ampèremètre,
nétaient pas en corrélation avec ce changement déclat sauf quand la machine ne voulait rien produire. Les instruments de mesure font la corrélation entre la sortie et les charges jusquà environ 1 KW, ensuite, ils peuvent indiquer zéro ou nimporte quelle autre valeur sans rapport avec les charges."
La lumière émise par les lampes était en général plus douce, différente de celle des lampes ordinaires. Cest dans la période où, très souvent, on laissait le VTA alimenter la série dampoules toute la journée que F. Sweet saperçut une fois que la lumière paraissait plus faible, et a mesuré 70 VRMS. Fatigué ce jour là, il se recoucha Le lendemain matin, le voltage était revenu à la normale de 120 VRMS et se maintint tout le jour. La nuit suivante, F. Sweet se leva et mesura un voltage à 85 VRMS, suivi des 120 normaux la journée suivante.
Le VTA de F. Sweet est peut-être sensible à lorientation de vecteur de vitesse de léther. Cest E.W. Silvertooth qui, dans un article intitulé : " le mouvement dans léther " apporte une explication en décrivant une expérience dinterféromètre à laser à double trajectoire qui démontre sans lombre dun doute la présence dun éther qui traverse notre portion dunivers à une vitesse supérieure à celle de la lumière, et dont le vecteur est dirigé vers la constellation du Lion.
Une description du VTA
Le VTA comprend 2 aimants ferrite de 10,16 cm x 15,24 cm x 12,7 cm de grade 5 ou 8, espacés de 7,62 cm et orientés en attraction, les bobines de sortie et dentraînement étant placées entre eux.
Les bobines de sortie sont bobinées avec du fil de calibre 20. Leur axe est parallèle aux lignes magnétiques de force entre les 2 aimants. Les 2 axes des bobines dexcitation sont positionnés à 90 ° par rapport à laxe des bobines de sortie. On peut faire fonctionner les bobines dexcitation du VTA avec le voltage de sortie du VTA ou une source séparée doscillateur à onde en sinus.
Tout le secret de la machine réside dans le conditionnement des aimants : il détermine la fréquence de sortie et met la machine en état de fonctionner. On pourrait tout aussi bien dire que la machine sort 50 HZ que 400 HZ. Ce conditionnement est tellement original quil est douteux que quelquun puisse le deviner.
Lobservation à loscilloscope de la forme de londe du voltage de sortie du VTA montre une onde en sinus apparemment parfaite qui nest pas calée sur le voltage de la ligne locale de 60 HZ.
Lorsque la machine fonctionne en auto-alimentation, on peut la faire démarrer en la reliant momentanément à une batterie de 9 volts. Le fonctionnement est stoppé par une interruption momentanée de courant dans les bobines (à énergie)
Une charge minimum de 25 watts est préférable pour le fonctionnement du VTA . Un choc électrique sur lhumain venant du VTA serait plus préjudiciable quun contact avec le voltage du réseau à 120 VRMS et 60 HZ. Cest ainsi que F. Sweet a eu un doigt gelé. On ne comprend pas ce qui se passe pour que lénergie négative rende les conducteurs de cuivre froids, Tom Bearden appelle celaGravito-Stictionet en a décrit le fonctionnement tel quil le suppose.
Différentes réflexions au sujet du VTA
Lors dune réunion de physiciens et ingénieurs à Boston, Walter Rosenthal délégué par T. Bearden et F. Sweet a expliqué le fonctionnement du VTA à laide de limage suivante : si lon a une poignée de billes sur une table, on peut les faire rouler dans une direction ou les éparpiller, et dans ce cas, si la dispersion se fait dans un réflecteur celui-ci les renverra en ordre. Le VTA, lui, prend les billes dénergie et les maintient dans un mouvement de va et vient qui est générateur dénergie. Lassistance écouta poliment mais un professeur en ingénierie manifesta son mécontentement en disant quil était irresponsable dannoncer des choses pareilles en désaccord total avec toutes les idées concevables et connues.
Au congrès IANS en 1993, Harold Aspden a dit que le moteur de F. Sweet, na pas les mêmes performances selon le moment de la journée.
Don Kelly a montré au symposium IANS en 1993 une maquette du convertisseur de F. Sweet. Celui-ci fonctionne seulement avec une toute petite quantité délectricité, 10 microwatts, alors quil sort un kilowatt pendant des heures avant de sarrêter. Il pense quil sagit là dun axe déther, et quil faudrait probablement le faire tourner plus lentement pour quil puisse continuer à suivre laxe. Lappareil, qui sallège, se compose aussi dun bobinage à 2 fils et daimants en FeBA (depuis, le baryum est interdit à la fabrication et la vente par lagence de protection de lenvironnement, car, toxique. LEPA a suggéré de le remplacer par
du strontium dans les aimants.)
Moray a dit, en 94 que F. Sweet pourrait bien avoir réussi, sur des bases plus simples que celles de la machine Testatika, lappareil le plus élégant qui ait jamais été inventé. Cependant son comportement est complexe puisquil paraît contenir de multiples paires de plasmoïdes macroscopiques à fracto émission, tournant en sens inverse à lintérieur dun seul bloc de céramique. Si la communauté scientifique peut reproduire linvention de F. Sweet, ce serait pensent certains toute la science et la technologie qui entreraient dans une ère nouvelle. (Le VTA a été présenté au congrès de Denver, en 94.)
En dépit des exhortations de Tom Bearden, F. Sweet navait jamais fait certifier le VTA par des tests indépendants, il craignait dêtre assassiné tout de suite après. Il craignait également de voir des individus sans scrupules construire des modèles de VTA sans lui rendre son dû. Il se souciait aussi de leffondrement du marché des appareils électriques à larrivée du VTA et il savait parfaitement que le gouvernement américain nen voulait pas. Ses compagnons de recherche étaient frustrés car F. Sweet, (comme dautres inventeurs gênés eux aussi pour révéler des points clefs), navait pas dévoilé le procédé important inhérent aux aimants du cur du VTA. Peut-être un dopage des aimants avec des impulsions magnétiques puissantes remaniant ainsi leur structure interne ?
F. Sweet a aidé la science à faire un saut dans le futur. On ne peut que déplorer son manque de clarté en affaires et labsence de collaboration avec dautres chercheurs dans les dernières années de sa vie. Tom Bearden qui a beaucoup investi de temps et dargent dans le VTA (pas encore commercialisé pour de multiples raisons), espère le voir renaître afin que F. Sweet soit reconnu comme un vrai pionnier.
http://starwon.com.au/~rayd/sweet.htm
http://colossus2.cvl.bcm.tmc.edu/~wje/free_energy/sweet.html
De gauche à droite Brent Turner, Lowell Beezley, Bill Wysock Jr, Pete Miller, Bill Wysock
TCBOR est un groupe de chercheurs comprenant :
HULL RICHARD
7103 Hermitage Road, Richmond, VA 23228
C'est chez lui que se réunit le groupe TCBOR. Les participants ont un sujet dintérêt principal, la construction de la bobine Tesla. Le modèle n° 4 de Richard Hull est une bobine amplificatrice produisant des étincelles de 1,80 à 2,10 mètres avec une entrée dénergie de 2,2 kW seulement.
TCBOR vend des vidéos ($25 port compris) permettant de construire une première bobine Tesla, aussi bien que des modèles plus poussés. Au même tarif, on peut avoir la vidéo du moteur Mendocino, sans balais, avec une alimentation solaire par cellules photoélectriques placées sur larmature même qui tient en lévitation sur des paliers magnétiques. Ce petit moteur tourne à 2200 tours/minute à la lumière du jour.
TURNER BRENT
P.O. Box 3612 Fullerton, CA 92634-3612
Brent Turner soccupe de costumes pour la science fiction, dordinateurs, de PAO et est radio-amateur (KE6NIL). A San Diego en 1994, Brent Turner a fait une démonstration de " leffet peau " : lénergie passe réellement sur le corps sans le traverser.
Une bobine Tesla de Brent Turner
Il définit les bobines Tesla ainsi : ce sont des transformateurs résonant à noyau à air. Travaillant à très haute fréquence, elles peuvent produire des voltages fantastiques avec des décharges spectaculaires ressemblant aux éclairs. Inventées il y a plus de cent ans, elles sont toujours aussi fascinantes.
Une bobine Tesla
Brent Turner explique :
" Les bobines ont une fréquence de résonance spécifique, il ny a pas de fréquence universelle. On peut viser une fréquence avec une certaine conception ou accorder une bobine sur une fréquence qui lui conviendra. Cest la bobine secondaire qui détermine la fréquence de résonance, cest à dire un réseau LCR complexe.
Le composant inducteur L est la bobine elle-même, et est basé sur le nombre de tours, le diamètre et la longueur de la bobine. Le composant condensateur C comprend plusieurs valeurs isotopiques ; la surface du fil secondaire et lélectrode terminale. En lui-même un condensateur isotropique est une capacité virtuelle, même si apparemment il ny a pas de plaque. Le composant résistance R est formé du fil lui-même et détermine la résistance de la bobine secondaire à la fréquence résonante.
Pour amener le secondaire à résonner on doit envoyer des impulsions dénergie, selon une fréquence et un taux adéquats, un peu comme pour une cloche qui résonne si on la frappe, qui se fêle si le coup est trop fort, et qui sonne mal si lon maintient le marteau sur elle.
Lénergie pulsée vient du primaire, circuit composé dun transformateur à haute tension, dun condensateur primaire, dun éclateur et de la bobine primaire. Ces éléments étant une sorte (grossière) doscillateur.
Le transformateur charge le condensateur jusquà un voltage suffisant sur léclateur pour franchir lentrefer. Quand létincelle se produit, lénergie stockée dans le condensateur se déverse dans linducteur primaire, qui, traversé par le courant accumule un champ magnétique. Ce champ seffondrera et en retour déversera lénergie restée dans le condensateur.
Cette oscillation se poursuit jusquà ce quil ny ait plus assez de voltage pour franchir léclateur. La fréquence doscillation est déterminée par la valeur du condensateur et de linducteur primaires, formant ensemble un circuit résonant parallèle.
Dans des modèles classiques de bobines Tesla, on règle la fréquence en modifiant linductance de la bobine primaire. Si les jaillissements dénergie ont la même fréquence que ceux du secondaire, lénergie transférée par le champ magnétique du primaire commencera à saccumuler dans la bobine secondaire. Mieux quun laser, cette énergie sauto amplifie jusquà ce quun voltage incroyablement élevé soit accumulé au sommet de la bobine qui le dissipe dans lair sous forme détincelles électriques. C'est ce qui se produit dans le cas de l'éclair naturel lorsquun voltage suffisant est accumulé dans les nuages et que lénergie électrique statique stockée est libérée."
Brent Turner a mis sur Internet une liste de documentation pour les constructeurs de bobines Tesla.
TESLA TECHNOLOGY RESEARCH - T. T. R.
WYSOCK BILL
Tesla Technology Research, 2527 Treelane Avenue, Monrovia, CA 91016-4951 Tél : (626) 359-1373
Ken Corum, Richard Hull et Bill Wysock
Bill Wysock est membre de Tesla Engine Builders Association (TEBA), de lInternational Tesla Society, fondateur de Tesla Technology Research (TTR née en 1987). Il est actif dans dautres groupes connus aux USA, dans le Los Angeles County Disaster Communications Service (DCS) et à lInformation Center Staff Officer (staff 31). Il est radio-amateur (N6UXW) et membre à vie de lAmerican Radio Relay League (ARRL). Il a donné des conférences et fait des démonstrations pour International Tesla Society, IEEC-EMC, ARRL, et les compagnies Mc Donnell-Douglas.
Bobine Tesla modèle 12
International Tesla Society 1992
Tesla Technology Research est le premier fabricant mondial de bobines Tesla. Il publie dans Internet des informations issues de ses années détudes et de construction de bobines (depuis 1962). Il fournit des effets spéciaux au monde du spectacle et aux instituts de recherche.
Il existe 10 modèles standards de bobines construites avec des matériaux de qualité. Chaque bobine est caractérisée par une électrode à décharge à haute tension en forme de toroïde (fruit de plus de 10 ans dexpérimentation) et qui a amélioré de beaucoup lefficacité de fonctionnement de tous les modèles. Le toroïde de la bobine de Penrose Stadium mesurait 2,40 m de diamètre, sa section était de 0,90 m et il pesait 126 kg.
Les bobines Tesla de Tesla Technology Research.
Les bobines Tesla de T.T.R. ont participé à :
- des films commeEntitydans lequel les effets fournis par Bill Wysock (pas des trucages) étaient particulièrement saisissants, des éclairs rayonnaient du corps de lactrice. (Dans le filmTerminator IIcest Mark Barton qui a produit les effets darcs et déclairs.)
- et aussiFriday the Thirteen-Part Six, Hearbeeps, Pennies from Heaven
- des séries télévisées :Battlestar Galactica, Incredible Hulk, Out of this World
- des vidéosEdisons Medecine du groupe de rock Tesla, Too Hot de Coolio
- de nombreuses illustrations de magazines commeG.Q, Discover, Geo, National Geographic
- léquipement de parcs à thèmesThe Petersen Automotive Museum(Los Angeles),EarthquakeetJurassic Park-MCAUniversal Studio Tour, Universal City, CA etOrlando( FL),Walt Disney World Future World Alien Encounter,Orlandoet les studios Dave Archer,Navato(CA.)
- linstallation de grandes bobines Tesla dans des musés et centres de recherche du monde entier, de Canberra à Hiroshima, les seuls USA en possédant plus de cent, dont un modèle 10 utilisé à lorigine sur une arme à rayon de particules dirigées et qui se trouve maintenant à lUniversité dEtat de lOhio.
T.T.R. a un système de bobine Tesla amplificatrice de 17 millions de volts, fonctionnant avec 10 kW dentrée et donnant des arcs de plus de 15 mètres de long.
Les tout derniers projets comprennent un système de bobine double, modèle 12, qui produit des arcs de 12 mètres avec une sortie de courant excédentaire de 6,5 millions de volts. Ce modèle précède le 13 M, avec 16 millions de volts et des arcs de 15 mètres.
Une grande bobine Tesla ressemblant à celle que Tesla avait faite en 1899 à Colorado Springs avec certaines différences dues à la construction moderne, en fibre de verre a été expérimentée en novembre 1995 sur le site de KRLA-AM. Photo ci-dessus.
Caractéristiques de la bobine : 6 mètres contre 14 mètres pour celle de Tesla, placée à 6 mètres au-dessus du sol sur un piètement isolant de 2 mètres de haut, 14 millions de volts, 85 kHz, entrée Courant alternatif 125 kVa, le toroïde pèse 140 kg, et a 2,40 mètres de diamètre. Voir les photos sur le site Internet
http://www.ttr.com/
Les matériaux qui ont participé à la construction du modèle 13M viennent des Etablissements Rosen qui sont un soutien fidèle à T.T.R..
ROSEN'S ELECTRICAL EQUIPMENT COMPANY
8226 East Whittier Blvd., Pico Rivera, California 90660 , Fax:562/699-5196
Tel : 562/695-9000 et 800/877-9870 Demander Steve
Partenaire de Tesla Technology Research (voir Bill Wysock), cette entreprise dispose dune expérience de trente ans dans léquipement électrique, les moteurs, les transformateurs, fils, câbles et offre des bobines qui vont de un demi million à 35 millions de volts. Elle construit ou reconstruit aussi des appareils démodés.
ROSENa installé en cinq ans 15 appareils différents aux USA et au Japon. La société a déjà des appareils dans des musées, dans lindustrie du spectacle et la recherche scientifique. De plus, elle peut offrir des aperçus valables dans les plasmoïdes pour des physiciens intéressés.
Un des appareils (dont la photo est sur Internet) est une unité de 17 millions de volts, utilisant une alimentation de courant monophasé 240 volts, 100 kva qui peut projeter un éclair jusquà 16 mètres. Avec une alimentation triphasée, on sattend à avoir un éclair de 25 mètres. Le plus gros appareil de ROSEN , de 35 millions de volts, utilise une alimentation triphasée de 480 volts, 500 kva. On pense quil projettera ses éclairs à 50 mètres.
Dautres réalisateurs de bobines Tesla font partager leurs découvertes sur Internet : C. Baumann, Bill Beaty, Mark Burton, Eric Bush, John Clement, Steve Cole, Steve Gantt, Doug Hall, J. Harwick, G. Leyel, J. Mullins, Jemmy Paul, Richard Quick (bobine et toroïde), Kenneth Richardson par
http://www.voicenet.com/~jnork/
, Bob Schumann, Nik William, et , C.Brush, Rawshaw, Terry F., Kevin N.
Dautres donnent leurs informations sur des condensateurs : D. Lima, B. Pool, ,E. Schwarz
Quelques références de sites Internet :
http://cator.hsc.edu/~kmd/tcbor
,
http://www.teslasystems.com/links
,
http://www.observatory.org/tesla
http://www.edm.net/~jwilliams/tesla,
et en français :
http://perso.wanadoo.fr/christian.chazottes/index.html
http://hometown.aol.com/lyonelb/tesla.html
VILENKINE ALEXANDER
Space Research Institut, 1 n° 2, Ohmiyachoh, Uwajima City, Japan. T 798 / code postal.
Tél : / 0895 (24) 0225. Fax : / 0895 (24) 7325
Générateur de courant à Petit " Bang ", ou Timetron, ou Batterie Génératrice de courant Vilenkine du nom de son inventeur, un scientifique russe de lespace.
Il a trouvé que lénergie et le temps naissent de lespace. La photo montre une sortie de 2191 volts, sans quaucun courant primaire ne soit nécessaire. Lappareil est composé de bobines non mobiles à fil de fer à quasi monopôle, enroulées en ruban de Moebius, gauche et droit, et dans lesquelles une bouteille magnétique de Klein apparaît, le temps se reflétant lui-même. Ce temps est négatif, et produit un petit " bang ". Ce nest quun petit " big bang " prenant naissance dans lespace. Les électrons sont enlevés directement hors de lespace lui-même.
Plusieurs sortes dondes ont été trouvées. Lune delles est représentée sur loscillogramme suivant.
Son amplitude est de 0,1 volt à 85,1 kHz. Le montage montre des condensateurs sphériques alimentés avec un courant de 810 k volt (AC) (delta = condensateurs sphériques + disque au baryum titanate). Léchange entre les champs électrique et magnétique donne le reflet de temps. On sait que 1 volt = 1/300CGS qui montre que 10 gauss à 3,000 volts (X gauss). Cest pour cela quun potentiel aussi élevé, 810 k apparaît, et cest aussi la condition initiale du petit " bang ". Mais le potentiel de sortie est plus faible que le potentiel interne de 810 k ! Lappareil coûtait en 1993, 630 dollars frais de port compris.
" X " DANIEL
Complément d'informations : voir plus bas.
|
De nombreuses personnes ont pu rendre visite à ce jeune homme, qui vit au Canada. On dit qu'il serait autiste
On peut supposer que, selon certains témoins, cela se serait produit après certains traitements (mauvais sans doute) que des services spéciaux lui auraient fait subir. Toutefois, tous ceux qui l'ont rencontré saccordent à dire quil communique assez bien, et même aime plaisanter. Daniel X est sous tutelle, mais le rôle de tuteur de ce jeune homme nest apparemment pas de tout repos en fonction des menaces qui pèsent sur lui. |
Les photos diffusées sur Internet semblent être un bon reflet du film comme en témoignent ceux qui ont vu la vidéo et également des personnes ayant assisté aux expériences et que nous avons pu rencontrer. Les électriciens, et électroniciens particulièrement sont perplexes, car, muni de ses montages sommaires de bobines de fil sur goulots de bouteille et pâtes alimentaires torsadées, Daniel X. obtient une énergie suffisante pour alimenter des moteurs.
Il a même réussi à construire des appareils (une quinzaine) donnant plusieurs kilowatts et que des services spéciaux seraient venus détruire.
Il se pourrait que ces appareils soient basés sur des résonances de fréquences, selon Tesla. En manipulant et déplaçant ses composants sommaires, Daniel X signale aux observateurs le moment où le courant va passer.
(Ses circonvolutions de fils font penser à l'appareil de Perrigo).
On vient de nous informer que les
Editions Félix ne répondent pas aux questions posées. C'était pourtant
dans leurs bureaux que plusieurs de nos correspondants avaient pu
visionner la vidéo (d'où sont extraites les photos).
Complément d'informations (publié au 03 janvier 2005 dans quanthommesuite )
Un témoin
raconte :
"
Bonjour,
Je suis un grand fan de l'énergie libre et je travaille très fort à faire
connaître votre site à tout mon entourage...
Au sujet de
Daniel X, je le connais assez bien et j'assiste à ses démonstrations assez
fréquemment.
Je suis
mécanicien de métier et je suis présentement enseignant en mécanique
automobile dans ma région. Je suis très à l'aise avec l'électricité, tout
ceci pour vous dire que
- lorsque vous
tenez en vos mains un petit moteur 12 volts et que vous avez la chance de
pouvoir mettre en pièces ce petit moteur et de constater que ce petit
moteur est tout simplement comme tous les autres petit moteurs 12 volts à
aimant permanent
- et que par la
suite vous remontez (assemblez) le moteur pour le faire fonctionner avec
une batterie 12 volts sans aucun problème
- et que,
quelques minutes plus tard Daniel vous dit de tenir le moteur entre vos
mains avec aucun fil électrique relié à une batterie ou source d'énergie
- et que par la
suite il prend deux petits fils de 5 centimètres (approximativement)
de long , un dans la main droite et l'autre dans la main gauche
- et qu'il vous
dit que lorsqu'il reliera les deux fils ensemble (les deux fils que Daniel
tient entre ses mains), votre petit moteur qui n'est relié à aucune
source d'alimentation électrique se mettra à fonctionner et avec la même
puissance de rotation...
Daniel a relié
les deux fils ensemble et le moteur que je tenais entre mes mains s'est
mis à fonctionner tout seul et sans aucune alimentation électrique.
Daniel, n'a pas
besoin de tous ses montages de fils torsadés qui n'ont aucune logique pour
faire fonctionner nos appareils.
J'ai invité
plusieurs scientifiques à venir voir ses montages et eux aussi ont eu la
chance de tenir un petit moteur dans leurs mains...... et finalement
s'asseoir sur leur chaises et répondre qu'ils n'ont jamais vu cela
de toute leur vie.
Si Daniel n'avait pas autant de menaces à sa vie et si il n'avait pas ce
handicap d'être autistique (léger) mais assez atteint pour ne pas avoir
de conversation "logique", peut-être pourrait-il nous transmettre cette
connaissance qui semble si facile à ses yeux.
Eh oui ! c'est injuste de ne pas avoir la capacité de transmettre
une telle connaissance car Daniel dit toujours: si tu veux tu peux le
faire car tout le monde peut le faire comme moi.
Parfois je me
demande si Daniel sait vraiment comment ça marche.... Qui sait pour le
moment je ne fais qu'assister à ces démonstrations tout en espérant un
jour comprendre.
Pour la protection de Daniel, je vous demande de ne pas divulguer son
identité car tout ce qu'il fait est gratuit et lui aussi voudrait que le
monde deviennent autonome et sans pétrole ou électricité à payer."
Complément d'informations au 18
mai 2006, d'après renseignements fournis par un de nos lecteurs, Jacques B.
que nous remercions.
"Daniel X s'appelle Daniel Pomerleau * et
effectivement il vit au Canada plus précisément au Québec et effectivement il
est atteint d'autisme léger.
Et non ces montages qui fournissent
quelques kilowatts ne sont pas détruits et il continue de se promener un peu
partout au Québec sur demande et personne ne peut expliquer ses montages qui
sont pour le moins que l'on puisse dire, très surprenants.
Félicitations pour la production de photos **
sur votre site, gardez les précieusement car ce sont les seules
disponibles car il n'autorise personne à en prendre.
Il y a déjà dix ans que j'ai vu pour la première fois Daniel Pomerleau et j'y
retourne pour la cinquième fois en amenant à chaque fois ingénieur et docteur et
chaque fois sans l'ombre d'une explication.
J'ai l'amertume impression qu'un jour il va disparaître, j'entends mourir de sa
belle mort et faute d'avoir pu communiquer son secret il sera emporté avec lui
et une légende sera créée.
D'ici là je continue de croire à cette énergie qu'il nous démontre la
disponibilité sans limite. Avec théorie de base qui d'après moi serait fondée
sur l'application de la théorie du professeur Vallée et l'interaction
des champs électriques sur les atomes de carbone.
Bonne réflexion." Jacques B.
*
Nous connaissions son nom.
Maintenant, nous pensons pouvoir l'indiquer en clair puisque bon nombre de
personnes connaissent son identité.
* *
Ci-dessous les autres photos (inutile
de nous demander une meilleure définition, c'est tout ce que nous avons)
X : UN FRANÇAIS ANONYME
|
La photo extraite de Mécanique Populaire de 1924 montre des antennes bien isolées, des transformateurs et des batteries dun appareil pour recueillir lélectricité de lair. Les isolateurs de porcelaine blanche indiquent que lélectricité dentrée avait un voltage élevé.
Ce montage a drôle dallure comprenait des antennes branchées de telle façon que lune pointe vers le zénith, et lautre vers le sud.
Pour amorcer la circulation de lélectricité de lair dans le circuit, des charges positives et négatives sont envoyées à travers lantenne puis arrêtées une fois que le courant du circuit est suffisant pour allumer une lampe.
|
Cette invention ressemble au récepteur de Yglesias et au récepteur de Moray qui nécessitent aussi un chargement initial mais avec des aimants à la place.
X : UN GARAGISTE DE DIJON
Vers les années 40 un garagiste de Dijon aurait possédé un appareil qui lui fournissait toute son énergie.
BRITTEN CHAUNCEY J.
Auteur du brevet U.S. n° 1826,727 d'octobre 1932 pour un appareil qui n'est pas en lui-même à sur unité mais qui est une partie dun système qui a alimenté sa maison pendant des années. (Encyclopédie E.L. de Geoff Egel)
DAVIDSON DAN
Avec dautres chercheurs il pense que lélectricité statique est une clé majeure de systèmes à énergie gratuite. Il est aussi persuadé que les groupes dinfluence de la planète savent bien que si lhumanité disposait dune énergie illimitée, il deviendrait virtuellement impossible de contrôler et manipuler les gens.
FIGUERAS CLEMENTE
Chercheur des Canaries qui a annoncé dans leNew York Timesen 1902 avoir inventé un générateur électrique autonome. Le lendemain, Tesla écrivait à son ami Robert Johnson éditeur deCenturyquil avait déjà inventé ce genre dappareil. Au premier abord selon lhistorien et scientifique Oliver Nichelson de lUtah il semblerait que ce soit le dispositif à énergie rayonnante breveté par Tesla en 1901, mais il penche pour une bobine insolite pour électroaimants au brevet n° 512.340 de 1894.
GELINAS
Auteur des brevets US suivants
4429280
Apparatus and Method for Demodulation of Modulated Curl-Free Magnetic Vector Potential,
4429288
Gelinas Apparatus and Method for modulation of a Curl-Free Magnetic Vector Potential Field,
4432098
Gelinas Apparatus and Method for transfer of Information by means of a Curl-Free Magnetic Vector Potential Field
4447779
Gelinas Apparatus and Method for Determination of a Receiving device utilizing a Curl-Free Magnetic Vector Potential Field.
4491795
Gelinas Josephson Junction Interferometer Device for detection of Curl-Free Magnetic Vector Potential field.
4605897
Gelinas Apparatus and method for distance determination between receiving device and transmitting device utilizing a Curl-Free Magnetic Vector Potential Field.
GRAHAM ROY
2202 Hogan Drive, Indianapolis, IN 46229
Graham a inventé un appareil à résonance, sans pièces en mouvement qui a été cité lors de ISNE à Denver en 1996
GUNDLACH
Auteur du brevetUS
4595852
Electrostatic Generator
HALL
Auteur du brevetUS
2115578
Hall Radiant Energy Receiver
HANISH Dr
En 1932, il disait :
" dans lappareil qui fournit lEnergie Libre, des fils de cuivre, dor et dargent doivent être entrecroisés. Les produits chimiques qui y sont contenus sont le baryum (liquide), le radium (en roche) et un peu dhélium (en gaz liquéfié). Ce procédé est breveté depuis 1923."
Il raconte que en 1930, à Chicago, un jeune homme a redécouvert lEnergie Libre. Venu à Los Angeles, il a été agressé et frappé avant de faire, malgré tout, sa démonstration dans un grand théâtre, mais à sa sortie, il fut attaqué et battu à mort.
HAYASAKA
Auteur du brevetUS
4831299
Homopole Type AC Generator
IDE OSAMU
Clean Energy Laboratory, Minato-Ku Mita 3-4-21-601 Tokyo 108 Japan
Inventeur dun appareil à décharge de condensateurCapacitive Discharge Motorannonçant une sur unité de 120 %, cité dansJ. Appl. Phys. 77(11) de juin 1995. INE donne la note 8 sur 10 à cet appareil aussi bien pour lintérêt du procédé que pour lintérêt commercial.
LEIBOWITZ MARTIN N.
1155 Hillsboro Mile (A1A) Hillsboro Beach FL 33062
Inventeur duMNL-DHE, appareil à sur unité breveté cité par INE en 1997.
LEIN
Auteur du brevet US
4709323
Buck-Boost Parallel Resonate Converter with Inductive Energy Recovery Circuit.
MCKIE RICHARD (SCOTT)
ET JOHN
Auteurs du brevetUS
5146395
Power Supply Including Two Tank Circuits
En 1991, Richard a conçu et testé un petit modèle dePODMODPower On Demand MODule(Cité dansStatus/International Forumon New Scienceen 1992)
Les circuits de cet appareil relèvent des théories de Tesla sur le flux délectrons, la résonance et le magnétisme combinés avec des théories modernes sur lélectronique de haute fréquence et les antennes radio pour produire de lénergie directement, sans conversion inefficace dénergie provenant dautres sources.
Un brevet a été déposé et accordé. " Scott " annonce quil peut produire une sortie dénergie 4.000 fois plus élevée que celle dentrée.
Des appareils de taille commerciale sont en cours de réalisation, ils pourront tenir dans des containers de bateaux standard de 1,20 mètre. ChaquePODMODa une capacité de production permanente de 10 mégawatts.
MCNEILL KEN
P.O. Box 99, Long Creek SC 29658
Inventeur d'un appareil électromagnétique dénomméReluctance Generatordont on trouve des références dans ISNE 1994 pages 289 à 298
MEAD
Auteur du brevetUS
5590031
System for converting Zero Point electromagnetic radiation energy to electrical energy.
MELNITCHENKO ANDREW A.
C'est un inventeur qui a fabriqué quelques appareils alimentés par une petite source primaire, une batterie 1,5 VDC. Il a démontré que l'effet de résonance est le moyen d'avoir une sortie d'Energie Libre. Voir
http://www.eskimo.com/frolov/
car c'est Alexandre Frolov qui a transmis par email des informations sur ces appareils.
MERETSKY
Auteur du brevetUS
4210859
Carmon Inductive Device Having Orthogonal Windings
MERRITT THOMAS D.
Auteur du brevet US n°
4 500 827
sur un appareil électromagnétique à sur unité dénomméElectrical Generatorcité par INE en 1997.
MILLER PETE
Pete Miller a fait partie dun groupe qui pendant lété 1994 a aidé Bill Wysock à modifier la bobine Tesla modèle 12 et à la réparer avant de lexpédier par bateau au Japon. Il a participé à un prototype de bobine destiné au département de physique de Orange Coast College à Costa Mesa en Californie. Cette bobine avait des potentiels de 20.000 volts oscillant au-dessus de 350 kilohertz. Le transformateur dalimentation délivrait un modeste kilowatt
à perfectionner suivant l'état des finances. Voir ci-dessus TCBOR et TTR.
REGAN
Auteur du brevetUS
4883977
Regan Magnetic Power Converter
RICHARDSON
Auteur du brevetUS
4077001
Electromagnetic Convertor With Stationary Variable-ReluctanceMembers
RODIN MARKO
Dans INE on trouve ses publications sur son bobinage permettant daugmenter lénergie de 62,5 %. Bill Ramsay a également écritRodin Coil Researchdans INE en janvier 96. Voir des informations et illustrations sur la bobine de Rodin dans le site de Jean-Louis Naudin.
SMITH WILBER
Il a montré qu'en se servant de bobines électromagnétiques semblables à celles de Hooper, mais en imbriquant deux bobines identiques cela produirait des effets inhabituels.
SPECHT, DEL VECCHIO
Auteurs du brevet US
4652771
Oscillation Flux Transformer.
SPENCE
Auteur du brevetUS
4772816
Energy Conversion System.Appareil intéressant utilisant un champ magnétostatique pour augmenter le potentiel des électrons en orbitation.
SROCKMAN
Auteur du brevetUS
3249944
Srockman Electromagnetic Transduction Utilizing Radiant Energy
STEVENS
L'inventeur avec un homme de loi souhaitent obtenir 25 millions de dollars pour cet appareil
Lappareil que l'on désigne sous le nom deStevensest un appareil à sur-unité qui capte dans le champ électromagnétique de 7, 23 Hz de la Terre. Une vidéo aurait circulé pendant près de deux ans .
Il est composé de bobines de fils circulaires sur un cadre plat et d'une seule bobine à l'intérieur, comme deux anneaux concentriques. Un ou plusieurs aimants sont placés dans la bobine intérieure qui aurait une section elliptique et dont l'accord est capital. Il n'y a aucune source d'énergie externe. La vidéo montre 3 tailles d'appareils, de 25 à 61 cm de diamètre placés à plat, parallèlement au sol sur une table de verre. Quand on insère les aimants permanents aux emplacements adéquats la bobine secondaire enregistre une sortie de 80 à 100 volts. On dit que lorsque l'appareil est en fonctionnement il oppose une résistance à tout mouvement latéral ou de rotation. Quand on enlève les aimants, ou quand on le retourne l'appareil ne fonctionne pas aussi bien.
Voir
http://www.padrak.com/ine/STEVENS.html
STRACHAN SCOTT
Directeur de recherches de Optical Metrology Ltd à Edimbourg, assiste au congrès IANS en 1993 après avoir été présent à la PACE à Québec. Voir ASPDEN
SURGALLA LYNN
Elle a présenté en 1991 un cours sur un phénomène de résonance non linéaire qui démontre les techniques théoriques mathématiques quelle estime être nécessaires pour modéliser la conception, le réglage et le contrôle des effets non linéaires. Elle est citée dans Status/International Forum on New Science 1992
TAKAMURA
voir Pr SEIKE
TEAL BOB
Madison, Floride USA
Ingénieur en électronique à la retraite, il a inventé son moteurMagna Pulsionau brevetUS
4024421
Magnetically Operable Engine, qui fonctionnait avec 6 petits électroaimants et un appareil à impulsions secret. N'ayant besoin d'aucun carburant, le moteur n'émettait pas de gaz. Simple à concevoir, ne nécessitant qu'une faible maintenance et une petite batterie de moto pour démarrer, seul le scepticisme l'a accueilli.
THOMAS
Auteur du brevetUS
4748311
Stormer Inverter with Power Supply to Chopper through Parallel Resonate Circuit Tuned to Twice the Chopper Frequency.
VOORHIES KURT VAN
En 1991 il préparait ses diplômes dans une université dEtat renommée sur le transfert dénergie sans fil dans le monde suivant les travaux de Tesla à Wardenclyffe. Il est cité dansStatus/International Forum on New Science1992.
WATSON DON
2014 Codd Avenue, Baltimore, MD 21222
Inventeur autodidacte du Texas, employé dune compagnie de téléphone, il dit avoir réussi à fabriquer, pendant ses loisirs un appareil semblable au VTA de Floyd Sweet . La première démonstration date de 1993, la sur unité annoncée est infinie, le témoin est Walt Rosenthal 4876 Bethany Lane, Santa Maria CA 93455. INE attribue la note 8 à l'appareil et la note 5 pour son intérêt commercial.
WATSON MICHAËL
Spécialiste anglais en électronique, il dit avoir construit une copie du VTA mais sans succès, tout en reconnaissant la valeur de la découverte de F. Sweet. Il attribue ses échecs au fait que le type daimants dont se servait F. Sweet nest plus disponible de nos jours. Il souligne que le VTA montre limportance dune forme dinstabilité magnétique qui peut agir en tant que source dénergie.
WISEMAN GEORGE
P.O. Box 145 Eastport ID 83826
Eagle Research Inc.
Il vit dans une région montagneuse de Colombie Britannique. Il lui est arrivé dêtre observé de loin par des inconnus, et davoir des choses curieuses sur sa ligne téléphonique.
Son appareil Free Energy Accumulator est classé comme étant une antenne par INE. La première démonstration a eu lieu en 1994, on trouve des descriptions dans ISNE 1994 pages 451 à 465. Les témoins sont Emmerich / Grotz.
Sa méthode déconomie dénergie est facile à comprendre et à réaliser avec des composants courants. Elle permet de conserver lénergie de départ qui va chuter moins vite que dans une batterie habituelle. Tous les effets secondaires du mouvement électronique (chaleur, lumière, magnétisme) sont libérés parce que les électrons ne sont pas gaspillés, mis à la terre ou détruits. Ce système permet au flux électronique de passer et repasser dans le circuit tout en préservant les électrons et ceci sans perte de tension.
Au symposium Tesla du 19 au 21/07/96, il a animé un atelier sur le Gaz de Brown. On peut commander son livre à International Tesla Society. Pour lui, seuls les appareils à Gaz de Brown fabriqués par Norinco sont fiables.
Voir
http://www.eagle-research.com/products.html
X
Un physicien de Frankonie, en Allemagne du Sud, (dont Nieper n'a pas donné le nom, mais qui a des talents techniques aussi bien que de bonnes bases théoriques), a construit un convertisseur de la taille dune radio de poche. Lentrée de courant est de 0,6 Ampères à 12 volts (courant de batterie). La sortie est de 6 Ampères à 300 volts = 1800 watts. La puissance nette est de 1,7928 kW. Cest un seul étage amplificateur qui produit ce courant. On peut sans problèmes faire une connexion multiple.
Ce physicien écrit que, daprès le résultat de ses expériences, lespace est plein dun champ extrêmement riche en énergie, que jusqu'à présent personne na été capable de comprendre. Il pense quil ny a pas de système fermé partout où les champs jouent un rôle dans le fonctionnement des machines. Tous ces systèmes doivent être, par nature, ouverts. Il est donc en accord avec laxiome de Nieper qui dit que toutes les accélérations naturelles ont une cause uniforme, expliquée par linterception du champ de tachyons. Cest à dire que, lorsquon soumet à un champ électrique nimporte quel moteur électrique ou électroaimant choisi arbitrairement la constitution de ce champ électrique ne produit pas, par elle-même, daccélération. Cest seulement linterception dénergie tachyon par le champ qui amène la force observée. On peut donc supposer que lon peut améliorer ce processus dinterception, cest à dire quil doit atteindre des valeurs defficacité de bien plus de 100 %. Cest aussi linteraction du champ de tachyon qui permet à la tension de sélever dans une bobine secondaire. A lui seul, un courant introduit dans un système de bobines namène pas directement la production de courant transformé dans la bobine secondaire. Autrement, le transformateur, dont on se sert partout ne fonctionnerait pas.
YGLESIAS JOSE
Pozuelo, près de Madrid
LeNew York Timesdu 06/04/1914 parle de cet inventeur espagnol qui allume des lampes à une distance de 600 mètres, démontrant ainsi la possibilité dextraire de lélectricité de latmosphère dans des buts commerciaux. Avant de s'intéresser à cela, J. Yglesias avait provoqué lexplosion de mines de dynamite avec des rayons infra rouges.
Parmi les témoins, se trouvaient le comte Maceda et des proches du roi Alfonso, dépêchés tout exprès par le monarque pour observer les essais. Les expériences se sont poursuivies pour sassurer de la pleine capacité de linstallation.
Lappareil de J. Yglesias, très simple, construit en une quinzaine de jours, comporte des antennes montées par paires sur une tour de bois de près de 10 m de haut, dressée sur une colline élevée.
Il recevait lélectricité à 6000 volts, ramenée à 150 volts. 15 lampes électriques étaient allumées en permanence dans une maison située à 600 mètres.