DES INVENTEURS ET DES APPAREILS A ENERGIE LIBRE
SANS PIECES EN MOUVEMENT
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de Amman à Hendershot
Page créée le 17 octobre 1999
+Pour retrouver des sites relatifs à ce dossier, on se reportera utilement à notre Catalogue de Références dans la partie LIENS INTERNET
AMMAN C. EARL
Témoignage de K. H . Isselstein, Spokane, Washington
" Le transformateur dénergie de Hubbard (voir ci-après) lui remettant en mémoire un autre inventeur, il raconte l'histoire suivante. "
En 1918, alors quil travaillait à des travaux de peinture et tapisserie dans une grande maison de deux étages, il avait été très surpris de voir que le compteur ne marchait pas. En ouvrant la boîte à fusibles, il saperçut que les principaux fusibles avaient été enlevés. Il sassura très vite que la ligne navait pas été prise après le compteur.
Il interrogea ensuite un jeune homme dune vingtaine dannées - Earl Amman - qui était alors à la maison et qui le conduisit au grenier où il lui montra quelques barres dacier sur une table. E. Amman prit ensuite une bobine
"loose coupler". Après avoir placé les bobines sur les tiges dacier, il relia un fil à la sonnette et avec lautre fil, il fit contact avec le terminal opposé. La sonnette tinta fortement, et une grande étincelle se produisit.
M. Isseltein enleva les bobines pour sassurer quelles nétaient pas connectées à dautres appareils, et put voir à travers elles quil n'y avait pas de piles et pourtant la sonnette tintait toujours aussi fort.
A la cave, E. Amman avait une sorte de transformateur activateur gros comme deux poings qui devait être situé dans un rayon de 16 km des bobines du générateur. Lactivateur navait aucun contact avec des fils ou appareils visibles. Il était activé par les courants électriques qui sont partout autour de la Terre et agissent sur laiguille des boussoles (selon M. Isselstein). En interrompant ou empiétant sur ces courants, Earl disait quil pouvait obtenir un courant illimité
Le
"loose coupler" était une bobine dinductance daccord courante dans les circuits récepteurs de radio à lépoque de la première guerre mondiale. Normalement, ces
"loose coupler" utilisaient des bobines cylindriques de fil de cuivre devenu rare à cette époque. En faisant son
"loose coupler" avec du fil de fer à la place, Amman avait découvert un phénomène qui était passé inaperçu aux yeux dautres expérimentateurs du sans fil. Le générateur de Amman rappelle les cohéreurs et détecteurs en cristaux en usage dans les premiers temps de la radio.
Le Générateur Cosmo Electrique
Le Denver Post du 08/08/1921 a rapporté une démonstration du Générateur Cosmo Electrique qui a eu lieu en 1919 à Denver. Le Générateur était un objet compact, cylindrique avec deux petites sphères de cuivre dépassant sur le dessus. A lintérieur, il y avait des fils dacier et des minéraux destinés à tirer de lélectricité de lair, à la condenser et lutiliser pour faire rouler la voiture.
Amman avait remplacé les phares de sa vieille bagnole (corps et châssis dun véhicule électrique, sans batteries) par deux sphères de cuivre dont il obtenait suffisamment de courant pour circuler dans tout Denver. Lors de la démonstration il y avait eu dans la région une coupure de courant .
Lorsque des sceptiques lui demandaient où était cachée la batterie, Amman ne pouvait que répondre quil nouvrirait pas le cylindre, fruit de sept ans de recherches. Il leur demandait dattendre son retour de Washington, une fois le brevet obtenu. Mais, malgré les démonstrations, quand il sest justement rendu peu après à Washington pour le brevet , il a découvert que lon avait intenté des procès contre lui, l'accusant de voler le courant des lignes électriques avec son appareil .
E. Amman disait avoir rejeté toutes les lois des manuels pour perfectionner son invention qui ressemble au téléphone sans fil tout en étant différente car lélectricité vient de lair.
La voiture nétait quun test, le générateur pouvant éclairer les bâtiments, fournir une énergie inépuisable aux avions, centrales, etc.
M. Davis, un '' ancien '' de l'électricité de Denver qui était propriétaire de la société du Garage Electrique Davis au 921 East Fourteenth Avenue a connu E. Amman (alors âgé de 28 ans) quand il est venu habiter Denver (à lhôtel Argonaut). Cet électricien expérimenté a étudié minutieusement le générateur de Ammann et a été si impressionné par la portée de cette invention quil avait offert à Amman de s'installer dans son immeuble.
M. Davis : Bien sûr, linventeur serait fou de montrer ce quil y a dans son générateur. On sait depuis longtemps que des minéraux convenablement assemblés fournissent de lénergie. Selon les avants projets de lappareil, ce serait la base de tout le travail de Earl
Si le générateur avait été perfectionné pour lautomobile, le reste de son travail était assuré. Cela aurait été la plus grande invention de tous les temps
"
CATER Joseph
Chez Solaris on ne donne aucune garantie de performance pour cet appareil qui ressemble fort à ceux de Moray et de Hubbard et dont "Australian Tuning IN Magazine" a parlé le premier. Solaris remercie toutefois M. Cater car si ce qui paraît être un défi se révèle être un succès, il s'agit d'une gros " truc ".
M. Cater affirme quun groupe de Californiens a construit un tel appareil qui fonctionnerait bien, mais lui même ne revendique pas lavoir vu et testé. La construction d'un tel appareil peut intéresser des chercheurs afin quun prototype puisse être mis au point et fonctionner. M. Cater dit :
" On pourrait facilement le produire à grande échelle. Il y a quelques années, jai entendu parler dune configuration similaire construite en Allemagne et dont une très mauvaise copie consistait seulement en une bobine sur une barre de fer massif, entourée à son tour de bobines sur de petites barres qui formaient lentrée. Même ainsi construit cet appareil donnait trois fois plus de courant en sortie quà lentrée. Je ne sais ce quil est advenu du constructeur, mais, même un appareil aussi grossier pourrait donner de lénergie libre au monde, la sortie dun petit constituant lentrée dun plus grand et ainsi de suite. "
L'appareil dont les descriptions et plans manquent de détails comporte une bobine primaire, une bobine secondaire et une alimentation. Avec un peu d'adresse et d'ingéniosité, la construction en est tout à fait possible comme suit.
- Une alimentation dont les fréquences, voltage et courant sont variables est conseillée. Les formes d'ondes devront être sinusoïdales et non carrées. Il est recommandé de commencer à 50 ou 60 hertz, à basse fréquence (on peut aller à 1000 hertz). Plus la fréquence est élevée, plus la force électromotrice est élevée, mais il faut être prudent pour éviter de désintégrer la bobine de sortie. Le courant d'entrée doit être faible (12 volts rectifié). Un placage or des tôles de fer et des couvercles ajoutés permettent de faire fonctionner l'appareil avec un courant et une fréquence inférieurs.
- Des bobines primaires de 5,08 cm de diamètre placées sur le pourtour de la bobine secondaire. 17 sont recommandées, mais l'expérience permettra de détermine le nombre optimal. Les bobines garnies d'un assemblage de tiges de fer doux de 33 cm ajustées serrées sont en série de façon que le courant circule dans le même sens.
- La bobine secondaire est formée d'un certain nombre de cylindres concentriques et bobines de 3 sortes qui se suivent dans lalternance indiquée ci-après sur 8 couches.
- Du tube PVC de 5,08 cm de diamètre et 33 cm de long bourré de tiges de fer doux.
- Autour du tube central sont enroulées de très fines tôles (chez les fournisseurs de moteurs et générateurs électriques) dont le côté tourné vers l'extérieur est plaqué or. Plus la tôle de fer est fine, plus elle sera complètement magnétisée. La couche dor comme un " glaçage du gâteau " na pas besoin dêtre très épaisse, et ne coûtera pas une fortune.
Une fois enroulée la première couche autour du tube central contenant le noyau en fer doux, on enroule une couche de fil émaillé de fort calibre (du type utilisé dans la maison) pour la première bobine secondaire en prenant soin de laisser un petit espace entre chaque tour. Ce petit espace de 1 à 1,5 mm réduit linertie des électrons qui circulent et laisse aussi de la place à la limaille de fer imbibée dhuile que lon doit bourrer entre chaque enroulement. Cependant, avant de procéder à ce bourrage, il serait judicieux de vernir le bobinage pour le fixer sur la tôle de fer. Ce sera aussi une protection isolante supplémentaire.
Les différentes couches sont espacées avec des écarteurs non métalliques (en PVC lourd) destinés à minimiser les effets dannulation et produire un effet daccumulateur à orgone.
On relie avec des fils libres les extrémités de chaque bobine en les connectant soit en série de telle façon que le courant circule dans le même sens, horaire ou non, comme si cétait une seule bobine continue, soit avec une paire de bobines contiguës branchées de telle façon que le courant soit à lopposé de la paire voisine. Ainsi les deux premières bobines adjacentes sont reliées entre elles dans le sens horaire, mais la paire suivante est reliée de telle façon que le courant circule dans le sens anti horaire par rapport à la première paire.
Il est nécessaire d'équiper l'ensemble de couvercles formés de 8 morceaux de plastique épais, et 8 morceaux de tôle plaquée or. Un peu d'imagination et d'habilité aideront à positionner les bobines primaires à leurs places. Ne pas oublier qu'il y aura de puissantes forces magnétiques à l'uvre et faire une construction solide. Une fois les couvercles en place, le générateur décrit ci-dessus devient un accumulateur dorgone très actif. Le fer plaqué or est bien plus efficace que nimporte quel autre matériau métallique. Leffet daccumulateur augmente de beaucoup lefficacité du générateur.
Pour les essais, on peut raccorder en sortie les appareils de mesure habituels mais il faut une charge suffisante (radiateur électrique par exemple).
CLAIN Mac Joel et NORM Wootan
Ces deux texans utilisent des cristaux et des aimants dans leur appareil à sur-unité MRA Magnetic Resonance Amplifier qui pourrait permettre à une voiture électrique de produire son énergie en roulant. (voir M.R.A)..
COLER Hans
Coler était capitaine dans la marine Allemande. En 1929, il avait commencé ses travaux avec un appareil à courant magnétique qui la conduit à un générateur de courant qui dès 1942 a pu être relié à une sortie de 7 kW, lentrée étant fournie par une batterie dun peu moins de 8 watts. On a parlé de facteur de sortie de 4 à 12.
Entre 1925 et 1945, avec deux gros générateurs, il a fait des démonstrations qui ont stupéfié tous les témoins dont des fonctionnaires. Déjà, en 1926, le Dr Eng. M. Kloss et le Pr W. O. Schumann des Instituts de Technologie de Berlin et de Munich avaient confirmé le principe de cet appareil.
Le Dr Heinz Frölich, le 27/09/1943 a confirmé, dans un examen détaillé, les caractéristiques du générateur de 7 kW. Des essais ont été menés à la section Recherche du Haut Commandement Naval à Berlin-Wannsee entre le 01/04/1943 et le 30/06/1943 et à linstitut de Physique de lUniversité de Berlin entre le 01/07/1943 et le 25/09/1943.
En 1937, un appareil de 60 kW avait déjà été construit mais la fin de la guerre et la destruction de Berlin arrêtèrent les travaux. Chez les techniciens allemands on sait très bien que Coler a utilisé son générateur pendant les trois dernières années de guerre pour alimenter sa maison de Kolberg, en Poméranie. Quant au Dr Frölich, il a été muté chez BMW et a travaillé à Moscou tout de suite après la fin de la guerre.
En Septembre 1944, Seysen, chef de la construction navale du Haut Commandement Naval a mis sous contrat la compagnie AG Continental Metal, pour faire construire le plus vite possible le générateur de courant de Coler. Dautres compagnies furent impliquées aussi : Rheinmetall-Borsig, Siemens-Schuckert, et Hermann-Göring-Werke (Salzgitter aujourdhui). Le directeur de Rheinmetall, Modersohn, népargna pas ses efforts pour le développement futur du générateur de Coler. Moderhson voulait pouvoir montrer lappareil à Hitler. Selon Seysen, chef des constructions navales, le projet Coler avait des années davance sur le projet Manhattan.
Il est intéressant de voir par exemple que Seysen et Frölich, qui ne se sont pas attachés à expliquer de quelle façon était produit le courant , étaient prêts, après des démonstrations expérimentales réussies, à passer sans délai au stade de la production.
Pendant lété 1946, le sous comité des objectifs de British Intelligence a fait un rapport de 32 pages sur la technologie de Coler (n° 1043, daté du 1erjuillet 1976). Il porte la référence BIOS Final Report 1043/Bios Target n°C31/4799. Ce rapport a été rendu disponible par les services du renseignement britannique (British Intelligence Objectives Sub-Committee, 32 Bryanston Square, London W1.
Les théories qui y sont contenues sont très proches de celles présentées dans un rapport détaillé (GRG 1956) sur les systèmes électrogravitiques, les interactions électromagnétiques et gravitationnelles étudiées par T.T. Brown et John Searl (PEA Research, and REX Research).
Le rapport qui contient en plus des descriptions des essais réussis et des schémas de montage est probablement incomplet car il manque certains dessins détaillés et des données techniques auxquels le texte fait référence. Les services secrets ont confirmé à Karl Dönitz qui dirigeait le Haut Commandement Naval (OKM) les immenses capacités des générateurs de Coler, " Appareil à courant magnétique " et " Générateur de courant " sans pièces en mouvement, basés sur lamplification de la résonance magnétique.
Générateurs de Coler : Magnetstromapparat

Magnestromapparat selon Geoff Egel
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Reconstruction d'un Magnestromapparat de 50 millivolts par George Hattaway |
Lappareil dénommé The " Magnetstromapparat " a quelques ressemblances avec celui de Hendershot. Il comportait des aimants permanents en acier, des bobines de cuivre et des condensateurs disposés dune façon spéciale. Il y avait six aimants ferrites disposés selon un schéma hexagonal reliés en série avec les bobines denviron 33 ohms de résistance formant une partie du circuit. Les enroulements de bobine étaient en recouvrement, inversés et placés sur chaque aimant.
La trajectoire conductrice se faisait à travers le noyau de laimant. Lappareil comprenait aussi deux petits condensateurs, un commutateur et une paire de bobines solénoïdes pouvant glisser, lune étant placée juste à lintérieur de lautre.
On laissait le commutateur ouvert et on déplaçait légèrement de côté, au moyen dun système mécanique de vilebrequin et de glisseurs lensemble bobines et aimants, ce qui leur permettait dêtre modifiés de façon identique.
On attendait plusieurs minutes entre les changements. On plaçait aussi les bobines glissantes dans différentes positions les unes par rapport aux autres. On faisait ces changements en observant le voltmètre jusquà atteindre un point précis, et on fermait alors le commutateur. On faisait encore, mais plus lentement, dautres changements jusquà obtenir le meilleur résultat possible. Plusieurs essais sur quelques heures ont donné de 60 à 450 millivolts. Le meilleur voltage obtenu a été de 12 volts et il a duré jusquà ce quon coupe lappareil.
Un bobinage de Coler selon Geoff Egel

Le " Stromerzeuger " ou générateur de courant de Coler
Il sagissait dun assemblage daimants dacier de bobines plates et de plaques de cuivre sur des bras ouverts montés en parallèle et tirant leur énergie dun transformateur placé au centre.
Coler avait construit respectivement en 1925 et 1933 un appareil de 10 watt et un autre de 70 watts. Ces appareils ont montré des effets antigravitationnels.
Un internaute, Steve, comme d'autres chercheurs, pense que lappareil avait un revêtement radioactif ce qui aurait été également le cas de ceux de Hubbard et Hendershot. Le chlorure de radium ou substance équivalente recouvre généralement le bobinage pour ramener la résistance pratiquement à zéro. Utilisé dans un condensateur, il agit davantage comme un semi- conducteur. Dans le noyau dun transformateur, cela revient à une astuce de bobinage. (Nota : ne pas utiliser d'instruments de mesure digitaux qui seraient déréglés).
Comme dans le cas dune antenne, le fil ionise alors lair environnant, le fil dantenne est comme une bulle saturée au maximum ; ce qui fait que toute entrée venant de latmosphère ou dailleurs lui ajoute son énergie.
Une autre expérience avec un circuit complet avec un espace de 2,5 cm et une ampoule de chlorure de radium éloigné denviron 2,5 cm a montré que le circuit fonctionnait.
EDWARDS Richard A.
Richard A. Edwards est un australien de 55 ans qui a passé dix ans à développer une idée quil a mise sur le réseau Internet et qui confirme le principe du M.R.A. Il a fait un rapport aussi précis que possible et il espère que des scientifiques reprendront son idée et pousseront plus loin les recherches car il dit avoir quitté lécole à quinze ans et en savoir encore moins que nimporte quel lecteur de magazine. A son idée, lhomme ne peut faire dans le domaine de la physique, que ce qui a déjà été réalisé par la nature. La plupart du temps, il le fait en mieux, mais parfois, en pire.
Leffet photovoltaïque
Il y a déjà plusieurs dizaines dannées quun homme prit un panier dilménite (ou quelque minéral similaire). L'ilménite est un titanate de fer, noir à éclat semi métallique présent dans les roches basiques ou magmatiques. Cristallisé en feuilles épaisses rappelant les cristaux d'hématite avec lesquels il a une identité de structure. Il est parfois en concrétion avec la magnétite ou l'hématite. On le trouve dans l'Oural, en Norvège, au Canada et en Bohême sous le nom d'Isérine.
Il le fondit, le comprima en un bloc solide de silicium monocristallin, le coupant ensuite en tranches carrées. Par la suite les tranches sont devenues rondes ou de nimporte quelle forme, et les plus récentes découvertes en technologie électro solaire ont même permis davoir du silicium totalement flexible.
Le tout fut recouvert dune plaque de verre, ou plastique, chaque tranche étant munie dun réseau conducteur en aluminium, en laissant une piste nord sud. Chaque tranche retournée était collée sur le verre de telle façon que le réseau conducteur se trouve entre les tranches en rangées de six, et le verre.
Il relia en les soudant toutes les pistes nord aux pistes sud, faisant ainsi un réseau conducteur continu. Par dessus, il mit une couche collée détanchéité qui tenait le tout. Sur une des deux pistes restantes, il mit une diode pour donner le sens du flux.
Le panneau placé au soleil, les deux pistes furent reliées à une batterie, un voltmètre et un ampèremètre, et les appareils enregistrèrent un flux électrique. Ainsi naquit la conversion de lénergie solaire en électrique connue sous le nom deffet photovoltaïque - que la Nature sait parfaitement faire.
Lidée de Richard A. Edwards
R. Edwards a eu une idée simple : apprendre à récolter les électrons libres qui emplissent lair ambiant. Cette source infinie délectrons libres doit être la plus grande source délectricité naturelle sur Terre, il suffit de penser à sa manifestation évidente dans les éclairs et à son immensité invisible mais mesurable dans lionosphère.
Lionosphère et le climat sont à la terre ce que le stockage est pour une batterie fabriquée par lhomme. Leffet photovoltaïque naturel produit des quantités phénoménales délectrons libres, ou ions si lon préfère. Ces ions ne circulent pas selon leur propre volonté, ils sont soumis à la gravité et à tout phénomène électromagnétique, au vent, et surtout à la rotation terrestre. Cet effet se produit sur toute la planète partout et chaque fois que le soleil brille. Tout ce qui, à la surface de la terre, nest pas biologique (vivant ou mort), leau ou le minéral, est du silicium tout : des roches terrestres allant des montagnes aux collines, des gros blocs aux rochers, des pierres aux cailloux, du sable à la poussière.
Tout ce silicium plus la plupart des minéraux apportent des électrons libres dans lair par leffet photovoltaïque du soleil en bien moins grande quantité pour une surface donnée que dans un panneau solaire mais dans l'ensemble infiniment plus grand à léchelle du monde.
La Terre tourne, faisant en sorte que les choses exposées au jour passent du côté nuit. On a nombre de documents sur leffet de nuit de lionosphère, sa réelle présence même, avec les bruits discordants sur les récepteurs de nimporte quelle onde EMF, particulièrement en AM. Cest là le premier stockage, plus celui du système climatique.
R. Edwards pense quil est possible de capter bien davantage de cette électricité que celle dont on peut se servir, sans bouleverser en rien léquilibre de la nature.
Il compare la forme de lionosphère à une chevelure mouillée flottant derrière un surfeur, cest le côté de laube. Si la charge électrique sur la terre nétait pas traînante, lexcès étant soutiré par la gravité dans le soleil, elle serait juste maintenue en construction et la vie telle que nous la connaissons pourrait ne jamais avoir commencé sur Terre. En bref, le système solaire est une dynamo alimentée par le soleil. La terre est une batterie de stockage électrique. Tout ce que lon a à faire pour se donner une énergie Utopie est décrémer autant de cette électricité que nous nous préoccupons de prendre avant quelle ne se perde dans le soleil.
La méthode classique de fabrication de panneaux photovoltaïques ne récolte quune faible quantité délectrons qui y sont libérés. R. Edwards a eu lidée que lon peut aussi récolter les électrons libres de lair. Durant ces dernières années (93 à 97), il a pensé que le champ magnétique terrestre jouait un rôle majeur, et quil était possible daccélérer la récolte délectrons.
Le matériel utilisé par R. Edwards
Matériel peu coûteux car R. Edwards ne perçoit qu'une pension d'invalidité.
- Un panneau solaire à lenvers modèle GM684-SP60-12 volts vendu en Australie par BP Solar Supplies. On dégarnit le panneau en enlevant la colle sur les bords, et en glissant une lame sur un coin, on pèle les couches, comme un oignon. On ne peut le faire avec les autres modèles qui sont laqués et nont pas de couches. Le silicium et le réseau conducteur doivent être en contact libre avec lair : il faut travailler dans un lieu bien ventilé.
- Un multimètre digital ampèremètre et voltmètre, modèle Q-1420 (AUD$29) qui nécessite seulement de tripoter le cadran pour commuter entre les ampères et les volts. Il nest pas nécessaire de le brancher, débrancher, déconnecter ou pas, en se souciant dêtre en série ou en parallèle. Les analogiques ne sont pas nécessaires, laiguille est aussi précise que des LCD.
- Une batterie en bon état, mais jamais pleine
- Une lampe de 12 volts fluorescente (20 dollars australiens) au rayon accessoires auto et qui fournit leffet photovoltaïque (artificiel). La fluorescence est préférable à lincandescence car elle donne une lumière diffuse et non un foyer lumineux. Pour le champ magnétique terrestre, on utilise un ruban aluminium conducteur, du type alarme antivol à AUD $7. On entoure le carton du panneau avec un peu de ruban, fixé par de ladhésif pour avoir une bobine plate dont chaque extrémité est munie de trois mètres de cordon recouvert de plastique.
Cest une série simple qui va de la batterie au panneau découvert (le couvercle est seulement clipsé), à la bobine plate, au multimètre, à la batterie. On tient la lampe à lenvers au-dessus du panneau, en la faisant reposer maintenue sur deux cales en bois de la taille dun paquet de cigarette de chaque côté. La lumière baigne le panneau découvert. On relie la lampe à la batterie au moyen dun circuit séparé.
Les expériences et les mesures
Un jour de 1992, vers trois heures de laprès-midi, R. Edwards a installé son montage devant sa famille. Tous observèrent ce qui allait se passer. Le voltmètre donna 2 volts, lampèremètre 2 milliampères. Vers quatre heures, même chose.
Muni dune paire de gants isolants pour éliminer le facteur thermique corporel, R. Edwards saisit la bobine plate et la déplaça selon différents plans, en haut, dessus, dessous, et en la faisant pivoter, il se produisit quelque chose de fantastique, les affichages des volts et ampères s'affolaient.
R. Edwards était content davoir trouvé la plus haute orientation pour une lecture de 3,5 volts et 5 milliamp, en laissant la bobine coincée en bonne position entre deux livres.
Le soleil se couchait à sept heures, et vers huit heures, les volts et les ampères ont commencé à augmenter pour atteindre 5 volts et 10 milliampères vers neuf heures, niveau où ils se sont maintenus jusquà une heure avant laube, chutant à 3 volts et 5 milliamp. A la stupéfaction générale, les résultats dépassaient tout ce que R. Edwards avait pu rêver.
De nombreuses nuits de surveillance et danalyse ont révélé divers moments daugmentation, parfois, avant le coucher du soleil, parfois des heures après. La maison de R. Edwards est proche de locéan, et il pense également à linfluence des vents, allant vers le large ou non.
Il sest produit, très rarement un fait étrange. Par un temps clair comme du cristal, et de façon plus perceptible de nuit, les volts et les ampères chutaient rapidement, restant à des valeurs basses pendant quelques minutes à une heure, pour sélever à nouveau rapidement. Rien navait varié de façon tangible dans lenvironnement, toute la famille était perplexe. Une nuit où les valeurs étaient au plus bas, R. Edwards a tiré ses conclusions en constatant que la lune était pleine et juste au-dessus de chez lui.
Par la suite la saison des orages électriques de lété, (nombreux dans les deux années qui ont suivi) permit de faire dautres contrôles et analyses. Par temps de pluie, de jour ou de nuit, les voltages bondissaient, triplant parfois leur valeur initiale et restant à ce niveau au moins dix minutes après larrêt de la pluie. Si un éclair se produisait dans le voisinage, les volts et ampères montaient et fluctuaient de façon si désordonnée quil était difficile de comprendre (et cela lest encore) cette étrange observation.
Lors dun rendez-vous à Perth avec des scientifiques dun service soccupant dénergie, un autre panneau fut préparé. Il était relié à une radio à transistor en fonctionnement pour éviter que la batterie ne soit pleine. R. Edwards a pu lire 2,8 volts, mais les jeunes ayant été trop rapides, il na pu lire les ampères.
A bord dune voiture roulant à vive allure, un des scientifiques tenant le panneau par la fenêtre, la lecture se fit à 8 volts, et les ampères triplèrent. Les scientifiques ne tarissaient pas déloges, mais R. Edwards ne peut en dire plus, même sil est resté en contact avec eux, ils tiennent à leur réputation.
Il réalisa alors quune bobine multidirectionnelle pourrait être la meilleure manière dobtenir un accélérateur électronique du champ magnétique terrestre. Lidée simposa à lui : un véhicule électrique pourrait être équipé dun tel dispositif placé sur son toit, captant lénergie pour la transférer à son réseau de distribution, mais compte tenu des changements de direction, la bobine ne serait pas correctement orientée ou rarement.
R. Edwards a fabriqué un système consistant en deux tiges daluminium à AUD$5 de 1mm x 5mm x 2 mm enroulées autour dune bouteille pour avoir deux bobines en forme de pain tonneau. Deux diodes étaient reliées à chaque extrémité (AUD$2), puis les deux bobines étaient reliées avec un morceau de cordon. Il les a ensuite fixées sur une planchette à 90 ° lune de lautre et a cloué deux morceaux de bois sous la planche, ce qui permettait davoir un espace pour installer le montage sur la fenêtre de la voiture côté passager, la glace remontée coinçant le tout. Le multimètre était suspendu au pare-soleil côté passager. La connexion allait de la batterie de voiture au multimètre, à la double bobine avec retour à la batterie.
Au départ, sur le parking, côté orienté au soleil, la meilleure lecture donna 8 millivolts (les ampères ne sont pas pris en compte car il sagit dun test de direction). En occultant le soleil, la mesure tomba à 4 millivolt, confirmant le facteur chaleur. R. Edwards poursuivit ses essais avec ses deux fils en décrivant des cercles dans un terrain de jeux très loin de lignes électriques. Les volts montaient et descendaient de façon stupéfiante selon les directions, la meilleure orientation à larrêt ou en marche étant vers le sud et donnant 180 millivolts mesure confondante !
Nous espérons que ces observations malheureusement sans illustrations pourront orienter les recherches d'esprits curieux
FOGAL William Jay

233 Bobby Jones Expressway, Martinez, CA 30907
Inventeur dun appareil portant son nom, amplificateur sans pièces en mouvement, c'est un collègue que Bearden dit être très proche de lui.
Brevets US nos 5 196 809 et 5 430 413
Il a fait breveter le premier semi-conducteur de blocage de dq/dt du monde, (semi-conducteur " dégénéré " ou puce de Fogal) conducteur qui bloque partiellement le courant normal tout en continuant à faire passer le flux de tension. Bearden a publié une explication technique sur ce semi-conducteur qui utilise une caractéristique extrêmement peu connue appelée
"overpotential" et connue de quelques chimistes qui sont spécialisés dans les effets électrodes, dont J.O'M. Bockris, le meilleur expert mondial de cette théorie.
L'application de brevet de 94, décrit des méthodes et des mises en pratique du processus fondamental de blocage de charge afin d'obtenir des systèmes d'énergie électrique à sur-unité.
Il a obtenu deux brevets en 93 et 95 sur un transistor commutateur plus rapide à haut gain et faible distorsion, puis en compagnie de Bearden, il a déposé en janvier 1996 un brevet d'application sur les processus et appareils qui insèrent des signaux y compris toutes les largeurs de bande voulues à l'intérieur d'une tension en courant continu dans un potentiel scalaire par une utilisation spécifique du semi-conducteur Fogal.
Voir l'article The Truth Behind Charged Barrier Technology avec les commentaires du Colonel Tom Bearden dans :
http://www.eskimo.com/~ghawk/fogal_device/notes.htm
http://www.eskimo.com/~ghawk/fogal_device/
et aussi The Trailer for "Petrovoltaics", Part 12 in the "Energy from the
Vacuum"TM Science Series of DVDs
http://www.youtube.com/watch?v=oTpqx620Am4
HENDERSHOT LESTER
 |
" Regarde, papa, ça ne marche pas ! " avait dit un jour un petit garçon de quatre ans, en mettant sur les genoux de son père un avion jouet. " Ne tinquiète pas, nous en ferons un qui marche ! " Et cest ce que L. Hendershot, alors jeune père a vraiment fait. Pourtant, son nom est tombé dans loubli. Cest un des mystères les plus déconcertants dans le domaine de linvention : lavion jouet navait ni propulseur, ni carburant, ni élastique, mais un moteur (le premier de linventeur) des plus stupéfiants sans aucune énergie dentrée apparente. |
Le premier moteur
En quelques semaines, il avait terminé le moteur de lavion de son fils. Il lavait fait avec des pièces venant dune vieille radio donnée par son oncle. Mais, pour lui, il y avait un sérieux défaut, l'appareil fonctionnait toujours quand on lorientait Nord - Sud mais pas Est-Ouest, problème surmonté après deux ans dexpérimentations.
Pendant des semaines ce petit moteur dans lavion, est resté sur la table du salon chez les Hendershot. Un jour, D. Barr Peat de laérodrome postal de Bettisfield, près de McKeesport en entendit parler. Il rendit visite à l'inventeur et fut tout de suite enthousiasmé. Quelques jours après, ils étaient sur le terrain de Selfridge où ils avaient obtenu lautorisation de construire un modèle suffisamment gros pour faire voler un avion. Les pilotes et mécaniciens qui ont participé à la construction du moteur ont déclaré quil sagissait de la plus grande invention de lépoque. Pour eux, c'était une authentique démonstration dénergie sans carburant. Ils étaient tous certains de son succès futur en tant que moteur davion et pensaient être au seuil dune ère nouvelle.
Laffaire fit la Une des journaux, L. Hendershot, qui avait le soutien de Lindbergh fut assailli de questions.
Et pour cause, si comme indiqué dans le site
http://www.hendershotgenerator.com/,
l'exploit réalisé par Lindbergh dans sa traversée sans
escale pour refaire le plein de carburant est du au générateur de Hendershot
placé dans l'avion.
Son invention aurait pu révolutionner tout le domaine de lénergie motrice, pas seulement dans laviation, mais dans les transports et lindustrie. Et puis, curieusement, soudainement : plus aucun article.
Extraits de
http://www.hendershotgenerator.com/
Voir aussi la version en français ici
http://www.generateursanscarburant.com/
Derrière l'aviateur Lindbergh, Hendershot |
Une information qui a "fuité" vers les journaux |
Charles A. Lindbergh a confirmé les essais positifs dun moteur L. Hendershot sans carburant (quil avait dabord vu à Bettis Field) à laérodrome militaire Selfridge près de Détroit. Il avait le même avis favorable que le major Thomas Lanphier, commandant laérodrome qui disait :
" Je suis convaincu que cette invention est bien davantage quune fiction comme je lai tout dabord supposé. Il ny a aucune batterie cachée, ni rien de semblable. On peut vérifier lauthenticité de lappareil en tournant seulement un bouton. "
Le 25/02/1928, le Free Press de Detroit publia, dans un article à copyright que les puissants intérêts Guggenheim avaient tout de suite organisé une rencontre entre C. Lindbergh, le major Lanphier et L. Hendershot. Dautres grands groupes financiers auraient aussi été intéressés.
Des réactions de scientifiques et de journalistes face au moteur de L. Hendershot
Les scientifiques orthodoxes se sont moqués de lidée au début. Ils disaient : " Si cest vrai, c'est intéressant '' et " Cest pratiquement impossible ". Par la suite, ils ont violemment attaqué L. Hendershot.
Le Dr Michael Pupin, Pr dElectro-mécanique à Columbia University a dit dans lAssociated Press du 26/02/1928 :
" Selon mes connaissances scientifiques, je ne peux comprendre comment on peut produire suffisamment dénergie de cette manière pour faire fonctionner un objet pesant. Je ne le comprends pas et je ne réussis pas à y accorder une quelconque importance. "
William S. Knudsen, président de la Compagnie General Motors, dit de l'invention de L. Hendershot que " c'était une imposture peu réaliste et que lon se servirait encore longtemps de lessence dans les moteurs. "
Le Dr Frederick Hoffstetter, chef du laboratoire du même nom à Pittsburgh a été beaucoup plus loin en allant à New York et en louant une salle dans un grand hôtel. Il y était venu pour dénoncer l'imposture de Hendershot , apportant avec lui des modèles de moteur. Il démontra quils ne pouvaient pas marcher, ajoutant quil avait découvert dans lun deux une petite pile bâton. Sur Internet, le critique Eric Krieg dit qu'il y avait un aimant caché dans le générateur
(les résultats sont alors formidables pour un simple aimant NDLR)
Cette déclaration induisait en erreur. Il est vrai que, des années auparavant, L. Hendershot, qui navait aucune preuve de la bonne foi de ses visiteurs, avait placé dans son moteur des choses destinées à les éloigner de l'idée véritable sur laquelle il travaillait. Mais dans les essais de Selfridge, il ny avait aucun moyen de cacher quoi que ce soit dans les moteurs construits par les mécanos du Major Lanphier.
Cest tout de suite après le retour de Hoffstetter à Pittsburgh que le nom de L. Hendershot disparut des journaux. Cela aurait pu être terminé, pour le grand public, bien sûr, mais pour des gens qui réfléchissaient plusieurs questions restaient sans réponses. Charles Fort qui ne faisait pas de réclame pour linventeur en avance certaines, des plus pertinentes, qui seraient restées négligées, dans son livre "Wild talents ". Il rappelle le soutien de Lindbergh et de Lanphier. Il rapporte que, lors des essais, un modèle avait produit suffisamment de courant pour allumer deux lampes de 110 watts et quun autre avait fait marcher une machine à coudre.
C. Fort dit encore :
" Sil y avait eu fraude, il semble quelle aurait du être évidente. Nétait-il pas extraordinaire que Hoffstetter ait été si loin pour clamer la fraude et dire que cela pourrait démolir la foi dans la science pour des milliers dannées ? Une foi détruite par qui ? Un jeune type sans instruction dont personne navait entendu parler auparavant ? " C. Fort fait remarquer la peur, peu ordinaire, dans cette affaire.
Gaston Burridgs, correspondant de Fate dit que le major, devenu colonel et en retraite, lui a affirmé quil ny avait pas eu de moteur construit sur le terrain quil commandait à ce moment-là. Le seul qui y ait jamais été avait été apporté par L. Hendershot. Il aurait ajouté que le laboratoire de lUniversité de lest a prouvé quil sagissait dun trucage. Pourtant, C. Fort affirme que le major Lanphier na jamais parlé de supercherie, répondant même à la suggestion que le moteur volait du courant à un gros émetteur de radio : Nous y avons pensé, mais sur les trente six heures où le moteur a fonctionné, les résultats ont été les mêmes que la station fonctionne ou pas.
L. Hendershot a affirmé à Burridgs ne pas comprendre les propos du colonel et dit que le moteur a bien été fait au terrain de Selfridge et y a fonctionné, lui-même nayant seulement fait quun bobinage. Voici comment naissent les mystères
Burridgs pense quil nest pas correct de dire que cest L. Hendershot lui-même qui a créé lénigme, mais il pense qu'il na pas fait beaucoup pour léclaircir. Daprès lui, ce mystère lui convenait car il ne savait pas vraiment comment marchait le moteur (pas davantage que les scientifiques qui lavaient observé) ni comment le reproduire à plus grande échelle.
L. Hendershot a manifesté une certaine impatience face aux questions posées par Burridgs, sur les textes de Fort, sur ceux de Fleming parus dans Fate en 1950. Il paraissait mécontent à ce sujet. Larticle lavait plutôt désolé et il était harcelé par toutes sortes de gens, des hommes daffaire aux fanatiques religieux qui laccusaient de provoquer tremblements de terre, inondations et famines. Selon Skilling, vers la fin de sa vie, L. Hendershot a dailleurs subi plus de stress quil nétait capable den endurer.
Un inventeur oublié
, bref aperçu de la vie de Lester Hendershot
A l'époque de son invention, Lester L. Hendershot avait 29 ans et demeurait dans une petite maison proche de la voie ferrée à Elizabeth, en Pennsylvanie. Il navait pas fait beaucoup détudes, mais il avait pris des cours de mécanique à lUniversité Cornell. Dun naturel indépendant, il avait eu plusieurs emplois, pompier, chauffeur au service postal, ingénieur sur les voies ferrées, contrôleur dans les ciments. Il avait aussi travaillé dans lélectricité et dans les minoteries près de Pittsburgh. Lors de la première guerre mondiale, il était clairon dans une compagnie de canonniers, mais il nest pas parti dAmérique.
Cest vers lâge de vingt ans que lui vint, en rêve, lidée dune machine qui fonctionnerait avec des courants terrestres. Mais ce nest quen novembre 1927 quil put travailler pour que ce rêve devienne réalité.
Du petit matin à tard le soir, on pouvait le trouver dans son laboratoire et atelier : un établi sommaire dans la cave près de la chaudière. Ed. Skilling dit quen 1928, il avait construit 5 prototypes de générateurs (dont lun pesait 10 kg). Mais du fait qu'il ne disposait daucune expérience technique, ni de diplôme, comme déjà indiqué précédemment, il fut violemment critiqué.
Le 09/03/1928, L. Hendershot fut victime dun grave choc électrique (2000 volts ou 220 selon son fils) en faisant une démonstration de son appareil dans le bureau de son avocat Washington Loan & trust Building. Oublié des journalistes, il resta plusieurs semaines à lhôpital de Washington dans un état critique, bras, jambes, palais et cordes vocales paralysées.
Burridgs affirme détenir une lettre dun journaliste déclarant que L. Hendershot avait été conduit à lhôpital pour un vérifier un état daliénation mentale, et libéré car on ne lavait pas trouvé " coupable ".
Sa convalescence passée, nul nentendit parler de lui
pendant plus de trente ans
Le mystère L. Hendershot
Nest-il pas curieux, au regard des charges que les scientifiques ont fait peser sur lui quun éclair estimé être de 2000 volts pouvait avoir jailli du moteur et paralysé temporairement son inventeur ? De nos jours encore, il plane une question sur ce moteur, et ceux qui connaissent la vérité sur cette affaire ne sont pas susceptibles de parler.
En étudiant consciencieusement le sujet, on arrive à un certain nombre de conclusions dont nimporte laquelle peut être vraie.
- Les fabricants de moteurs, voyant poindre leur ruine ont pu sentendre et " acheter " L. Hendershot . D'ailleurs, lors de son séjour à lhôpital, il avait reçu la visite dun représentant dune grande firme, dont il taira le nom, et qui lavait amené à accepter de ne plus travailler sur son invention pendant vingt ans en échange de 25000 dollars. C'est aussi pendant cette hospitalisation que L. Hendershot reçut la visite de C. Lindbergh qui lui a offert une veste de soie de grande valeur.
- Les scientifiques voyant certaines de leurs théories favorites prêtes à tomber en cendres peuvent avoir trouvé des moyens de le faire tenir tranquille.
- Ou alors comme le suggère Fort, linventeur possédait-il un talent exceptionnel, une sorte de pouvoir de lesprit sur la matière qui faisait tourner le moteur en sa présence ? hypothèse réfutée par Ed Skilling, car en aucun cas, les faits soutiennent la conclusion que le moteur était une imposture. Dailleurs, en son absence, ses enfants pouvaient allumer la télévision ou une lampe avec le générateur de leur père.
Les années 1950 : L. Hendershot réapparaît
Lhistoire de L. Hendershot était toujours entourée de mystère et de contradictions. Nombreuses étaient les personnes étonnées dapprendre quil était encore en vie. Et à 57 ans, il avait encore davantage approfondi ses expériences sur ce que lon a improprement dénommé moteur L. Hendershot.
A cette époque, à la connaissance de Burridgs, deux personnes tentaient de reproduire son travail, une dans le New Jersey et une dans la Baie de Californie. '' Reste à voir, sils battront L. Hendershot au Bureau des Brevets. '' dit-il. Toutefois, bien que légale le brevet est une protection relativement illusoire. Tôt ou tard, selon G. Burridgs, l'inventeur est toujours " grillé " ce qui explique pourquoi de nombreux systèmes sont morts avec leurs inventeurs qui n'avaient rien donné mais aussi rien reçu.
G. Burridgs, qui a rencontré L. Hendershot chez lui, raconte :
" Cest un homme de petite taille, un peu chauve, avec un peu dembonpoint. Ses yeux sont marron foncé, vifs et son regard perçant. Il a le sourire triste, fait de grands gestes avec les mains et souvent non de la tête. Sa méfiance me parut augmenter au fur et à mesure des informations que je lui donnais. Il refusait de répondre en madressant à son avocat, qui a refusé lui aussi. Le temps dira pour quelles raisons, mais je pense les connaître : il y a probablement quelque chose de caché dans lappareil de L. Hendershot. Reste à voir si cela a un grand potentiel. Il y a de grandes quantités dénergie autour de nous, et lhumanité semble lavoir toujours utilisé en la gaspillant. Les chemins de lénergie sont semés de dangers, énergie atomique en particulier, alors que ce nest pas le cas pour lélectricité, lélectromagnétisme, lélectricité atmosphérique, lénergie solaire."
Ed.Skilling parle de L. Hendershot
Ed Skilling (P.O. Box 429 Morristown AZ 85342) ingénieur en électronique, collaborateur de L. Hendershot depuis 1958, dit que, à lépoque de leur rencontre, linventeur avait la soixantaine. Il avait une épouse très aimable et quatre charmants enfants. Contrairement à lidée quil sétait faite dun escroc
beau parleur, voulant soutirer de largent à son ami, L. Hendershot était un homme très simple, intelligent, sincère
(perception bien différente de celle de G. Burridgs
)
C'est en 1950 que Ed Skilling retrouve L. Hendershot grâce à une connaissance commune, le Dr X., scientifique orthodoxe, diplômé de lUniversité Columbia. Ce dernier venait dinvestir à hauteur de 50 % sur un appareil à Energie Libre quil avait appelé L. Hendershot Fuelles Generator et voulait que Ed Skilling le voit. Lappareil était alors démonté car le Dr X. avait insisté pour voir le montage des bobines. Mais Ed Skilling, qui s'était engagé par écrit à ne rien divulguer voulait travailler à partir de ses propres conclusions et non des récits, et ce jusquà ce quon lui prouve autre chose. Il essaya vainement de faire marcher lappareil (à sortie de 300 watts) remonté et câblé selon le modèle dorigine. De retour chez L. Hendershot, après plusieurs heures, une lampe de 75 watts sest allumée : coup de chance, car Skilling était près de laisser tout tomber comme un canular.
Quatre mois plus tard, le 26/10/58, il observa, après de multiples essais une vraie démonstration du phénomène électrique.
En 1953, une annonce de Utility Engines est parue dans Fate. Elle annonçait que cette société avait des projets pour vendre un moteur de L. Hendershot. Le courrier qui y était adressé se mit à être retourné par la poste. L. Hendershot avait effectivement eu connaissance de cela et du fait que lon avait utilisé son nom sans son accord. Il en avait donc informé les Postes, et conclu que le service avait fait quelque chose car il nentendit plus jamais parler de cette société. L. Hendershot insistait vraiment pour dire à Burridgs que ce nétait pas vraiment son appareil ce que démentait une autre relation de linventeur affirmant que ce dernier avait dit que lappareil de Utility Engines était assez proche du sien.
Burridgs a montré les documents de Utility Engines à des gens compétents en radio et électronique. Pour eux, ces schémas étaient situés dans la bande de fréquences radio, et cela marcherait sans aucun doute à proximité dun émetteur radio. Pendant plusieurs mois, des expériences ont été menées à partir de ces schémas, sans succès. Si les plans avaient été aussi proches que le disait L. Hendershot, quelquun aurait bien réussi. On peut supposer que L. Hendershot ne savait pas construire en partant dun schéma original ou bien quil souhaitait garder le secret.
En 1960, un groupe dune vingtaine de chercheurs sérieux sollicita auprès du bureau de recherche navale de lUS Navy, la somme de $150.000 pour étudier lappareil de L. Hendershot que lon appelait maintenant " Générateur Magnétronique ". Cette demande, où L. Hendershot était mentionné comme ingénieur du projet, était étayée par des documents et 22 certificats provenant de témoins qualifiés ayant vu fonctionner lappareil. Mais les deux démonstrations organisées pour des groupes dingénieurs en électronique de haut niveau ont été annulées, (par crainte de révéler linvention). A la mi avril 1961, L. Hendershot acceptait finalement dexpliquer à des scientifiques tous les détails et le principe de fonctionnement de son appareil avec des mesures destinées à évaluer avec précision la nature de lénergie produite.
Le 19 avril 1961, Lester avait reçu un coup de fil important dune personne aux références impressionnantes qui offrait son aide financière. Mark na pas oublié ce fait, car cest quelques heures plus tard, à son retour de lécole, quil découvrit son père mort dans sa voiture, suicidé au gaz déchappement. Il a été impossible à la famille de prouver que ce suicide nétait pas naturel. La disparition soudaine de L. Hendershot mit fin à cette phase du projet. Mais en 1980, au congrès DVS à Hanovre, R. Schaffranke a dit que les études sur le Générateur Magnétronique continuent en privé.
Une idée du fonctionnement de l'appareil de L. Hendershot
par Ed Skilling
Le regretté J. Gilbert E. Wright a fait part de ses efforts pour obtenir par contact médiumnique une information technique détaillée dans une brochure de BSRA intitulée " le retour de deux inventeurs Edison et Steinmetz ". Skilling ne pense pas quil soit possible dobtenir ainsi des informations techniques avec feu L. Hendershot et en général, ce genre de contact délivre plutôt une philosophie.
Létude des composants et circuits du générateur de L. Hendershot ne vient pas à lappui dune théorie magnétique, même si linventeur disait capter un champ de force magnétique.
Des essais de circuit sous une influence magnétique puissante ninduiraient pas un voltage générateur de courant dans le circuit. Après avoir exploré divers aspects des champs magnétiques dans lidée dinduire de lénergie dans lappareil, cette recherche a été abandonnée. Il y a eu de nombreuses études et recherches qui conviendraient aux composants utilisés dans lappareil.
Un des schémas du Générateur Magnétronique de Lester Hendershot
Chacun des éléments : condensateurs, bobines, transformateurs, aimants, solénoïdes a été étudié pour déterminer sa fonction dans le câblage du circuit. Il ny a pas de pièces en mouvement, (le terme de moteur est bien erroné). L. Hendershot disait lui-même quil lui arrivait de bobiner trop de tours de fil et que ça ne marchait pas, en enlevant quelques tours cela pouvait ne pas marcher ou bien marcher et ne pas tarder à griller, ce qui le tracassait le plus. On peut se demander si le potentiel de la source changeait souvent.
Une fois lélément bobiné soit par L. Hendershot, soit par dautres expérimentateurs, il sasseyait vers lappareil avec une longueur de fil isolé à chaque extrémité, et il commençait à faire des connections sur divers terminaux de lélément jusquà ce que la combinaison aimant - solénoïde sonne et que la charge lampe de 110 volts sallume. Alors, il ajustait lespace entre laimant et les bobines solénoïdes jusquà obtenir une luminosité totale et un son stable au buzzer.
Ceci pouvait durer de quelques minutes à plusieurs heures. Parfois il réglait lappareil pendant 10 à 15 minutes et réussissait seulement à avoir un flash de lumière à la sortie. Plusieurs heures après il refaisait les condensateurs avant tout autre test. Cela fonctionnait tout de suite ou pas du tout, selon les caractéristiques inconnues du phénomène.
Il existe des photos de L. Hendershot tenant lappareil dune main et une lampe allumée de lautre, ou lappareil posé sur une pile de bois et une lampe allumée au-dessus.
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Un appareil de Hendershot
Les bobines en " vannerie " avec des condensateurs cylindriques au centre sont une caractéristique unique de l'appareil. L. Hendershot na pas expliqué lintention quil a eue pour une telle conception. Au tout début, il se servait de bobines radio classiques disponibles dans le commerce à cette époque.
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Des bobines sont utilisées avec un aimant provenant dun
magnétron de radar à barre de fer doux entre laimant et les noyaux de bobines solénoïdes. Quand le générateur fonctionnait, cette partie émettait un son selon une fréquence dépendant de lintervalle entre laimant, la barre de fer et les bobines. Le système bobine-aimant était monté dans un cadre de telle façon quun réglage par vis faisait bouger la bobine par rapport à laimant, en modifiant lintervalle dair qui faisait varier la résonance de cette fréquence de buzzer. Comme pour les bobines tressées, cette idée de bobine-aimant provenait danciens récepteurs de téléphone. On peut se servir dune sonnerie de porte. Les bobines achetées par L. Hendershot venaient dune sonnette de 110 volts.
L. Hendershot utilisait deux transformateurs du commerce, de type à oscillateur vertical des postes de télévision dont le rapport est de 5 : 1. Ces deux condensateurs électrolytiques doubles sont des Pyramid classiques 58, 40-80 MFD à 450 volts. Le condensateur placé au centre des bobines est aussi fait à la main - opération délicate - à partir dun Pyramid TM58.
Un autre appareil de Hendershot
Ed. Skilling a été impressionné par ce commentaire de Riley Crabb qui disait :
" Ce qui manque, cest la fréquence de la bobine de L. Hendershot : la réponse pourrait être page 44 du livre de Stan Deyo qui a pour titre La conspiration cosmique et où on peut lire : Pour capter lénergie dune telle émission, il faut construire une bobine Tesla réglable qui opère à 14,3 Mhz ou sur une certaine super harmonique de cette fréquence."
Nous autres, êtres humains, partageons avec dautres êtres du Cosmos (animaux, végétaux, roches, etc.) la caractéristique dêtre composés datomes. Chaque atome a une Subtile Constante de Structure, le facteur 137 en tant que constituant de base ; et il y a aussi lharmonique 222, lharmonique Phi du facteur 137 dans notre corps.
Lharmonique 222 réapparaît partout, et comme le facteur Phi est proche de 162, lharmonique de résonance planétaire (de la terre), divisée par 2, il se fait que cet appareil peut être alimenté par notre propre énergie biologique et que cela fait une interface avec les flux déther dans lenvironnement immédiat et lharmonique de notre planète. Quelle pouvait être la condition spécifique du corps de L. Hendershot lui permettant de faire fonctionner lappareil ? Voici les facteurs à considérer :
- La constitution héréditaire du corps de lopérateur
- Lemplacement de lappareil et de lopérateur sur le réseau énergétique planétaire
- La nourriture absorbée par lopérateur ; son origine et son déplacement sur le réseau
- Les positions planétaires et leur influence sur tous les facteurs précédemment mentionnés
- Une interaction avec dautres appareils reliés au réseau.
(On peut aussi inclure la polarité du corps lors de la construction de lappareil, les hommes et les femmes ayant des parties du corps de polarité opposée, comme la découvert le Dr Abrams.)
Skilling pense que, si L. Hendershot avait vécu, ses talents combinés à ceux de Moray auraient donné des résultats stupéfiants.
Autres témoignages sur les appareils de Lester Hendershot
Témoignage de M. Arthur Aho
Après avoir vu L. Hendershot donner vie à son appareil inanimé, il sut quil y avait là une percée future pour la science, et que, en fait, les limites basées sur des études déchange dénergie et / ou de mécanique quantique nexistaient pas. Au tout début des expériences, il semblait parfois facile de nier lobservation qui ne cadrait pas avec les théories. Mais il était de plus en plus difficile de nier des résultats d'expériences menées en toute honnêteté.
M. Aho possède toujours le dernier appareil construit ; au congrès de Toronto en 1981, il a montré le générateur de L. Hendershot, et un oscillateur Multi - Ondes). Cétait un élément à deux bancs avec deux jeux de condensateurs électrolytiques. Les deux bancs négatifs étaient tous les deux raccordés en une terre commune. Chacun des côtés positifs était raccordé en disposition unique à trois bobines dans un seul élément de 15, 24 cm de diamètre sur 7, 62 cm de hauteur. Bien ajusté à lintérieur de cette triple bobine se trouvait un condensateur qui avait été réenroulé à partir dun condensateur électrolytique de 80 MFD à 400 volts, séché avant dêtre enroulé sur un anneau métallique (G. Burridgs dit : quelques anneaux en acier inox et quelques bâtons de carbone).
La capacité finale nétait pas un point critique. Les éléments fonctionnaient de 0, 006 MFD à 40 MFD, mais le reliquat était décisif. Chaque côté devait avoir dans les 2 % de moins que lautre. Deux petits transformateurs étaient aussi utilisés dans le circuit de bobine vannerie, leur valeur nétant toutefois pas décisive. Lappareil comportait également un gros aimant permanent faisant face aux deux bobines de sonnette qui étaient raccordées aux deux bancs. (G. Burridgs parle de quelques aimants en longueur Alnico ou équivalent)
Cette disposition semblait destinée à rythmer, laimant agissant comme un coussin pour les circuits des bobines de sonnette en fonction. Il y avait des variations de capacité, dinductance et même dans les fils du circuit, preuve que le mystère du fonctionnement ne dépendait pas dun type exact dappareil.
Dans toutes les descriptions de lappareil, on voit deux choses : une production délectricité sans carburant et sans perte, et un opérateur ayant des méthodes personnelles pour déclencher le fonctionnement. John Keely, qui a lui-même fait des démonstrations de ce genre dappareil disait en parlant du démarrage :
" Je pense quil il y a une influence personnelle impliquée et que je ne peux surmonter."
Au bout dun an, il semblait préférable de décrire lappareil comme un corps mécanique, vivant, emprisonné dans une force qui lui était extérieure. Cela ressemblait à un moulin dans le vent. Devenir une chose vivante dans lespace dépendait dun facteur semblable à celui dun médecin massant un cur arrêté, ou provoquant son fonctionnement avec un stimulateur idée qui semble dabord trop tirée par les cheveux pour mériter dêtre considérée, mais qui devient davantage acceptable après avoir observé et évalué une caractéristique commune à tous les appareils de L. Hendershot et de Aho, et revu ce qui avait été dit auparavant sur dautres démonstrations.
M. Aho raconte dans son livre :
" Quand un appareil était mis en route par L. Hendershot, le condensateur fait main, qui semblait agir comme une antenne, captait la pression de voltage lentement au début et ensuite plus vite. Puis les principaux condensateurs faisaient de même suivis par une impulsion, commune à tous les éléments, proche de 60 cycles, qui se manifestait par un gros bourdonnement sur laimant et le circuit de la bobine. Cette impulsion surgissait en allant dun banc à lautre. Au moment de la pointe dans les condensateurs, on voyait sur loscilloscope une surintensité qui sajoutait. Le voltage sur la charge était partout de 90 à 140 volts en courant continu selon le modèle. Sur lun deux, un léger déséquilibre était compensé en exerçant une pression sur un point mou dun condensateur. L. Hendershot faisait démarrer lappareil en le pressant, puis, la main fatiguée, il se tournait vers moi. Une autre compression, ferme, faisait démarrer la sortie et je peux vous assurer que cétait une forte sensation de tenir ce condensateur en pulsation. Cétait comme si on tenait le pouls de lunivers vivant se manifestant dans une machine semblant vivante."
Diverses remarques
L. Hendershot reconnaissait vis à vis de A. Aho quil ne savait vraiment pas pourquoi lappareil fonctionnait, mais que lorsqueil a été sur le point de tout dire à un groupe de scientifiques qualifiés (le pourquoi et le comment), il est décédé subitement.
Contrairement à larticle de Ed Skilling (qui a aussi travaillé avec L. Hendershot), A. Aho indique sans plus de précisions que la caractéristique décisive de ces gros condensateurs faits main nest pas la capacité, mais le reliquat.
Dans un des circuits de type L. Hendershot, pendant quon lactive, on doit tenir un condensateur à la main de sorte que lénergie biologique de lopérateur (ou de quelquun dautre si ce dernier est fatigué, épuisé) agisse en tant que force motrice. Cest après cela que la vibration devient auto entretenue et que lappareil travaille sans aucune autre aide jusquà ce quil devienne déséquilibré.
Selon les notes de J. G. Gallimore, le secret de lappareil de L. Hendershot était que le
condensateur
(0,0078 MF)
et la bobine
étaient
en
résonance
sur la
fréquence magnétique
au lieu de la basse fréquence du
circuit
.
Ceci induisait de lénergie dans le circuit résonant bobine / condensateur.
Il est à noter que les appareils de H. Moray et L. Hendershot comprennent tous les deux :
1 - une bobine où lon obtient les captages dénergie
2 - des moyens doscillation résonante sur ce captage
3 - une terre sur lappareil !
La bobine 1 excitée excite la bobine 2 qui alimente en retour lexcitation de la bobine 1 qui
entretient loscillation.
Edward OBrian a vu un appareil de L. Hendershot chez M. Aho
Cet ancien attorney en brevets en retraite à Huntington Beach, CA dit :
''
Comme vous le savez sans doute, L. Hendershot vivait pas loin dici (en Californie du sud), vers la fin de sa vie. Il sétait lié damitié avec léditeur dun journal local qui se trouvait être un ami de ma femme. A lépoque où cet éditeur fit la connaissance de L. Hendershot, ma femme faisait marcher le Linotype au journal. Elle a probablement rencontré L. Hendershot, mais elle nen a pas souvenir
Léditeur ma dit parfois quil souhaitait que je rencontre L. Hendershot, mais cela ne sest pas fait
Après le "suicide" de linventeur, léditeur ma apporté une série de photos de lappareil de L. Hendershot, qui avait fonctionné plusieurs mois dans son garage, pendant toute la période où il en a eu la garde car linventeur était inquiet, on l'avait menacé de lui confisquer son appareil. Malheureusement les photos ne montrent pas bien les détails techniques. Et malheureusement aussi, léditeur a souhaité reprendre les photos. Il y a peut - être une petite chance que sa veuve les ait encore.
Pendant tout ce temps, la lampe qui était reliée à lappareil était allumée, mais sa lumière variait de temps en temps. Il me semble me souvenir que léditeur mavait dit que L. Hendershot venait alors faire un réglage.
Tout ceci ma amené ainsi que mon associé à enquêter un peu sur lappareil de L. Hendershot. Au cours de nos recherches, nous avons rencontré M. Aho, qui demeure dans une zone désertique du Comté de Los Angeles. Il possédait un appareil que L. Hendershot lui-même avait fait démarrer, qui s'était ensuite arrêté (j'ai oublié pour quelle raison) et que nombreuses personnes avaient essayé de faire fonctionner.
L. Hendershot aurait frappé ou frotté un fil le long dune partie de lappareil jusquà ce quun appareil de mesure se mette à répondre. Il devenait alors très excité tout en poursuivant ce mouvement jusquà ce que la mesure indique que lappareil était prêt à fonctionner. Et cest à ce moment là quil connectait le fil dont il venait de se servir.
M. Aho ma permis de faire le croquis du circuit utilisé et dune pièce clé, une bobine. Il ma dit aussi quil y avait un autre circuit , Le circuit L. Hendershot
Cependant, linventeur disait que M. Aho avait même fait un meilleur bobinage que le sien. On ma même dit, à la même époque, que lidée de son appareil provenait dune boussole à induction terrestre comme celle que Lindbergh avait utilisée dans son Spirit of Saint Louis. Mais je nai aucune certitude là-dessus.
Jajoute que je ne me suis débarrassé de rien, mais que je ne sais plus où sont les documents depuis la fermeture de mon bureau.
Par la suite, léditeur Tom Brown a demandé à M. OBrian sa documentation graphique quil a eu la gentillesse de transmettre et dont voici quelques extraits ci-dessous.
M. OBrian a également confirmé les déclarations de Ed. Skilling, à savoir quil y a en circulation plusieurs versions du circuit de L. Hendershot (voir Burridgs et Utility Engines).
M. Aho a lui-même publié un petit texte " Energy Unlimited : a Case for Space " en 1958 , imprimé par South Antelope Valley Publishing Co, Littlerock, CA. (dont nous avons extrait de nombreuses citations en particulier au sujet du fonctionnement avec lénergie vitale de nimporte quelle personne.)
HENDERSHOT MARK
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Mark, fils de Lester, vétéran du VietNam, travaille comme électricien dans lEtat de Washington, il tient beaucoup à sa vie de famille et désire seulement que la mémoire de son père soit évoquée avec honnêteté contrairement aux journaux de lépoque qui avaient traité le sujet comme un canular. Il a réuni des informations sur l'appareil de son père dans un dossier (65 dollars environ) à l'adresse suivante 16541 Redmond Way # 160 Redmond Wa 98052. |
En 1960 , lorsque Ed Skilling qui navait pas réussi à faire fonctionner lappareil de L. Hendershot rapporta lappareil à son père, avec lair de dire quil voulait juste se débarrasser de cette arnaque, Mark, alors âgé de sept ans a tripoté un bouton de réglage et lampoule destinée à mettre en évidence la sortie de courant sest allumée. C'est ainsi que Ed Skilling, sur le point de partir fut convaincu et ne laissa pas tomber le projet.