DES INVENTEURS DE SYSTEMES ANTIGRAVITATIONNELS ET MAGNETIQUES
: 1/2 de Carr à Searl
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créée le 09/10/1999 - mise à jour le 13/04/2007
Pour retrouver des sites relatifs à ce dossier, on se reportera utilement à notre Catalogue de Références dans la partie LIENS INTERNET
CARR Otis T.
Otis Carr au centre
Otis fit la connaissance du solitaire Tesla dans l'hôtel où il résidait. Tesla adorait nourrir les pigeons de New York et demanda un jour à Otis, alors étudiant en art et travaillant dans l'hôtel, d'aller lui acheter deux kilos de cacahuètes non salées. Pendant, trois ans, après chaque livraison des cacahuètes, Otis reçut un enseignement de Tesla. Il devint ainsi inventeur de générateurs à Energie Libre.
En 1947, Carr avait terminé ses recherches sur un véhicule volant (ressemblant au disque à lévitation de Searl). Il a essayé dintéresser des services gouvernementaux et des universités, en vain car ils étaient tous davantage axés sur la fission atomique. Comme beaucoup dautres inventeurs, il sest orienté vers laspect éducatif et récréatif de son uvre. Il a déposé un brevet (n° 2.912.244) dappareil jouet qui reflète très fidèlement les proportions et la conception de son véhicule volant à antigravitation. Le principe de fonctionnement énoncé par Carr était que " tout véhicule accéléré vers un axe par rapport à sa masse inertielle dattraction devient immédiatement activé par lénergie de lespace et agit comme une force indépendante."
Un schéma du brevet de Otis T. Carr
Carr se serait inspiré de la fin du brevet anglais n° 300.311 de T.T. Brown en transformant le moteur cylindrique en un moteur bicônique créant spécialement autour de lui un champ non uniforme grâce à sa forme combinée avec sa rotation. Il a placé au centre un autre bicône plus gros qui pouvait servir à donner une énergie locale et aussi à créer un autre champ non uniforme au centre. Bien que confirmées, les affirmations de Carr nexpliquent pas léchange et lextrême polarisation qui se produit entre le disque de fer à segments et les électroaimants du pourtour qui donnent une annulation du champ gravitationnel et permettent un vol antigravitationnel.
Disque volant de Otis T. Carr
Dans le disque de Carr se trouve un composant clé, le Utron, constitué de condensateurs métalliques en rotation dont la forme est inhabituelle, carrée dans un plan et ronde dans un autre plan à 90 °. Cet Utron a la même fonction - composant inductif rotatif à haute vitesse - que les plaques dacier à segments de Searl.
Cette utilisation dun composant condensateur en rotation planétaire muni dune capacité de stockage de charge mesurable et à vitesses périphériques élevées est intéressante.
Dans le disque de Searl comme dans celui de Carr, la charge accumulée provenant de lélément en rotation est déchargée dans des électroaimants sur le pourtour du disque. Sur le disque de Carr, la zone plate contient des réserves de condensateurs uniformes qui font osciller les charges reçues par les aimants des bords.
Lajout de lUtron de Carr paraît améliorer la technologie antigravitationnelle de base de Searl, les deux en obtenant ainsi une crédibilité renforcée. La fonction du condensateur améliore la sortie à sur-unité de ces appareils.
Dautres similarités ont été remarquées entre le fond du disque à 7 côtés et lantenne à 7 pôles des installations militaires US en Nouvelle-Zélande (voir Bruce Cathie). Pour mémoire, il existait un projet antigravitation américain (pas le disque AVRO). Le disque trouvé par le fermier Royal Douglas près de Horseheads , N.Y, en 1950, était probablement un appareil dessai de source dénergie, même si il a été dit quil sagissait de luvre de gamins de dix ans. Libre à chacun de croire quils auraient pu réaliser cet appareil dans les années 50 à laide de principes mathématiques publiés dansScientific Americanen 1984 !
http://www.rexresearch.com/carr/1carr.htm
http://www.keelynet.com/gravity/carr3.htm
Extrait du site
http://www.projectcamelot.net/ralph_ring.html
Voir également d'autres documents et schémas dans ce
site.
FINSRUD Reidar
N-1440 Drobakk
Fax + 47 64932990
Reidar Finsrud de Skaarer en Norvège na pas de formation en physique ou mécanique, il est artiste peintre et sculpteur. Durant une douzaine dannées, il a passé beaucoup de temps à cette sculpture mobile en samusant avec des aimants. La chaîne 2 de télévision norvégienne a réalisé une vidéo sur sa machine, exposée sous protection vitrée dans la galerie de Finsrud. De nombreux visiteurs ont pu voir fonctionner la machine, dont Albert Hauser, (Aalevej 41 DK-7160 Torring, Denmark) en 1994 et Frode Olsen. Elle fonctionnait pendant quatorze jours daffilée puis sarrêtait (mais M. Hauser ne sest jamais trouvé de la voir arrêtée).
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La machine est constituée d'une boule dacier de 6,85 cm pesant 860g qui roule sur une piste horizontale daluminium de 63 cm de diamètre. Trois balanciers denviron 114 cm de long munis de poids réglables à leurs extrémités inférieures contrôlent trois aimants en fer à cheval devant lesquels passe la boule dacier. Un système mécanique constitué dun fil dacier replié en triangle de 12, 7 cm de long contrôle le rythme. La boule roule dessus et pousse le fil vers le bas à travers une entaille pratiquée dans la piste, laimant qui agit en attraction monte. Linertie déplace la boule dans le champ dattraction de laimant voisin.
Cela règle le mouvement des balanciers. Trois de ces modules permettent à la boule de se déplacer sans arrêt autour de la piste en aluminium. Chacun des trois aimants en fer à cheval est monté sur un levier sur chaque balancier. Trois aimants plus petits reliés aussi aux balanciers sont placés un petit peu plus bas que les aimants en fer à cheval. Ils bougent à peine ou ne bougent pas du tout quand la boule passe. Letimingest calculé de telle sorte que les aimants en fer à cheval se soulèvent vers la boule juste avant quelle ne les atteigne puis la poussent dans sa révolution de 4,2 secondes autour de la piste. Lappareil produit 0,013 watts, et a la note de 6 sur 10 par I.N.E.
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Sur le site de Stefan
http://www.overunity.de/
il est possible de voir d'autres belles photos de la machine et aussi un film.
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David Hamel est âgé de 72 ans (en 96). Il na pas fait détudes universitaires et a été charpentier et constructeur de moulins pendant une grande partie de sa vie. Il est auteur de " L'homme de granite et le papillon ". |
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Le 12/10/1975, David Hamel, sa femme et un ami se reposent chez eux à Maple Ridge, une zone faiblement boisée, peu peuplée de la Lower Fraser Valley de Colombie Britannique, tout près de Vancouver. Cette région est connue pour ses fréquentes observations dOvnis. D'ailleurs, David Hamel, alors quil était à lArmée, avait déjà vécu une première rencontre avec un Ovni.
Voici ce que raconte David. De lécran de télévision devenu neigeux, il a vu émerger deux êtres, homme et femme, vêtus dune combinaison dune seule pièce qui sapprochèrent de lui, touchèrent son bras, et lui transmirent par télépathie leur souhait de lemmener dans leur vaisseau stationné au-dessus de chez lui. (Pour Graham Conway qui a pu rencontrer David Hamel grâce à l'obligeance de M. et Mme George S. Merchant, cette rencontre avec les extraterrestres semble être une sortie hors du corps
)
David accomplit alors un voyage (estimé à quinze minutes) dans un vaisseau dont les hôtes se sont présentés comme venant dune planète, Kladen, située à 4,8 milliards de km de la terre. On lui fit passer un examen médical avec un appareil et son problème de dos ne passa pas inaperçu. Il fut répondu à toutes ses questions, techniques ou philosophiques avec des informations qui dépassaient de beaucoup son niveau de connaissances, ce qui lui donna plus tard une frustration de ne pouvoir décrire toutes ces idées.
Le vaisseau possédait un laboratoire avec un appareil purificateur d'eau, mais n'avait pas de couchettes, inutiles - on flottait pour dormir - en raison des aimants activés autour du vaisseau. La machine dont on voulait lui expliquer la construction était mue par un mouvement perpétuel.
On a dit à Hamel que la technologie de lEnergie Libre avait déjà été donnée à nos ancêtres plusieurs fois au cours de lhistoire, et quon pouvait en trouver des preuves dans des artefacts et des légendes. On lui a dit aussi que les humains, en se servant dune technique énergétique produisant de la chaleur et en gaspillant lénergie n'avaient pas choisi la voie naturelle qui était de produire un refroidissement en se servant de forces dimplosion plutôt que d'explosion.
" Dans un peu plus de vingt ans, tout sera détruit sur terre ; cest le magnétisme qui va changer. Cela se produira quand lalignement des planètes et du second soleil se fera pendant trois jours et trois nuits et occultera notre soleil, entre 2000 et 2005 " a-t-il été dit à Hamel.
Laventure se poursuivit avec le séjour des êtres chez David. Invisibles aux yeux de sa femme Nora, même si elle entendait leurs bruits de pas, voyait les portes souvrir et les couvertures bouger sur les lits. Ils promirent quun jour viendrait où Nora pourrait les voir.
Plus tard, ses visiteurs constatant que les travaux avançaient annoncèrent leur départ tout en promettant de revenir. A la date prévue, une voiture orange arriva et trois personnes de type oriental à peau foncée que David identifia comme ses précédents visiteurs, en sortirent. Ils restèrent trois heures pendant lesquelles David, les vit tenir la main de sa femme et converser avec elle, alors que, atteinte dune paralysie cérébrale toute communication lui était difficile. David ne se considère pas comme un médium, pourtant, depuis cette visite, il lui arrive certaines choses comme lécriture automatique, le voyage astral, et de ne pas apparaître sur des photos
Les plans, qui auraient fait lever les bras au ciel à tout ingénieur ou dessinateur ressemblaient davantage à une conception dartiste quà une machine aboutie. Dans son atelier, David a de très nombreux dessins (quelque peu différents des modèles de la physique dEinstein) et dont lun, en particulier représente la relation entre lespace, le temps et la kriptonique (une substance physique / non physique composant tous les atomes) qui peut être mise au service de la production dEnergie Libre.
Le temps passa et David Hamel qui manquait de moyens, de place et de savoir faire technique, chercha de laide comme en témoigne un volumineux courrier venant dinstitutions prestigieuses dont des instances officielles (Premier ministre de lépoque, Conseil de Recherche National, Conseil Scientifique du Canada
) Les réponses montraient du scepticisme mais ne décourageaient pas Hamel. C'était par exemple : " pas dargent à dépenser
tous nos encouragements
contactez-nous ''. On lui a même écrit '' nous doutons que votre appareil soit un avantage pour nos propres opérations
" Pour la plupart, ils demandaient à être tenus au courant dès quun modèle fonctionnerait ce qui n'empêcha pas que sa demande de subvention auprès dun parlementaire local soit rejetée. Les moyens financiers manquent toujours, même si lenthousiasme et lénergie sont présents. Comptant sur sa pension dinvalidité pour couvrir les coûts de construction de la machine, David sengagea dans un emprunt de $2500 lui permettant de démarrer. (De nos jours, son investissement dépasse les $7000).
L'histoire de Hamel a reçu des échos dans les médias :
31/03/76 dansThe Gazette Maple Ridge, Glen Kask écrit : "
l'appareil à énergie libre de Hamel pourra nous chauffer, alimenter l'industrie et faire voler nos avions
".
Le 11/10/77, dansThe Express Newspaper of Maple Ridge, Ron Thody écrit : "
chacun peut obtenir le secret, construire la machine et produire sa propre énergie, ce que n'apprécieront ni les trusts pétroliers, ni les multinationales
"
Dans une émission télévisée de CBC de 1991 et de radio en 1994, Pierre Sinclaire, chercheur du Project Magnet (travaillant sur la reproductibilité technique des expériences, voir GMD) dit : "
David Hamel a prouvé grâce à ses trois prototypes la théorie de l'énergie électrogravitationnelle. Par suite, la relation entre l'électricité et le magnétisme est précisément la réponse à la crise énergétique actuelle
"
Principe de base de l'appareil de Hamel
Cest comme une tornade se déplaçant avec violence vers le haut dans le vaisseau pour produire une friction phénoménale. Le cône à lintérieur du cône oscille à grande vitesse et est constamment maintenu en déséquilibre. Quand les cônes oscillent et que lair se précipite entre eux, des éclairs comme des flashes apparaissent. Dans son voyage à bord du vaisseau Hamel a vu sur les bords de nombreuses ouvertures qui permettaient à lair dentrer et de sortir alors quil se précipitait entre les cônes. Outre le contrôle du volume dair, ces ouvertures jouaient un rôle dans la direction du flux. Lair se déplaçant à grande vitesse dans les espaces entre les cônes en oscillation devenait ionisé ce qui produisait un courant de particules chargées.
Non seulement les cônes produisaient de lénergie mais ils fournissaient aussi la propulsion au moyen dune petite balle légère roulant sur une trajectoire circulaire dans un espace restreint. Le mouvement circulaire de cette balle (voir lexpérience réalisée par Jean-Louis Naudin) parait être un mouvement de chute, à la recherche de léquilibre.
La zone supérieure des cônes était suspendue sur des parties magnétiques maintenues en déséquilibre pour soutenir la disruption de léquilibre et produire leffet doscillation.
Nota : Le concept de cette machine avait été décrit dansFlying Saucers Reviewpar Andrew Collins.
Imaginez un disque horizontal, suspendu sur un point, tombant sans cesse ou sinclinant sur le côté pendant quune boule de métal roule sur son bord. Ceci produit leffet de palpitation que Hamel dit ressembler à un papillon au-dessus dun champ magnétique. Les aimants ne susent pas car ils sont en suspension sur un champ magnétique.
Les mouvements des cônes produisent un champ électrogravitationnel qui fait perdre au vaisseau sa relation avec la gravité, neutralisant ainsi son poids. Le mouvement du vaisseau peut ainsi être contrôlé en enlevant la boule de sa trajectoire de rotation.
Cet appareil utilise deux principes : le poids en vitesse et le principe magnétique comme celui du Spinner de Hamel - l'aimant déstabilisant du dessus. Le premier cône qui oscille équivaut au plus petit disque magnétique et à la bille qui roule.
Le principe magnétique : le Spinner tend à se mouvoir sur une trajectoire circulaire sous le plus gros aimant déstabilisant. Cest du en partie au fait que les cônes oscillent. Ils recherchent leur équilibre, mais ils ne peuvent le trouver que dune façon dynamique. Le champ développé à lintérieur et autour de lappareil est comme un puits gravitationnel, cest aussi en partie la raison de loscillation des cônes. Jean-Louis Naudin dit : "le poids en vitesse, cest ce qui exerce une traction sur les cônes ou sur la boule de granite. La boule tombe perpétuellement dans un trou noir dénergie potentielle, mais sans jamais le trouver ! Cest un mouvement perpétuel. Bien construit, cela peut marcher des milliers dannées !"
Pour sa première expérience, David essaya de reproduire le système du cône dans le cône avec une jante de vélo et des aimants fixés avec du ruban adhésif, les cônes étant placés dans un bidon en fer de 120 litres. Sous laction des champs magnétiques les cônes oscillaient de plus en plus vite, pour se stabiliser ensuite à une certaine vitesse. Lexpérience se termina pendant la nuit. David voyant une lueur rouge dans le salon, pensa quil y avait le feu, puis se rendit à latelier pour constater que le bidon était porté au rouge, avant que tout nexplose. En fait il sagissait plus dimplosion que dexplosion.
David dut aller en Californie pour se procurer les aimants adéquats, et il dut aussi acheter des livres. Mais, faute de moyens, la machine de Hamel n'a guère de résistance car ses matériaux ne sont pas adéquats. (Paul Fulcher, spécialiste en photos Kirlian et Rudy Langen ont tourné une vidéo pour aider Hamel à faire connaître son appareil et lui offrir ainsi une certaine capacité de financement)
Une autre expérience de David Hamel consistait en un appareil de 2,20 mètres de diamètre et 1 mètre de haut placé sur une plate-forme où lon accédait par une échelle de 5 mètres. Une fois vissé le couvercle de poubelle qui comprimait laimant du dessus qui faisait osciller le cône, des lueurs sont apparues. Lappareil est passé du rouge au vert alors quil sélevait de la plate-forme. Il devint ensuite bleu, puis blanc brillant lorsquil décolla et fila dans lespace. Pendant les expériences le poste de télévision tombait en panne et tout le voisinage n'avait plus de courant ce qu'il n'appréciait guère, pas plus que les secousses telluriques qui se produisaient aussi. Il y eut également d'autres effets inhabituels, des films voilés ou des photos à double exposition (ce que Dan la Rochelle a appris à Jean-Louis Naudin). Lappareil peut aussi produire divers effets d'ondes scalaires.
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Une expérience de base, très simple a été décrite par Jean-Louis Naudin. Il faut des aimants peu coûteux (25FF). Deux sont annulaires et ont 70 mm de diamètre extérieur et 33 mm intérieur et une épaisseur de 8 mm. L'un d'eux est collé sur une boule dacier de 67 mm de diamètre pesant 490 gr. Tous les mêmes pôles daimants sont tournés vers lintérieur. Placés sur un plan de travail et sur un alignement convenable, en approchant le plus gros des aimants à deux centimètres environ au-dessus du plus petit posé sur la boule, la boule et laimant en forme de disque se mettent à tourner.(Voir le film sur le site Internet de J. L Naudin) |
Il a refait lexpérience avec 13 aimants ferrite de 40x25x10 mm collés sur le pourtour extérieur dun tube de PVC de 100 mm de diamètre, cest la " porte magnétique " de Bedini, qui a par ailleurs confirmé l'effet du Spinner magnétique.
Les principes de John Searl et de Hamel se ressemblent, toutefois Searl utilise des anneaux magnétiques en rotation alors que Hamel se sert, lui, de la compression dénergie magnétique dans une ambiance contenue afin de produire un effet ionisant concourant à une accumulation dénergie et au vol.
Hamel, comme Searl ont trouvé quun disque magnétique en rotation rapide continuerait daccélérer de lui-même. Ils étaient confrontés au même problème, à savoir, empêcher à leur disques de filer dans lespace, problème ensuite résolu par Searl.
Il circule aussi sur Internet des informations sur les expériences d'un certain Hummel (Hamel ?) : les chercheurs y trouveront peut-être matière à réflexion.
Cest chez lui que Hummel, un Canadien, aurait fabriqué un de ses premiers modèles daprès Searl avec des aimants du commerce, (mais moins chers que les siens au néodyme). Un schéma du modèle d'appareil de Hummel obtenu par Jerry Decker a été montré à Searl qui a haussé les sourcils sans dire mot. John Thomas, proche de Searl, est au courant mais ne dispose daucune description supplémentaire.
Le projet Hummel est gardé secret, les démonstrations (destinées à attirer des soutiens financiers) se font sur invitation. Selon les ufologues, il est question dun centre expérimental au Canada en relation avec un centre en France. Les recherches porteraient sur la technologie Kugelblitz.
PODKLETNOV EVGUENI E.
Moscow Chem. Scientific Ctr
Agé de 45 ans, ce scientifique russe émigré en Finlande a fait cinquante publications en science des matériaux dans laquelle il a un doctorat. Son père enseignait d'ailleurs cette matière à Saint-Pétersbourg. Il est l'auteur de 10 brevets et est un brillant expérimentateur.
Il a obtenu une maîtrise à l'Université de Technologie Chimique (Institut Mendeleïev de Moscou) puis a passé 15 ans à l'Institut des Hautes températures de l'Académie des Sciences d'URSS. En 1988, il va à l'Université de Tampere en Finlande pour passer un doctorat sur la fabrication des supraconducteurs.
Sa philosophie de la vie est simple et il ne pense pas devenir riche ni célèbre, mais il souhaite voir un jour la création d'un Institut de recherche sur la gravité où tous les chercheurs pourraient unir leurs efforts.
Après un premier article en 1992, Podkletnov en écrivit un autre rejeté par une dizaine de revues avant d'être accepté par leJournal of Physics-Dpuis repris par leSunday Telegraphle 01/09/96 sous le titre '' Des scientifiques en Finlande sont sur le point de révéler des détails sur le premier dispositif à antigravité du monde '' alors que Podkletnov avait parlé seulement de maîtriser la gravité.
Les ennuis commencèrent, l'Université dit qu'il avait travaillé seul, le remercia, lui ferma ses portes et sa carrière fut brisée. En 1995, il fut contraint de laisser sa famille en Finlande et retourner à Moscou où il travaille pour une entreprise comme spécialiste des matériaux. Il dit avoir travaillé pour un centre de recherches chimiques où il a fabriqué un dispositif " reflétant " la gravité en utilisant un générateur Van de Graaf. Pour lui, d'ici dix ans l'annulation de gravité sera chose faite, si ce n'est par la NASA ce sera par les Russes.
Des réactions de sceptiques
Pour les sceptiques, ce genre de résultats tiennent de la science-fiction (l'expérience a même été citée dans les X-Files).
La réaction de Riley Newman, professeur de physique à l'Université de Californie est typique :
'' C'est inconcevable : Podkletnov a du mesurer des courants d'air ou des champs magnétiques mais pas une réduction de poids."
Pour John Cramer, il aurait fallu une importante source d'énergie pour faire un bouclier antimagnétique. Mais Podkletnov affirme qu'il n'en est rien.
Henry F. Dart dans NEN de fin 1996 a exprimé des doutes au sujet de lexpérience.
Certains sceptiques estiment que cet effet antigravitationnel est l'effet secondaire de la théorie générale de la relativité d'Einstein, effet depuis longtemps recherché, qui prévoit que des objets en rotation peuvent disloquer la gravitation. On croyait jusqu'à présent cet effet tellement minime qu'il ne pouvait pas être mesuré en laboratoire. Le Dr Ving Li, scientifique à l'Université de l'Alabama, et dont les recherches sont financées par le centre de vols spatiaux de la NASA à Huntsville, pense que les atomes peuvent considérablement renforcer cet effet dans les supraconducteurs.
Reproduction des expériences de E. Podkletnov
De nombreux laboratoires et chercheurs tentent de reproduire son étrange expérience dont l'enjeu est la lévitation.
Le physicien Italien Giovanni Modanese a été interpellé par les travaux de Podkletnov. Il a lui-même développé une théorie de l'annulation de la gravité à l'Institut Max Planck de Munich. Ses travaux ont été reproduits à Sheffield et à Toronto probablement dans deux universités que Podkletnov ne peut nommer de peur de les voir ridiculiser. La NASA ne cache pas ses travaux à ce sujet mais dit ne pas avoir de résultat formel.
Le 21/09/96, John Schnurer, a obtenu une réduction de poids de 5,4 % en appliquant des champs magnétiques (non spécifiés) sur un hexagone de 2,54 cm . Il apparaîtrait que Schnurer appliquerait un champ magnétique en rotation sous le supraconducteur grâce à 3 petites bobines.
Un chercheur de lOhio dit avoir réussi à refaire lexpérience de Podkletnov. Il affirme :
" les gens ont peur du terme antigravité... Vous avez une approche convaincante et originale du mécanisme de la gravité et jai trouvé quelques confirmations dans mes expériences. "
Malgré tout, la controverse continue ; elle porte sur le fait que ce sont des champs magnétiques ou des flux dair qui interviendraient pour expliquer les pertes de poids.
L'expérience de E. Podkletnov à Tampere
La découverte s'est faite de façon accidentelle alors que le groupe des six scientifiques expérimentés que E. Podkletnov dirigeait travaillait sur la supraconductivité (possibilité qu'ont certains matériaux de perdre leur résistance électrique à très basse température). Des tests avaient été pratiqués sur des disques de céramique supraconductrice, Yba2Cu307-x, tournants à 5000 tours par minute, reliés au champ magnétique de trois bobines électriques, le tout dans un récipient d'azote liquide à basse température, le cyrostat.
Un fumeur de pipe entré dans la pièce souffla sa fumée au-dessus du cyrostat, et la fumée montait toujours au plafond. C'était surprenant autant qu'inexplicable. Des tests ultérieurs montrèrent que les objets placés au-dessus de l'appareil accusaient une légère perte de poids, comme si l'appareil les protégeaient des effets de la pesanteur, ce qui semblait impossible à la plupart des savants. Après avoir pensé à une erreur, malgré toutes les précautions prises pour l'éviter, l'étrange effet persista augmenté même par la rotation du disque. L'équipe découvrit que la pression de l'air à la verticale au-dessus de l'appareil, diminuait lentement, (4 mm de réduction de pression dûment mesurée), l'effet se faisait sentir dans tous les étages au-dessus du laboratoire. L'équipe mesura le poids de toutes les manières possibles, utilisa une isolation métallique, des cibles non magnétiques et placées dans le vide et en arriva à conclure qu'il se produisait une réduction de poids de l'ordre de 2 voire 4 % lorsque deux appareils étaient superposés.
Cette découverte révolutionnaire ouvre la voie à de nouvelles méthodes de propulsion et de locomotion. La NASA est déjà intervenue auprès des Finlandais en manifestant l'intention de financer d'autres recherches qui devraient préciser comment l'effet antigravitationnel peut être utilisé par des appareils volants. Les savants de l'Université Technologique de Tampere en Finlande ont expliqué que cet effet pourrait conduire à une nouvelle source d'énergie, au moyen de laquelle des fluides pourraient être véhiculés par des turbines génératrices d'électricité. En faisant remonter tout d'abord le fluide contre la pesanteur et le laissant ensuite retomber avec elle, il est possible d'engendrer de l'énergie. D'autres utilisations ouvrent des possibilités inouïes, des ascenseurs pourraient s'élever de manière planante au-dessus de structures implantées dans le sol, l'utilisateur, d'une légère pression, monterait à l'étage souhaité. Les voyages spatiaux pourraient devenir affaire de routine.
Quelques remarques : Podkletnov utilise du baryum ! Il y en avait aussi dans les aimants en ferrite -baryum du VTA de Floyd Sweet (voir notre prochain dossier). Dautres personnes disent aussi se servir de baryum (dont la présence dans les aimants vient d'être récemment interdite aux USA) pour réussir leurs expériences ésotériques.
Dans les anciens textes sanskrits on trouve la manière de produire des effets antigravitationnels en se servant de mercure en rotation dans des cuves en fer, ce qui peut être rapproché des courants électriques tournants des travaux de Podkletnov.
Voir l'article de Charles Platt paru dans Courrier International n° 407 en août 1998.
SEARL John ROY Robert
http://www.youtube.com/watch?v=8_Ohwf1-Xqk&NR=1
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John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A lâge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sur et placé dans une famille daccueil. Depuis lâge de quatre ans et demi, jusquà dix ans il sest mis à faire deux rêves par an dont lun était la suite de lautre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter. |
Searl est lun des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de lénergie gratuite et sans limites ainsi quune force dantigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.
A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement dun gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.
Le SEG restait collé au plafond jusquà ce quil sorte et disparaisse ; cest ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines cétait de drôles de pétards à tirs uniques et terriblement coûteux ! selon Searl.
Un témoignage anonyme
Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur dappareils électroniques. Cest en autodidacte quil étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à séloigner de laxe de rotation tandis que la polarité positive tendait à sen rapprocher.
En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant dune dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que lon mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A laide dun appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité quelle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsquil se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que lélectricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.
Il acheva dès 1952, sa première magnéto, dun diamètre de un mètre. Le rotor était constitué dun disque segmenté qui, en tournant, transmettait lénergie à un stator périphérique formé délectroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec laide dun ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen dun petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de lélectricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de lordre de 100.000 volts estimée daprès lélectrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur dozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, lénergie à la sortie excédait celle dentrée. A partir de ce moment, la production dénergie semblait virtuellement sans limites. ''
Cest alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis lappareil commença à sélever de terre, rompit le cordon dalimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans lair en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusquà une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , lair était devenu rose fluorescent tant lionisation quil produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de linduction électromagnétique
Finalement, le rotor de la génératrice semballa à une vitesse fantastique et lappareil tomba dans lespace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.
Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil dénergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent saffranchir de la force dinertie ; mais en se libérant de lattraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisquelles ont tendance, en sélevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).
Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans lespace qui lentoure. Leffort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme dun champ magnétique dont lénergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à lespace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à lévidence quil ny a quune infime proportion de tissu spatial traversant lappareil qui est convertie en énergie.
Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci sarrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force dantigravité et daprès le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de tomber sur dextraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.
Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.
Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont lun deux avait une espérance de vie de quelques mois en raison dune maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges dions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par lhuile bouillante dun récipient quil transportait dehors et quune malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il navait absolument plus aucune cicatrice.
John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille
Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit dabord sa technologie à lAngleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :
" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de lénergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer lavion."
Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.
Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de lAir Force dEdwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .
Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre dessais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à lappareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à lappareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, lampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à lintérieur de lappareil nétait pas la même que dans un aéronef classique.
En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication nest pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et quil sera alors possible de parler aux investisseurs devant lappareil en fonctionnement.
Les médias et le Pr Searl
Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).
24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram
28/10/1988BBC.1 Daytime
May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable
16/07/1994Radio WCVE
08/09/1994Radio WCVE
29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.
La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :
Daily Mirrorrdu 13/03/1968
Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969
Sunday Mirrordu 28/11/1971
Parade Magazinedu 19/05/1973
Daily Expressdu 25/04/1978
The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia
Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia
Hendon Timesdu 02/11/1995
Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990
MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996
Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 2 05/10/1990
UFO NORGE1991
Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994
SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989
A chaque conférence, Searl a lappareil avec lui ce qui lui permet den faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.
La destruction du travail de Searl
En 1982, alors quil était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe dofficiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol délectricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer lamende, et ce refus lamena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.
Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant quil était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.
Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.
Des manuvres indélicates
D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé
Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).
Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).
Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.
Le Pr Searl disposant de milliers darticles de journaux et démissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce quil navait toujours pas fait en décembre 1996).
Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.
Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu
Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre dor et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans lincendie.
Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes dessais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à linvestissement damis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste dobtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose quune licence de Piper Club) lorsquil a été arrêté.
Pendant quon le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis dutiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu lappareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.
Cette déception était dautant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-goutte. Laffaire navait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas à ladresse de D.I.S.C. (ci-après).
Description d'un S.E.G.
Un SEG est composé dune série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. Lappareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et daluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi quune double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).
Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants au douze cycles ou phases minimum dun moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.
Lappareil est stationnaire : les électrons sont émis de lélément central et ils circulent dans les autres éléments. Lélément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et la utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, sarrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier délectrons dans le SEG.
Les balais capteurs délectrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à antigravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent lénergie à utiliser et la transfèrent à lendroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens quau lieu dalimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.
Les Champs magnétiques imprimés
Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. Dhabitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen dun composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.
Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir lunité en allant vers une orientation nord-sud.
Limpression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant dabord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à loscilloscope la forme de londe imprimée.
Si lon place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels
un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à lextérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.
Le SEG est remarquable car aucune de ses parties nest en contact avec les autres, il ny a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à lheure et deux fois et demi plus vite en allant vers lextérieur.
Leffet Searl est mesurable
Au séminaire de lUniversité du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de loscilloscope au centre du segment, lautre sonde touchant lanneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur loscilloscope. Ce pic a montré quil existe vraiment une charge lorsquune combinaison déléments est pressée et mise en forme dune façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.
Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, cest à dire, une libération délectrons qui est une preuve de charge.
Il est donc possible dextraire de lélectricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux délectrons en captant le potentiel de cette fabrique despace environnant. Il y a donc là une source délectrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.
Importance du choix de lélément
En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui nest pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer leffet.
Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).
La Loi des Carrés
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La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas la étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale quun carré de groupe 1 tourne.
Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce nest donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation dun carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il sest rendu compte quil se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé quil y avait un modèle de commutation impliqué que lon pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.
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Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique
La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.
Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne sarrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais cétait le meilleur coup de chance quil pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.
Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo sétait abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. Lharmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à lunification et stoppaient.
Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège dun champ libéré de linertie. Cest le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait quune masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord dun accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.
Le rêve retrouvé de Searl
On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant dautres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de lesprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?
Mais Searl nest pas homme à sarrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".
En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur lénergie
En 1990, à lécole de médecine de Munich, à lInstitut de lEnvironnement au Danemark suivi dune tournée de trois semaines de conférences
En 1994, au congrès INE de Denver Colorado
En 1996, à lUniversité du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à lécole supérieure du comté de Mill Hill
Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre
Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.
Direct International Science Consortium : D.I.S.C.
Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres
13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG
Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932
D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction dun SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour lindustrie à tous voltages et ampérages) et à la construction dun vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).
Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible dappeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site
http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html
Il existe dautres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie
Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes davions, informaticiens et dautres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres
Adresse aux USA : John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316
Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 e-mail :
discjt@servtech.com
Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux.
http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm
18/062012 : http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-limit2-52993712.html