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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 25 septembre 2008 - complétée le 17/08/2009

Le moteur de N.Keppe fait * faire un pas de géant vers la résolution de la crise énergétique et celle de la pollution.

La conférence de presse et la rencontre avec les inventeurs et la démonstration d’un moteur de Keppe ont eu lieu le  22/09/2008 à L.A. Press Club, 4773 Hollywood Blvd., Hollywood (CA)

  Des scientifiques brésiliens ont annoncé le développement d’un nouveau moteur. Une percée qui pourrait bientôt être à l’origine d’équipement allant des voitures jusqu’à l’industrie.

 La technologie des moteurs actuels utilise une énergie électrique qui est seulement uni-directionnelle et qui est ainsi cause de perte de résistance dans les fils comme on l’observe dans la chauffe des moteurs qui ont de ce fait besoin de plus d’énergie. Dans le moteur de Keppe, le mouvement est causé principalement par le composant secondaire de l’énergie électrique qui provient directement du champ énergétique scalaire de l’espace. L’énergie utilisée d’une petite batterie est seulement là pour lancer le processus.

 « Nous n’avons que peu de consommation d’énergie électrique, le moteur ne chauffe pas du tout, et comme l’énergie qu’il utilise est en accord avec la nature, elle lui apporte un bénéfice. Grâce aux résultats obtenus avec nos expériences, nous pouvons prouver que si des spécialistes de l’ingénierie le perfectionnent il pourra produire plus d’énergie qu’il en consommera, pourra s’auto alimenter, et deviendra un moyen d’obtenir de l’énergie autrement que par les moyens habituels. »

 Le moteur porte le nom du scientifique Brésilien, le Dr Norberto Keppe, auteur de plus de 30 livres traitant de la santé, la métaphysique, la psychologie. Son ouvrage « The New Physics » propose une nouvelle et ambitieuse direction dans notre philosophie technologique planétaire. Ce moteur est la première invention tangible émergeant des idées indiquées dans le livre.

Le Dr Keppe a travaillé, en guidant étape par étape la construction du moteur, avec deux scientifiques Cesar Soos et Roberto Frascari, qui font partie de l’association "STOP la destruction du monde"  un groupe international de travail pour la préservation de la vie et la nature.  Ils ont ainsi pu créer un moteur électrique qui suit les principes de Keppe et pour lequel il faut beaucoup moins d’énergie – précisément moins de 75% d’électricité par rapport à un moteur classique.

Tout comme les panneaux solaires captent l’énergie du soleil, le moteur Keppe capture l’énergie de ce que l’on nomme « énergie de l’espace » (qui n’est pas vide du tout.) Le moteur Keppe capture l’énergie scalaire mentionnée dans le livre de Norberto Keppe « The new physics of dis-inverted metaphysics. Il utilise l’énergie résonante bi-directionnelle qui forme l’univers.

Une petite batterie placée à côté du moteur sert à son démarrage; il n'a pas besoin d’essence, de gaz ou d’électricité pour fonctionner, sans aucune émission de carbone.

« Les gens pensent que l’électricité vient des batteries, des prises électriques »  dit Soos, «  ce que nous montrons c’est que le processus traditionnel d’électricité signifie réellement une perte d’énergie. C’est pour cela que les voitures électriques sont si difficiles à développer. Notre procédé travaille avec ce que nous pouvons appeler une énergie non-entropique. Ce qui fait qu’il est bien plus efficace. »

De nombreux industriels sont en contact pour une première application de ce moteur aux appareils ménagers

 Source :  http://current.com/items/89305260_keppe_motor_new_motor_ushers_in_technological_revolution_part_i

* le titre n'est pas de nous mais de  http://www.breitbart.com/article.php?id=prnw.20080916.DC33335&show_article=1

Mais on espère que cette nouvelle annonce sera suivie d'effets concrets ;-)

17/08/2009 : Complément d'information

http://www.keppemotor.com/splash.php

 http://www.keppemotor.com/partslist.php la liste des pièces nécessaires (en anglais)

et un document pdf Conférence de presse de l'association CERNTEA

 (merci Etienne F.)

 ICCF14 : Quelques extraits d'un compte-rendu résumé de ce congrès ICCF14 5,15 Mo

Le  Pr Arata avait déjà présenté les résultats-clés de ses expériences à l'Université d'Osaka au Japon, lors d'une conférence de presse le 22 mai 2008.

Extrait de notre nouvelle du 19/07/2008

Des chercheurs japonais et chinois démontrent officiellement une réaction de fusion froide stabilisée et reproductible.

Sur un arrière-plan de mauvaise publicité faite à la fusion froide depuis 1989, des chercheurs japonais ont démontré le 22 mai, la production de chaleur en excès et d’hélium 4, résultant d’une expérimentation historique  sur une réaction nucléaire à basse énergie. Le grand cerveau derrière cette démonstration est Yoshiaki Arata, un physicien japonais extrêmement réputé au Japon et qui a reçu la distinction japonaise la plus élevée, l’Ordre du Mérite Culturel; il est la première personne à avoir réalisé une expérience de fusion thermonucléaire démontrant une forte proportion de réactions d-d au Japon.

Une conférence du Pr Arata a précédé la  démonstration devant un auditoire très intéressé dans le hall Arata (nommé ainsi en son honneur) au Joining and Welding Research Institute de l’université d’Osaka. La démonstration a eu lieu dans le centre des innovations et de la science avancée de l’université d’Osaka avec l’aide de l’associé du Pr  Arata, le professeur Yue Chang Zhang de l’université Shianghai Jiotong en Chine. Le professeur Akito Takahashi de l’université d’Osaka fut le témoin de la démonstration. “Arata et Zhang ont démontré avec une grande réussite  la production d’une énergie (chaleur) en excès continue à partir d’échantillons de poudres de ZrO2-nano-Pd chargées de deutérium (un gaz) D2 avec génération simultanée d’hélium 34 “ a écrit le Pr Takahashi. “ La démonstration en temps réel ressemblait tout à fait aux données que les auteurs avaient rapportées dans leurs articles publiés (J. High Temp. Soc.  Jpn, Feb. and March issues, 2008). Cette démonstration a montré que la  méthode employée est complètement reproductible.”

181 scientifiques participaient à ICCF14

Entre les 10 et 15 août 2008, s'est tenue ICCF 14 (notre nouvelle du 31/07/2008). Cette conférence a été un événement historique. Pour la première fois, une preuve expérimentale a été présentée, montrant de manière décisive que l'on pouvait reproduire à la demande l'excès de chaleur dans des expériences où l'énergie de sortie est 25 fois supérieure à l'énergie d'entrée.

Dans une série d'expériences de Arata et Zhang, il a été rapporté que la chaleur s'est produite en utilisant un appareil dans lequel il n'y avait aucune sorte d'énergie entrante. Les mesures de l'excès de chaleur étaient pratiquées en contrôlant les changements de température et de pression des gaz avec des poudres de palladium à l'échelle nanométrique. Ces périodes ont duré longtemps et comme les types de mesures sont simples, il est virtuellement impossible de comprendre comment s'est produit l'effet qui en résultait, sauf à conclure à des réactions nucléaires à température ambiante.

181 chercheurs participaient à ICCF14. Leur répartition permet de voir comment les peuples et les institutions de différents pays ont décidé d'investir (ou de ne pas investir) dans des formes potentielles de technologie qui pourraient  se dégager des travaux faits par l'ensemble des chercheurs . Voici la répartition de cette année :

US : 119, Japon : 17, Italie : 12, Russie : 8, Israël : 7, Allemagne : 5, France : 3, Canada : 2, R U : 2, Les pays suivants Chine, Finlande, Inde, Malaisie, Taïwan et Ukraine avaient chacun un représentant.

Parmi les 3 scientifiques français, le Pr Bibérian qui débutait la session "Gas and Fast Loading" a donné une vue d'ensemble d'expériences de chargement de gaz qui mettaient en lumière les caractéristiques générales des travaux. Il n'a pas insisté sur l'importance des cristaux à échelle nanométrique dans les effets qui y sont associés. Il a parlé du travail qu'il a effectué avec Nicholas Armanet  en se servant de ce type de matériaux. Lors de ICCF13 et de l'Atelier International sur le chargement Deutérium/Hydrogène dans les métaux (qui s'est tenu en octobre dernier à Catane (Italie) ils avaient déjà fourni un résumé de leurs travaux. L'intervention du Pr Bibérian a été passionnante.

Une équipe de CBS a filmé le congrès pendant les 2 premiers jours  pour l'émission "60 minutes" .

L'utilisation des termes "cold fusion" est plutôt réservée aux sous-titres. On utilise de préférence maintenant les termes de " Science nucléaire de la matière condensée" ou FPE (Effet Pons-Fleischmann)

ICCF15 est déjà programmée, elle se tiendra à Rome en Septembre 2009, sous l'égide de l'ENEA, et du Président Vittorio Violante

  http://www.iccf-14.org/

Générateur mobile d'énergie SolarStick, avec du soleil et du vent

Petit générateur d'énergie mixte, léger (40 kg), montable par une seule personne,  fonctionnant avec le vent et le solaire, mobile pouvant convenir à la navigation mais aussi à l'aide humanitaire. Ses 2 panneaux solaires de 50 watts peuvent produire environ 80 ampères-heures par jour. Coût 5000 dollars.

http://www.inhabitat.com/2008/09/16/solar-stick-portable-power-generator/

Des éoliennes verticales

A coté des grosses turbines se développent nombre de petites éoliennes à axe vertical, en général plus silencieuses que les autres. et faciles à placer dans des espaces plus restreints, surtout urbains.

Différents modèles Windspire, HelixWind et Loopwing, plutôt originale, venant du Japon, très silencieuse, munie de systèmes de sécurité

Sources : http://peswiki.com/energy/News
http://www.ecogeek.org/content/view/2118/86/

Énergie solaire : qui investit le plus ? 

Kyocera investit 363 millions d'euros dans le solaire

Le spécialiste japonais de batteries solaires annonce un investissement de 363 millions d'euros afin de doubler sa production de cellules photovoltaïques d'ici 2012. L'essentiel de cet effort sera concentré dans l'archipel nippon.
Kyocera a donc décidé d'accélérer dans le solaire. Le n°4 mondial du secteur vient d'annoncer qu'il compte doubler sa production de cellules photovoltaïques d'ici à mars 2012. Le groupe japonais a prévu d'investir la somme de 55 milliards de yens soit 363 millions d'euros pour faire passer sa capacité annuelle de 300.000 kilowatts (kW) prévus fin mars 2009 à 650.000 kW. L'effort financier sera réalisé au Japon (45 milliards de yens), les 10 milliards restants seront utilisés pour des installations en Chine et en République tchèque. Une nouvelle usine est également en projet.
 

C'est Sharp qui domine nettement le secteur des panneaux solaires. Le consortium vise près de 2 millions de kilowatts pour 2010. Il sera très proche de la phase d'industrialisation des cellules photovoltaïques sur fine couche, une technologie qui doit permettre à terme de réduire considérablement l'utilisation de silicium par rapport aux panneaux traditionnels monocristallins.
 

70% à l'export
 

Derrière le géant Sharp, Sanyo Electric et Mitsubishi Electric, Kyocera est considéré comme le 4e acteur mondial du secteur photovoltaïque. Nouvel acteur dans cette activité, le solaire représentait déjà plus de 11% de son chiffre d'affaires en 2007. Implanté à Kyoto, le groupe nippon réalise 70 % de ses ventes de panneaux solaires en dehors du Japon, notamment en Europe.

A titre d'exemple, Kyocera fournit pour l'espagnol Avanzalia des modules photovoltaïques d'un projet gigantesque. A terme, le site situé dans la province de Cuenca représentera l'une des plus puissantes centrales solaires du monde avec une production installée finale de 30 MW.
Et la forte croissance mondiale du solaire pourrait se révéler exponentielle avec la flambée des cours du pétrole et les politiques internationales de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. On prévoit ainsi un développement de ce secteur autour de 30% par an et une production planétaire qui devrait atteindre les 40 à 45 millions de kw à horizon 2020.

23/09/08  Source : http://www.enviro2b.com/info/energie/index.html

 Du carburant avec des sucres au MIT

Des chercheurs de l'Université de Wisconsin-Madison sous la direction de James Dumesic ont développé un procédé chimique simple, en deux étapes pour transformer des sucres en carburant. D'autres composés créés lors de ce processus peuvent aussi servir à l'industrie chimique et aux plastiques.  (MIT Technology Review; Sept. 22, 2008)

http://www.technologyreview.com/Energy/21395/?nlid=1356

  Christian Fetter et son système d'assistance hydrogène, à production à la demande pour les moteurs

Article de Priska Ducoeurjoly - 15/09/2008

Priska Ducoeurjoly, qui s'est intéressée de près au système Gillier-Pantone compte faire l'expérimentation sur son propre véhicule, les résultats seront publiés dans http://priskaducoeurjoly.over-blog.com/  Excellente initiative ! Affaire à suivre...

Oxy-Hydrogen Generators en Inde (Appareils à "Gaz de Brown") - (non disponibles à la vente sur l'Europe)

Un appareil Oxy Hydrogen "Epoch" observé et étudié par Gérard F. à Auroville en Juin 2008

Un appareil Oxy Hydrogen "Epoch" vue intérieure - Cliché  Gérard F. à Auroville en Juin 2008

Un appareil Oxy Hydrogen "Epoch" - exemple d'utilisation : la soudure  Clichés Gérard F. à Auroville en Juin 2008

Un appareil Oxy Hydrogen "Epoch" exemple d'utilisation : la cuisine -  Cliché Gérard F. à Auroville en Juin 2008

Le gaz obtenu peut également être utilisé pour les moteurs. Voir notre dossier Gaz de Brown

(non disponibles à la vente sur l'Europe)

Merci à Gérard F. qui nous a rapporté ces informations de son dernier voyage en Inde, et à bientôt pour d'autres nouvelles ! A quand, une version française de ce type d'appareils ?