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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 18/03/08
| Brèves Son des molécules - Transmission variable pour vélos - Pétrole vert de Jean Laigret - Livre de Mr Laville - Pont d'eau électrifiée - Le papier supercondensateur - Nouveaux tapis volants ?
Des physiciens disent avoir enregistré d’infimes vibrations de molécules et les avoir mises sous forme audible. On peut dire des sons, tout dépend de la façon de définir le mot son. Sous leur forme d’origine les vibrations sont trop petites et faibles pour être entendues, mais à part cela, elles peuvent cadrer avec la description physique de ce qui fait un son : à savoir qu’elles peuvent produire des vibrations similaires dans les molécules voisines qui feront de même avec leurs voisines et ainsi de suite, jusqu’à étendre les vibrations vers l’extérieur. Pour un son audible, ce sont les mêmes sortes de vibration sauf qu’elles sont plus fortes et plus lentes et affectent des milliards de molécules et peuvent faire bouger les tympans.
A quoi peut ressembler le son d’une molécule si on pouvait l’entendre ?
A la plus petite cloche que vous pourriez imaginer avec un son très très aigu. Pour convertir ceci en sons vraiment audibles, Thumm, de l’Université du Kansas et ses collègues ont frappé des atomes d’hydrogène avec de très fortes impulsions laser, puis ils ont fait descendre les fréquences à environ 1000 hertz. Ils ont été plus loin encore en analysant les vibrations presque comme une musique … Voilà qui rappelle les résultats des travaux de Joel Sternheimer dont nous avons parlé en août 1999. Pour en savoir davantage : http://www.keelynet.com/#whatsnew
Communiqué par un inventeur du Québec " Bonjour, Oui, j'ai inventé (patenté) durant toute ma vie et j'ai aujourd'hui 69 ans. Plusieurs de mes créations on été utilisées dans l'industrie avec succès et je ne suis pas plus riche pour ça aujourd'hui, c'est comme normal je crois. Seul dans mon coin, difficile de rencontrer des personnes avec qui je peux échanger, je me risque donc à vous contacter pour échanger un peu. J'ai bien parcouru votre site Web et j'ai trouvé ça génial de vouloir "Réduire la Crise de l'Énergie par la connaissance" Quelque temps après la guerre de 39-45, j'ai souvent entendu parlé du moteur à "Eau" comme on l'appelait, c'est-à-dire injecter un peu de H2O à l'admission des moteurs à combustion des avions de combat. C'était lorsque les moteurs étaient bien chauds, mais l'effet ne durait pas trop longtemps, (quelques secondes) car le moteur refroidit très vite à ce régime et l'effet s'estompait. C'est ce qu'on croyait à l'époque par manque de connaissance. J'ai créé une "Transmission Variable Continue" (une TVC) pour bicyclette et sur le banc ça marche très bien. (Voir photo) Il me reste qu'à l'alléger pour pouvoir l'utiliser adéquatement sur une bicyclette standard, puis le pire reste à faire la proposer aux fabricants de bicyclette pour remplacer le dérailleur "Shimano" Pas facile...!!!
Le principe même de cette transmission TVC remplacerait avantageusement les transmissions conventionnelles avec engrenages (1-2-3-4 etc.) pour tous véhicules. Quelles soient manuels ou automatiques, c'est à peu près la même chose au niveau du transfert de puissance de l'énergie source aux roues de propulsion. Cette transmission TVC serait d'une économie de plus de 50% de combustion de carburant, car le moteur "Source" demeurerait à un régime presque constant au moment de l'accélération du véhicule. Ça serait la transmission qui tirerait la charge plutôt que le moteur à combustion. Nous savons tous qu'un moteur à combustion, sous un régime idéal et sans accélérations aucunes, est beaucoup plus économique et petformant, donc beaucoup moins polluant. Certains véhicules de l'armée comme le OSHKOSH "Hybrid Electric Drive System" http://www.oshkoshtruck.com/defense/technology~propulse.cfm est un bon exemple. Il consomme 50% moins grâce au régime continu du moteur à combustion. Dans le cas de OSHKOSH ; la génératrice, l'accumulateur ainsi que les moteurs électriques aux différentielles diminuent de beaucoup le rendement causé par l'excès de poids. L'application de la transmission TVC serait surtout pratique aux véhicules aux Départs et Arrêt fréquents, comme les camions de vidange, les autobus en milieu urbain, les camions de livraison, etc.. Je cherche quelqu'un qui aimerait
bien travailler avec moi dans ce projet. Pour en savoir davantage : http://www3.sympatico.ca/rotoroc2 et aussi http://www.cyberpresse.ca/article/20071110/CPACTUALITES/711101089/5265/CPACTUALITES
Communiqué par un de nos lecteurs La revue L'Ere Nouvelle (BP 171 06407 Cannes cedex) vient de publier dans son numéro 182 de Janvier-Février 2008 un article de Henri Durrenbach (déjà publié en 1991) dont voici un bref aperçu.
Après avoir multiplié les expérimentations Jean Laigret a pu constater que 100g de savon donnait 75 cm3 de pétrole grâce à l'action du bacille perfringens. Selon les matières, les résultats varient un peu, par exemple - 1 tonne d'huile fermentée donne 800 litres de pétrole brut et 200 m3 de gaz combustible - 1 tonne de déchets de viande donne 450 litres de pétrole et 140 m 3 de gaz - Les déchets de poisson fournissent 70 % de leur poids en pétrole, les écorces d'oranges et de citrons, 37 %, et les feuilles mortes 25 % (plutôt que de les ramasser à la pelle - air connu ! ou les souffler comme maintenant en envoyant des poussières dues à la circulation et parfaitement sales et polluées dans les poumons des citadins). On peut y ajouter les boues d'égouts, auxquelles pourraient s'ajouter les ordures ménagères, les déchets d'abattoirs, sang et animaux malades, plus des algues (l'iode favorisant la fermentation) et les broussailles (ce qui réduirait de beaucoup les feux qui dévastent chaque été les forêts, incendies souvent très étendus, meurtriers, extrêmement coûteux à traiter sans compter le rôle que toute cette biomasse brûlée joue sur le taux de carbone) Le prix de revient : à peu près celui du pétrole d'avant les années 90 Les besoins estimés à 30 millions de tonnes pour les transports seraient largement couverts par une production possible de plus de 10 fois (et rien n'empêcherait encore de se servir de systèmes économiseurs de carburant tels ceux dont nous parlons largement dans nos pages ! ) Le Dr Jean Laigret, homme de talent et de vérité peu préoccupé de sa carrière personnelle est décédé en 1966. Merci à Thierry Saint- G. - Dans le même ordre d'idées, avec des procédés classiques de méthanisation, une installation fonctionne dans le Nord. La revue Energie et Développement Durable de février -mars 2008 consacre une grande page à ce qu'ils nomment en titre "L'eldorado des déchets verts en Europe" et qui se fait à Sequedin. "La commune de Sequedin, à quelques kilomètres à l'Ouest de Lille vient d'être dotée du plus grand centre européen de valorisation des déchets organiques, opérationnel depuis mai 2007. Chaque année le centre traitera plus de 100.000 tonnes de déchets alimentaires et de jardin qui seront transformés en compost et carburant" et ce qui est encore mieux les tonnages arrivent en barges et non par camions .
signalé également par un de nos lecteurs, Richard G. comme étant un très bon ouvrage, souvent cité par le Dr Jeanne Rousseau..
Le pont d'eau entre deux verres (Courtesy Fuchs/Woisetschlâger) Les chercheurs de l'Université de Technologie Graz ont découvert qu'un champ électrique puissant soutenait un pont d'eau de 25 mm de long entre deux vases. Elmar Fuchs et ses collègues ont démontré ce phénomène avec 25 kV et deux récipients contenant de l'eau fortement désionisée. On ne connaît pas bien les détails de la formation du pont et comment il se tient. il pourrait s'agir d'une nouvelle forme de l'organisation de l'eau à grands alignements macroscopiques des dipôles électriques dans le liquide du pont. Source CERN Courrier Décembre 2007 et Elmar C Fuchs et al. 2007 J. Phys. D. Appl. Phys. 40 6112
On pourrait faire de nouvelles sources d'énergie en partant de fines feuilles d'un matériau qui est un peu plus que du papier. Robert Linhardt et ses collègues de l'Institut Polytechnique Rensselaer à Troy dans le New Jersey, ont découvert que la cellulose dissoute dans un liquide ionisé et versée sur des nanotubes de carbone pourrait sécher et former une fine couche de papier dont la couche de base serait faite de nanotubes de carbone. Le pliage du papier forme un supercondensateur, et et en ajoutant une couverture d'oxyde de lithium, fait une batterie dont les deux composants sont basés sur la même technologie. Au final, cela pourrait être utile pour des véhicules électriques qui ont besoin de bonnes giclées d'énergie ce qu'un condensateur fournit plus facilement qu'une batterie seule. Source : CERN Courrier Novembre 2007 et Victor L Pushparaj et al. 2007 Proc. Nat. Acad. Sci. 104 13574
"Disenco (basée à Shefield en Grande-Bretagne) a été crée en 2003 pour commercialiser dans le monde entier des petites unités de production simultanée de chaleur et d'électricité. Le système satisfait aux exigences de la directive européenne sur les appareils à gaz et fonctionne actuellement pour des essais en vraie grandeur dans le cadre d'un contrat avec Carbon Trust Europe... ...Démarrage de la production prévu en 2008, par la société Autocraft qui fabriquera les moteurs de Stirling et la société Malvern Boilers qui fabriquera les chaudières." Pour en savoir davantage : Source Energie et Développement Durable n° 20 Février-Mars 2008 et www.disenco.com Ce numéro de EDD contient un gros dossier sur les éoliennes dont celles pour particuliers.
"Est-il possible de créer un tapis qui bougerait en se tortillant comme s'il volait ? Qui sait ? Et peut-être même en emmenant un passager ? Voilà un sujet pour contes de fées ou dessins animés, mais c'est maintenant le but de certaines recherches, sérieuses. Mederic Argentina de l'Université de Nice, Lakshminarayanan Mahadevan de l'Université Harvard (Massachusetts) et Jan Skotheim de l'Université Rockfeller à New York, travaillent sur la dynamique d'une feuille immergée dans un fluide et se déplaçant près d'une surface horizontale. l'équipe trouve des zones d'espace où il pourrait être possible de faire un "tapis volant" avec des convenables de la feuille fournissant à la fois l'ascension et la poussée vers l'avant. les applications en ingénierie ne sont pas probable mais de petits modèles pourraient fort bien fonctionner. Adam Feinberg et ses collègues de l'Université de Harvard ont déjà parlé de feuilles de polymère recouvertes de cellules musculaires de rats qui peuvent "flotter", pour ainsi dire en réponse à des signaux électriques." Source
Courrier CERN - Mars 2008
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