ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

 Tout le site Quanthomme est accessible par 
www.quanthomme.fr
ou www.quanthomme.info ou 
www.quanthomme.com ou www.quanthomme.org

Retour à l'accueil TOUT Quanthomme Retour à l'accueil de la Partie 2 Retour à la liste des nouvelles   Accès au moteur de recherche

Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 24/12/2009 - mise à jour le 26/12/2009

COTTELL - suite

Stéphane nous dit : "Vous serez peut-être intéressé d' apprendre qu' en complément du précédent brevet, sur l' émulsion de pétrole et d' eau à l' aide d' ultrasons, que Mr Cottell avait tenu, en effet, à améliorer cette technique afin de la rendre plus économique et plus pratique contrairement à l' invention précédente qui était "handicapée" en cela par son transducteur ultrasonore.
Il résolut ce problème par le dépôt d' un nouveau brevet dans lequel il remplaça le transducteur par un dispositif de production et de recyclage, pour cause d' instabilité relative de l' émulsion, comportant une pompe, un vibreur et un petit réservoir tampon d' où était "tirée" l' émulsion à la demande pour l' admission du moteur."
La suite dans la page 2 des systèmes à air, eau etc.
 

Et Stéphane que nous remercions pour sa participation à l'enrichissement des pages de notre site, et pour ses traductions, ajoute :

"A l' exclusion des politiques, des industriels et des financiers, je souhaite, à toute l' équipe de Quant'Homme et à ses lecteurs: un bon et joyeux Noël!

Chez les lecteurs il y a peut-être des politiques, des industriels et des financiers, mais pas ici à Quant'Homme ! En tous cas, merci et Bon Noël à Stéphane

        

   JLNLABS : de retour   

 

Jean-Louis Naudin, libéré de ses obligations professionnelles, a remis son labo en service et travaille déjà sur ses anciennes amours, vous savez, ces appareils qui tournent avec des aimants et qui donnent de l'énergie...

Toute la question étant d'en avoir suffisamment pour la réinjecter dans le dit appareil ou en cas de réussites formidables de l'envoyer illico où l'on en a besoin.

Les réplications sont de retour, les résultats déjà prometteurs !

Si, vous croisez le chemin d'un Père Noël prêt à investir dans un Institut de recherche, pensez donc à lui !

site de Jean-Louis Naudin à suivre lors de sa prochaine remise à jour

 

 

    STEORN :  ORBO

 

 

Depuis le 15/12/2009, à Dublin, cet appareil tourne, sous l'oeil des caméras qui en transmettent en direct les images à tous: Sur unité  annoncée

Site de STEORN : http://www.steorn.com/

Une vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=9JikYfmEdF8&NR=1

 

 

Mise à jour du 26/12/2009

 

STEORN, nouveau moteur "ORBO" : Réplication par Jean-Louis Naudin - 24/12/2009

 

Certains lecteurs avaient peut-être deviné que les deux informations ci-dessus étaient reliées ? Ils ont gagné !

Cadeau de Noël !

Voici ce que Jean-Louis Naudin indique sur son site.

 

 

Voici ce qu'écrit Jean-Louis :

"Le nouveau moteur de Steorn présenté le 15 décembre 2009 par Sean McCarthy à Dublin est composé d'un rotor équipé d'aimants au néodyme et d'un stator comportant des tores en ferrite bobinés.

Les aimants du rotor sont attirés par le matériau ferromagnétique du tore, l'énergie magnétique potentielle est transformée en énergie cinétique de rotation.

La ferrite va se polariser magnétiquement se transformant temporairement en aimant de polarité opposée à celle de l'aimant du rotor.

Il y a donc attraction, l'aimant se rapproche de la ferrite, mais l'empêche de s'en éloigner. Lorsque l'énergie potentielle magnétique est minimale et que l'énergie cinétique est maximale (point le plus proche de l'aimant en face du tore), une impulsion de dépolarisation est envoyée dans la bobine torique changeant l'orientation des domaines magnétiques (domaines de Weiss) de la ferrite, ce qui permet de libérer l'aimant.
 

Je rappelle que le champ magnétique extérieur d'une bobine torique est nul, elle est assimilée à une bobine de longueur infinie. Il n'y a pas d'interaction directe du champ magnétique du tore avec le champ magnétique des aimants du rotor. Le champ magnétique de la bobine torique sert uniquement à dépolariser temporairement l'aimantation de la ferrite du tore.

Ainsi donc, la force magnétique d'attraction du rotor devient asymétrique, l'énergie potentielle magnétique en phase d'approche de l'aimant du rotor est inférieure à l'énergie potentielle magnétique en phase d'éloignement.

Il y a donc cet effet de "regauging magnétique" longuement expliqué par Tom Bearden.
 

Pour résumer, nous avons là un système "non-réciproque" et asymétrique.

Il n'y pas de force contre électromotrice (Back-emf) dans les bobines toriques du stator produite par la rotation du rotor. Le courant nécessaire à la dépolarisation temporaire des domaines magnétiques de la ferrite est indépendant du couple mécanique produit sur l'arbre du moteur.
 

C'est aujourd'hui une piste très intéressante à explorer pour réaliser un moteur magnétique sur-unitaire utilisant l'énergie potentielle magnétique des aimants ..."
 

Jean-Louis Naudin, le 24 décembre 2009

Voir la suite sur  http://jnaudin.free.fr/html/qedynmnu.htm

et suivre directement le site de Jean-Louis Naudin car les jours qui viennent vont apporter leur lot de  nouvelles informations. Qu'on se le dise !

 

 

         "PRACTICAL GUIDE TO FREE - ENERGY DEVICES"

Plus de 2000 pages de lecture, recensement de divers brevets, appareils, inventeurs etc. au format pdf

http://www.free-energy-info.co.uk/PJKBook.html

extrait du site : http://www.free-energy-info.co.uk/

De la lecture - en anglais - désolés, mais inutile de nous suggérer d'en faire la traduction...
 

Un oubli à réparer

 Marie nous écrit  : "Juste pour vous signaler que, votre site abordant le thème de l'énergie anti-gravitationnelle, vous seriez peut-être intéressés par la découverte scientifique de Jean-Pierre Garnier-Malet qui n'est pas citée dans vos pages. Ce scientifique qui a pu, entre autre, donner la vitesse exacte de la lumière, a aussi réussi à prouver l'existence et donner des chiffres exactes quant aux forces gravitationnelles et anti-gravitationnelles. "

http://www.garnier-malet.com/la_publication_scientifique_052.htm

Nous étions persuadés d'avoir indiqué dans nos pages ce site avec les travaux de Mr Garnier-Malet. D'autant que nous avons eu l'honneur de recevoir sa visite. Trop court moment avec lui et son épouse, regrettant de ne pas pouvoir poursuivre un entretien passionnant et des connaissances transmises dans la plus grande simplicité.

 

  De RIO 1992 A COPENHAGUE 2009 juste ces quelque éléments en parallèle

 

COPENHAGUE - 2009

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

in terraaeco.com

RIO - 1992

"C’était il y a 16ans et pourtant ce discours est toujours d’actualité aujourd’hui. Et je dirais même que la situation est devenue pire. "
 

 

Au Sommet de Rio de 1992, une jeune canadienne de Vancouver, Severn Cullis-Suzuki, alors âgée de 13 ans — qui avait fondé quatre ans plus tôt une association «Environmental Children’s Organization» E.C.O, avec des camarades de classe — s’était adressée de la tribune, lors d’une séance plénière, à l’assemblée des représentants. Severn, aujourd’hui trentenaire, est une militante écologique.

On se souviendra qu’en 1992, Les Humains Associés avaient traduit, publié et distribué gratuitement le premier rapport du PNUD. Seize ans, plus tard, malheureusement, les propos de Severn sont d’une brûlante actualité.

Texte du discours (via Averlok)

 

Voir la vidéo sous titrée en français sur

 http://www.vinzblog.com/une-fille-de-12ans-a-lonu-une-belle-claque-pour-nos-dirigeants/

 ou sur http://www.wikio.fr/video/296811

 

Merci pour votre attention
Severn Cullis-Suzuki (E.C.O.)

Commentaire de Quant'Homme : on prend tous de l'âge sur la même planète, encore faudra-t-il qu'elle reste vivable pour les plus jeunes et les moins favorisés. Si les grands (hum!) de ce monde ne peuvent prendre les mesures concrètes et s'entendre pour protéger l'environnement, la société civile,  sur le terrain, tous ceux qui n'étaient pas à Copenhague, les petits quantas anonymes de volonté, de curiosité, d'habileté ont toute liberté de le faire.

 

Comment nous percevons le goût des bulles

 

 

On attribue souvent le plaisir des boissons à bulles à l'agitation mécanique qu'elles produisent sur la langue.

Mais c'est vraiment l'effet causé par le dioxyde de carbone lui-même que des chercheurs américains ont identifié.

 

 

 

Jarayam Chandrashekar de l'Université de Californie à San Diego et ses collègues ont utilisé une combinaison de mesures électrophysiologiques et une manipulation génétique pour montrer que les détecteurs de gaz sont dans les cellules détectrices de l'acide de la langue. Elles sont basées sur une enzyme, l'anhydrase carbonique 4 qui transforme le dioxyde de carbone dans l'eau en ion et proton bicarbonate.

L'enzyme est une de celles ciblées par l'acetazolamide, un produit pharmaceutique dont on se sert pour se protéger contre le mal des montagnes. En 1988, des utilisateurs avaient déjà remarqué que les boissons gazeuses avaient un goût d'eau plate. Le champagne bu au sommet des montagnes était bien décevant pour celui qui avait pris ce médicament !

Source CERN Courier Decembre 2009 - J Chandrashekar et al. 2009 Sciences 326443

 

 

Toutes les excuses, n'est-ce pas, pour tester, re tester des bulles !

 

Profitez bien de ces jours festifs, pour ceux qui ont la chance de pouvoir le faire en famille ou avec des amis, et cultivez bien l'espoir !