ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 26/01/2009

Un article de The New York Times (extraits) repris dans Courrier International * n° 951 du 22 au 28 Janvier 2009 par Elisabeth Rosenthal

"Les pays du Golfe misent sur les énergies propres"

Reconversion - Les monarchies pétrolières investissent massivement dans la recherche. Leur objectif : devenir la Silicon Valley des technologies vertes"

 

      

 

* Il y a bien entendu d'autres articles intéressants dans Courrier International...

 

NDLR : Intéressant, n'est-ce pas ? Cette reconversion aura certainement un effet moteur vis à vis d'autres pays annonçant s'engager dans les énergies renouvelables. Et qui sait si les pays du Golfe n'ont pas déjà suivi des pistes telles que des centaines indiquées dans nos pages ? Les noms ne reviennent pas en mémoire d'un coup, mais plusieurs chercheurs sortant de l'orthodoxie scientifique et ayant des prototypes prometteurs se sont vu dans le passé proposer de l'argent par ces pays. Cet engagement des producteurs de pétrole nous remet en mémoire ce que disait Hal Puthoff

Les pétroliers doivent-ils s’inquiéter? Absolument pas ! Le baril de pétrole valant $20 en 1993 en vaut 60 pour la chimie, et pas un seul des appareils à Energie Libre ne pourra remplacer le pétrole pour les produits chimiques. C’est ce que de "gros bonnets du pétrole" ont dit à Hal Puthoff car "ils constatent que le pétrole se raréfie rapidement. En l’utilisant pour l’industrie du plastique, pharmaceutique ou pour le Nylon, ils reconnaissent en tirer d’énormes profits. Utiliser actuellement essence ou gasoil revient à chauffer sa maison avec des Van Gogh et des Picasso. Les pétroliers aimeraient prolonger la durée de vie de leurs ressources pour gagner ainsi plus d’argent. La première chose qu’ils feraient serait d’acheter ces appareils à Energie Libre, peu coûteuse, pour avoir des raffineries plus efficaces. " Extrait de notre dossier "Energie Libre - Obstacles et espoirs

Quelques réflexions supplémentaires. C'est peut-être un juste retour des choses ces remèdes venant des pays producteurs de pétrole...

Mais à qui incombe vraiment la faute ? Après tout c'est bien aussi toute l'humanité qui a englouti aveuglément et depuis des années, pour son développement (hyper développement pas toujours justifiable * ) des millions de litres d'hydrocarbures. Ces mêmes humains, qui ont négligé d'autres voies énergétiques (nous en avons cité quelques unes dans nos pages) doivent  s'atteler aux soins palliatifs de la planète.

Une comparaison :

- une antenne du MIT dans la cité de Masdar, des accords avec des Instituts et Universités américains, anglais, italien etc..

- aucun accord de collaboration avec des Instituts français...Mais il est vr, nous, on a eu droit à un "Grenelle de l'environnement"  (qui fait l'effet d'un pétard mouillé)

De quoi avoir quelques regrets (inutiles de toutes façons, puisque c'est passé) car, sans être chauvins, on peut déplorer la matière grise et la technologie française perdue, exemple sur la filière Themis abandonnée (sacrifiée) pendant des années. Quels progrès auraient pu faire les techniciens français du solaire s'ils avaient été soutenus dans ce domaine et si les financements n'avaient pas été si massivement dirigés (pompés) vers l'industrie nucléaire? C'est peut-être l'industrie française qui aurait été en mesure aujourd'hui d'exporter du solaire.

Au lieu de cela, ce sont les centrales nucléaires qui sont proposées aux acheteurs étrangers. A eux de réfléchir à deux fois avant de signer les contrats leur vantant la compétitivité des coûts du courant produit, l'autonomie en combustible et la propreté de ces installations, le vendeur passant sous silence le combustible arraché (pillé au détriment des populations) à des pays en voie de développement, les problèmes de déchets, le coût du démantèlement, les risques encourus par les humains d'aujourd'hui et ceux qui logeront sur la terre après nous. Pas plus tard que la semaine dernière, on vient de nous promettre deux centrales de plus, une pour EDF et une pour Suez, destinées (selon l'information) à produire pour exporter du courant.

Mais soyons rassurés tout de même puisque la haute autorité a promis que pour chaque euro dépensé dans le nucléaire, un euro serait investi dans les énergies renouvelables. C'est certainement pour ça qu'à la fin de l'année dernière le ministre en charge de l'environnement a promis que chaque région française aurait sa centrale solaire...On vous entend rigoler d'ici !!!

* Un exemple : il serait bien intéressant de calculer combien d'arbres devraient être plantés pour la compensation carbone des nombreux déplacements de l'avion du président français? D'occasion, certes ces avions, un deuxième Airbus ayant remplacé au bout de quelques mois le premier (pourtant bien équipé et personnalisé), mais tout de même ça consomme ces appareils...

 

 

Le rapport Syrota du 28/09/2008 sur les voitures d'ici 2030

Rapport exhumé par le Financial Times, information reprise par le Point et LeDevoir

Information transmise le 07/01/2009 par Pierre Langlois, Ph.D. physicien : consultant / auteur - www.planglois-pca.com

L’information et la solidarité sont les deux piliers des véritables changements!

Bonjour à tous
Le 11 décembre 2008, paraissait
dans le Financial Times un article percutant dénonçant l’enterrement du rapport Syrota sur «Le véhicule grand public d’ici 2030».
Dans ce rapport de l’un des plus grands experts en énergie français, Jean Syrota, et commandé par le gouvernement français, on apprend que la solution pour les véhicules personnels d’ici 2030 est la voiture hybride branchable et non la voiture tout électrique. On y apprend également que l’hydrogène n’est pas une solution et que le gaz naturel pour les véhicules va demeurer un marché restreint de niche pour les flottes de véhicules d’entreprises.
L’auteur de l’article dans Financial Times fait allusion au fait que ce rapport dérange le président Sarkozy dont les amis sont dans le développement des voitures tout électriques (Boloré et Dassault). Il y a de plus de puissants lobbies pour l’hydrogène et le gaz naturel!
Il n’en fallait pas moins pour que le rapport ne soit pas rendu public, alors qu’il est daté du 28 septembre 2008. Voir
http://www.ft.com/cms/s/0/37f1f624-c7b0-11dd-b611-000077b07658.html?nclick_check=1
 

Pour ceux qui suivent mes courriels, vous vous souviendrez que Boloré s’est associé à Pininfarina pour produire une voiture tout électrique. Voir
http://www.youtube.com/watch?v=jT9Y6OnQd4I
 

Par ailleurs, Dassault a fondé La société des véhicules électriques qui a développé la Cleanova avec la technologie moteur électrique central d’Hydro-Québec-TM4 (des restants dénaturés du projet moteur-roue d’Hydro-Québec du début des années 1990, développé par Pierre Couture et son équipe).
Or ce qui est déconcertant, c’est de lire les propos de Élie Saheb, le VP Technologie à Hydro-Québec, dans la revue IMAGINE de l’automne 2008, dont voici un court extrait:
«En tout cas, pas de doute sur la direction à suivre pour Élie Saheb: «L’avenir est dans le tout électrique.» Plutôt que de tenter l’aventure des hybrides, «nous préférons nous concentrer sur la solution la plus efficace...» »

C’est pourtant pas compliqué à comprendre. Aujourd’hui, pour une voiture électrique intermédiaire:
 

    - les batteries performantes Li-ion coûtent 20 000$ pour donner une autonomie de 100 km (20 kWh de capacité),
    - elles ont une masse de 200 kg environ pour 100 km d’autonomie
    - elles consomment environ 3 kg de lithium pour 100 km d’autonomie

Pour obtenir une voiture tout électrique capable d’une autonomie de 400 km, ce qui est un minimum pour couvrir l’ensemble des besoins de mobilité personnelle, il faudrait donc une batterie qui

    - coûterait 80 000$
    - aurait une masse de 800 kg
    - consommerait 12 kg de lithium

Ça n’a pas de sens au niveau économique et pas de sens non plus au niveau du rendement énergétique de la voiture qui devient beaucoup trop lourde pour les rares fois qu’on a besoin de toute la capacité de la batterie. On sait, en effet, que 80% du kilométrage d’une voiture est parcouru à raison de moins de 100 km par jour en Amérique, et plus de 50% des gens font moins de 50 km par jour. * Alors pourquoi traîner une batterie de 800 kg qui augmente considérablement la consommation d’énergie de la voiture, alors qu’une batterie beaucoup plus légère, autorisant moins de 100 km et qu’on recharge tous les soirs, nous permet de parcourir 80% de nos kilomètres à l’électricité? Une voiture hybride rechargeable peut très bien s’accommoder d’une batterie de 50 km d’autonomie et offrir une autonomie totale de 1000 km (électrique + carburant).

Enfin, il faut réaliser qu’à terme on aura besoin vers 2030 d’environ 1 milliard de véhicules qui consommeraient,
avec une batterie de 400 km d’autonomie, environ 12 kg de lithium pour un total de 12 millions de tonnes.  Sachant que les réserves mondiales de lithium sont estimées à 11 millions de tonnes par le US Geological Survey, on constate donc que les grosses batteries requises par les voitures tout électrique épuiseraient les ressources planétaires de lithium.

Les voitures tout électrique vont donc constituer un marché de niche restreint pour le moment aux flottes d’entreprises et comme deuxième voiture, avec une autonomie réelle limitée de l’ordre de 100  à 120 km.

La véritable solution d’ici 2030 c’est la voiture hybride branchable avec la plus petite batterie pour répondre à 80% de notre kilométrage.

Et pour réduire le plus possible la grosseur de la batterie on a intérêt à utiliser le groupe de traction le plus efficace, soit les moteurs-roues aux 4 roues (consomment jusqu’à 35% moins d’énergie en ville qu’un moteur électrique central).
En fait c’est exactement ce que le physicien visionnaire Pierre Couture nous présentait en 1994 lorsque Hydro-Québec avait annoncé une Chrysler Intrepid  modifiée en hybride branchable à moteurs-roues...

Le rapport de Jean Syrota peut être téléchargé gratuitement sur le site de la revue Le Point, qui a obtenu une copie du rapport. Voir
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/exclusif-le-rapport-enterre-qui-accable-la-voiture-electrique/916/0/296691
Ou encore le site de HybridCARS à
http://www.hybridcars.com/news/french-government-censors-report-electric-cars-25365.html

ou directement ici : rapport Syrota

* J'avais mentionné à Louis-Gilles que plus de 1 conducteur sur deux parcourait moins de 50 km par jour. Après vérification dans un article du «EPRI Journal», ce sont 2 automobiles sur 3 qui parcourent moins de 50 km par jour. EPRI Journal Driving the solution (fin 2005)

 

 

Voici quelques extraits de ce rapport plein de réalisme et d’honnêteté

LES VOITURES TOUT ÉLECTRIQUE

«7. Le véhicule électrique, qui a l’avantage de ne pas émettre directement de gaz polluants, souffre de trop de handicaps pour pouvoir prétendre se substituer massivement au véhicule thermique...
Le véhicule électrique nécessite l’introduction d’une batterie de grande capacité (au minimum une dizaine de kWh) dont le coût est au minimum d’environ 500 $/kWh, ce qui en fait un composant qui compte pour quasiment 10 000 $ dans le prix de revient d’un véhicule...
La nécessité de construire l’infrastructure nécessaire à l’alimentation des véhicules électriques. Ce n’est pas tant un problème technologique (prises de charges…) qu’un problème d’investissements»

LES HYBRIDES RECHARGEABLES

8. L’hybridation thermique/électrique représente un compromis séduisant ;  l’hybride rechargeable sur le réseau constitue sans doute la solution d’avenir

8.3. L’hybride rechargeable cumule les avantages du thermique et de l’électricité sans en supporter les inconvénients les plus pénalisants

LE GAZ NATUREL POUR LES VÉHICULES (GNV)

«9.2. Le gaz naturel ne parait pas bien adapté au cas de la France...

Pour la France, il est plus rationnel de réserver le gaz naturel au chauffage des locaux en taxant le fuel domestique qui deviendra disponible comme carburant. On évitera ainsi la construction d’une infrastructure de stations-service de GNV...
9.2.2. Le bilan environnemental n’apporte pas d’avantage décisif»

L’HYDROGÈNE

«9.3. L’hydrogène, un carburant automobile utopique...

9.3.4. Les verrous technologiques, les coûts considérables de l’ensemble de la filière et les problèmes de sécurité constituent des handicaps insurmontables à l’horizon 2030»

FIN DES EXTRAITS

 

 

Pour ceux qui ont lu mon livre «Rouler sans pétrole» vous pouvez constater que le rapport Syrota va dans le même sens que mes propres conclusions. Vous trouverez dans «Rouler sans pétrole» plus de détails et d’informations sur plusieurs des sujets abordés dans le rapport Syrota, en plus d’informations sur des technologies non traitées dans le rapport, comme le dopage à l’eau et à l’hydrogène des carburants.
J’ai noté une lacune dans le rapport Syrota en ce qui concerne les derniers développements des batteries au titanate de lithium. Elles ne sont pas mentionnées dans le rapport qui parle de l’incapacité des batteries d’être rechargées rapidement, alors que les batteries au Titanate de lithium peuvent l’être en 5 minutes.
Espérons que les Français vont exercer les pressions requises pour empêcher leur gouvernement d’engouffrer des milliards d’euros dans des voies sans issues! Espérons également qu’au Québec Hydro-Québec va comprendre le bon sens. Il semble bien que «Rouler sans pétrole», qui sera disponible en France en février 2009, arrive au bon moment!
Très cordialement
Pierre Langlois, Ph.D.

Article dans LeDevoir 09/01/2009 Louis-Gilles Francoeur 

 

 

Article dans Le Point 03/12/2008

EXCLUSIF Le rapport enterré qui accable la voiture électrique

Par Patrick Bonazza

Le véhicule "grand public" d'ici 2030 : le rapport sur l'automobile du futur rédigé sous la direction de Jean Syrota, polytechnicien, expert en énergie, dort dans les tiroirs d'Éric Besson, secrétaire d'État chargé, entre autres, de la prospective. Prêt le 28 septembre, juste avant le salon de l'automobile, le document n'a toujours pas été publié. Pour quelles raisons ? Il ne faut pas chercher très loin. À l'heure de la "croissance verte" que défend avec toute sa vivacité et son humour Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Écologie et du Développement durable, ce rapport n'est pas politiquement correct. Et pour cause, il "dézingue" la voiture tout-électrique et offre un sursis au bon vieux moteur à explosion.

Point de départ : "Le parc mondial d'automobiles pourrait doubler d'ici à 2030, passant d'environ 650 millions aujourd'hui à 1,4 milliard d'unités. Les ventes annuelles de véhicules neufs sont aujourd'hui de plus de 35 millions dans les pays de l'OCDE et de 15 millions pour le reste du monde. En 2030, elles pourraient atteindre des niveaux respectivement de l'ordre de 45 millions et de 50 millions par an." Dans l'avenir, il faudra être en mesure de répondre à deux défis majeurs : réduire la consommation de pétrole et réduire les émissions de CO2. Comment y arriver ? Le rapport passe en revue l'avenir des différents modes de propulsion :

- le carburant liquide , issu du pétrole de la biomasse, du charbon ou de gaz, conserve tout son intérêt. Car il dispose d'un avantage indéniable : "Le parc de stations services (...) les infrastructures pour le produire et le distribuer existent."

- Le gaz naturel a l'avantage d'avoir un bon "rendement de combustion" mais "le stockage du gaz à haute pression dans le véhicule pose des problèmes de sécurité et il faudrait créer des infrastructures coûteuses pour alimenter les véhicules".

- L'air comprimé et l'hydrogène sont pratiquement à prohiber. "L'hydrogène bénéficie actuellement d'un engouement médiatique qui ne repose sur aucune perspective d'avenir." Sans compter que "la fabrication de piles à combustibles utilisera toujours des matériaux nobles, rares et donc coûteux".

- L'électricité offre à première vue l'avantage de ne pas polluer et d'être silencieuse, ce qui pour les centres villes encombrés est particulièrement bienvenu. Sauf que l'électricité sera produite pour une part plus ou moins grande à partir de combustibles fossiles, ce qui entraîne des émissions de CO2. Et puis "le véhicule électrique reste coûteux, ses performances de vitesse très médiocres, son autonomie limitée, et le temps de rechargement des batteries peut être très long".

Pour Jean Syrota, l'auteur du rapport il faut donc creuser dans deux directions. Tout d'abord réduire la pollution des véhicules thermiques actuels : en réduisant les cylindrées mais en intégrant un nombre invraisemblable d'accessoires (distribution variable, commande électromagnétique des soupapes, système stop & go...)
** . Mais aussi miser sur le véhicule hybride rechargeable ("plug-in") : l'hybride combine les avantage de l'électrique en ville et des carburants liquides sur route. Il lui faudra intégrer tous les progrès possibles sur les véhicules à carburants liquides. Une conclusion qui, convenons-en, ne fait pas rêver, mais qui frappe par sa grosse dose de réalisme. Et qui, surtout, est une grosse pierre dans le jardin des constructeurs, en France, qui comme Renault, Dassault (qui construit ses propres véhicules électriques) ou Bolloré (qui s'essaie à la production de batteries), misent sur le tout-électrique. Sans oublier Nicolas Sarkozy, qui avait annoncé au Mondial de l'auto un plan en faveur des voitures propres, notamment... électriques.

** NDLR : On peut faire plus simple avec des systèmes Gillier-Pantone...mais apparemment, dans les hautes sphères de la technologie et de la politique, l'information n'est pas arrivée, et les "ténors" français" de la protection de l'environnement refusant encore d'en parler, la France restera à la traîne pour la réduction de pollution. Alors qu'elle pourrait être en tête en faisant coup double : réduction de la pollution et de la consommation.

 

 

Lettre de Pierre Langlois suite rapport Syrota : Electrique ou hybride branchable

lettre adressée aux politiciens du Canada

 

Un exemple conversion de véhicule hybride branchable

" J'attire votre attention (c'est Pierre Langlois qui parle) sur un billet très intéressant paru sur le blog de Electric-Cars-Are-for-Girls.com, concernant le véhicule hybride branchable réalisé en 1998 par notre pionnier québécois de la conversion en véhicules à motorisation électrique, Alain Saint-Yves. Voir  http://www.electric-cars-are-for-girls.com/portable-generator.html

 BRAVO Alain! Nous sommes tous très fiers de toi et de ta détermination. Ta passion est contagieuse..."

 

Systèmes HHO analogues à l' Add Water : Réalisations personnelles

sur espace 3 2.2 DCI 130 CV voir http://vortex.francophone.free.fr/viewtopic.php?id=205

 

L'expérimentateur de ce système a également fait des A.V.E.C.

  Hydroxy de Vince

http://www.zenitude.net

"Photos de mon second prototype de générateur d'hydroxy... le premier ne produisant que trop peu, m'a juste permis de toucher du doigt les infos trouvées sur le web US sous les noms farfelus d' hydrobooster, smackbooster etc ;-) et de comprendre à peu près pourquoi et comment cela fonctionne et j'avoue cela fonctionne..." nous dit Vince.

 

 

 

L'expérimentateur de ce système a également fait des A.V.E.C. (86 à 101)

Toujours dans le domaine HHO, on a nous a signalé quelques fois ces deux sites http://www.voitureaeau.com et http://www.voiturehho.com

Un économiseur de carburant : Light Ray

Madagascar réduit la facture d’essence grâce à Light Ray

http://www.leblogfinance.com/2006/06/madagascar_prem.html

 Madagascar semble avoir trouvé la solution pour faire face à la hausse des prix des carburants via l'arrivée prochaine sur le marché malgache d'un nouvel économiseur de carburant.

Il s'agit en l'occurrence du produit dénommé Light Ray, présenté récemment par la société Madagascar Maherlla Light Ray représentant exclusif de ce produit à Madagascar.

Inventé récemment par des chercheurs japonais, l'économiseur de carburant Light Ray réduirait d'une manière assez conséquente la consommation en carburant des voitures. La consommation baisserait ainsi de 10,75% en ville, de 16,50% en zone suburbaine et de 19,42% pendant les longs voyages sur les routes nationales. Outre l'économie assez conséquente de carburants, le système Light Ray permet également d'améliorer la puissance du véhicule, de réduire la pollution et de protéger le moteur. Le système s'adapte aussi bien sur les moteurs à essence que sur les véhicules qui roulent au gas-oil, ou autres carburants de substitution comme l'éthanol. L'autre avantage du Light Ray, notamment pour les pays en développement comme Madagascar, c'est que l’efficacité du produit augmente avec son ancienneté. Le produit élaboré au Japon a déjà fait ses preuves aux Etats Unis, en Thaïlande et en Grande Bretagne. Le système est par ailleurs très facile à installer, puisqu'il s'agit d'une pièce à poser sur le tuyau d'essence après le filtre à huile et avant le carburateur.

La seule précaution à prendre est valable pour tout bon entretien du véhicule. Il s'agit en l'occurrence d'avoir un filtre à essence et un filtre à air propre. En ce qui concerne sa durée de vie, l'économiseur de carburants Light Ray est efficace durant 50.000 kms. S’il est donc préférable d’en changer après avoir effectué un tel kilométrage, son propriétaire peut aussi le garder car le produit continue à fonctionner mais à moindre efficacité.

 Extrait d'un autre article de MadagascarTribune par Alphonse M.

Face à la situation actuelle et après avoir négocié auprès des fabricants, les responsables de la société importatrice de cette marque ont décidé de réviser à la baisse le prix du « Light-Ray ». Désormais, les usagers pourraient acquérir ce produit à 120 000 Ar au lieu de 150 000Ar auparavant. En collaboration avec les compagnies pétrolières, les « Light-Ray » sont désormais visibles dans les stations-service « Jovenna ». Outre les automobilistes, les industriels et la société Jirama s’intéressent beaucoup à ce type d’appareil. Il est actuellement testé dans quelques centrales électriques de la Jirama dans les régions d’Antsirabe et d’Ambositra.

Une centrale de 600KWH a besoin de 36 unités d’économiseurs. Apparemment, les résultats sont satisfaisants après quelques semaines d’essai. Car avec cette hausse des prix du carburant sur le marché international, il permet de stabiliser la consommation. jeudi 10 janvier 2008

 

 

Drôle d'oiseau !

 

"Je me permets de vous faire suivre ce lien sur le concept d'oiseau buveur qui donne l'image d'un moteur thermique simple et ludique au fonctionnement quasi perpétuel (tant qu'il y a de l'eau de le verre). 
Mieux que de long discours, l'internaute aime aussi se divertir. En l'occurrence quand les deux servent la même cause, cela ne peut être que bénéfique :)
 PS : Je suis d'ailleurs très surpris de la difficulté de trouver ce genre de gadget à l'achat en France. J'ai du en faire venir d'Allemagne en ce qui me concerne..."

Lire la suite sur http://astro.ensc-rennes.fr/index.php?pw=funny_physics#bird

 Merci à Aurélien L. ! Voici une idée qui devrait particulièrement plaire à l'ami Bruno !

 

Nota : Quelques liens vers des vidéos ont été rajoutés le 16/10/2008 dans nos dossiers. Ils concernent Belinski, Pantone, Le Plasmatron du MIT, Griggs, les vidéos de LightWorks "The race to Zeropoint" dont Mallove, Newman, Reed, Hutchison...