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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 08/04/2005, mise à jour le 21/12/2005
 

BIO - ENERGIE, ESPRIT ET MATIERE
RECHERCHES EN RUSSIE

Page créée le 23 janvier 2002 dans www.quanthomme.org

modifiée le 8 avril 2005 - dernière mise à jour le 21 décembre 2005 

Extrait de la revue AURA-Z- Vol 2,  fascicule 2 - 1995

 

1- Thérapies quantiques, la médecine du XXI ème siècle

 de Vladimir Joukovsky

Vladimir Joukovsky est né le 23 août 1938. Diplômé du Premier Institut de Médecine de Moscou (1961), il a parcouru une voie depuis le boursier de thèse jusqu'au chef de chaire.
Docteur d'Etat en médecine, professeur, membre titulaire de 12 académies du monde, Vladimir Joukovsky a été nommé en 1987 vice-directeur du Centre national des technologies de pointe auprès du Conseil des ministres de l'URSS. Depuis 1992, il est Président de la Ligue Internationale des Médecins auprès des Nations Unies.
Auteur de plus de 300 ouvrages de recherche et inventions brevetées.
Ses intérêts principaux sont centrés sur l'anesthésiologie, la réanimatologie, les nouvelles techniques de traitement, les systèmes automatisés de contrôle en médecine, la protection de l'environnement.


Les organismes vivants, dont celui de l'homme, sont des systèmes caractérisés par de multiples relations intérieures capables, dans une large mesure, de conserver leur état stationnaire. Pour les étudier de façon efficace, il est nécessaire de considérer l'organisme comme un système cohérent régi par les mêmes lois biologiques que celles qui déterminent l'évolution de la matière vivante.
Il a fallu un siècle, et même plus, pour découvrir les lois fondamentales des organismes vivants, différentes des lois de la matière inorganique. A l'étape initiale, cette tendance a joué un rôle positif. Et si, ces derniers temps, elle a commencé à freiner la libre recherche, c'est parce qu'elle est devenue, pour les biologistes et les médecins, un moyen de défendre leurs conceptions dont le niveau ne répond plus, dans bien des cas, à l'état actuel des recherches sur les systèmes non linéaires, dont l'organisme humain.


Les théories récemment formulées dans les sciences naturelles contribuent à résoudre ce problème. L'une d'entre elles, la théorie de l'auto-organisation de la matière, part des critères universels appliqués en synergétique.

C'est dans le cadre de cette science qu'une série de modèles ont été élaborés sur la base de la conception selon laquelle tout organisme comporte une carcasse électromagnétique informationnelle formée à la suite de l'interaction cohérente du rayonnement avec les structures cellulaires. Les fréquences porteuses de ce système sont les ondes électromagnétiques millimétriques. Cette hypothèse suppose que les principes de la physique quantique (identité et discrétion) ont une valeur universelle à tous les niveaux de l'organisation structurelle de la matière, c'est-à-dire à tous les degrés de l'échelle quantique.

Ainsi donc, il devient possible de décrire la matière vivante et les corps inorganiques en se servant de méthodes utilisées par les disciplines fondamentales. Dans ce cas, le traitement par résonance à micro-ondes (TRM) est considéré comme une forme de correction de la carcasse électromagnétique informationnelle ou, en termes de physique quantique, comme le passage d'un système de l'état métastable à l'état fondamental.

La méthode TRM est fondée sur les particularités de la perception par l'organisme humain du rayonnement électromagnétique (REM) ayant une fréquence extrêmement haute de 52-78 GHz et dont la longueur d'onde est égale à 3-5 mm.
L'interaction de ce rayonnement avec l'organisme humain fait apparaître des effets de résonance qui dépendent directement de la fréquence utilisée et qu'il est impossible d'expliquer par les mécanismes traditionnels d'absorption du REM par les objets biologiques.

L'organisme humain distingue nettement la fréquence du rayonnement électromagnétique et réagit immédiatement (par une modification de l'encéphalogramme, de l'électrocardiogramme et d'autres paramètres) à l'action de ce que l'on appelle "fréquence caractéristique individuelle". Celle-ci provoque généralement chez le malade des réactions sensorielles spécifiques désignées par le terme "REPONSE".

 


L'indication sensorielle du rayonnement électromagnétique à fréquence extrêmement haute (REM FEH) revêt un caractère de seuil. Ainsi, la valeur réelle du seuil de densité qui caractérise le flux de puissance chez les malades est très basse, de l'ordre de 10-10 W/cm², soit des milliards de fois plus faible que la puissance d'une ampoule électrique. Cette valeur se trouve dans la zone d'action non thermique du REM FEH. C'est la première particularité de la méthode.

L'effet du rayonnement persiste après sa cessation. Sa durée augmente d'une séance à l'autre et finit, à un certain moment, par surpasser l'espace de temps qui sépare les séances. C'est la deuxième particularité de la méthode.

Enfin, les réactions sensorielles provoquées par le REM FEH ne surgissent pas à l'endroit même où le rayonnement exerce son action, mais dans la zone du foyer lésionnel, bien qu'ils puissent être éloignés l'un de l'autre. Les zones de l'organisme humain particulièrement sensibles à l'action du REM FEH coïncident avec les points d'acupuncture. Mieux, les réactions sensorielles caractéristiques surgissent dans la zone du foyer lésionnel à l'instant même où le rayonnement à fréquence extrêmement haute commence à agir sur ceux des points d'acupuncture qui, selon les conceptions traditionnelles de la médecine orientale, sont directement liés à ce foyer. C'est la troisième particularité de la méthode. Il se trouve donc que l'interaction du REM FEH avec l'organisme humain et le contrôle des fonctions à travers les points d'acupuncture sont les maillons d'une même chaîne.

Cependant, tout en étudiant les diverses parties de l'organisme, on ne doit pas oublier que celui-ci est un ensemble bien structuré. Le foie, les reins, le système nerveux et d'autres systèmes et organes ne constituent pas encore l'individu tout entier.

L'"homo sapiens" est doué non seulement d'un système nerveux extrêmement complexe, mais aussi d'une imagination fertile et de la faculté d'éprouver des émotions très variées. Tous les hommes sont différents : les uns aiment certaines choses, d'autres ne les aiment pas. Cette diversité de goûts et de comportements ne saurait être révélée par aucune étude du foie et des reins, même si l'on utilise à cet effet le matériel le plus performant.


A la différence du traitement médicamenteux, le traitement par résonance à micro-ondes tient compte de ces particularités. Son action correctrice s'exerce au niveau des principaux processus dynamiques qui s'opèrent dans le système nerveux central. Ainsi, non seulement le TRM assure la cicatrisation de la lésion ulcéreuse, mais encore elle parvient à combattre la maladie elle-même. Cet effet est confirmé par l'analyse des résultats d'un test effectué au Minnesota. Il s'ensuit donc qu'avec une sélection judicieuse de sujets, le TRM se révèle plus efficace que les médicaments spécifiques dans le traitement des ulcères de l'estomac et du duodénum.

Un rôle important appartient à l'action subjective que le traitement par résonance à micro-ondes exerce sur les sentiments et l'imagination des sujets. Ainsi, chez les personnes atteintes d’alcoolisme chronique et d’opiomanie, le TRM parvient à normaliser l’affectivité, à enrayer la propension à l’alcool et aux stupéfiants, à affaiblir ou à éliminer complètement le syndrome d’abstinence. Enfin, cette méthode peut être également utilisée à titre prophylactique.

La fréquence individuelle de rayonnement électromagnétique est choisie à l’aide d’appareils stationnaires et portatifs. Dans le premier cas, le paramètre recherché peut être déterminé objectivement au moyen de l’électroencéphalographie (d’après la modification des ondes lentes) ou de l’électrocardiographie (d’après la stabilisation du rythme cardiaque). Il est à noter que chez 86% des sujets, les manifestations enregistrées objectivement coïncident avec la sensation de chaleur ou celle de picotement qu’ils éprouvent tant dans la zone d’action du rayonnement électromagnétique que le long des méridiens jing, ce qui facilite la recherche de la fréquence individuelle du sujet.

Les appareils portatifs utilisent l’action exercée par un spectre d’émission spécifique, appelé "bruit blanc". Ce procédé implique le choix par l’organisme lui-même de la fréquence qui convient le plus au traitement. Ce choix se traduit aussi bien par les modifications objectives, qui s'opèrent dans l'organisme du malade, que par les sensations subjectives de celui-ci.

Un traitement TRM comprend 10 à 12 séances quotidiennes qui durent 15 à 30 minutes chacune, selon la nature de l'affection et l'état de santé du patient. Dans certains cas, un seul traitement suffit à provoquer l'effet recherché ; dans d'autres, il en faut plusieurs. Pendant les séances, il est recommandé de ne pas agir sur plus de trois points biologiquement actifs.

Considérons quelques exemples. Les recherches cliniques, biochimiques et autres attestent que le TRM se révèle beaucoup plus efficace que la médication et la balnéophysiothérapie dans le cas de la nécrose aseptique de la tête du fémur. Sa capacité d'inhiber les processus aseptiques dans le tissu osseux a permis d'appliquer cette méthode pour traiter la nécrose septique de l'os, c'est-à-dire l'ostéomyélite. Dans ce cas, il est devenu possible d'accélérer la cicatrisation des plaies infectées, tout en affaiblissant la virulence de l'agent contaminateur et en augmentant considérablement la résistance de l'organisme au processus septique.

Enfin, on doit citer l'action positive du TRM sur les processus lésionnels spécifiques qui caractérisent la paralysie infantile cérébrale (PIC).

 

Etant donné que dans le cas du PIC, le traitement curatif commence d'habitude assez tard (à l'âge de 2 à 5 ans), on constate chez la plupart des enfants la dyskinésie, ainsi que des troubles de la parole et des dérèglements intellectuels. Voilà pourquoi, il est très important de dépister la maladie à temps et de procéder sans tarder au traitement. Tout atermoiement risque de compliquer sérieusement la guérison et de retarder d'au moins 5 à 12 ans la réadaptation sociale et médicale de l'enfant.

Avant l'application du TRM, les sujets que nous avons choisis avaient plus d'une fois suivi un traitement médicamenteux, fonctionnel ou balnéophysiothérapeutique dans des cliniques et des stations de cure, sans obtenir l'effet souhaité. Le traitement par résonance à micro-ondes a donné, lui, des résultats spectaculaires.

Au cours d'une année, il est recommandé de suivre jusqu'à 5 traitements appliqués selon cette méthode, à 3-4 semaines d'intervalle. Deux à quatre traitements supplémentaires administrés au cours des années suivantes suffisent à maintenir l'effet obtenu.
Dans le cas du diabète sucré, le TRM est capable de stimuler rapidement la production d'insuline par le pancréas. Les résultats obtenus nous amènent à une conclusion très importante quant au mécanisme de l'action thérapeutique du TRM : il s'agit d'un ordre donné à l'organisme de trouver et d'utiliser correctement les réserves dont il dispose pour combattre la maladie à travers une suite complexe de transformations systémiques. C'est ainsi que la médecine confirme les thèses de la physique expérimentale.

Parmi les autres facteurs qui caractérisent cette méthode, il convient de citer son efficacité dans le traitement du pemphigus vulgaire et sa contribution à la prophylaxie des affections cancéreuses.

Les avantages qui distinguent le TRM des autres procédés de traitement sont les suivants :

Premièrement (et c'est la chose la plus importante), la possibilité de faire valoir, par le choix d'une fréquence individuelle dans la gamme des ondes millimétriques, le principe proclamé par les grands cliniciens :
"Soigner le malade et non pas la maladie".
Or, tout en entendant par-là qu'il est nécessaire de prescrire pour chaque sujet un traitement strictement individuel, aucun médecin, avant l'apparition de la médecine quantique, ne pouvait réaliser ce principe autrement que par le choix d'une dose de médicament ou d'un procédé thérapeutique bien adapté à chaque cas particulier. Un traitement individuel qui ne tient compte que du poids, du sexe et de l'âge du patient ne saurait rétablir réellement, de façon sélective, les fonctions déréglées, même si l'on utilise à cet effet les médicaments les plus modernes à des doses bien mesurées.
Par contre, la fréquence thérapeutique choisie dans chaque cas concret permet au médecin d'agir sur les fonctions déréglées de l'organisme par un moyen qui est tout aussi individuel que le groupe sanguin, les empreintes digitales, le code génétique, etc.
Ainsi donc, la nouveauté de la méthode TRM consiste dans le fait que non seulement elle requiert une approche individuelle de chaque cas d'affection, mais, à la différence des autres procédés de traitement, elle détermine cette approche.

Deuxièmement. Lorsque l'action sélective dirigée sur le foyer lésionnel (ulcère, inflammations ou douleurs chroniques) se trouve associée à l'action thérapeutique générale exercée sur l'ensemble de l'organisme, il devient possible de soigner à la fois le malade et la maladie. Cela entraîne, pour certaines maladies incurables, des rémissions tellement longues qu'on peut parler d'un état proche de la guérison.

Troisièmement. Les avantages du TRM sont particulièrement évidents si l'on classe les maladies selon les syndromes. A la différence du principe nosologique, cette classification implique une approche plus différenciée des résultats du traitement. Ainsi, l'analyse syndromatique des résultats positifs montre que dans certains cas, il s'agit du rétablissement total des fonctions déréglées et dans d'autres, de l'élimination de quelques syndromes ou symptômes, par exemple de la douleur chez les malades cancéreux.

Quatrièmement. Le rayonnement à fréquence extrêmement haute agit sur l'organisme du malade de façons différentes, y compris par la libération de substances endogènes biologiquement actives. Pour leur effet thérapeutique, ces substances surpassent de beaucoup les médicaments traditionnels. Les essais cliniques confirment que le traitement par résonance à micro-ondes s'avère plus efficace que la médication dans le cas de certaines affections. Mieux, l'emploi de médicaments parallèlement au TRM inhibe souvent la sécrétion de substances biologiquement actives, ce qui affaiblit l'effet thérapeutique général.

 


Cinquièmement. L'absence d'effets secondaires, confirmée par les résultats de recherches expérimentales et cliniques, permet de recommander le TRM en qualité de méthode destinée au traitement et à la prévention de nombreuses maladies.

Le TRM est indiqué dans plus de 60 affections. Ce facteur a servi de prétexte pour coller à cette méthode la sinistre étiquette de panacée. En effet, aucun médecin ne manquera de mettre en doute l'information selon laquelle un seul médicament est capable de guérir 60 maladies. Mais abandonnons la tendance à coller des étiquettes et, tout en comprenant que la panacée n'existe pas, posons-nous la question suivante : ne serait-il pas judicieux de voir dans les résultats positifs du traitement de plusieurs dizaines d'affections non pas un écart par rapport aux lois, mais une manifestation de celles-ci ?

Nul n'aura l'idée d'appeler "panacée" les moyens pharmaceutiques et physiothérapeutiques modernes qui permettent de guérir jusqu'à 10 000 maladies. Et si la nouvelle méthode est qualifiée de panacée, c'est parce qu'on la considère à tort comme un facteur physique curatif. En réalité, il s'agit bel et bien d'un procédé qui consiste à corriger par voie de résonance l'état fonctionnel de l'organisme humain lors de l'action exercée sur lui à travers les points d'acupuncture par un champ électromagnétique dans la gamme des ondes millimétriques. Cette interprétation permet de considérer le TRM comme un immense arsenal de moyens d'action comparable à l'arsenal de produits pharmaceutiques. Ainsi, rien que la détermination des paramètres fondamentaux de cette action relativement à diverses maladies (niveau de puissance, durée des séances, leur nombre et régularité, régimes de traitement, recherche de nouveaux méridiens et points cutanés, etc.) pourrait alimenter pendant plus d'une année les travaux de nombreuses équipes de chercheurs. Mais ce qui unit ces multiples variantes du TRM, c'est le fait qu'elles visent toutes la même cible : la carcasse électromagnétique de l'organisme.

Lorsqu'on arrive à résoudre un problème médical à un bas niveau de résolution, notamment au niveau clinique (ainsi que c'est le cas des exemples cités), c'est, sans aucun doute, une grande réussite, car cela permet de pas engager des recherches plus complexes, celles à des niveaux plus élevés de résolution, par exemple au niveau moléculaire ou sub-moléculaire.

A l'avenir, lors du perfectionnement de la méthode TRM, il faudra partir du principe selon lequel l'analyse effectuée au niveau élevé ne sera nécessaire que si elle s'avère infructueuse à un niveau plus bas. C'est uniquement dans cet ordre méthodologique, depuis l'examen clinique jusqu'à l'analyse de la stabilité différentielle multiforme de la matière vivante, que l'on doit chercher la réponse à la question de savoir comment, dans le cas d'affections très variées, on parvient à restructurer l'organisme du malade en agissant sur les points d'acupuncture par un rayonnement électromagnétiques à fréquence extrêmement haute dans la gamme des ondes millimétriques.

Examinons les résultats de certaines recherches expérimentales. Ainsi, l'augmentation de 3, 6 fois et plus du taux de concentration du groupe d'hormones opioïdes dans un milieu biologique à la suite du traitement par résonance à micro-ondes suffit à expliquer, à partir des positions de la médecine classique, des effets tels que l'anesthésie ou l'enraiement du syndrome d'abstinence dans les cas de l'alcoolisme chronique et de la toxicomanie.

Cependant, l'attitude critique envers les résultats de mes propres recherches m'amène à constater qu'ils ne sont autre chose qu'une bonne occasion d'expliquer le phénomène TRM, une tentative de déterminer le caractère d'une personne d'après son écriture ou sa démarche.

Toute élégante que puisse paraître l'explication des résultats positifs du traitement par résonance à micro-ondes, elle n'arrivera jamais à embrasser l'ensemble des processus assurant la stabilité différentielle multiforme de la matière vivante. C'est précisément cette stabilité que le TRM parvient à rétablir, en faisant passer l'organisme malade de l'état métastable à l'état fondamental. Le traitement par résonance à micro-ondes est donc un nouveau principe de rétablissement des possibilités fonctionnelles de l'organisme, principe qui n'est pas encore conceptualisé au niveau de la biophysique, de la biochimie et de la médecine expérimentale et clinique. La tâche des médecins ne consiste pas à découvrir les mécanismes du TRM, mais à contrôler de la façon optimale le rétablissement des fonctions déréglées. Et ce, évidemment, à partir des positions de la médecine classique.

Quant'Homme remercie " scalpel " d'avoir passé du temps sur ce document que nous avons publié initialement sous forme d'images et surtout de nous avoir transmis son travail de retranscription sous format word pour que tous profitent de ses efforts !