« S’il est incontestable que les théories sont utiles au
développement d’une science, il n’est pas indispensable qu’elles
soient en tout point exactes. Elles ne sont, a dit Paul Sabatier
(prix Nobel de chimie 1912), que la charrue qui sert au laboureur
pour tracer son sillon et qu’il lui sera permis de remplacer par une
plus parfaite au lendemain de la moisson. »
« Ce n’est pas bon signe de nier quelque chose que l’on constate,
simplement parce qu’on ne le comprend pas. »
Prof G.
Piccardi |
Réacteur Pantone en "Système
Gillier-Pantone"
à bulleur à eau seule
:
Système simple – Réactions complexes
Réflexions (Jean Soarès)
15 décembre
2005
SYSTEME G réacteur Pantone à la
française
Réflexions
par Jean Soarès
« S’il est
incontestable que les théories sont utiles au développement d’une
science, il n’est pas indispensable qu’elles soient en tout point
exactes. Elles ne sont, a dit Paul Sabatier (prix Nobel de chimie
1912), que la charrue qui sert au laboureur pour tracer son sillon
et qu’il lui sera permis de remplacer par une plus parfaite au
lendemain de la moisson. »
« Ce n’est pas bon signe de nier quelque chose que l’on constate,
simplement parce qu’on ne le comprend pas. »
Prof G. Piccardi |
Réacteur Pantone en "SYSTEME Gillier-Pantone "
à bulleur à eau seule
:
Système simple – Réactions complexes
Réflexions (Jean Soarès)
Le système G (initiale du nom de
l’agriculteur qui pour la première fois a pensé à ce genre d’utilisation)
est une autre façon d’utiliser le réacteur Pantone.
Partant de là, à partir de bientôt 5 ans d’observations, à partir de
réalisations, de littérature scientifique d’hier et d’aujourd’hui,
d’échanges avec lecteurs et amis que je remercie, je réfléchis à la
simplicité du montage de ce système et à la complexité des réactions
pouvant se produire à l’intérieur du système G tout en étant très
conscient de ne voir qu’une partie de « l’iceberg » …
Nous avons donc
Le réacteur : très simple, 2 tubes, une tige coaxiale au tube
intérieur.
Dans l’espace entre les deux tubes, l’échappement pousse ses gaz
chauds qui apporteront des calories au réacteur et, en même temps, par ses
forces de frottement sur le tube intérieur, entraîneront une réaction qui
ne doit pas être négligeable puisque, quand on inverse le sens du flux,
le réacteur fonctionne moins bien.
Les gaz d’échappement vont aussi servir à chauffer par bain-marie
l’eau du bulleur.
Du bulleur part un tube relié au coeur du réacteur, un autre tube relie la
sortie du réacteur à l’entrée d’air.
Pour que le réacteur fonctionne, que le bulleur fonctionne (car ce qui est
aspiré à la sortie du réacteur n’arrive pas directement à l’admission du
moteur contrairement à ce qui se passe dans le système Pantone d’origine),
il faut obtenir une dépression dans le réacteur et obturer
partiellement l’entrée d’air.
Quant au bulleur, il fonctionne à partir d’une entrée d’air sur
l’extérieur et par l’aspiration à travers le réacteur. L’entrée d’air
étant partiellement obstruée par un système à géométrie
variable allant jusqu’aux 2/3, l’air ne sera donc plus
majoritaire à l’aspiration, dans la majorité des cas ce qui permet de
penser que le Nox est réduit, l’air étant constitué d’environ 78% d’azote
ce qui n’est pas le cas de l’eau qui en est dépourvue.
Le système G est donc un système qui ne change pas le système
d’origine, tout au plus l’entrée d’air, et qui ne change pas le
carburant d’origine, ce qui est intéressant vis-à-vis de la législation,
et qui permet de répondre à la nécessité évidente de libérer la planète de
la pollution, comme il est largement établi dans des sommets sur la
protection de l'environnement (tels que celui de Kyoto).
Nota : En affinant les
interprétations de ces textes, moins polluer avec ses moteurs n'est pas un
délit, au contraire
Loi 2000-647 du 10.07.2000 dont l'article 1er dit ceci :
"Le troisième alinéa de l'article 121-3 du code pénal est remplacé par
deux alinéas ainsi rédigés :« Il y a également délit, lorsque la loi le
prévoit, en cas de faute d'imprudence, de négligence ou de manquement à
une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le
règlement, s'il est établi que l'auteur des faits n'a pas accompli les
diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses
missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et
des moyens dont il disposait. Dans le cas prévu par l'alinéa qui précède,
les personnes physiques qui n'ont pas causé directement le dommage, mais
qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation
du dommage ou qui n'ont pas pris les mesures permettant de l'éviter, sont
responsables pénalement s'il est établi qu'elles ont, soit violé de façon
manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de
sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute
caractérisée et qui exposait autrui à un risque d'une particulière gravité
qu'elles ne pouvaient ignorer. »
Art.122-5 al 1 du Code Pénal
" N'est pas pénalement responsable la personne qui,
devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit,
dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime
défense d'elle-même ou d'autrui, sauf s'il y a disproportion entre les
moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte. N'est pas
pénalement responsable la personne qui, pour interrompre l'exécution d'un
crime ou d'un délit contre un bien, accomplit un acte de défense, autre
qu'un homicide volontaire, lorsque cet acte est strictement nécessaire au
but poursuivi dès lors que les moyens employés sont proportionnés à la
gravité de l'infraction. "
Article 122-7 N'est pas pénalement responsable
la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même,
autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la
personne ou du bien, sauf s'il y a disproportion entre les moyens employés
et la gravité de la menace.
Schéma Xavier Faure
Donc les gaz d’échappement poussent, le réacteur aspire,
et plus l’aspiration est bonne, plus la dépression, plus le vide
relatif sont importants, plus la vitesse des gaz est rapide, plus le
réacteur est performant.
|
Attention aux prises d’air et fuites ! Le système nécessite de bonnes
soudures, ou mieux que les pièces soient vissées : on peut employer des
durites haute température qui facilitent grandement les raccords.
En ce qui concerne l’espace entre les deux tubes : il ne doit pas trop
ralentir la sortie des gaz d’échappement, ce qui nuirait au bon
fonctionnement du moteur. Pour l’espace entre le tube et la tige
intérieure,1mm semble être la bonne dimension pour compresser, accélérer
les molécules d’eau venant frotter les parois du réacteur.
L’étude basée sur la
thermodynamique faite par Michel David est très intéressante mais les bons
résultats confirmés par le nombre et la durée des expérimentations
semblent venir aussi du fait que les micro gouttelettes d’eau viennent
frotter sur les parois du tube intérieur. Ce sont les travaux de Armstrong
et de Thomasi (1875) (Annexe 1)
qui nous apprennent que pour créer un fort champ électrique statique et
magnétique, il faut que les molécules d’eau frottent sur les parois
métalliques…Elles créent ainsi de micro étincelles qui vont venir
percuter les molécules d’eau dans cet espace déjà chauffé par les gaz
d’échappement, le transformant en chambre de volatilisation et en créant
un effet de micro orage.
L’aspiration du réacteur va créer
une turbulence dans l’eau chauffée du bulleur et ce sont les particules
les plus fines qui seront aspirées par le réacteur. C’est pour cela
que le bulleur doit avoir une certaine hauteur et qu’au besoin, à la
sortie du bulleur, un tampon métallique peut être placé, sans toutefois
nuire à l’aspiration.
Le bulleur n’a pas besoin d’être
très grand ce qui permettra de chauffer plus rapidement, et peut être
alimenté par un réservoir annexe comme il est expliqué dans les pages de
M. David.
(L’évaporation est plus grande
quand la pression baisse d’où l’évaporation sous vide à des fins
industrielles)
La quantité ou volume d’air-plasma
demandée par le moteur ne changeant pas, il n’est pas toujours utile de
mettre plusieurs réacteurs ce qui risque de nuire à la qualité de la
dépression. Seuls les gros moteurs le justifient.
Une appellation trompeuse : les moteurs
dits « à eau. »
Un vrai moteur à eau, serait un moteur type moteur Meyer, Puharich, Dingle
etc.
Dans la littérature scientifique,
technique, on parle de moteurs fonctionnant avec injection d’eau. C’est
exact, des brevets ont été déposés, entre 1895 et 1900 sur des moteurs
fonctionnant avec toutes sortes de carburants et addition d’eau. Le
premier fut sûrement Viet de chez Dedion-Bouton en 1895, suivi par Hornsby
en 1897 qui travailla surtout sur les engins de chantier, Banki en 1898 à
Budapest et Vernet et Clerget, vers 1900, ces derniers alimentant un
moteur Diesel avec 3 injecteurs dont un était réservé à l’eau.
Mais l’eau, dans ces systèmes,
n’était utilisée que pour réguler l’explosion ou la combustion, et
éviter auto allumage et cliquetis.
Parfois, certains avaient
remarqué une augmentation de puissance… puissance utilisée par la suite
dans l’aviation pour échapper à l’ennemi, mais les casses étaient
fréquentes.
C’est sans doute ces souvenirs qui ont alimenté les critiques annonçant le
risque de casse sur les systèmes Pantone pur ou les systèmes G montés sur
les tracteurs. En bientôt 5 ans d’expérimentations et de suivi sur des
tracteurs équipés, il n’y a pas un agriculteur qui a signalé de la casse
car il n’y a pas d’injection d’eau dans le moteur avec
un système G.
Pourquoi dans l’utilisation du système G
a-t-on des résultats aussi performants ? À savoir :
Division par 2, 3 ou 4 de la consommation
Disparition quasi-totale de la pollution
Augmentation de puissance
Michel David dans sa page 15 et dans sa page 17, montre que l’apport
calorique à lui seul peut expliquer ces bons résultats.
Mais existe-t-il d’autres explications ?
Je reviens aux travaux de Armstrong et de Thomasi, avec cet effet produit
par les micros étincelles sur les micros particules d’eau expliquent la
possibilité d’obtenir un fort champ électromagnétique.
(Annexe 1)
Dans le système G, plus la vitesse des gaz est importante, meilleurs sont
les résultats. Que remarquent les agriculteurs ? Plus ils « tirent » sur
leurs machines, moins ils consomment. Ce qui paraît illogique, car appuyer
sur le champignon a toujours fait consommer plus. Mais dans ce cas, c’est
plutôt logique puisqu’on fait un appel d’air où
intervient en majeure partie le produit du réacteur, ce qui va créer une
dépression supplémentaire, accélérer les gaz, augmenter les champs
électriques et magnétiques, (d’où la tige aimantée, plus ou moins suivant
le métal), mais dès que l’on coupe le moteur, il n’y a plus de tirage et
de magnétisation, et il ne restera que celle dépendant du métal. La tige
aimantée a toute son importance dans ce raisonnement.
Il y a un mot qui gêne quand on parle des systèmes Pantone qu’ils soient
du PMC d’origine ou adaptés en système G, c’est le mot
plasma (Annexe 2)
Ce nom, qui a été donné par
Irving Langmuir, correspond au quatrième état
de la matière.
L'image peut être agrandie
De gauche à
droite, Sinclair Lewis (1885-1951), Prix Nobel de littérature 1930, Frank
Kellogg (1856-1937), Prix Nobel de la paix 1929, Albert Einstein
(1879-1955), Prix Nobel de physique 1921, et Irving Langmuir (1881-1957),
Prix Nobel de chimie 1932.
Source Encyclopædia Universalis 2005
Plasma : c’est tout
d’abord un gaz ionisé, électrifié. Dans cet état, la température apporte
des caractéristiques différentes au plasma. Les plasmas intergalactiques,
les plasmas des tubes à décharge, type néon, xénon, mercure, la
ionosphère, les aurores boréales et les vents solaires en sont des
exemples. Il existe mille sortes de plasmas (allant des températures
négatives aux millions de degrés)……Mais ce sont toujours des plasmas
quelles que soient leurs densités et leurs températures.
(Annexe 2)
Si l’on considère que dans le cœur du réacteur Pantone en système G, les micro
gouttelettes d’eau subissent des décharges électriques saccadées, ne
serait-ce que par les cycles du moteur (et l’effet serait encore augmenté
si on utilisait en plus un distributeur comme Michel David l’a conseillé
dans ses pages 5, 10, et 14), on obtiendrait alors une électrisation des
molécules d’eau particulière.
M. Dragonera dans son livre «
Avec Tesla, Schauberger, l’Energie Libre »
explique que :
« …on peut former un vortex dans
une vapeur d’eau rapidement, en ionisant par de brusques décharges
électriques et que, dans un champ magnétique longitudinal, un plasma peut
prendre la forme d’une spirale, et qu’alors un vortex de plasma produit un
champ macroscopique résonant qui rend légèrement cohérentes les
fluctuations du vide au point zéro ».
Ce qui expliquerait l’intérêt porté au système
Pantone par des physiciens comme Eugène Mallove.
Dr Eugène Mallove - Source
Jeane Manning
Toujours d’après M Dragonera,
dans la physique des plasmas, quand une énergie suffisante est ajoutée à
un gaz par une impulsion électrique par exemple, elle le ionise en plasma
et si on y ajoute encore plus d’énergie, le plasma devient violent et
turbulent et se transforme en vortex méta - stable appelé plasmoïde
(petite boule de plasma).
Un plasma pénétrant dans la chambre à combustion n’a pas les mêmes
conséquences sur la combustion qu’un simple gaz non ionisé….
Le but est d’obtenir un plasma le plus riche possible, le plus chaud
possible et qu’un minimum de micros gouttelettes d’eau non électrisées
arrivent dans le moteur ; en fait, se rapprocher le plus possible (avec le
tandem réacteur-moteur) de ce qui se passe avec le Plasmatron du
M.I.T. (Annexe 7)
ou ce qui se passe avec le système Pantone original
(Annexe 2)
Certains ont remarqué qu’après avoir vidé le bulleur de son eau une
réaction analogue continuait de s’exercer sur le moteur. L’action
cyclonique une fois amorcée dans le réacteur continuerait- elle pendant un
certain temps sur l’air seulement, comme semble l’expliquer Pantone quand
il dit: « On a few occasions,
we have witnessed ballistic-level reactions where the engine seems to run
on air, putting out unrealistic power levels for the engine size »
(« to run on air »,
des termes qui nous avaient fortement intrigués)
Se pourrait- il aussi que dans certains cas (plasma riche) une implosion
puisse se produire ? (Voir Yul Brown).
Se pourrait-il qu’un système G idéalement conçu en arrive à de telles
réactions, d’autant plus que la forme du réacteur tube et tige, et le vide
relatif favoriseraient ce vortex ?
Quant à la résonance, est-elle due à la tige, à un effet de cavitation ou
à d’autres phénomènes dont nous parlerons plus loin ? (Ou à un ensemble de
phénomènes)
Est-ce que le réacteur peut décomposer les micros gouttelettes d’eau ou la
vapeur en atomes d’hydrogène et d’oxygène ?
Si l’on tient compte de la chaleur ambiante, ce n’est sûrement pas
possible, mais si on tient compte de la température des étincelles
percutant les molécules, il faudrait voir dans quelles proportions -cela
est possible.
Que peut-il se passer encore ?
Qu’avons-nous dans le réacteur ? Un champ électrique, un champ magnétique
et un fluide. Pourrait-on dans ce cas envisager un effet de M.H.D.
courant dans les plasmas.
Depuis les travaux de Lavoisier, on connaît la faculté de certains métaux
chauffés au rouge, par exemple le fer, de décomposer la vapeur d’eau en
hydrogène, le fer retenant l’oxygène.
(Annexe 5)
L’expérience consistant à faire goutter de l’eau sur une plaque de fer
rougi était très connue des garagistes (ce procédé de chauffage des
ateliers est maintenant interdit avec les nouvelles normes
environnementales).
Dans un fond de cuve, les
garagistes brûlaient de l’huile de vidange, une tôle de fer était
maintenue dans la flamme, un goutte à goutte d’eau sur la plaque rougie
augmentait considérablement l’efficacité du système et diminuait la
pollution.
Dans un système G il est peu probable que la température entretenue
soit suffisante pour obtenir ce type de réaction, même si nous avons vu
des tiges bleuies par la chaleur.
Certains parlent de phénomènes de résonance dans le système Pantone
original, et qui peuvent s’appliquer aussi au système G. Paul Pantone
parle même de faire « chanter » son système. Mais faut- il encore
qu’il chante « juste » et qu’il donne les bonnes harmoniques et
certainement en résonance avec la fréquence des molécules d’eau.
Le couple tige- tube intérieur dans ses dimensions,
sa composition, la vitesse du flux qui le parcourt, la production d’ondes
sonores audibles et inaudibles, avec toutes leurs conséquences sont à
étudier (Là c’est le musicien qui parle)
Un phénomène de magnétostriction ou autres phénomènes vibratoires
(Annexes 3 et 4)
pourraient-ils en être la cause ? Si l’on considère les
champs magnétiques et électriques alternatifs dus aux cycles du moteur,
cette magnétostriction serait encore nettement améliorée en utilisant un
distributeur ….comme ceux indiqués par M David dans ses pages 5,10 et 14.
Se pourrait-il aussi qu’il y ait un phénomène de cavitation, de sono
luminescence?
Si effectivement un phénomène sonique et ultra sonique peut se déclencher,
on peut pousser la réflexion encore plus loin.
La possibilité de fonctionner à
l’eau de mer peut, peut être nous faire « glisser » vers la « fusion
froide », la présence du deutérium (vingt grammes par tonne d’eau de mer)
pourrait servir « d’allumette ».
Autre phénomène possible : ces derniers temps, nous avons beaucoup parlé
d’inox et surtout d’inox série 310 en raison de la présence d’un fort
pourcentage de nickel pour la tige. Même si les températures dans les
hauts de cylindres sont élevées, ne serait-il pas judicieux de chercher,
voire de retrouver du nickel dans les hauts de cylindres ?
L’action catalytique du
nickel n’est- elle pas à étudier aussi ?
Constantin
Kouropoulos parle, lui, de radiolyse. C’est peut-être
possible avec certaines eaux chargées en radon comme par exemple en
Auvergne, en Bretagne.
Se pourrait-t- il que ce système, le système G, si simple, engendre toutes
ces réactions, ou bien une partie de ces réactions ?
Se conjuguent-elles entre elles, dans quelles proportions, et comment ?
L’ « équation » va être difficile à résoudre mais :
Si aucun
élément additionnel ne vient contrecarrer les réactions inhérentes
au système (intervention d’un champ magnétique extérieur par
exemple), si on laisse le système s’auto réguler, s’il est conçu
selon de bonnes proportions, dans de bons matériaux, si on obtient
les températures nécessaires et l’oxygénation indispensable, et un
plasma riche, il ne faudra peut-être plus qu’une « allumette »
d’hydrocarbure pour faire fonctionner le moteur.
|
Pour moi, les résultats différents obtenus par les
nombreux expérimentateurs à partir du système G ne m’étonnent pas.
Au départ, nous avons les données du moteur d’origine. Nous rajoutons un
système qui doit apporter un plus.
Un « petit plus » si le système est bien fait
mais à des proportions trop faibles, et un « grand plus » si le
système est bien adapté au volume d’aspiration du moteur, avec une
obturation adéquate modulant suivant les régimes et donnant la priorité au
gaz issu du réacteur apportant au moteur la quantité d’oxygène nécessaire
pour n’avoir pas d’imbrûlés. Je ne peux concevoir un « moins ».
Nota : Un expérimentateur d’un grand centre de secours
français nous a fait remarquer que la possibilité de tirer de l’oxygène de
l’eau du système G pourrait être d’un grand secours (voire vital
pour les pompiers) pour les véhicules luttant contre les incendies de
forêts. En effet le manque d’oxygène extérieur du au feu pourrait être
compensé par celui apporté grâce au système G monté sur leurs camions.
Une raison de plus pour étudier
le système G…
Que de questions, de points d’interrogations !
Mais les résultats obtenus par des centaines de tracteurs et autres
véhicules sont bel et bien là et nous encouragent à chercher, et il faudra
bien trouver des réponses, pour aller plus loin encore et optimiser ce
système G, comme Génial.
« Il y a des
faits hérétiques, ces faits là, parce qu’il portent en eux des
interrogations, parce qu’ils dérangent le confort intellectuel du
grand nombre, il importe de les expliquer plus complètement que les
autres. »
F. Bruno |
J’ai remarqué aussi que :
• Les durites à hautes températures donnent de bons résultats et sont plus
faciles à installer que des tubes en cuivre.
• Que toutes les tubulures doivent être le plus courtes possible.
• Le système « tout en un » (type 42 ou spad, vertical ou horizontal)
n’est pas forcément la meilleure solution, car pour pouvoir l’installer on
peut trop s’éloigner des accès et sortie moteur. Au vu des baisses de
consommation relevées par des utilisateurs comme Urbain (tracteur 36) et
Antoine (tracteur 22) il ne faut pas négliger que les systèmes séparant
bulleur et réacteur permettent d’obtenir de bons résultats, une bonne
combustion, et par conséquent de moins polluer.
• Les longueurs de tiges trop courtes pourraient aussi limiter les
phénomènes décrits ci-dessus.
• La composition du métal a toute son importance.
Ce qui
prouve bien que la multiplicité des variantes dans les montages
entraîne des différences dans les combinaisons et interactions de
toutes les réactions internes au réacteur et au « tandem » réacteur-
moteur par conséquent les résultats sont obligatoirement
différents.
|
A remarquer aussi : Les moteurs à combustion interne avec leur taux de
compression élevé donnent de meilleurs résultats que les moteurs à
explosions.
Et, au ralenti et aux bas régimes il faut revenir aux caractéristiques du
moteur (si l’on ne peut faire mieux).
Ne pas
oublier aussi que
Le système G n’est pas (forcément) une amélioration par rapport au système
Pantone d’origine, c’est seulement une autre façon d’utiliser le réacteur
de Pantone, sans modifier l’architecture du moteur, sans changer le type
de carburant (ce n’est plus un Processeur Multi Carburants P.M C.)
tout en ayant aussi de bons résultats.
ANNEXES pour
continuer de réfléchir
Textes
d'hier et d'aujourd'hui...
1 - Machine d’Armstrong - Thomasi champ
électromagnétique
Thomasi champ électromagnétique
A
noter : Monsieur Becquerel qui a exécuté d'importants travaux a vu que,
entre tous les gaz, l'oxygène était celui qui avait le plus grand
pouvoir magnétique et qu'un mètre cube de ce gaz condensé agit sur
une aiguille aimantée comme 5, 5 grammes de fer. Une des plus belles
expériences de Faraday est celle par laquelle, après bien des essais
infructueux, il réussit à réaliser l'aimantation de la lumière."
2 - Plasmas
Extraits de « Encyclopædia Universalis 2005 » : je vous conseille de
consulter l’intégralité de ce sujet.
L'énergie d’agitation thermique des molécules et atomes constituant
le gaz est alors suffisante pour que, lors de collisions entre ces
particules, un électron puisse être arraché à l'une d'entre elles. Ce
phénomène d'ionisation est d'autant plus fréquent que la température est
élevée. L’ionisation peut également être provoquée par l’impact d’un
corpuscule de lumière, un photon, appartenant au domaine du rayonnement
ultraviolet, sur une molécule ou sur un atome. À l’inverse, un électron et
un ion peuvent se recombiner lors d’une collision mettant également en jeu
une troisième particule, qui encaisse l’excès d’énergie associé à la
recombinaison, ou bien simplement lors d’une collision électron-ion avec
émission d’un photon. L’ionisation et la recombinaison conduisent ainsi à
des gaz partiellement ou presque totalement ionisés, appelés « plasmas ».
Composé de particules chargées positivement (ions) et négativement
(électrons), et éventuellement de particules neutres, le plasma est en
général globalement neutre (autant de charges positives que de charges
négatives), non pas tant parce qu'il est issu d'un gaz électriquement
neutre, mais plutôt parce que toute séparation à grande échelle des
charges positives et des charges négatives s'accompagne de l'apparition
d'un fort champ électrique qui rappelle les populations ionique et
électronique l'une vers l'autre….
L'appellation « plasma » couvre en réalité une très
grande variété d'objets physiques de températures et surtout de densités
très différentes. L'état plasma nous est peu familier sur Terre. Il
constitue cependant l'essentiel de l'Univers, puisque les étoiles, les
espaces interstellaires et intergalactiques sont des plasmas. Plus près de
nous, dans l'environnement terrestre, la magnétosphère et l’ionosphère
appartiennent également à cette catégorie. Dans la vie de tous les jours,
on trouve encore des plasmas dans les tubes à décharges électriques (tubes
à néon), les arcs électriques, les éclairs atmosphériques ou les aurores
boréales. À certains égards, les électrolytes ou les électrons dans les
métaux peuvent également être considérés comme des plasmas. Enfin, les
plasmas très chauds, dont la température est de l'ordre de la dizaine ou
de la centaine de millions de kelvins, sont étudiés en laboratoire pour
réaliser sur Terre de façon contrôlée la fusion thermonucléaire, à l’image
de ce qui se passe dans les étoiles, où elle est la source qui fournit
l'énergie qu'elles rayonnent. …
Les mouvements des électrons et des ions du plasma
sont essentiellement gouvernés par les champs électriques et magnétiques
qui règnent dans le plasma, parfois également par les collisions de ces
particules entre elles ou avec des particules neutres. C'est là la
différence principale avec l'état gazeux, où les collisions jouent le rôle
dominant. En retour, ces mouvements de particules chargées créent des
accumulations de charges et des courants électriques qui modifient la
structure et l'évolution du champ électromagnétique. Outre
l'électromagnétisme, l'étude des plasmas met également en jeu
l'hydrodynamique, en particulier la magnétohydrodynamique, pour traiter
les écoulements de plasmas ; la théorie cinétique, pour étudier les écarts
à l'équilibre thermodynamique de la répartition en vitesse des particules
; la physique atomique, pour déterminer les niveaux d'énergie des
molécules, atomes, et ions, et leurs degrés d'occupation ; la chimie, pour
décrire les réactions dans les gaz faiblement ionisés ou sur les surfaces
adjacentes ; enfin la physique non linéaire, pour traiter le comportement
des ondes de grande amplitude se propageant dans les plasmas…..
Les premières études sur les décharges, effectuées
par le physicien britannique Michael Faraday, remontent aux années 1830.
L'établissement des équations de Maxwell (1864), la découverte de
l'électron en 1897 par le Britannique Joseph John Thomson (Prix Nobel de
physique 1906) et la compréhension de la structure de la matière qui a
suivi ont permis l’avènement de la physique des plasmas au XXe siècle. Le
mot « plasma » apparaît lui-même dans les années 1920, sous la plume de
l'Américain Irving Langmuir (Prix Nobel de chimie 1932)….
Tout champ magnétique dans lequel se trouve plongé
le plasma tend à incurver les trajectoires des particules chargées, qui
s'enroulent autour du champ avec une vitesse angulaire appelée fréquence
cyclotron...
Les plasmas sont le siège de phénomènes ondulatoires
très variés, en particulier en présence d'un champ magnétique brisant le
caractère isotrope du plasma. Au moins pour les ondes de faible amplitude,
on peut toujours se ramener à l'étude des ondes planes où toutes les
grandeurs associées à l'onde, champ électrique, champ magnétique,
perturbation de densité, etc., s'écrivent sous la forme A(r,t) = A0 cos(yt
- k.r - f) où y est la fréquence angulaire, k le vecteur d'onde et f la
phase de l'onde considérée….
La formation de vagues à la surface de l'eau sous
l'effet du vent ou le développement de la turbulence dans les écoulements
hydrodynamiques à nombre de Reynolds élevé sont des manifestations
familières des instabilités et de la turbulence dans les fluides. Les
plasmas, qui sont des fluides constitués de particules chargées, peuvent
être de même le siège de nombreux phénomènes instables, conduisant
éventuellement à une turbulence développée. L'existence d'un grand nombre
de types d'ondes dans les plasmas y rend possible des formes très variées
d'instabilités et de turbulence. Les instabilités qui se développent dans
un plasma sont toujours le résultat d'une situation hors équilibre. Le
plasma peut, par exemple, occuper une région de l'espace et chercher à se
déplacer vers une autre, plus favorable du point de vue énergétique :
c'est le cas des instabilités magnétohydrodynamiques qui affectent le
confinement magnétique des plasmas et qui peuvent conduire à des
déplacements macroscopiques du plasma dans son ensemble. Plus spécifiques
de l'état plasma, les instabilités dites « cinétiques » mettent en jeu
l'interaction des ondes se propageant dans le plasma et de groupes de
particules, appelées « particules résonantes », dont les vitesses
s'accordent avec les vitesses de phase des ondes considérées.
L'instabilité se développe alors dans l'espace des vitesses et peut
conduire à une modification importante des fonctions de distribution des
particules. C'est par exemple le cas des instabilités faisceau-plasma,
déclenchées par le passage dans un plasma de faisceaux de particules
chargées. Les instabilités et la turbulence qui en résulte tendent à
reconstituer des fonctions de distributions maxwelliennes. Enfin, si le
plasma est traversé par une onde, en particulier électromagnétique, de
grande amplitude, les oscillations des particules chargées au sein de
cette onde peuvent donner lieu à l'excitation progressive d'ondes
secondaires (deux ou plus) qui pompent l'énergie de l'onde de grande
amplitude. Ces instabilités sont dénommées « instabilités paramétriques »,
par analogie avec les phénomènes de résonance paramétrique en mécanique.
On parle aussi de couplages non linéaires d'ondes dans la mesure où le
développement de ces instabilités peut être relié au caractère non
linéaire de la réponse du plasma au champ électrique des ondes. Ces
instabilités jouent un rôle crucial dans l'interaction d'ondes laser avec
les plasmas…
Les instabilités dans les plasmas ont pour effet de
redistribuer les particules dans l'espace réel ou dans l'espace des
vitesses, ou bien encore de redistribuer l'énergie entre les différentes
ondes susceptibles de se propager dans le plasma. La redistribution des
vitesses dans l'espace s'accompagne d'une modification du spectre des
ondes, l'ensemble pouvant dans certains cas être décrit par une théorie «
quasi linéaire » qui prédit en particulier que les particules se
réorganisent de façon à stabiliser les ondes initialement instables…
Les états turbulents qui résultent du développement
des instabilités peuvent être de nature différente en fonction des
caractéristiques initiales du plasma et des causes des instabilités.
Ainsi, on qualifie de turbulence magnétohydrodynamique l'état issu du
développement d'instabilités magnétohydrodynamiques, ou de turbulence de
Langmuir l'état résultant d'oscillations, rendues désordonnées par des
mécanismes instables, de type plasma électronique…
La dénomination « plasmas froids » recouvre en fait
les gaz partiellement ionisés, dont la température reste modérée,
atteignant 104 à 105 K, bien en deçà de la température des plasmas chauds.
Dans ces plasmas, les collisions élastiques ou inélastiques des électrons
et des ions avec les particules neutres (atomes et molécules) sont
fréquentes et dominent certains aspects du plasma. En général, le plasma
est créé par décharge dans un gaz entre la cathode, chargée négativement,
et l'anode, chargée positivement. Un gaz partiellement ionisé peut
également être créé par interaction d'un faisceau laser d'intensité
modérée avec une cible solide...
Depuis les lampes à arc au carbone de la fin du XIXe
siècle et les lampes à décharges luminescentes, les applications
industrielles des plasmas froids se sont considérablement diversifiées, et
cette diversité est due à la variété des configurations géométriques, des
paramètres physiques (densité, température, fréquence et intensité des
potentiels électriques appliqués) et de la nature du gaz ambiant (inerte
ou réactif) ou des parois solides constituant les électrodes ou se
trouvant en contact avec le plasma…
On réserve le nom de plasmas thermiques aux plasmas
relativement denses, en équilibre thermodynamique (au moins localement),
et produits par des décharges du type arcs électriques ou de type
radiofréquence, ou par des torches à couplage inductif. Ces plasmas sont
essentiellement présents ou utilisés dans les appareils de coupure
électrique (interrupteur à plasma en électronique de puissance), dans le
traitement métallurgique, le traitement thermique, la soudure, ou le
traitement des déchets ou des polluants...
Les plasmas froids à basse pression sont, au
contraire des plasmas thermiques, hors équilibre thermodynamique. Les
températures des diverses populations sont différentes les unes des autres
(en particulier Te > Ti à cause du faible taux d’échange d’énergie des
électrons), et on peut également distinguer les températures
vibrationnelles et rotationnelles associées aux degrés de vibration et de
rotation des molécules du gaz. En outre, les distributions des vitesses
des particules chargées s’écartent sensiblement des maxwelliennes.
La magnétohydrodynamique (M.H.D.) est une branche de
la physique consacrée à l'étude des mouvements des fluides conducteurs de
l'électricité en présence de champs magnétiques. Elle s'applique aux
métaux liquides (mercure, métaux alcalins fondus),
aux gaz faiblement ionisés et aux plasmas.
Lorsqu'un fluide conducteur se déplace dans un champ magnétique, il est le
siège d'un champ électrique qui y produit des courants électriques ;
ceux-ci modifient le champ magnétique initial ; d'autre part, les forces
de Laplace appliquées à la matière le long des lignes de courant modifient
le mouvement du fluide. Ainsi apparaît une interaction des effets
électromagnétiques et hydrodynamiques qui constitue le domaine d'étude de
la M.H.D. L'importance de l'interaction est caractérisée par un nombre
sans dimension RM appelé nombre de Reynolds magnétique ; RM est
proportionnel à la conductivité électrique du fluide, à sa vitesse et aux
dimensions de l'écoulement. L'interaction est généralement faible (RM < 1)
dans les métaux liquides et les gaz faiblement ionisés et forte (RM > 1)
dans les plasmas.
Le champ magnétique peut être considéré comme un fluide mélangé au fluide
matériel et exerçant sur lui des efforts de « pression magnétique »
proportionnels au carré de l'induction magnétique B. Si l'interaction
champ-matière est forte, ces deux fluides se déplacent solidairement : le
champ magnétique est « gelé » dans la matière. Le milieu peut alors
propager des ondes spéciales de basse fréquence appelées ondes
magnétohydrodynamiques : les plus simples d'entre elles sont les ondes d'Alfvèn,
qui se propagent parallèlement aux lignes de forces magnétiques ; ce sont
des ondes transversales qui peuvent être considérées comme des
oscillations des tubes de force, ceux-ci se comportant comme des cordes
vibrantes chargées par la matière entraînée.
Des développements industriels importants concernent les métaux liquides
(pompage électromagnétique du sodium utilisé comme réfrigérant dans
certains réacteurs nucléaires ; pompage, brassage et lévitation dans
certains traitements métallurgiques). Les applications aux gaz ionisés et
aux plasmas ont fait l'objet de recherches : confinement magnétique des
plasmas dans les recherches sur la fusion contrôlée, conversion d'énergie
(générateurs M.H.D. pour améliorer le rendement des centrales thermiques,
moteurs M.H.D. pour la propulsion des fusées, souffleries hypersoniques),
aérothermie et propulsion navale....
Voir aussi
http://geet-pantone.com/plasma.htm
qui donne quelques adresses
d’organismes et instituts
http://quanthomme.free.fr/pantone/usa/PMC3.htm
3 - Mouvement
vibratoire et sonore produits par les courants
"Lorsque l’on
aimante une tige de fer doux par le passage d’un fort courant électrique,
et qu’on la désaimante ensuite rapidement par la suppression du courant,
cette tige produit un son. Ce son est du à un allongement et à un
raccourcissement du métal sous l’influence de l’électricité, mouvements
qui produisent des vibrations engendrant un son plus ou moins aigu. Ce fut
en 1838, que deux physiciens américains, Messieurs Henry et Page
découvrirent ces curieux phénomènes, en même temps que M. Delezenne les
ait constatés en France. Wertheim construisit sur ce principe une sorte de
harpe éolienne. De la Rive augmenta l’intensité des sons qu’avaient su
produire ses prédécesseurs en employant de longs fils métalliques qui
étaient soumis à une certaine tension et qui traversaient l’axe de bobines
d’induction entourées d’un fil métallique isolé. Si l’on mesure la hauteur
du son produit dans une barre de fer placée au milieu d’une hélice
parcourue par des courants discontinus, on trouve que ce son est du à des
vibrations longitudinales semblables à celles que le frottement ferait
naître. Quand on transmet directement des courants électriques au travers
des tiges de fer ou des fils de ce métal, on remarque également une
production de sons ; ainsi, lors du passage de l’électricité dans le fer,
comme dans le cas où l’électricité circule autour de ce métal et
l’aimante, des vibrations sonores peuvent se produire. Il faut, pour que
le son soit bien pur, que le fil ait une tension suffisante ; au-delà
d’une certaine limite, l’aptitude des fils de fer doux à rendre les sons
diminue.
Les changements moléculaires qui ont lieu dans le fer aimanté ont été
rendus sensibles par les expériences de Monsieur Grove, qui montre qu’une
armature en fer doux éprouve une élévation de température de plusieurs
degrés quand on l’aimante et qu’on la désaimante successivement à l’aide
d’un aimant extérieur."
Source : Alexis Clerc, Physique et
Chimie, fin XIX ème.
4 - Magnétostriction : définitions
"Lorsqu'un
matériau présentant une forte magnétostriction est soumis à un champ
magnétique alternatif, il entre en vibration et peut donc émettre une onde
acoustique : c'est le principe du sonar utilisé en acoustique sous-marine.
Le nickel, utilisé à cette fin durant la Seconde Guerre mondiale, a été
progressivement supplanté par les céramiques piézoélectriques mais les
transducteurs magnétostrictifs jouissent d'une faveur renouvelée aux
basses fréquences (de l'ordre de 1 kHz) depuis l'apparition des alliages
Tb0,3Dy0,7Fe2 à magnétostriction très élevée. Inversement, l'application
d'une contrainte sur un corps magnétostrictif modifie ses propriétés
magnétiques : différents capteurs de force, de couple ou de position ont
été développés sur ce principe… "
Source Encyclopædia
Universalis 2005
"Variation de
volume d’un corps, qui se produit lorsque celui-ci est soumis à un champ
magnétique. Ce phénomène, du à l’interaction des dipôles magnétiques
alignés par le champ, est particulièrement important pour les substances
ferro-magnétiques. Lorsqu’on soumet le corps à un champ magnétique
oscillant, on obtient des variations périodiques de volume capables
d’engendre des ondes sonores. Cet effet est utilisé pour produire et
capter les ultrasons."
Source Encyclopédie Hachette
Multimédia 2005
5 - Hydrogène : quelques infos
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Source :
Alexis Clerc
Physique et
Chimie, fin XIX ème
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Source : J.
Lamglebert, Traité de Chimie 1878
6 -
Palladium et hydrogène (1865) : remarques intéressantes
Source : Alexis
Clerc, Physique et Chimie, fin XIX ème
7 - Plasmatron – extrait de
notre page
..."Le système choisi de préférence est
un Plasmatron à eau qui utilise
l'amélioration ("reformage") de la vapeur de la source hydrocarbure. En
raison de la très grande efficacité du Plasmatron et dans l'option de
fonctionnement où seule une partie de l'hydrocarbure est transformée en
gaz riche en hydrogène, l'ensemble a une bonne efficacité, bien que l'on
utilise de l'électricité produite par le moteur pour alimenter le
Plasmatron.
Le Plasmatron ne fait pas que produire du
gaz riche en hydrogène pour le moteur, il permet en outre d'y injecter du
gaz combustible à haute température ce qui rend la combustion totale et
réduit ainsi les polluants émis. Dans un
Plasmatron à eau, la quantité d'hydrogène du gaz est augmentée, la vapeur
étant le gaz à l'oeuvre. Ce qui sort du Plasmatron c'est 75 à 80 %
d'eau et 20 à 25 % de CO. Dans le cas où le gaz fortement hydrogéné est le
seul carburant à entrer dans le moteur, il est à noter que le produit de
combustion, l'eau, alimente le fonctionnement du Plasmatron. ""
« Notre plus grand progrès dans
la Science est peut-être entre les mains d’hommes qui sont enclins
et aptes à ignorer les classifications artificielles que nous avons
érigées… »
Melvin Calvin Prix
Nobel de Chimie, 1961
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Après ce bref tour
d'horizon, issu des nombreuses observations qui ont pu être faites
grâce aux résultats et observations donnés par les expérimentateurs de
système G Pantone à la française (qu'ils soient remerciés de leur
contribution apportée à l'enrichissement des données acquises depuis 5
ans), il reste encore beaucoup de questions...
A force de
se pencher sur les questions on finira bien par tomber dans les réponses !
Jean
Soarès
Après cet aperçu, il est recommandé de
prendre connaissance du dossier sur notre site de base, sans oublier les
pages de conseils pratiques donnés par
Michel David et bien entendu des
réalisations que de sympathiques expérimentateurs nous font parvenir
plus de 127 au 06 février 2006.
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