DIVERS SYSTEMES A AIR, EAU, CHALEUR, SON
CHERCHEURS, TECHNICIENS, REALISATEURS D'APPAREILS A AIR, EAU, CHALEUR, SON
Page 1/3 de Alexander à
Cornish
Page créée le 10/08/1999 - mise à jour le
16/10/2006
Les
NOMS EN ROUGE
sont dotés dinformations plus complètes dans le dossier
CARBURANTS ALTERNATIFS
ALEXANDER Robert
Montebello, CA.
Il lui a fallu 45 jours et 500 dollars pour monter sur une voiture son système breveté (US n°3913004)" Method & Apparatus For Increasing Electrical Power "
daté du 14/10/1975, basé sur un petit moteur de 12 v. 7/8 ths fournissant lénergie initiale. Une fois en marche, un système hydraulique et à air prenait le relais et compensait la petite perte dénergie électrique.
Ce brevet est intéressant (dit-on
dans le site
http://www2.murray.net.au/users/egel/ ) en ce sens qu'il affirme vraiment
produire plus d'énergie que celle utilisée. Le système montre une machine
rotative où un voltage d'entrée constant est converti en voltage de sortie. La
machine comprend généralement un rotor qui tourne à une vitesse constante à
l'intérieur d'un stator comprenant une bobine transformateur ayant un bobinage
primaire de transformateur motorisé et un bobinage secondaire générateur
transformateur dans lesquels les courants, transformé et produit, sont combinés
de façon synchrone pour une énergie de sortie excédentaire.
Robert Alexander a utilisé un générateur à 4 pôles
débarrassé de son moteur à hydrocarbure, mais qui garde son montage de champ de
stator. Il défait les bobines d'armature et les remet en place avec deux
enroulements, dont chacun occupe les mêmes fentes d'armature. Il connecte les
extrémités des premiers enroulements primaires à un commutateur à 4 pôles et à
un montage à balais. Je pense (c'est toujours Egel qui
parle) qu'il y a pu y avoir un montage de connections en série mais
n'en suis pas sûr. Les enroulements de la bobine secondaire sont connectés aux
bagues mobiles. Ce transformateur a un rapport de 3 à 1 en faveur du secondaire.
Le champ primaire de l'armature et les bobines de stator sont connectées à une
source de 48 volts (4 batteries). Quand on met le courant l'appareil se comporte
comme un moteur à courant continu, l'action du commutateur inversant les pôles
de l'armature et le courant alternatif étant introduit dans l'enroulement
secondaire avec le magnétisme produit par les bobines du stator.
Linventeur et son partenaire étaient pourtant bien déterminés à ne pas voir leur invention enterrée par lindustrie, ce fut en vain
ANDREWS John
Chimiste Portugais qui a mis au point en 1974 un additif qui permettait à l'eau de se mélanger à l'essence ordinaire, en réduisant le coût à 2 c par gallon (3,78 l). Après avoir fait des démonstrations réussies de son produit, et impressionné des officiels de la Navy lors de la négociation de sa formule, l'inventeur a disparu et son laboratoire a été mis à sac.
ANONYME
Plans et conseils pour faire fonctionner un moteur classique avec de l'eau.
Ces plans ont été envoyés de façon anonyme à Spirit of Ma’at LLC qui les a soumis à un expert et à un inventeur d'un système similaire breveté : ces informations leur ont paru sérieuses.
Si vos connaissances en mécanique auto vous le permettent, ou avec l'aide d'un professionnel, vous pouvez essayer de réaliser ce système, de préférence sur une voiture dont vous ne vous servez pas régulièrement.
De toutes manières, sauf nécessité, il est recommandé de conserver intact l'équipement de base de la voiture, pour pouvoir y revenir ou rouler, comme le font certains (un système de ce genre est testé à Mexico), soit avec essence, soit avec eau. Le système hybride a aussi l'avantage de ne pas avoir à démonter la culasse et enlever le pot d'échappement, sinon en version 100 % eau il faut installer un pot en inox.
Ces modifications qui peuvent se faire à frais réduits avec des composants du commerce peuvent permettre de rouler avec l'eau du robinet, sans changer la batterie, seulement en se branchant sur le carburateur ou l'injecteur.
La simplicité du système réside dans le fait que la puissance est obtenue suivant les besoins, qu'il n'y a pas de stockage (dangereux) de gaz (c'est bien évidemment de l'hydrogène qui fait fonctionner ce type de système).
Si on a le choix, pourquoi continuer à dépenser nos euros en achetant de l'essence, alors qu'un réservoir en plastique rempli d'eau du robinet (qui contient bien plus d'énergie qu'un hydrocarbure) peut nous permettre de rouler, et sans polluer ?
Comment fonctionne ce système ?
C'est tout simple, l'eau est pompée afin de remplir la chambre en maintenant le bon niveau. On fait vibrer (comme un diapason) les électrodes avec une impulsion électrique de 0.5-5A qui dissocie l'eau 2(H2O) => 2H2+ O2.Quand la pression atteint environ 30-60 psi, on met le contact et en avant !
Plus on appuie sur la pédale, plus on envoie d'énergie aux électrodes et par conséquent plus de gaz dans les cylindres.
Deux plans extraits du dossier.
AQUAZOLE
Cest le pétrolier français Elf Aquitaine qui a annoncé, le 29/07/97 la mise au point de ce carburant qui devrait être mis sur le marché au printemps 1998, pour les transports en commun urbains. Des expérimentations aux résultats prometteurs ont été faites depuis 1995 sur une dizaine de bus de la STAC (filiale de la CGEA) à Chambéry, avec Renault Véhicules Industriels et la RATP. Une quinzaine dagglomérations seraient prêtes à adopter ce carburant, des expérimentations vont être menées en Allemagne, Autriche, Espagne et une unité de production a été installée près de Lyon
Aquazole est composé de 85 % de gazole, 13 % deau et un coktail complexe de 2% dadditifs non toxiques permettant de stabiliser lémulsion dans laquelle la vaporisation de leau agit comme élément de dispersion des molécules. La presse française déclare que la stabilisation dune telle émulsion a été étudiée depuis des dizaines dannées sans succès. La presse française passe bien sûr sous silence l'existence du A-55 de Gunnerman, mélande à 55 % d'eau testé par Caterpillar (voir notre dossier Carburants Alternatifs).
Selon le directeur du projet Michel Bonnet, Aquazole apporte une réduction notable (vérifiable avec un simple papier blanc présenté à la sortie de léchappement) des rejets atmosphériques des moteurs diesel : 30 % doxyde dazote en moins et une réduction de 50 % des particules et fumées noires. Citons le 3-nitrobenzenthrone qui serait 25 % de fois plus cancérigène que le 1,8 dinitropyrène déjà contenu dans les suies de moteur diesel et responsable du nombre élevé de cancers du poumon dans les villes selon une étude publiée dans New Scientist en1997.
Pour mémoire, le CITEPA (Centre Interprofessionnel Technique dEtudes de la Pollution Atmosphérique) indique quen France, les transports représentent 72,8 % des 1373 milliers de tonnes de dioxyde dazote rejetées, et 86 milliers de tonnes de poussières sur les 202 tonnes totales.
Toutefois, les commentateurs du projet Aqauzole annonçent une légère perte de 3% (certains avancent 10 %) dans la puissance des moteurs, et une stabilité du mélange inférieure à trois semaines. Le prix du litre de ce carburant serait majoré de 35 centimes par rapport au prix usuel.
Elf Aquitaine a acquis fin 1996 50 % du capital de la Société Ecotec (soit 13 millions de francs) mais a la charge des dépenses relatives au développement du brevet). Ecotec avait développé les brevets " susceptibles dapporter de nouvelles améliorations en matière déconomie dénergie et de protection de lenvironnement dans les villes" avec un laboratoire lyonnais le CRMT (Centre de Recherche des Matières Thermiques). Cest Elf Antar qui a poursuivi le développement du projet tout en modifiant la structure juridique afin den assurer seul la maîtrise technique, industrielle et commerciale. En effet, la société Ecotec soccupait auparavant de placements immobiliers, elle a pour dirigeants des proches de M. Le Pen. Elf a donc exigé que " lobjet social"" soit exclusivement consacré au développement du brevet sur lémulsion eau-gazole, et aussi le départ des sociétés actionnaires dEcotec domiciliées dans des paradis fiscaux.
On peut toutefois noter que 13 millions engagés sont bien peu par rapport aux 6 milliards dépensés pour la recherche chaque année par Elf. (Canard Enchaîné du 24/12/96)
LAuto-journal du 24/09/98 annonce que le gouvernement a décidé quil était prématuré denvisager une détaxation et que lAquazole supportera, comme le gazole normal lintégralité de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (Tipp). Avec une fiscalité aussi lourde, le grand public nest pas prêt de connaître lexistence de carburants plus écologiques. Et le journal de sinterroger sur le fait quil soit aussi peu défendu par la Ministre de lEnvironnement. Ce qui nempêche pas le secrétaire dEtat à lIndustrie Christian Pierret denvoyer à la même époque, une note à tous les établissements publics dépendant de son ministère pour leur demander la mise en place dun véritable plan de bataille pour respecter la loi sur lair qui impose à partir du 01/01/99 que 1/5 des nouveaux véhicules acquis par son administration soient des véhicules propres
ASPDEN Harold
Sabberton Research ACRES High, Hadrian Way, Chilworth Southampton SO 6712
Tél : 01703 76 93 61 Fax : 01703 76 98 30
Harold Aspden, docteur en physique a passé dix-neuf ans (jusquen 1983) à la direction des exploitations de brevets chez IBM. Il est devenu consultant à lUniversité de Southampton. Retraité actif, toujours en relation avec IBM, il dirige aujourdhui une entreprise de recherche"Thermodynamics Limited". Contribuant aux travaux sur la Fusion Froide, il a obtenu un brevet n°2.278.491 le 26.03.97 sur un appareil de production de chaleur fonctionnant à lhydrogène.
Ses nombreux écrits ont un poids important dans la littérature relative à l'Energie Libre. Il a publié en 1966 "The Theory of Gravitation" et en 1969 "Physics whithout Einstein". Il est très bien documenté sur divers procédés énergétiques comme celui de Adams avec lequel il a collaboré. (Voir la partie consacrée aux moteurs magnétiques, prévue sur notre site).
Il possède un site Internet et a publié récemment une explication possible de ce qui est à luvre dans la transmutation réussie par les chercheurs du groupe de Cincinnati cité dans notre dossier Fusion Froide.
En 1988, au retour dune conférence où ils avaient été invités par PACE, John Scott Strachan et lui ont mis à profit leur attente davion pour rechercher des sources efficaces dénergie alternative. Dans lintention de remplacer tous les CFC, ils ont inventé une méthode de réfrigération qui transformerait toutes les différences de chaleur en électricité. Alliant le savoir faire de Scott Strachan, qui avait mis au point une matière ressemblant à du plastique prise entre des films métalliques et les connaissances en magnétisme de Aspden il a été possible d'améliorer ce système pour obtenir un thermocouple.
Dans un petit modèle dessai, lélectronique de lappareil est alimentée uniquement par lélectricité fournie par un petit morceau de glace fondante, posé sur lui. Inversement la chaleur de lappareil faisait de la glace lorsquil était branché. Côté technique, voici lidée qui fit jaillir linvention : utiliser lélectronique audio ou de basses fréquences radio pour mettre en place des oscillations de courant transverses sur une surface bimétallique couvrant un support diélectrique.
Lappareil de Strachan-Aspden convient à la récupération des calories gaspillées dans lindustrie, mais aussi pour un usage domestique en utilisant par exemple la simple différence de température entre lair dune serre et lair extérieur. Cet appareil prépare le terrain au développement pratique de la supraconductivité à température ambiante. Pour mémoire, c'est au laboratoire de recherche IBM de Zurich que Alex Muller et Georg Bednorz ont réussi les travaux sur la supraconductivité pour lesquels ils ont reçu le Prix Nobel en 1987.
Compte-tenu de leur éloignement géographique et des difficultés de mise au point de leur appareil qui sest abîmé en quelques mois, chacun deux a sa propre société (matériel optique pour Strachan et travaux basés sur la chaleur pour Aspden) mais ils sont toujours très liés.
Ils ont manqué tous les deux dun laboratoire bien équipé et dune société qui se serait investie dans le développement des matériaux convenables, ce qui aurait permis darriver à la commercialisation. La communauté scientifique ne croit pas à leur appareil, et les non scientifiques trouvent que cette technologie high tech est trop compliquée.
Aspden, expert en brevets a présenté deux applications (pas reçues avec empressement par le service des brevets anglais), et dont chacune couvre un aspect différent de lappareil. Il détient des brevets - en propre le n°US
5101632
" Aspden Thermal Radiation Energy Conversion "- et avec Strachan le n°US
5065085
," Strachan Thermoelectric Energy Conversion ".
Le 7 juillet 1995, il a fait un dossier dapplication de brevet, au R.U, au sujet dune version du moteur de type Adams quil avait testé.
Au congrès de Denver en 1994, il explique comment létat déquilibre entre léther et la matière peut être dérangé en permettant daccéder à lénergie libre. Selon lui, 3 voies peuvent donner de lénergie gratuite.
Dans la première, on utilise un champ électrique en étoile dans le but daccrocher une association de spin à la danse orbitale synchrone du milieu vide.
La seconde comprend un électron direct de latome se joignant unité par unité de quantum avec lélectron en agitation en orbite engendré par une surexcitation dun aimant ferrite.
La troisième comprend linteraction magnétique entre léther et une décharge de plasma électrique contenant des ions lourds, que lon appelle " décharge de cathode froide".
Il conclut en disant quun processus électrodynamique, ne communiquera pas une action de spin, significative de couple tournant, mais peut communiquer un moment linéaire en conservant lénergie entre un système matériel, ce qui signifie que cela peut faire faire à léther un travail en appliquant une force électromagnétique à cette décharge.
Le supergraviton de Aspden
En 1988, au Canada, Strachan avait fait une démonstration de sa machine à antigravité (les appareils à antigravitation comme beaucoup d'appareils à sur unité produisent souvent du froid) devant plus de 200 scientifiques et ingénieurs. La machine qui pouvait soulever une pomme a été tenue prête avec une douzaine dautres à Edinbourg pour la démonstration prévue fin 1989 sous la direction du professeur Salter, un expert en systèmes gyroscopiques et quasi voisin de Strachan. Voir aussi Laithwaite, Alex Jones et la machine de Scottsman, Sandy Kidd en Australie)
Pour Aspden, le lepton tau est la forme première du graviton alors que les formes leptons muons sont le médium despace de fond et la forme de lepton chargée, lélectron, une caractéristique du cadre de la matière. (signature du graviton : 2.587 GeV). Les muons sont tous des produits instables issus de la dégradation du graviton.
Le supergraviton est un amas de taons ; mais une forme dégénérée qui comprend lannihilation mutuelle dune paire de particules venant de cet amas laisse une résonance résiduelle de particules neutres dans la zone 91-92 GeV, ce quon nomme boson neutre Z.
Le supergraviton a une masse résiduelle de 95,186 GeV correspondant à 102,18 unités de masse atomique.
Aspden pense que le supergraviton qui est aussi à l'uvre dans les matériaux magnétiques joue un rôle dans le phénomène de supraconductivité et dans la Fusion Froide. Il suggère qu'il sera possible dans le futur, de fabriquer un aimant permanent à partir de matériaux supraconducteurs à température ambiante, la matière des aimants pouvant être aussi bien à linverse, un supraconducteur viable.
ATMOSPHERIC MOTOR
Rappelons le site de Geoff Egel " Encyclopédie de l'Energie Libre "
Cest un moteur à gradient de potentiel atmosphérique qui utilise lénergie recueillie dans lair ou à partir dune machine électrostatique construite en plastique et en aluminium. Elle consiste en une armature à deux divisions de deux disques de métal "semi - circulaires" montés sur un disque isolé plus petit et sur un axe commun.
Sur les pattes supports sont boulonnées quatre plaques à surface métallique, une à gauche, une à droite et deux à larrière du rotor. Les plaques recouvrent la totalité de la surface du disque sauf le trou central où passe laxe.
Les plaques de gauche sont reliées à une antenne aussi longue que possible pour recueillir suffisamment délectricité statique. Un petit morceau de fil est soudé sur la plaque et son autre extrémité est en contact avec la plaque de rotor. Il en est de même pour le côté droit qui est, lui, relié à une bonne terre.
Lappareil fonctionne grâce à lantenne qui recueille une charge statique de lair et la transfère aux plaques de gauche et ensuite sur la surface du rotor. Les deux métaux ayant alors la même charge, il se produit un effet de répulsion et lautre côté du rotor avec sa charge opposée est attiré dans cette position. Dès que la surface du rotor vient en contact avec le fil soudé elle acquiert la même charge et le processus se répète.
Il est préférable davoir une antenne très haute ou une bonne machine électrostatique en même temps quune bonne terre. Les supports de laxe ne doivent pas être serrés pour ne pas en gêner la rotation.
BAGUE Jean-Jacques
Charolles, France
Ce chercheur, garagiste de profession, est membre du club Lépine et travaille depuis plusieurs années sur un moteur à eau. Il fabrique et commercialise dailleurs une pendulette à eau.
Début 1994, sous le regard de Michel Verdenet, astronome réputé et de Claus-Peter Haverkamp représentant des investisseurs de la région dEssen (Krupp et Opel), M. Bague fit rouler sa voiture (une R9) avec leau dune source de Bourbon-Lancy, "le Lymbe". Cette eau bouillonnante radioactive (elle contient du radon) est faiblement minéralisée, chlorurée sodique et chargée doligoéléments et polymétalliques. Cest cette composition que recherche linventeur.
Sa voiture est équipée dun appareillage posé sur la banquette arrière et le jerrycan de 25 litres de leau du Lymbe raccordé à un tuyau dalimentation prend le relais de lessence. Les rejets de fumée blanche témoignent du passage au carburant eau. Et la voiture roule sans problème, il restait à lépoque quelques réglages à faire pour éviter du cliquètement. M. Bague est reparti chez lui, parcourant environ 20 km avec un bon tiers du jerrican deau puis avec lessence car la circulation était intense ce jour-là.
La démonstration qui a fait lobjet dun article sur 6 colonnes dans un journal allemand Werdener Nachtrichten du 25/02/94, était tout à fait convaincante. En mars 1994, le spécialiste auto du Journal de Saône et Loire précédemment cité, devait se rendre auprès de M. Bague, qui avait promis de dévoiler ultérieurement son moteur.
BAUMGARTNER William
Energy Unlimited Albuquerque NM
Né en Allemagne, il eut loccasion de pratiquer les randonnées à pied et le ski en Suisse. Il fit ses études supérieures dingénieur en mécanique à lInstitut technique de Zurich. Comme Schauberger, il observait la nature. Il détestait les dogmes scientifiques. En 1954, rêvant dune vie de trappeur, il partit au Canada où la réalité le conduisit à travailler dans une scierie, puis comme électricien dans des barrages. Il tomba sur la biographie de Schauberger, et découvrit les travaux de Tesla, Searl, W. Russell, avant de revenir à Schauberger.
Ses nombreux projets allaient de lédition de revue, à la fabrication dappareil à énergie en passant par lenseignement. Baumgartner a dépensé beaucoup de son temps et de ses revenus, mais il poursuit dintéressants travaux. Des pays dEurope et lAustralie le contactent en tant que consultant en technique dimplosion.
Dans les années 70, ses réflexions aboutirent à ses"Twisters Pipes". Par rapport aux turbines Davis, sa technologie à implosion représente une avancée technique considérable.
Les"Twisters pipes"sont faits de fibre de verre et de cuivre mais difficiles à fabriquer vu leur forme et leur enroulement. Placés dans une turbine il se crée une sorte de tornade. Lair / leau se déplaçant dans les tubes, avec un mouvement spiral allant vers lintérieur est violemment éjecté vers lextérieur. Il en résulte une force qui peut faire tourner une machine et les premiers essais ont montré quelle dépassait lunité.
Pour Baumgartner, le vortex est loutil naturel avec lequel tout est créé. Le vortex en spirale centripète capte léther. Sa living machine fonctionne en suivant les lois de néguentropie, matière et énergie sorganisant elles-mêmes.
BENNETTO Peter
Ce chercheur britannique a mis au point une pile à bactéries selon un procédé ancien déjà découvert par le botaniste Michael Potter en 1910. Durant leur digestion, les micro-organismes libèrent de lélectricité. Selon la revue Discover , Bennetto otpimise le rendement. Un centimètre cube de sa soupe biologique contenant jusquà 100 milliards de micro organismes permettrait de réaliser une batterie capable de délivrer environ 2/10 de watt. Composée simplement de bains séparés par des membranes en polymère semi-perméables dans lesquels plongent des électrodes en carbone, son coût de fabrication est modeste. On peut rêver dune pile de 10 m3 (une petite piscine) qui pourrait fournir jusquà 1 MW , de quoi alimenter en électricité une petite ville en dévorant 200 kg de sucre à lheure. Une voiture munie de telles batteries consommerait 4 kg de sucre aux 100 km.
BIELMANN Theodore
Le NET-Journal a interviewé ce chercheur dès 1997. Ses travaux portent sur lénergie avec des photons et se rapporte à ce quil nomme " Electrosmog ". Il travaille également sur la dépollution des lacs et la neutralisation de rayonnements. Ses appareils sont connus sous les appellations suivantes : Theos Wasserboy, Theos Electroboy, Photonenstab et utilisés par des thérapeutes, des radiesthésistes et des particuliers.
M. Bielmann a notamment nettoyé un lac près de Gütersloh. La ville lui a dailleurs commandé pour 15.000 FF chacun 2 appareils de type Wasserboy destinés à assainir et assécher des caves (pièces dépourvues délectricité). Le plus petit modèle de Wasserboy donne 3mV et monte jusquà 5,35 V.
M. Bielmann a en préparation une batterie de 500 volts. Un de ses amis, Helmut Lörh, un artiste de Dusseldorf, lui a commandé un Photonen pour sa résidence de vacances au Mexique.
Ce chercheur généreux projette de construire un laboratoire pour inviter tous les chercheurs qui le souhaitent à venir y travailler.
BILLINGS Rodger
Provo, Utah.
A quinze ans, il faillit périr avec son frère lors d'une expérience sur un moteur de tondeuse à gaz quil avait bricolé pour fonctionner à l'hydrogène. Cette explosion l'a conduit à se consacrer à promouvoir ce type de technologie munie d'un stockage en toute sécurité de l'hydrogène grâce à un réservoir à métaux hydrides (les ingénieurs de Daimler-Benz ont d'ailleurs réalisé leur propre prototype après lui avoir rendu visite
)
En 1972, à l'Université Brigham Young, il travaillait sur l'élimination de l'oxyde nitrique grâce à une subvention de Ford. Malgré des résultats probants et une offre d'un représentant de l'EPA, l'Université refusa d'héberger ses recherches sur l'hydrogène car il n'était pas diplômé. Il fonda alors sa propre société, devança Apple en fabriquant le premier micro-ordinateur, ce qui lui donna les moyens de poursuivre ses recherches sur l'hydrogène.
En 1977, il convertit à l'hydrogène un bus de Riverside. Le projet fut difficilement financé puis saboté. Pourtant un camion cédé par le Service Postal et modifié par Billings en 1970 avait déjà roulé pendant un an à Independence dans le Missouri. L'affaire en resta là car son carburant était 25 % plus cher que l'essence.
Ensuite, il équipa une Cadillac Seville qui participa à la parade du Président Carter en 1977, ainsi que sa propre maison, avec une pompe à chaleur à hydrogène complétée par quelques panneaux solaires.
Il attendit en vain une aide du gouvernement, mais la fin de l'embargo sur le pétrole avait relégué aux oubliettes les carburants alternatifs. En 1980, il utilisa les fonds récupérés grâce à la vente des stocks de sa compagnie pour mettre au point une batterie à hydrogène légère et bon marché convenant à l'automobile. Dans cette batterie, l'hydrogène et l'oxygène se combinent pour faire de la vapeur d'eau, processus qui dégage de l'énergie sous forme d'électricité dont une partie sert à la poursuite du processus. En fonctionnement inverse, elle peut utiliser l'électricité et l'eau pour créer l'hydrogène destiné au réservoir. Ce type de batterie était à l'origine utilisé dans les années 60 par les programmes spatiaux, mais elles restaient chères et encombrantes.
Billings dirige maintenant un groupe de chercheurs financés par le DoE de Pennsylvanie à l'Académie Internationale des Sciences d'Independence. Il a mis au point dès 1990 une batterie à laser qui permet aux voitures classiques de fonctionner à lhydrogène. Les gaz déchappement chauds passant au travers de ses réservoirs en alliages de métaux hydrides libèrent le gaz qui brûle alors dans le moteur. L'autonomie est de 240 km, le réservoir à l'arrière pèse 130 kg. Si cette même batterie alimentait un moteur électrique, l'autonomie triplerait. La conversion dun véhicule coûterait dans les 500 dollars et diminuerait avec une production de masse.
Avec l'académie, Billings est impliqué dans le Projet Hydrogène dont les travaux s'étendent aussi sur les possibilités qu'ont les algues gris-bleu (vendues depuis des années pour leurs protéines et leurs minéraux) d'imiter l'action de l'électricité lors de l'électrolyse, avant d'être séchées et mangées !
BITTERLY
U.S. Flywheel Systems, Inc. , 1125 Business Center Circle Newbury Park, CA 91320
Tél : (805) 375-8433. Fax: (805) 375-8432
http://www.activepower.com
La batterie de Bitterly est munie dun volant de 30,48 cm de diamètre et 7,6 cm dépaisseur qui tourne dans du vide, soutenu par des paliers magnétiques. On charge cette batterie en la faisant tourner 10 à 20 minutes avec le courant du réseau. Le volant produit de lélectricité lorsque les aimants placés sur les axes de la roue passent devant les bobines. Une batterie de ce type peut faire rouler une voiture électrique de 25 à 50 CV sur une courte distance.
Le système de batterie à volant a des avantages par rapport aux batteries classiques :
lautonomie - comparée à celle des lourdes batteries plomb-acide (433 kg) qui lâchent après de nombreuses recharges, elle se situe de 112 à 144 km.
lentretien réduit - pas besoin de remplacer les volants.
les performances - groupées par 16 (346 kg) la puissance passe à 800 chevaux avec une autonomie de 480 km.
labsence de pollution - la batterie à volant ne contient pas de produits chimiques comme les batteries classiques à acide.
Il existe dautres batteries, par exemple au Japon : une batterie dont on ne connaît pas le poids, et qui fonctionne vraiment comme un groupe de condensateurs, chargée en 8 minutes environ, elle peut faire rouler une voiture électrique sur 400 km environ.
En Ukraine, des scientifiques ont également fabriqué une batterie qui est un condensateur. Celle-ci, dun poids de 45 kg, se charge en quinze minutes et donne à une voiture électrique une autonomie de 640 km.
En France, la société A.E.S. présidée par le Dr Patrick Cornille et dont le Directeur de Recherche est Jean-Louis Naudin (bien connu sur notre site) détient également un brevet sur un chargeur de batterie ultra rapide.
BLUE Archie H.
Christchurch, Nouvelle Zélande
Cet inventeur a obtenu un brevet US n°. 4,124,463
du 07/11/78 pour un appareil à électrolyse très simple pouvant alimenter largement un moteur en mélange hydrogène/oxygène. Des " intérêts arabes " lui offrant 500 millions de dollars nont pas réussi à le convaincre de vendre son procédé, quil na pas pu commercialiser malgré sa simplicité.
On sait bien que les moteurs fonctionnent mieux par temps de pluie et que autrefois on pulvérisait de leau sur le charbon pour quil brûle mieux. Il ny a donc rien détonnant à ce que certains conducteurs aient utilisé une sorte dinjecteur à eau pulvérisée.
Ce système très simple se compose dun récipient en plastique ou en verre fermé hermétiquement et muni dun petit tuyau très fin avec soupape daquarium qui va du sommet jusquau fond. Un second tuyau est enfoncé de 5 cm environ dans le récipient à partir du couvercle supérieur et est connecté au carburateur ou au filtre à air.
On remplit le récipient juste en dessous du niveau où arrive le second tuyau. Laspiration du carburateur attire lair dans leau du récipient ajoutant ainsi de lhydrogène et de loxygène au mélange gazeux, ce qui réduit la consommation dessence.
Archie Blue a amélioré ce mécanisme très simple pour quil fonctionne avec la seule vapeur deau, sans essence. Il faut alors 1 litre deau pour 40 km. Son brevet est si simple que nimporte quel bon mécanicien peut réaliser lappareil.
Sur le tuyau dair non métallique on monte à intervalles réguliers 8 plaques rondes en métal non corrosif, percées de nombreux trous. On leur envoie de lélectricité en courant continu alternativement positif et négatif à partir de la batterie (12 volt 2-3 Amp). Il sensuit une électrolyse de leau (qui peut être améliorée par un petit élément chauffant au fond du récipient) dans laquelle hydrogène et oxygène vont se fixer sur les plaques métalliques sous forme de petites bulles. Les bulles dair injectées par laspiration du carburateur emportent les petites bulles dhydrogène et doxygène avec elles vers le haut du récipient. On obtient ainsi trois fois plus dénergie quavec lessence avec un enrichissement de lair de seulement 4 %. A léchappement, il ny a que de la vapeur deau.
A titre indicatif, voici un commentaire extrait du site :
http://home.pacific.net.au/~apophis/index.html
'' C'est tout simple. Ici l'alimentation
d'air est limitée par une soupape et/ou le diamètre du tuyau d'entrée d'air. La
basse pression à la surface de l'eau fait qu'elle va s'évaporer rapidement ainsi
- l'air, l'hydrogène plus l'oxygène et la vapeur d'eau entrent dans le moteur.
L'ajout d'eau au cylindre va absorber la chaleur et refroidir le moteur et
rendre les temps moteurs plus souples. On peut connecter 4 cellules en série en
utilisant de l'hydroxyde de soude comme électrolyte avec 12 volts, cela consomme
moins de courant et fait plus d'hydrogène, jusqu'à 4 fois plus. Toutefois il
faut une autre conception dans ce cas là, qui isole les cellules les unes des
autres. Notez que les électrodes sont perforées pour permettre aux gaz de s'en
échapper.
Certains disent que le carburant n'est pas
de l'hydrogène mais de l'hydroxyde d'azote. Il serait apparemment créé par
l'action de la basse pression sur l'hydrogène, l'oxygène et l'azote. L'air
contient 78 % d'azote. Il y a quelques éléments à ce sujet. ''
http://www.cyberspaceorbit.com/hfsystems.html
http://www.cyberspaceorbit.com/wnotezz.htm
http://home.pacific.net.au/~apophis/howitsdone.html
Une proposition de montage
..."4 cellules en
série et 12 volts par alternateur/batterie, de la soude caustique comme
électrolyte. Il y a probablement une soupape sur la première cellule pour régler
la quantité d'air et la pression négative. Un moteur de 1,6 l aurait seulement
besoin de 20 amps. Ce montage est meilleur car on utilisera ainsi plus
efficacement les 20 amps qui passent à travers, il y aura alors 80 amps pouvant
travailler . On ne peut pas utiliser davantage de cellules car le voltage
partagé entre les cellules dépassera le voltage minimum nécessaire à la
décomposition de l'électrolyte....On peut relier les 4 cellules à un bulleur à
eau claire sans électrodes avec entrée d'air sur ce bulleur ce qui aidera à
absorber toute la soude caustique passant avec la vapeur d'eau provenant des
cellules à électrolyse : on protège ainsi le moteur. L'eau est pratiquement
toute consommée à l'état de vapeur...."
BOLON William
Rialto, Californie.
Il a mis au point en 1971 un moteur à vapeur dune conception inhabituelle dont les performances étaient de un litre d'eau aux 21 km. Ce moteur était composé de 17 parties mobiles seulement et pesait moins de 25 kg. Il ny avait plus besoin de transmission classique ni de système d'entraînement sur une voiture automatique. A la suite dune importante publicité, on a fait sauter lusine des inventeurs, causant 600.000 dollars de dommages. La Maison Blanche a ignoré les lettres que linventeur lui avait adressées et celui-ci a finalement cédé son invention à des Indonésiens.
BORDET Pierre
Domaine de Marcy, Champvert près de Decize, Nièvre
Depuis 1982, le lait de ses 50 vaches chauffe entièrement et confortablement sa maison (200 m 2).
Leau chaude circule dans des tuyaux placés dans le sol. La transmission de chaleur se fait grâce à un échangeur à plaques situé dans lexploitation et qui récupère les calories du lait. Ce dernier qui est à 38 ° dans le pis, est à 36 ° à léchangeur. Un circuit deau froide arrive en sens inverse, va chauffer la maison à 21 ° tandis que le lait repart dans les cuves refroidi immédiatement après la traite ce qui assure sa qualité. Entre la salle de traite et la maison une canalisation ordinaire est enterrée à un mètre de profondeur et est utilisée comme tampon thermique.
Les matériaux de linstallation effectuée lors de la construction de la maison ont coûté 30.000 F, la facture globale annuelle délectricité et chauffage est inférieure à 8000 F. M. Bordet na connu quune seule panne en 15 ans lors de deux jours de gel important à moins 29°. Chaque vache donnant 8.300 litres de lait par an, le système permet aussi de chauffer la piscine. (relevé dans Centre-France Femina de mars 98)
BROWN Paul
409 SW 79thStreet Meridan, ID 83462
Paul Brown est un jeune chercheur qui sintéresse aux moteurs magnétiques. Dès 1987, neuf ans seulement après le collège, il rendit publique la découverte quil avait mise au point avec ses associés dune petite compagnie privée de Boise dans lIdaho. Il sagissait de convertir la dégradation de la radioactivité naturelle en électricité dans une sorte de batterie.
Paul Brown a décrit en 1991 un appareil à circuit résonant contenant un isotope radioactif qui en extrait lénergie venant de sa désintégration Beta, phénomène connu comme "effet voltaïque Beta" qui est directement transformé en électricité sans passer par un cycle thermique. On obtient ainsi davantage dénergie quen passant par la voie chimique. Brevet US n° 4835433 Apparatus For Direct ConversionOf Radioactive Decay Energy To Electrical Energy.
Cette batterie nucléaire ou générateur à résonance nucléaire, brevetée en 1989, à sur unité annoncée de 50 % (à comparer avec lefficacité de systèmes classiques de lordre de 6 à 8 %), notée 5 sur 10 par I.N.E., produit de l'électricité quand les particules alpha et beta provenant de matériau radioactif percutent une bobine de cuivre. Quand les particules entrent en collision avec les électrons, elles les éjectent des atomes, comme dans un jeu de billes. Ces électrons peuvent alors être dirigés vers le bas du bobinage pour créer un courant électrique
La batterie de Brown utilise du Krypton 85 ou du Strontium 90 forts émetteurs de beta en les plaçant dans un circuit réservoir accordable LC. Brown visait la mise au point de sources dénergies isotopiques dans la gamme de 10 à 5000 milliwatts et à durée de vie de 10 ans. (Moray se servait aussi de substances radioactives en 1950. Les particules ou les ions chargés jouent-ils un rôle dans ce genre d'effet : c'est ce que pensait Moray B. King en 1992).
Cette batterie nucléaire convient plutôt pour des quartiers, des villes, des compagnies privées quau grand public. Les points défavorables sont les suivants : elle ne recevrait pas l'homologation publique, on ne peut se fier aux gens au sujet de leur propre matériel radioactif et les autorisations pour obtenir ce matériel coûteraient trop cher. Les critiques portent aussi sur le fait que dans une batterie à bas régime il resterait encore des déchets à devoir gérer. Mais, selon M. Hazmat la plupart des déchets nucléaires se désintègrent en d'autres éléments inoffensifs. Quant au reliquat encore radioactif, il peut être retraité et prolonger la durée d'une autre batterie. Ces batteries pourraient aussi contribuer à la réduction et lélimination des déchets et des armes nucléaires que nous sommes censés faire
En 1992, Brown a dit quil était possible de fabriquer des convertisseurs non thermiques dénergie isotopique à film mince dont la puissance est de 24 kW/kg et la durée de vie de 5 à 10 ans en travaillant à 5 à 10 watts (un générateur de la taille d'une poubelle de cuisine peut produire environ 100 kilowatts). Il déclare : "Des applications impossibles jusqualors comme le placement de la source dalimentation directement sur des puces de circuits intégrés, le deviendront."
Dans une lettre ouverte aux inventeurs, il explique quil ne croyait pas aux menaces et tracasseries subies par les inventeurs, mais ayant été lui-même victime, il les avertit. Il décrit les tracasseries subies : suppression de sa licence dusage de matières radioactives, plaintes du ministère des finances, lettres anonymes menaçantes. Malgré un article favorable dans Fortune en 1988, un déménagement de la compagnie Peripheral Systems Inc . à Portland dans lOregon, les plaintes se renouvelèrent provenant cette fois de létat dOregon. Il poursuivit son travail. Sa femme fut agressée, sa maison cambriolée et saccagée maintes fois. On laccusa de fabriquer de la drogue. Il perdit le contrôle de sa société et sa maison. Depuis lattentat à la bombe contre la voiture de sa mère, il vit reclus. (Voir dans le dossier Evolution de la Recherche la partie Obstacles et Espoirs)
CAMUS Nelson
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Né en 1948 à Valparaiso, au Chili, il a dabord occupé dans les années 1968 différents postes dingénieur en électronique informatique à Buenos Aires. En 1975, il étudie la physique nucléaire à lUniversité de Princeton, puis au MIT à Boston. En 77 avec John Aristoles Philips, il présente dans une salle de luniversité le premier appareil artisanal de 50 Kilotonnes. |
1977 : Première émission FM en stéréo à Iquique, Chili, avec démonstration des possibilités dantenne de lananas.
1978 : Démonstration à Miami, en Floride, du premier téléphone cellulaire.
1979-81 : Directeur pour lAmérique du Sud de Ruby Light Electronics Co, filiale de Westinghouse
De 1981 à 1992, il mène ses recherches sur la batterie à Urine dans sa propre société à Valparaiso.
1991-1992 : Au Salon Consommateur et Electronique de Las Vegas il fait des démonstrations du premier processeur sonore bio-tech au monde utilisant un supraconducteur à température ambiante
En 1993, il obtient un prix à la convention sur lInvention à Pasadena (CA ) et il est depuis lors P. D.G. de Nel Nithium USA, Inc.
Depuis environ deux ans, Nelson vient en Suisse à l'Instituts für Neue Energietechnologien . Le 20/01/99, Nelson Camus sy est rendu pour contrôler le fonctionnement de son Solar Neltron Trigger (qui double lefficacité dune installation solaire) et de son réacteur à Fusion Froide placés à lINET.
Théorie de Nelson Camus : THE NELTRON
Cest lexacte reproduction de léclair dans un orage. La lueur de léclair provient de la terre dans une décharge dions allant jusquaux nuages qui les réfléchissent vers le sol à la vitesse de 300.000 km/s. La ceinture magnétique de Van Hallen libère de minuscules particules prises à la surface de la terre et allant dans lair. C'est ce qui produit le bombardement de lélément de plus faible poids - lhélium - présent dans lair à 0,07 % et la première réaction de Fusion Froide naturelle dans lair.
Les particules alpha (hélium) transmutent lazote, présent à 74,8 % dans lair, en hydrogène plus oxygène (comme Rutherford la découvert en 1919). Cette transmutation constante de lazote va jusquaux nuages, dans une puissante réaction en chaîne qui produit la jonction de H O formant leau.
Les gouttes deau venant des nuages ont une polarisation positive et les H-O venant de la transmutation de lazote sont négatifs. Leffondrement des ions + et produit la première étincelle qui donne de leau à partir de H et de O et qui vont, avec le nuage tomber, sous forme de pluie.
Lorsque les minuscules particules sont en contact avec les gouttes deau, elles se lient aux électrons de lhydrogène et de loxygène (de leau) en créant une polarisation différente dans les nuages produisant lorage, le tonnerre, les éclairs (qui réfléchissent des électrons à 300.000 km/s) et la pluie.
Réacteur à fusion froide C.F.R.
Cest la deuxième machine au monde à transformer le fluide électrostatique en fluide électrodynamique sans utiliser de matières radioactives contrairement à Testatika qui, selon certains chercheurs, utiliserait du chlorure de radium (?) Cette machine à sur unité annoncée utilise directement lazote de lair avec le Nithium et ne nécessite pas darrêts dus au nettoyage périodique réclamé par la batterie à urine. Nikola Tesla était prêt à la réaliser, mais il a seulement fait le générateur à électricité statique.
Le Neltron CFR est sur le marché depuis fin 1998 pour utilisation médicale.
La batterie à Urine de Nelson Camus
L'urine humaine fraîche ou concentrée fournit de l'ATP (Adénosine Triphosphate). La batterie fonctionne comme une véritable réplique du métabolisme humain avec un générateur d'ammoniaque, (vieux procédé inventé par Geber) et des réactions chimiques. Le carburant est le phosphocarbonate.
Le composé secret Nithium est un produit biochimique non nocif, non polluant qui combine des sels organiques et inorganiques. Le principe chimique de la batterie réside dans une forte oxydation du zinc de l'anode par une importante qyuanttité d'oxygène qui produit de l'électricité. Le courant vient du carburant par conversion de l'ATP en ADP (Adénosine Diphosphate) qui transporte les électrons.
Avec un peu moins d'un litre d'urine on produit de 720 watts à 1 kWh. 7,5 litres produisent de 5,6 à 7 kWh. En utilisant un injecteur contrôlé, on obtient respectivement 100 watts / heure pendant 8 à 10 heures et 1 kWh pendant 6 à 7 heures. Avec 23 litres de mélange, on peut produire 120 kWh pour la consommation d'une famille pendant une semaine et il est possible de tripler le rendement en consommant beaucoup d'ail et d'oignons !
D'autres applications du Nithium :
Batteries rechargeables et / ou tous usages au Nithium, Produits de nutrition au Nithium, Chargeur de batterie au Nithium à charge rapide, Sous haut-parleur de basses au Nithium pour le cinéma chez soi, Processeur - Son au Nithium, Produits de beauté au Nithium, Vidéotéléphone au Nithium à mouvement rapide 60 images / seconde, Micro-Ondes Nithium avec contrôle laser, Supraconducteur au Nithium pour les télécommunications, supérieur aux fibres optiques, moins cher et possédant plus de caractéristiques, Cellules solaires au Nithium ( Solar trigger 12)
La TurboBatterie / Superchargeur (commercialisée)
S'adresser à Endotronic GmbH, Argenbühl-Siggen D 88260 Tél : 0049/7566/465 et aussi au NET-Journal Thalrichstr.808, Postfach CH 4622 Egerkingen
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Performances de la TurboBatterie dont le retour sur investissement est inférieur à deux ans. Conçue sur la base de 22 g de Nithium, elle peut produire 1 ampère avec une tension de 1,38 V, alors qu'un élément de carbonate de lithium de même poids produit une tension plus élevée de 3 volts mais génère seulement un courant de 50 mA. C'est donc une différence de 1,38 watts / 0,15 watts soit un facteur de 9,2.
Economie de 42 % de carburant sur les véhicules à injection d'essence dont l'arrivée est réduite de 50 % à l'injecteur.
Economie de 52 % sur des moteurs à carburateurs dont on réduit de moitié le diamètre du gicleur.
Dans les deux cas, il est important que le moteur ne fatigue pas. Tous les 960 km, il faut mettre 28,4 cm 3 de liquide Neltron.
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C'est l'exacte reproduction de l'éclair d'orage naturel.
En se servant du platine comme catalyseur et du nithium comme conducteur, on produit une transmutation d'une certaine quantité d'azote de l'air en obtenant une masse hyperconductrice d'hydrogène et d'oxygène mélangées à l'essence en présence de l'étincelle.
En position ON , lhydrogène et loxygène se transforment en peroxyde dHydrogène H 2 O 2
carburant de la fusée Discovery. Des couronnes détincelles apparaissent à la surface des pistons.
Cest parce que les moteurs à combustion interne ne brûlent pas lessence en présence des étincelles que, seule lessence est transformée en diverses sortes de gaz tels CO, HC, NoX, lénergie en expansion provenant directement de cette conversion. Il y a production de chaleur parce que les atomes de carbone de l'essence ont un mouvement plus lent que n'ont pas l'hydrogène et l'oxygène pendant la conversion .
Une plus grande quantité de H et de O provenant du peroxyde dhydrogène produit une conversion extrême dans les gaz, ce qui donne plus dexpansion et moins de chaleur pendant la combustion, car le carbone est transformé en une plus grande quantité de CO 2 (dioxyde de carbone) avec moins de HC.
CAPSTONE TURBINE CORPORATION
Tarzana, Californie
CAPSTONE a conçu pour la voiture électrique un petit générateur à turbine de 18 cm de diamètre, 96 cm de long, pesant 71 kg et qui produit 24 kW. En ville, la voiture se sert de ses seules batteries rechargées lors des longs parcours. Il fonctionne à 96.000 tours / min sur des paliers à air sans friction. Peu coûteux à fabriquer, durable, on peut lalimenter avec un certain nombre de carburants dont le gaz. Il peut aussi fournir la chaleur et lénergie domestiques dont lexcédent est retourné au réseau.
Dans le numéro 305 de janvier 1998, la revue La Recherche annonçait que Bill Gates (Microsoft) et Benjamin Rosen (fondateur de Compaq), anticipant sur la déréglementation du marché de lélectricité, viennent dinvestir dans une entreprise californienne dont les micro-turbines pourraient envahir les foyers américains, et générer de considérables profits
Selon la revue, il sagit de Capstone. Voir des précisions et données techniques sur cette turbine héritée de la technologie des jets, mais qui naurait que 40.000 heures de durée de vie sur
http://
www.capstoneturbine.com
Ces informations sont-elles à rapprocher de ce que dit Robert Di Cosmo auteur de " Le hold-up planétaire, la face cachée de Microsoft ", édité chez Calmann-Lévy, à savoir que la règle dor du marketing de Bill Gates est de "devancer ses concurrents et occuper un créneau avec un produit médiocre que lon améliore petit à petit".
CHAMBRIN Jean H.
9, rue du renard, 76000 Rouen (à l'époque)
Ingénieur en mécanique, il dépose le 11 février 1974 sous le n° 74 04473 un brevet d'invention concernant "Un dispositif d'aménagement d'un moteur à combustion en vue de son alimentation avec un carburant additionné d'eau." Un certificat d'addition viendra le compléter le 3 décembre 1974, sous le n° 74 39457.
Jean Chambrin ne reçut que de la publicité, mais aucune aide pour fabriquer son moteur en série. Pourtant de nombreux témoins affirment que ses véhicules et son chauffage fonctionnaient très bien.
Il a du prendre de grandes précautions pour sa sécurité personnelle. TF1 a parlé de lui en 1997 lors de lémission " Combien ça coûte" et a affirmé qu'il était depuis longtemps à l'étranger, sa femme ne sachant même pas son adresse
Selon une personne qui l'a rencontré, il semble bien que ses brevets aient en fait été achetés et qu'il vivrait bien du prix de son silence
Selon d'autres informations, la France n'ayant pas voulu de sa découverte, et Chambrin ne voulant pas céder son brevet à la Chine de Mao, il serait parti au Brésil où son moteur aurait été exploité. Il serait décédé dans un accident automobile.
Le 25 février 1975, il dépose un deuxième brevet très précis, comportant 14 schémas, sous le n° 75 06619 et intitulé : "Appareil et combinaison de moyens permettant le conditionnement d'un mélange d'eau et de carburant, et, à la limite d'eau pure, en provoquant une réaction thermochimique génératrice de production d'hydrogène et d'un état plasmatique de la matière, pour utilisation dans un moteur thermique ou dans un système de chauffage."
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Un dispositif a été installé à titre expérimental sur une automobile de trois litres de cylindrée qui a effectué le trajet Rouen - Périgueux et retour en consommant 23 litres aux 100 km de mélange aqueux d'alcool titrant environ 40° ce qui correspond à 9,2 litres d'alcool pur équivalent énergétiquement à 6,9 litres d'essence. |
Les brevets 23 à 26 de Chambrin Jean (France)
http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=FR2302420&F=0
http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=FR2293604&F=0
http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=FR2263390&F=0
http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=FR2215611&F=0
Voir aussi
page 17 dans "les
carnets de René"
CHERNETSKII A.V.
Physicien russe qui a renouvelé par hasard lexpérience de Tesla et détruit une station électrique de lInstitut de lAviation de Moscou (l'expérience de Tesla avait entraîné en 1899 la destruction totale de linstallation de Colorado Springs). Dans les films présentés pour la première fois le 25/11/95 au congrès de la DVS, on voit les appareils du professeur (à qui Harold Puthoff avait rendu visite) appareils qui ont une efficacité de sur unité de 5. (Voir Correa dans le dossier Fusion Froide).
C'est la DVS qui garde en archives la majeure partie des travaux de Chernetski.
CLEM Richard
Richard Clem travaillait pour la ville de Dallas sur des grosses machines. Il avait remarqué que certaines pompes à haute pression continuaient à marcher quelque temps après avoir été débranchées. Sa curiosité la conduit à mettre au point le moteur Clem et il a pu annoncer, en 1972, quil avait trouvé un moyen pour faire fonctionner les voitures avec de lhuile de table. Il a fait des essais dune telle voiture sur des terrains vagues de Dallas.
Pour réussir un meilleur moteur que celui utilisé pour un voyage où des éléments trop petits ou faibles ont lâché, il il fit appel à une quinzaine de sociétés (il a écrit jusquà Taiwan) avant de trouver un financement.
Son fils et sa fille ne risquent pas doublier les événements qui entourent la mort de leur père. Celui-ci est décédé dune attaque cardiaque peu après avoir signé un contrat daffaires avec une compagnie charbonnière dont il na pas dévoilé lidentité mais qui devait vendre le moteur à des sociétés délectricité. Il pensait terminer le moteur fin 1972. Le FBI est venu saisir tous ses papiers lorsquil est mort. Tout de suite après cela, son fils a emporté la machine dans une ferme proche de Dallas et la placée sous trois mètres de béton.
Lors dessais, les ingénieurs de chez Bendix auraient été stupéfaits de voir marcher la machine pendant neuf jours daffilée (on dit quelle a fonctionné plusieurs années). Ils en sont arrivés à la conclusion que la seule source dénergie capable de donner un tel fonctionnement en système fermé ne pouvait être que de nature atomique. Si les constructeurs de moteurs avaient adopté linvention, il aurait seulement fallu que les conducteurs changent leurs trente litres dhuile de table tous les 150.000 km, sans avoir à acheter une goutte dessence.
La machine de Clem était si proche dun équipement utilisé pour étendre lasphalte quil navait dailleurs pas déposé de brevet à ce sujet car il estimait empiéter sur un brevet existant. On sait que Clem se servait dasphalte fondu dans sa machine qui produisait 350 CV (dûment mesurés avec un dynamomètre), pesait environ 86 kg, et fonctionnait à lhuile de cuisine ce qui permettait au moteur d'atteindre plus de 300 degrés F, température qui aurait fait évaporer leau et casser les moteurs classiques.
La plupart des composants venaient du commerce sauf larbre creux et le cône dont laxe était vertical et monté sur un plan de rotation horizontal. Larbre portait le cône dans lequel des canaux en spirale étaient creusés. Ces trajectoires en spirale senroulaient autour du cône et se terminaient à sa base sous forme de tuyères. Le fluide pompé dans larbre creux à des pressions de 300 à 500 psi (170 g/cm2), circulait dans les canaux en spirale fermés et sortait par les tuyères en faisant tourner le cône. La vitesse de rotation du cône augmentait avec celle du fluide. Si elle continuait à augmenter, le fluide chauffait et il fallait un échangeur de chaleur et un processus de filtrage. Le moteur tournait de 1800 à 2300 tours/minute et continuait plus dune heure après avoir été coupé. Même si Clem na pas donné beaucoup de détails, on sait que la seule source de courant venait dune batterie de 12 volts.
On peut penser que le gradient de gravité était légèrement plus élevé et amplifié par la rotation centrifuge. Il y avait donc à la fois différence de température et poussée centrifuge.
Les descriptions de la machine proviennent de témoignages de personnes qui tiennent à garder lanonymat, et qui connaissent les enfants de Clem.
Pour des gens avertis la liaison est évidente avec les principes de Boundary Layer Drag tels quen témoigne le travail de Tesla. Chez KeelyNet , on a remarqué quil se passait des choses curieuses dans les masses en rotation à des vitesses précises dépendant des fréquences de résonance de la masse en tant quensemble comme le dit Keely.
La pièce complexe de la machine était le cône. Si on se base sur la résistance précitée, le cône ne paraît pas nécessaire. On peut se demander si la surface étendue du cône ajoutait à sa vitesse de rotation, en donnant des pressions plus élevées par la force centrifuge ou si des plaques semblables à celles de la turbine de Tesla suffiraient à produire le même effet ?
les recherches continuent, après une petite enquête, aucun Richard Clem navait pu encore être retrouvé fin 1992 dans la région en question.
20.06.2012
Autres informations concernant le moteur de Clem et la
turbine CIBC
Extraits de
http://www.youtube.com/watch?v=uytNXEEPhNM
En 1972 : Richard Clem et
sa voiture |
En 2004 le moteur CIBC |
Comparaison des turbines Clem d'origine avec la
turbine CIBC |
COOK Robert
CIP Systems à Palmdale, CA, USA.
D'un caractère aimable, cet ingénieur inventeur en mécanique du sud du Texas a gardé de sa mère, dorigine espagnole, son accent daujourdhui. Au congrès de la DVS à Toronto, en 1981, il a parlé des outils utilisés pour convertir des forces centrifuges en forces linéaires, capables de déplacer un objet sans recul. Cependant, lors du passage de la vidéo de son excellente démonstration, on voyait que les lois de Newton (réaction égale et opposée à une action) étaient encore nettement respectées. Dans le fonctionnement de son appareil, un poids en accélération est enlevé de son support par un mécanisme très compliqué, pour être ensuite mis en mouvement dans la direction opposée. Il obtint avec ceci un " moment " de la machine réglé dans ce cas précis à 750 grammes.
CORNISH FRANCOIS P.
Inventeur anglais qui a déposé le 30 juin 1982 sous le n° 0055134A1 un brevet européen dun procédé permettant à une voiture de fonctionner sans pollution (sauf celle en amont nécessitée par la transformation de la bauxite en aluminium) avec de leau et un peu daluminium. Pour une une voiture de 900 kg et pour 600 km, il faut 20 litres deau, 1 kg daluminium à $1. Il est recommandé aux personnes non qualifiées de ne pas expérimenter cet appareil
Début 1998, des ingénieurs proches de Sarajevo ont contacté Jean-Louis Naudin par Internet. Ils voulaient résoudre leur problème de production d'énergie. A défaut du moteur à énergie libre espéré, ils ont pu réaliser avec succès l'appareil de Cornish.
BMW répondant le 05/11/81à un courrier du 17/10/81 de M. Cornish dit avoir procédé aux essais de son système après avoir monté lappareil dans une voiture de 2000 cc et obtenu suffisamment de gaz pour faire fonctionner le moteur en continu. "
la consommation daluminium moyenne a été de 180 cm à la minute pendant un essai sur 70 minutes. En ayant relié le condensateur que vous avez spécifié, nous avons travaillé avec 14 V. La température de leau est restée basse
aucun acide na été retrouvé après lessai. Un seul problème possible peut être le dépôt doxyde. Veuillez nous donner plus de détails sur ce que vous avez trouvé sur ce sujet."
On trouve la trace de M. Cornish pour la dernière fois au Canada en 1988. Sur le site
http://
www.layo.com
, un appel a été lancé pour le retrouver.
Dans lappareil, leau est dissociée en hydrogène et oxygène dans le réservoir lui-même alimenté par le réservoir de la voiture dont le niveau est contrôlé par un flotteur car leau (qui peut être salée) est consommée au fur et à mesure de la production dhydrogène. Le réservoir est en communication avec un échangeur de chaleur du type radiateur classique dautomobile.
Loxygène est ingénieusement combiné avec laluminium. Lénergie libérée en premier rend loxygène inoffensif.
Lhydrogène recueilli dans un récipient est extrait et vaporisé dans un carburateur classique comme pour du méthane.
A lintérieur du réservoir se trouve un tambour en aluminium tournant à vitesse constante de 400 à 700 tours minute de préférence, mais qui peut descendre à 50 tours. Un système de collet fournit une étanchéité en haut du réservoir en lempêchant dêtre en communication avec le récipient. Le fil est amené contre la surface du tambour.
A lintérieur du conteneur de gaz il y a un analyseur de pression relié à une unité de contrôle. Si la pression a dépassé la valeur prévue, il stoppe lunité, qui arrête larrivée de fil au tambour. La pression ayant chuté, lalimentation en fil se poursuit.
En fonctionnement, la bobine est reliée au côté haute tension des deux bobines d'allumages ou transformateurs qui ont un enroulement primaire et des bobinages de tension proches. Un transformateur est relié sur les connections à haute tension. Les terminaux vont à une batterie de voiture classique.
Au point de contact entre lextrémité du fil et du tambour, il se produit une décharge électrique (le fil transporte 18000 volts avec un courant de 1 ampère environ) qui provoque un fort échauffement (jusquà 95°C , mais moins en usage mobile) des surfaces de métal voisines. La couche doxyde métallique qui se forme naturellement à la surface de laluminium est alors désintégrée, ce qui permet aux surfaces exposées de réagir avec leau. Par le fait, la situation électrochimique est telle que le fil est brûlé selon la réaction suivante : 2al + 3H2o-------àA12 + 2H2 . Le résultat étant que des bulles dhydrogène se forment au point de contact et que loxyde daluminium se rassemble en poudre blanche au fond du réservoir. Lhydrogène passe dans le récipient et par lorifice va vers le carburateur.
Des lames dessuyage sont prévues pour empêcher aux bulles dadhérer à la surface du tambour.
Des modifications classiques ont été apportées au carburateur pour fonctionner avec un mélange dair et dhydrogène. En 1981, il subsistait quelques petites difficultés que les progrès de lélectronique devraient permettre de résoudre en 1999 à savoir : - mettre au point un système pour se débarrasser de la poudre doxyde daluminium qui se dépose au fond du réservoir et - trouver un système de contrôle absolument sûr pour signaler sil reste de loxygène (problème pourtant non évoqué par BMW).
Un appareil réalisé selon le schéma a été utilisé sur une moto. Le fil avait un diamètre de 1,6 mm et était pur à 98° Ã1 (qualité commerciale). Lappareil a produit 1000 cc dhydrogène pour une consommation de fil allant de 140 à 180 cm à la minute. La quantité doxyde déposé était de 4 kg aux 500 km.