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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 16/10/2006 - mise à jour au 21/10/2006
"Patchwork" d'informations « Il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que quand on ne les a pas tentées » André Gide Des générateurs sur-unitaires, bien concrets, aux résultats vérifiés, et visibles en Europe
http://www.gammamanager.com/
C4/4 E.B.M. à Budapest Ces générateurs, qui arrivent après 15 ans de travaux sont basés sur une invention canadienne. C’est GAMMA Group, sous la direction du Pr Szabo, et la société ELECTRO ERG LIMITED (EEL) qui sont les auteurs de ces générateurs « EBM » (Electricity By Motion.) Ces générateurs sont visibles à Budapest, l’équipe de EBM venant de déménager, quittant Toronto pour la Hongrie où les coûts d’ingénierie sont moins élevés qu’au Canada. Précédemment il y avait 4 labos : Toronto, Houston, Londres et Budapest. bIl y a quelques années, lorsque EBM était à Toronto, la NASA a travaillé avec l’équipe. C’est à Budapest qu’ils ont terminé les générateurs qui ne fonctionnent ni avec des carburants fossiles, ni du solaire et sont basés sur le brevet WO9318570 http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=WO9318570&F=0 "ASYMMETRICAL ELECTRO-MECHANICAL DEVICE a.k.a. CDCII" - Publication date: 1993-09-16l; Inventor: SZABO LESLIE I (HU); Applicant: ELECTRO ERG LTD (HU) La Hongrie recommande que le Pr Szabo reçoive un prix Nobel pour cette invention. Il est possible de visiter le labo de Budapest qui sera ouvert 3 jours par semaine en Octobre et en Novembre. Un autre générateur sera probablement installé à Norfolk, ce sera le modèle de démonstration pour le Canada et les USA. L’énergie utilisée vient de flux magnétiques, elle est donc renouvelable, non polluante et peu coûteuse, et commercialement viable (EEL dit que le retour sur investissements est inférieur à 4 ans). EEL a des machines dotées d’une rotation spéciale. Elles peuvent être utilisées pour produire de la chaleur et de l’électricité. Elles sont fabriquées avec des matériaux utilisés couramment, l’acier laminé par exemple, peu coûteux et dont la masse présente dans chaque machine induira proportionnellement une plus grande énergie en sortie. Pour démarrer, il ne leur faut qu’un petit moteur à courant continu, si besoin est, un tracteur peut faire l’affaire. Au démarrage, il fait tourner l’unité d’entraînement du générateur EBM, et le fait arriver à sa vitesse de fonctionnement. Ce générateur a une géométrie spécifique qui permet de produire une énergie en excès sur l’arbre quand le rotor tourne dans le champ magnétique. L’énergie de l’arbre est convertie en électricité au moyen d’un générateur synchrone fixé à l’arbre de l’EBM. Une petite quantité d’électricité est ensuite renvoyée dans l’EBM pour entretenir la rotation. En d’autres termes, dit-on chez EEL, "quand nous vendons une unité de 10 mégawatts, elle produit réellement 15 mégawatts - ce sera le générateur de 15 mégawatts – 5 mégawatts retourneront au moteur de l’EBM." On peut alors utiliser l’énergie produite, car ces machines peuvent convenir à de nombreuses applications, ou la revendre au réseau 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Quatre professeurs : Dr. Laszo Szentirmai, Pr. Dr. Erno Petz, Pr. Dr. Ference Madar, Pr. Dr. Bela Tolvai et un docteur, M. Tibor Kiss Ph.D., ont signé le 16 août 2006 un document après contrôles du modèle E-720 Midget Power (documents visibles dans le site de EBM) Ils ont constaté un résultat de 130 % d’énergie en sortie, la bobine étant ouverte et la machine produisant seulement de la chaleur, et 106 % avec production d’électricité et chaleur.
Ici un autre protocole du Pr.Dr.R.K. Varms et du Canadien Mr. Bruno Ciccotelli, V.P. Engineering & Operations, Norfolk
Nota au 21/10/06 : Selon certaines informations, seuls des scientifiques,
ou des personnes intéressées pour acquérir des licences de distribution ou
commercialisation et/ou pour devenir actionnaires de la société pourront
être reçues dans les locaux de Gamma. la société annonce que plusieurs
licences sont en cours de vente dans plusieurs pays d'Afrique, aux
Caraïbes et en Asie. Certaines ont déjà été vendues en Amérique du Nord et
en Europe. Pr Heinz Wenz Le Pr Heinz Wenz qui s’est exprimé lors d’un congrès organisé par Inge et Adolf Schneider en 2004 à Kisslegg, détient un brevet PCT publié au 3 mars 2005 : WO2005/020412 A1. http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=EP1676353&F=0 Ce brevet comporte 311 pages d’informations sur sa « machine à force de champ » La technologie en question est basée sur une méthode d’utilisation des champs magnétiques afin de produire des forces et de l’énergie en occultant d’une façon très sophistiquée des portions du champ magnétique. L’invention de cette machine à force de champ comporte un générateur de force de champ, des batteries de champ, par exemple faites de 2 aimants permanents, positionnés sans être parallèles, et un modulateur de champ. Tout cet ensemble produit un travail mécanique dans le cycle de la machine, le modulateur contrôlant le champ des batteries pour qu’elles soient entre l’état d’équilibre et de non-équilibre. Selon cette invention, le générateur de force de champ se réfère au principe de base du condensateur magnétique et à la capacité magnétique….l’énergie est produite en permanence d’une façon non émettrice à partir des batteries de champ et elle est contrôlée par l’énergie, très faible, du modulateur de force de champ, ce qui est analogue au contrôle d’un transistor électronique… Selon INET, cette invention ressemble à ce que fait la société irlandaise STEORN Steorn
http://www.steorn.net/fr/downloads.aspx?Lang=fr&p=6 La technologie de STEORN porte sur un moteur à aimants sans composants électromagnétiques. Le brevet de Steorn a été publié le 6 avril 2006 http://v3.espacenet.com/textdoc?DB=EPODOC&IDX=WO2006035419&F=0
Ce brevet décrit différentes configurations dont la caractéristique commune est un champ magnétique bloquant le champ magnétique du premier aimant. En positionnant de manière adéquate un second aimant « équilibreur », il est possible de faire mouvoir le champ magnétique avec une énergie vraiment inférieure à celle de l’énergie mécanique gagnée à partir du mouvement des aimants. Sean McCarthy (ci-contre) qui dirige Steorn reconnaît que la physique classique actuelle dit que ce genre de chose est impossible. C’est aussi ce qu’il pensait ainsi que son équipe, alors qu’ils travaillaient sur un tout autre projet, avant de tomber sur ce phénomène d’énergie libre.
Sean McCarthy et le générateur STEORN Le 18 août 2006, Steorn figurait sur une pleine page de "The Economist". Ils annonçaient qu’ils avaient fabriqué un appareil à Energie Libre. Steorn affirme que les applications de leur appareil peuvent convenir à tout ce qui demande de l’énergie, des téléphones portables aux voitures. La société a demandé qu’un jury de 12 scientifiques chevronnés, neutres et même sceptiques se réunisse pour analyser et confirmer leurs résultats. Au 5 octobre 2006, cette liste de personnes choisies parmi des centaines de demandes est proche d’être finalisée. Les tests sont programmés pour le début 2007. Si ce jury émet un avis positif, le développement commercial pourra suivre. EnergyCell® System
Kokhala annonce que son système est très fiable et a une longue durée de vie . Que fait cette EnergyCell®System ? Elle récupère de la chaleur gaspillée ou utilise l'énergie solaire, la stocke et produit de l'électricité. Il est possible de combiner 8 modules pour répondre à différents besoins, domestiques ou commerciaux. L'appareil fonctionne en circuit fermé sur des principes de thermodynamique avec des fluides à différentes températures. des moteurs convertissent de façon efficace la chaleur en énergie mécanique rotative, et ensuite en électricité. Toutes ces opérations se font sans bruit, sans émissions polluantes. Ram Implosion Air Wing de Robert Patterson
http://www.pureenergysystems.com/events/conferences/2004/teslatech_SLC/RobertPatterson/RamImplosionWing.htm
Cet appareil se fixe sur la voiture, et crée un vortex devant elle (jusqu’à 30 m devant), et limite l'effet d'attraction lors de dépassements de camions. Comment glisser dans un milieu sans résistance à la surface de la terre, dans l'eau ou dans l'espace se demandait Robert Patterson. L'idée lui est venue en observant la manière dont les poules pondent, mais surtout cette aile fonctionne selon certains des principes de vortex décrits par Viktor Schauberger que M Patterson cite souvent. Il dit aussi que c'est à la suite de l'étude archéologique de symboles trouvés sur une statue japonaise vieille de 6000 ans ressemblant à un astronaute, qu'il a inventé son aile. M Patterson, qui rédige un livre, est en négociations avec une société qui produira les ailes afin de les commercialiser. Des systèmes de chauffage à cavitation Des COP annoncés de 3 et plus !
http://web.viapvt.sk/pminter/mainpage.html
http://www.kwant.it/index.php?id=31
Fusion froide et Transmutation par voie électrochimique
Une réplication de CFR par Ronald Hohls "La fusion froide dérange l’établissement officiel de la Science car elle perturbe les intérêts industriels qui seront forcément remis en cause dans un futur proche." voir http://www.prismeshebdo.com/prismeshebdo/rubrique.php3?id_rubrique=89 Des voitures qui roulent à l’eau, c’est maintenant possible avec du bore http://www.newscientisttech.com/channel/tech/mg19125621.200.html Dans le but d’avoir des transports aux échappements non polluants, en utilisant l’hydrogène (qu’il soit comprimé ou liquéfié *) sans les contraintes et les dangers dus à son stockage et son transport en toute sécurité (pipelines d’hydrogène et réseaux de distribution), il faut produire suffisamment d’hydrogène à bord et à la demande. » Ce n’est pas Quanthomme qui va contredire cette déclaration ! Tareq Abu-Hamed (actuellement à
l’Université du Minnesota) et ses collègues de l’Institut scientifique
Weizmann à Rehovot (Israël) ont conçu un système capable de produire cet
hydrogène grâce à une réaction eau-bore. Le sous-produit est de l’oxyde de
bore qui, après récupération peut à nouveau être transformé en bore et
réutilisé. Le bore a le même genre de réaction avec l’eau que le sodium et
le potassium (aux réactions plus violentes), mais on peut mieux le
contrôler. De plus, il ne lui faut pas de confinement spécial, et à nombre
d’atomes égal, c’est un matériau léger et davantage contrôlable. Engineuity, une jeune société
israélienne dirigée par Amnon Yogev, un ancien scientifique de l’Institut
Weizmann, travaille aussi sur le même genre de stratégie, mais pour
produire son hydrogène, il se sert d’un fil d’aluminium et d’eau. Une autre société américaine
PowerBall Technologies envisage de faire un moteur à hydrogène (toujours
avec production à la demande) avec des boules de plastique remplies d’une
poudre d’hydrure de sodium. Des experts sont sceptiques « Ce n’est pas pour bientôt, ni 5, ni 10 ans » dit Jim Skea, directeur de l’Institut de Recherche sur l’Energie à Londres. Daimler concentre actuellement ses efforts sur les voitures à l’hydrogène comprimé * car le réseau de distribution est déjà présent par endroits. (toujours le paradoxe américain : on redoute le terrorisme et on transforme néanmoins ses véhicules et installations de distribution en bombes ou cibles potentielles, ndlr) Avec l’hydrogène liquéfié, on perd 40% de son énergie, avec l’hydrogène comprimé, la densité d’énergie est si basse qu’on voit mal comment l’utiliser dans une voiture classique. Mais M. Yogev de la société Engineuity affirme que les coûts seraient comparables à ceux des moteurs à hydrocarbures d’aujourd’hui et il espère que son prototype sera fabriqué d’ici 3 ans. Aluminium Quanthomme conseille de voir ou revoir - Cornish - la page de Jean (5 - Hydrogène : quelques infos) - et cet extrait du livre de Gustave Lebon, édité en 1917 chez Ernest Flammarion "L'évolution de la matière"
« Bucky gold »
Les fullerènes (portant le nom de Buckminster Fuller, à qui nous avons emprunté la citation sous notre logo) ou buckyballs sont des structures creuses de 60 atomes de carbone, découvertes dans les années 80. Les chercheurs américains ont fait la première version métallique. Ces structures faites de triangles ont seulement 16 à 18 atomes et ressemblent davantage à des gemmes taillées qu’à un ballon de foot. Elles pourraient même héberger à l’intérieur un atome-invité, quoique les chercheurs n’aient pas encore tenté de le faire. Leur diamètre est en moyenne de 6 angströms (10 angströms valent un millième de micromètre). Les fullerènes possèdent, elles un diamètre environ 10 fois plus petit. C’est en vaporisant avec un laser de minuscules tas d’or que les chercheurs ont fait leur découverte. Jusqu’à présent, seuls des agrégats compacts d’or, sans cavité, avaient été vus. Les applications pourraient exploiter le fait qu’à l’échelle des atomes, l’or devient fortement réactif et est donc un très bon catalyseur. Pour en savoir plus lire Satya
Bulusu, Xi-Li, Lai-Sheng Wang et Xiao Cheng Zeng 2006 Proc.Natl.Acad.Sci
103 228326 Sans titre :-(((( Le communiqué publié à l’issue de
la réunion du G8, en juillet 2006 effleurait les énergies alternatives
classiques comme la biomasse ou l’éolien, mais était axé sur
«Comment
faire pour qu’il y ait davantage de pétrole sur le marché». :-(( http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/5244240.stm Des scientifiques de premier plan
lancent un appel en faveur du climat. Août 2006 : ils demandent instamment
aux dirigeants de la planète de consacrer plus d’argent au développement
de nouvelles technologies énergétiques afin de s’attaquer au problème du
réchauffement global. Lord Martin Rees, président de la Société Royale
souhaite que soit créé un programme de recherche international financé par
tous les gouvernements. Il décrit l’inquiétante absence de détermination
de la part des dirigeants mondiaux à ce sujet. C’est un défi urgent. :-((( http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/06/29/AR2006062901911.html Ford abandonne la promesse faite au sujet de la production de véhicules hybrides. La promesse concernait la
construction annuelle d’ici à 2010 de 250.000 véhicules hybrides, à
moteurs essence-électrique. Cet abandon n’a pas étonné certains
analystes…En 2005 les véhicules hybrides constituaient 1,2 % de tout le
marché du neuf aux USA. En 2013, il était prévu d’atteindre les 5%, ce qui
reste relativement faible par rapport au marché. :-(((( Cet été, l’Europe est passée à deux doigts de la catastrophe nucléaire… Une nouvelle, pas très nouvelle,
puisque les faits se sont passés le 25 juillet 2006. Ils concernent un
accident nucléaire en Suède. La presse européenne a publié cette nouvelle
en Une, les médias français ont passé cet événement, pourtant important,
sous silence. Cet accident s’est produit en
Suède, à la centrale de Forsmark. Un court-circuit dans le réseau
électrique extérieur a provoqué le black-out du réacteur n°1. Tous les
écrans de contrôle se sont éteints. Il fallait d’urgence mettre en route
les 4 générateurs de secours pour alimenter les pompes de refroidissement
du réacteur pour éviter la fusion du cœur. Mais malheureusement aucun
générateur ne voulait démarrer. Le cœur s’échauffait, le niveau d’eau du
circuit primaire baissait de 2 mètres, la pression normale de 70 bars
s’était effondrée à 12 bars. Et si les techniciens de Forsmark n’avaient pas réussi à remettre en route ces 2 générateurs ? 7 minutes plus tard, se serait produite une première phase de destruction du cœur, la fusion intervenant dans l’heure suivante. Un dégagement colossal de radioactivité se serait répandu en Europe. Le réacteur pouvant même arriver à exploser. La moitié des scénarios d’accidents nucléaires majeurs menant à la fusion du cœur ont une cause : la coupure de courant du réacteur. Si ce défaut existe sur une centrale, il peut donc exister sur celles construites sur la même base, donc les suédois ont fermé préventivement 3 réacteurs. Avec ceux qui se trouvent en maintenance, la Suède n’a que la moitié de son parc nucléaire en activité. De leur côté, l’Allemagne et la Finlande examinent de près leurs réacteurs. Et en France, on ne fait rien car les réacteurs sont de conception différente.Pourtant il n’y a pas que les réacteurs russes RBMK qui soient dangereux. Même si le propriétaire de la centrale de Forsmark dit qu’un réacteur nucléaire n’est jamais qu’une bouilloire géante (les russes disaient aussi cela de Tchernobyl avant l’accident ndqh), il faut bien réaliser qu’elle est géante et particulière. Est-on totalement à l’abri d’un court-circuit ? Dans le cas d’un événement similaire en France, il faudrait arrêter et inspecter les 58 réacteurs répartis sur le territoire. Principe de précaution nécessaire plutôt que de s’abriter derrière des déclarations comme celle de l’AIEA qui disait en 2005 que «la centrale de Forsmark est une des plus sûres au monde et qu’il devrait être possible de la faire fonctionner pendant encore 50 ans.» Source : www.sortirdunucleaire.fr On nous a signalé
Une technologie venue de Russie : Le convertisseur Electrique magnétique de Akoil. Mr Frolov dit que ce produit est vraiment un générateur d’énergie sans carburant. En 2006, la commande minimum portait sur des gros générateurs de 100 kW. En 2007, des générateurs moins puissants seront fabriqués. Les appareils ont un transformateur spécial autonome, sans pièces en mouvement. Le premier démarrage se fait à partir d’une batterie de 12V. La durée de vie est estimée en dizaines d’années, la garantie est de 3 ans. Mr Frolov peut organiser pour les consommateurs des démonstrations d’un prototype de 10 kW qui aura besoin de 3 à 4 kW d'entrée pour fonctionner.
C’est en anglais, mais ces pages recensent les chercheurs et savants qui ont été menacés, harcelés, assassinés ou qui ont été réduits au silence…
Ce dé à coudre ressemble bien à celui de M. Bouteleux...
Merci à tous ceux qui nous ont transmis des infos ! |