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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 06/11/2007- mise à jour le 13/11/2007

 

Les gyroscopes du Pr Laithwaite : une hérésie pour la "Royal Institution"

 

La Royal Institution n'a pas ri du tout

 

Il y a peu de personnes qui rendent visite à la Royal Institution, rue Albemarle, à Londres, pour s'amuser. On ne rit pas beaucoup dans cette vieille institution scientifique anglaise, la deuxième du genre, fondée en 1799. C'est là que Sir Humphry Davy a démontré sa découverte des éléments sodium et potassium. C'est là que Michael Faraday a découvert l'induction électromagnétique. Il est vrai qu'il y a eu des moments plus plaisants dans le célèbre théâtre circulaire des conférences, particulièrement depuis que Sir William Bragg y a introduit les conférences de Noël pour les enfants dans les années 1920. Mais dans l'ensemble, c'est le territoire des gens guindés.

Un soir de 1973, ces gens ont eu un choc dont ils ne se sont pas encore remis. Il s'agissait d'une expérience devant laquelle ils n'ont pas ri (sérieux comme la reine Victoria).  En fait, c'était si peu drôle pour eux que c'est la seule et unique fois dans l'histoire bicentenaire de la Royal Institution qu'elle a refusé de publier un compte rendu d'une grande conférence, d'un "entretien du soir". La cause de ce cas unique de censure scientifique en était le non conformiste professeur d'ingénierie électrique du Collège Impérial de Londres, le Pr Eric Laithwaite.

Laithwaite avait l'habitude des controverses avant même que son ombre n'aborde le seuil d'une institution aussi distinguée. Dans les années 1960, Laithwaite a inventé le moteur électrique linéaire, un système qui peut faire rouler un train de voyageurs. Dans les années 1970, avec ses collègues ils ont associé le moteur linéaire avec la toute dernière technologie hovervraft pour créer un train anglais, expérimental et à grande vitesse. Il s'agissait d'une technologie à la pointe de la nouveauté tout en étant parfaitement orthodoxe.

Les  avantages d'un tel  aéroglisseur sur voie sont évidents quand on observe ce train en circulation, suspendu en l'air au dessus de la voie - silencieux, sans parties mobiles qui s'usent et pratiquement sans nécessité  de maintenance. Ce dernier point devient une évidence si on sait que 80 % des coûts annuels de fonctionnement de n'importe quel réseau ferroviaire sont dépensés pour l'entretien des voies et pour les roulements, en raison de leur usure journalière.

Au début, le gouvernement anglais a investi dans le développement de ce système, mais, plus tard, après une série de coupes (sombres) dans le budget, l'a rejeté en plaidant la nécessité économique. Laithwaite, homme du Lancashire au franc-parler qui ne se dérobait pas pour dire des vérités qui fâchent, a dit, dans des termes sans équivoque,  au Gouvernement et à ses bureaucrates scientifiques, qu'ils faisaient là une erreur, mais cela n'a pas fait changer leur décision.

Laithwaite ne s'est pas tenu pour battu et a fait progresser son invention en concevant même un meilleur type d'aérotrain - un dans lequel son moteur linéaire était mis en lévitation par l'électromagnétisme ce qui donnait un système à déplacement rapide qui, non seulement fournit une suspension magnétique silencieuse, efficace sur une voie exempte de maintenance, mais produit en outre l'électricité nécessaire à l'ascension magnétique de la piste à partir du mouvement du train.

Au début des années 70, Laithwaite dit de son nouveau système "Maglev" : "Nous avons conçu un moteur pour la propulsion du train, qui donne pour rien la poussée verticale et le guidage - littéralement pour rien : sans équipement ni énergie supplémentaires. Je n'aurais jamais pu imaginer  cela, c'est bien au-delà de mes rêves les plus fous".

Le "Maglev" n'était pas un mouvement perpétuel silencieux, mais a certainement fait penser à "quelque chose pour rien", ce qui a fait détourner la tête à l'establishment soupçonneux. Ce projet, également, a été éliminé par le gouvernement et les développements ultérieurs stoppés. Aujourd'hui, les trains "Maglev" sont faits en Allemagne et au Japon, mais la Grande-Bretagne continue à dépenser 80% de son budget ferroviaire pour la maintenance de systèmes de transport classiques, c'est à dire plusieurs centaines de millions par an.

Avec l'élimination du projet "Maglev", la technologie pour laquelle Laihwaite avait consacré les vingt dernières années de sa vie était mise dans la naphtaline. En une nuit, ce qui avait été l'objet de toute sa carrière sur des dizaines d'années, venait de disparaître. Par une chance extraordinaire, au même moment que le projet "Maglev" était éliminé, Laithwaite recevait un curieux appel téléphonique imprévu  d'un inventeur amateur, Alex Jones.

Jones affirmait avoir une nouvelle invention remarquable à montrer, invention à laquelle il avait essayé d'intéresser des scientifiques et des ingénieurs, mais en vain. Est-ce que Laithwaite aimerait voir ça ? Alors que d'autres avaient  éconduit Jones le prenant pour un excentrique. Laithwaite, ayant maintenant du temps devant lui, l'a invité à venir à l'Imperial College.

Quand Jones est arrivé au laboratoire, il avait un curieux machin à montrer. C'était un simple cadre en bois monté sur des roues que l'on pouvait faire avancer ou reculer sur l'établi, comme un chariot d'enfant. Cependant, il y avait, suspendu sur le devant du cadre, un objet en métal, lourd qui pouvait se balancer d'un côté à l'autre, comme un pendule. Cet objet en métal, expliquait Jones, était un gyroscope.

Pendant que Laithwaite, étonné, observait, Jones mettait le gyroscope en rotation, et ensuite le laissait aller d'un côté à l'autre. La boîte en bois se déplaçait sur l'établi sur ses roues alors qu'elles n'avaient ni  entraînement pas plus qu'elles ne recevaient de poussée extérieure - c'était quelque chose qui ne pouvait pas arriver selon les lois de la physique.

"Quand Alex mettait sa machine en route, se rappelle Laithwaite, c'était assez perturbant pour qu'on se pose des questions. Le gyroscope paraissait produire une force sans réaction. je pensais avoir vu là quelque chose d'impossible.

Comme tout le monde, j'avais été éduqué selon les lois  sur le mouvement de Newton, et la troisième loi dit que chaque action a une réaction égale et opposée, par conséquent, on ne peut donc pas propulser un corps à l'extérieur de sa propre dimension. Et apparemment cette chose là le faisait."

Laithwaite a commencé à faire ses propres expériences avec des gyroscopes, en fabriquant de grandes parties supérieures en rotation, dont la plus grande partie de la masse était située sur le bord de la roue, et il a trouvé que "ceux-ci, faisaient en définitive vraiment quelque chose qui semblait impossible".

Et c'est à ce point critique de sa carrière qu'il a été invité par Sir Georges Porter, Président de l'auguste  Royal Institution, à venir y donner une conférence dans le cadre des Entretiens du Vendredi soir.

Rétrospectivement, il pourrait sembler que le fait d'avoir invité une personnalité controversée et au franc-parler pour s'adresser à l'Institution, était plutôt risqué pour Sir George. Mais jusqu'ici, les désaccords entre Laithwaite et le gouvernement et les scientifiques bureaucrates portant sur le développement de son train "Maglev" avaient été un conflit basé sur le financement et sur l'innovation mais pas sur des principes scientifiques. Il avait déjà eu à faire ce même genre de combat comme la plupart des vieux scientifiques anglais pour de maigres ressources.  

On peut dire qu'il était une sorte d'individualiste au parler vrai se trouvant lui-même à la une de l'actualité   mais demeurant encore un scientifique professionnel distingué, toujours membre du club.
 

C'était dans cette ambiance que la Royal Institution l'invitait à donner sa conférence. Mais celle du Vendredi soir n'est pas une conférence ordinaire. C'est une soirée où l'on porte la cravate noire, précédée d'un dîner dans l'argenterie brillante et l'acajou de l'élégante salle à manger de l'Institution, de l'époque des rois Georges, sous les regards fixes et intimidants des géants de la science des XVIIIème et XIXème siècles dont les portraits  garnissaient les murs.

Lorsque l'on est ainsi invité pour être fêté par ses semblables de la Royal Institution et à discourir à l'endroit même où se sont tenus Faraday et Davy, c'est en général le prélude à recevoir les récompenses de toute une vie de service public distingué : titre de membre de la Royal Society, médailles d'or, peut-être même une nomination de chevalier. Restant fidèle à une telle circonstance conservatrice, ceux qui sont invités à s'exprimer choisissent en général quelque sujet valable pour leur discours - le futur de la science, peut-être, ou bien les réussites glorieuses du passé.

Mais Laithwaite n'a pas choisi de parler d'un sujet digne d'être traité et banal, mais en fait de démontrer aux gros bonnets  que les lois sur le mouvement de Newton, la véritable pierre angulaire de la physique et le premier article de foi de tous les grands noms réunis dans cette salle - pouvaient être mises en doute.

Se tenant au centre du puits circulaire du théâtre des conférences de l'Institution, Laithwaite a montré à son auditoire un gros gyroscope qu'il avait construit - un appareil qui ressemblait à une roue de moto à l'extrémité d'un mât d'environ un mètre (ce qui était le cas). On pouvait faire tourner la roue à grande vitesse sur un palier à faible friction entraîné par un moteur électrique, petit mais puissant.

 

Tout d'abord, Laithwaite a montré que l'appareil était lourd, en fait il pesait plus de 25 kg. Il lui fallait les deux mains et toutes ses forces pour élever le mât avec sa roue bien au-dessus du niveau de la taille. Cependant, quand il a commencé à faire tourner la roue, à grande vitesse, l'appareil est devenu d'un coup si léger qu'il pouvait facilement l'élever au-dessus de sa tête d'une seule main et sans montrer de signes d'efforts.

Que se passait-il donc ? Des objets lourds ne peuvent pas, d'un seul coup, devenir plus légers juste parce qu'ils tournent ?  Le peuvent-ils ? Une telle masse peut seulement être propulsée en haut si elle est soumise à une force extérieure, ou si elle expulse de la masse, dans un moteur de fusée par exemple. Laithwaite avait-il pris des trucs pour  faire un tour de passe-passe ? Où étaient cachés les ficelles ? Et les complices dans leurs trappes?

 

 

Si Laithwaite s'attendait à des sursauts d'admiration ou de surprise, il a été déçu. L'assistance silencieuse était  frappée de stupeur par sa démonstration. Quand il en est venu à expliquer que les lois sur le mouvement de Newton étaient apparemment violées par cette démonstration, un  chut involontaire s'est transformé en silence glacial.

"J'étais très excité de tout ça" se rappelait-il, "parce que je savais que j'avais à leur montrer quelque chose de stupéfiant. Et je l'avais plutôt fait dans l'esprit de : venez voir ce que j'ai découvert !  venez et partagez ça avec moi. C'est seulement après que j'ai réalisé que personne ne souhaitait partager ça avec moi. La réaction était "le type est évidemment un  fou  ". "Il doit y avoir un truc", voilà ce que disaient les gens.

"J'essayais simplement de leur dire, regardez, il y a là une chose de très inhabituelle qui serait digne d'être étudiée. J'espère avoir acquis une réputation suffisante en ingénierie électrique pour qu'on ne me réduise pas à un excentrique. Ainsi quand je vous raconte ça, j'espère que vous écouterez. Mais ils ne le voulaient pas. "

Une fois passée la conférence à la Royal Institution ça a bardé, il y a eu d'abord un article dans le New Scientist, suivi d'autres articles dans les quotidiens avec des grands titres du style "Laithwaite défie Newton". La possibilité d'une machine à antigravité excite toujours la presse, à cause des vaisseaux spatiaux et de la science-fiction, et à la minute même où vous dites que vous pouvez faire quelque chose qui va s'élever contre la gravité, alors, on dit que vous avez une machine à antigravité. Alors, plus de vannes, l'inondation est lâchée sur vous tout particulièrement par l'establishment. Vous avez amené le déshonneur sur la  science  ou vous êtes apparemment en train d'essayer de le faire puisque vous avez fait quelque chose qui va contre la marche de la marée.

Le silence assourdissant de son auditoire se poursuivit bien longtemps après cette soirée fatidique. Plus question "de titre de membre de la Royal Society, ni de médaille d'or, ni de relevez-vous sir Eric." Et pour la première fois en deux siècles d'existence, il n'y a pas eu de compte rendu publié sur l'étonnante conférence de Laithwaite. Dans une action d'un stalinisme académique sans précédent, la Royal Institution a simplement banni la mémoire du Pr Laithwaite, ses gyroscopes qui devenaient plus légers, sa conférence et même son existence.

Les lois de Newton étaient restaurées à leur sacro-sainte place sur l'autel de la science. Laithwaite n'existait même pas et une fois de plus, tout allait  bien dans le monde.

Pendant les vingt années qui suivirent, Laithwaite a poursuivi la recherche sur ce comportement anormal des gyroscopes, au laboratoire, d'abord au Collège Impérial, et par la suite après sa retraite partout où il pouvait trouver une institution compatissante lui fournissant espace de paillasse et appareils de laboratoire.

Au milieu des années 1980 - une période qu'il disait "être la plus déprimante" Laithwaite avait mené suffisamment de recherches empiriques pour démontrer que les sceptiques voyaient juste quand ils disaient que l'on ne pouvait obtenir de forces des gyroscopes.

"Les mathématiques disaient qu'il n'y avait pas de forces, et c'était correct," se souvenait Laithwaite. La question qui demeure, c'était : puis-je lever un poids de 50 livres avec une seule main ou non ? Parmi toutes les critiques sur le fait que je montrais l'élévation de la grande roue, aucune n'a jamais essayer de m'expliquer ça. Aussi j'ai décidé de suivre l'exemple de Faraday et de faire des expériences."

Une fois retraité du Collège Impérial, Laithwaite a commencé une longue séries d'expérimentations détaillées. L'Université du Sussex lui a offert un laboratoire et il s'est associé avec un ingénieur et inventeur, Bill Dawson, qui a financé aussi la recherche. Laithwaite et Dawson ont passé 3 ans, de 1991 à 1994 à enquêter à fond sur l'étrange phénomène qui avait  déconcerté la Royal Institution.

" Ce que je souhaitais trouver d'abord, c'était comment je pouvais lever une roue de 50 livres d'une seule main. Aussi nous nous sommes mis à essayer de reproduire ceci dans une expérience sans les mains. Puis nous avons serré de près le problème de l'absence de force centrifuge et les expériences nous ont appris qu'il y avait moins de force centrifuge qu'il y aurait du y en avoir. Pendant ce temps, je commençais d'établir la théorie. Nous imaginions des expériences de plus en plus sophistiquées jusqu'à ce que, il y a peu, nous ayons résolu cela."    

'La véritable percée est arrivée, dit Laithwaite, quand ils ont réalisé qu'un gyroscope precessing *  pouvait déplacer une masse dans l'espace. " La partie supérieure qui tournait nous avait montré cela tout le temps, mais nous ne pouvions le voir. Si le gyroscope ne produit pas la quantité totale de force centrifuge sur son pivot dans le centre, en fait vous avez produit un transfert de masse."

"C'était devenu plus excitant que jamais maintenant parce que je pouvais expliquer l'inexplicable. Les gyroscopes sont alors en complet accord avec les lois de Newton. Nous n'en étions plus à mettre au défi n'importe quelle loi sacrée. Nous collions strictement aux lois qui auraient l'approbation de tous, mais en obtenant le même résultat - une force à travers l'espace mais sans fusée."

La recherche de Laithwaite et Dawson a maintenant porté ses fruits dans la pratique. Une société commerciale, Gyron, a déposé un brevet mondial sur un entraînement sans réaction - un appareil que la plupart des scientifiques orthodoxes dit être impossible.

Malheureusement, Eric Laithwaite est décédé en 1997. Son appareil reste sous forme de prototype, comparable peut-être, au premier avion des frères Wright ou à la première automobile de Gottlieb Daimler.

Peu de temps avant sa mort, Laithwaite parlait avec philosophie de la longue route expérimentale sur laquelle il avait cheminé péniblement et virtuellement seul. "Pourquoi les gens rejettent donc l'idée de quelque chose de nouveau ? se demandait-il . " Bon, bien sûr, ils l'ont toujours fait. Si vous remontez à Galilée, ils allaient le mettre à mort parce qu'il disait que la terre n'était pas le centre de l'univers. Il me revient en mémoire une chose que Mark Twain avait dit un jour '' un excentrique est un  excentrique   jusqu'à ce qu'on ait prouvé qu'il avait vu juste".

"Ainsi, maintenant, j'ai moi-même démontré que j'avais vu juste tout le temps. Toute personne qui voit les expériences saurait ça d'un coup, si elle possède bien sa physique, que j'ai fait ce que j'avais dit pouvoir faire, et que je ne suis plus du tout un hérétique."

L'entraînement sans réaction de Laithwaite est une machine extraordinaire : une machine que la science orthodoxe affirmait ne pouvoir jamais être construite et ne fonctionnerait jamais.  Mais quoiqu'elle puisse prouver  être en fin de compte d'une grande valeur - peut-être en fournissant même un appareil de force ascensionnelle à antigravité - c'est un réel consommateur d'énergie, comme la pompe hydrosonique de Griggs. Il n'y a pas de preuve au stade actuel qu'il s'agisse d'un appareil à sur unité - simplement, c'est un nouveau moyen de propulsion qui prouve qu'il y a plus de choses dans le paradis et sur terre que celles dont rêve couramment le rationalisme scientifique.

Mais il y a d'autres Laithwaite, et il y a d'autres machines, certaines même plus extraordinaires que l'entraînement sans réaction .

* giration comparativement lente de la rotation de l'axe d'un corps en rotation autour d'une autre ligne qui fait intersection avec elle de manière à décrire un cône causé par l'application d'un couple tendant à changer la direction de l'axe de rotation

Traduction B. Soarès - Quanthomme

source http://www.alternativescience.com:80/eric-laithwaite.htm

 

Extrait de pages relatives aux gyroscopes, déjà parues dans le site

 

 Dans la page des nouvelles du 05/01/2004

 

http://jlnlabs.imars.com/powerball/index.htm

 

Pour compléter cette information, voici quelques documents anciens concernant les expériences très intéressantes faites par le Pr Laithwaite.

 

 

Article paru dans Vues Nouvelles en Avril 1975

 

 

Propos de Tom Bearden (figurant dans ses courriers de début 2006) dans la page des nouvelles du 11/05/2006

"Il y a bien des années, j'ai rencontré le Professeur Laithwaite en Angleterre. Laithwaite était au courant du fait que le composant Heaviside du flux d'énergie avait été censuré. Il pensait que les gyroscopes pouvaient prendre de l'énergie de ce composant. J'avais vérifié ça !...Maintenant Laithwaite est mort, mais il avait mis au point un petit engin sans batterie, sans pièces en mouvement dans lequel une boule tournait sans s'arrêter. Il a offert cet appareil de démonstration à un musée technique au Royaume Uni, quand je pourrais je vais voir si je peux trouver ce qu'il en est advenu, ou avoir plus d'informations à ce sujet. C'est encore une des choses qui ont été discrètement censurée."

 Voir aussi la page concernant Marcel Pagès

 et

En culbutant brutalement le plan d’un système giratoire, il est possible aussi d’extraire de l’énergie du champ de tachyons. L’accélération qui en résulterait conduirait soit à des effets antigravitationnels soit à l’obtention de courant électrique, ou bien aux deux à la fois. Ces systèmes sont connus sous le nom de disque de Faraday (un aimant en rotation) et un " pivot  " de Laithwaite (gyroscope mécanique tournant à la périphérie d’un gyroscope central). (Voir N-Machine de De Palma et le disque flottant de l’anglais Searl).
dans
MG_Energietachyon

 et

Le principe de la N-Machine améliorée pourrait être très important pour une propulsion spatiale non conventionnelle, car il comprend la même base que celui de Laithwaite. Si on incline continuellement et très vite des systèmes en rotation, en les fixant par exemple sur le pourtour d’un grand gyroscope principal, alors, le système tout entier peut léviter. dans la page sur la N-machine de De Palma MG_PalmaKawai1

 et

Le supergraviton de Aspden - En 1988, au Canada, Strachan avait fait une démonstration de sa machine à antigravité (les appareils à antigravitation comme beaucoup d'appareils à sur unité produisent souvent du froid) devant plus de 200 scientifiques et ingénieurs. La machine qui pouvait soulever une pomme a été tenue prête avec une douzaine d’autres à Edinbourg pour la démonstration prévue fin 1989 sous la direction du professeur Salter, un expert en systèmes gyroscopiques et quasi voisin de Strachan.
dans
PageChercheurAEC1

 et

La théorie de Newman qui décrit le tachyon non seulement comme une particule oscillante, mais avec un mouvement gyroscopique semble expliquer de nombreux phénomènes y compris l’entéléchie (que le physicien Burckardt Heim attribue aux plus petites unités). Elle explique les résultats obtenus dans les recherches sur les aimants en rotation, le phénomène de Laithwaite, ainsi que la diminution d’accélération gravitationnelle de balles en rotation, telle que Bruce de Palma l’a présentée en 1981, à Toronto.
dans 
MG_KeelyPeregrinus2

 


Mise à jour du 13/11/2007

La conférence du Pr Laithwaite et d'autres gyroscopes en vidéo. (Il vaut mieux avoir l'ADSL pour récupérer ces documents.)

Olivier Pron nous communique cette adresse http://www.gyroscopes.org/1974lecture.asp  

Photo du site (dont nous recommandons la visite). Il contient aussi des dizaines d'autres photos de gyroscopes anciens et nouveaux ! Merci Olivier !