Petites infos
Batteries du futur -
Bearden et Bedini : le DVD 2 -
Caléfaction de la goutte d'eau -
Carburants végétaux
Eolienne Dieudonné -
Moteur gravitationnel Hackenberger -
De l'Or à partir d'APE - Diverses adresses
Batteries du
futur
Communiqué par Michel F.
(06/01/2007) extrait de
http://www.01net.com/article/336557.html?rss
Les
batteries du futur dopées aux plastiques et aux algues
Plus petites, plus puissantes et plus endurantes, les batteries
de demain devront leurs performances à leurs électrodes, conçues
avec des matériaux pour le moins originaux...
Jean-Marie Portal ,
L'Ordinateur Individuel,
le 27/12/2006 à 14h00
De l'avis de nombreux scientifiques, les
batteries rechargeables actuelles ont atteint leurs limites. En
termes de puissance, de coût de fabrication, de durée de vie, mais
également de confort d'utilisation : il faut les recharger
fréquemment et pendant plusieurs heures... Et ce ne sont pas les
possesseurs de PC portables, de mobiles, de PDA ou de baladeurs qui
les contrediront !
Rechargement quasi-instantané
La pile à combustible devrait permettre de
repousser ces limites, ce qui lui vaut d'être considérée comme la
batterie du futur. Mais des chercheurs continuent de miser sur les
batteries traditionnelles et, pour certains, de parier sur les
accumulateurs électriques comme les condensateurs (ou les
supercondensateurs), dont le principe consiste à emmagasiner de
l'électricité entre deux électrodes. Ce sont d'ailleurs ces
électrodes qui font l'objet de toute leur attention, car elles
influent sur la capacité de stockage d'un accumulateur. Sans s'être
donné le mot, des chercheurs français et américains ont ainsi eu la
même idée : utiliser de nouveaux matériaux pour fabriquer ces
électrodes, tout en suivant des pistes différentes : algues au CNRS,
nanotubes au MIT, plastique à l'université Brown...
Leurs premiers prototypes, très
prometteurs, permettent d'envisager la réalisation d'accumulateurs
plus petits que les batteries rechargeables actuelles, jusqu'à cent
fois plus puissants, capables de se recharger en quelques instants,
et à l'autonomie bien plus importante... Des accumulateurs qui
s'avéreront, par ailleurs, plus économiques et plus écologiques car
sans métaux lourds dangereux à manipuler - et nuisibles à
l'environnement - comme le lithium.
Fortifiée aux plastiques
Incroyable, mais vrai : une batterie qui se
charge aussi rapidement qu'un condensateur... et qui utilise du
plastique comme conducteur électrique ! Tel est le fruit des
recherches menées par l'université Brown de Rhode Island. Pour
arriver à un tel exploit, les scientifiques américains ont mélangé
deux plastiques différents - des polymères découverts par les trois
prix Nobel de chimie décernés en 2000 - à une substance qui en
rectifie les propriétés. Une bandelette de film plastique recouverte
d'or a été enduite de l'un des polymères modifiés ; et une seconde,
de l'autre. Les deux bandelettes ont été serrées l'une contre
l'autre, simplement séparées par une fine membrane isolante.
Résultat : non seulement ce prototype de batterie se charge en
quelques minutes, mais il est également plus petit qu'une pile
alcaline standard, pour une puissance cent fois supérieure !

Grâce à ses électrodes en plastique, la
batterie de l'université Brown se recharge en quelques minutes
seulement.
Nourries aux algues
Un supercondensateur qui conserverait 85 %
de sa capacité nominale après avoir été rechargé 10 000 fois, soit
une durée de vie au moins dix fois supérieure à celle d'une batterie
au lithium ! Voilà le résultat auquel est arrivé le Centre de
recherche sur matière divisée (CRMD), une unité mixte du CNRS et de
l'Université d'Orléans. Pour y parvenir, l'équipe de chercheurs,
dirigée par François Béguin, s'est tournée vers la mer, et plus
particulièrement vers les algues brunes. Car l'acide alginique, une
substance fibreuse située dans leur paroi cellulaire, offre une
propriété intéressante : il est naturellement riche en oxygène, et
le demeure après avoir été réduit par cuisson à l'état de charbon.
Plus riche encore que le charbon actif, le composant principal des
deux électrodes d'un supercondensateur traditionnel ! Or, l'oxygène
emprisonné dans ces électrodes leur permet d'absorber le courant
plus facilement.
Les chercheurs ont vérifié leurs théories
en utilisant des sels d'acide alginique (alginate de sodium)
carbonisés pour fabriquer des électrodes. Sachant que l'extraction
de l'alginate de sodium est une activité qui bat déjà son plein (les
industries agroalimentaire et pharmaceutique en engloutissent plus
de 20 000 tonnes chaque année), que sa transformation en charbon
coûte moins cher que la production de charbon actif, et qu'elle est
plus écologique, l'utilisation d'algues pourrait bien se
généraliser...
C'est une algue brune dont la
variété est tenue secrète qui permet de fabriquer les électrodes
increvables du CNRS.
Gonflées aux nanotubes
Le condensateur de l'Institut de
technologie du Massachusetts (MIT) serait plus puissant qu'une
batterie de même taille ! Quand on sait que les condensateurs
actuels les plus performants stockent 25 fois moins d'énergie qu'une
batterie chimique de taille équivalente, on mesure la portée du
projet sur lequel travaille le MIT. L'idée des chercheurs
américains ? Recouvrir les électrodes des condensateurs de millions
de petits tubes de carbone, trente mille fois plus fins qu'un
cheveu : des nanotubes.
Un procédé qui permet de pallier le
principal handicap du condensateur : sa capacité à stocker l'énergie
est proportionnelle à la superficie de ses électrodes, ce qui, dit
autrement, signifie que plus ses électrodes sont petites, moins il
peut stocker d'électricité. En recouvrant ses électrodes de
nanotubes, on augmente, d'une certaine manière, leur surface ; un
peu comme une serviette-éponge qui, grâce à ses fibres alvéolées,
arrive à contenir beaucoup plus d'eau qu'un simple morceau de
tissu... Avec pour résultat d'accroître considérablement la capacité
de stockage du condensateur.
Les millions de nanotubes en carbone tapissant chaque
électrode du condensateur du MIT transforment ce dernier en
véritable éponge électrique.
|
Bearden et Bedini
: le DVD 2
Communiqué du 19/02/2007 par
Anthony Craddock webmaster du site de Tom Bearden
Un nouvel article du 18/02/2007 de
T. Bearden :
http://www.cheniere.org/articles/index.html
" Les phase de la R&D et certains problèmes"
Un article technique du 18/02/2007
: http://www.cheniere.org/techpapers/index.html
Quelques vues extraites de la
partie 2 de la série documentaire en DVD
"Energy from the
Vacuum"TM Documentary Series

Tom Bearden explique comment l'énergie radiante converge
dans un circuit - tout l'opposé de nos circuits d'énergie positive

John explique comment le moteur à monopole qui est
derrière lui charge toutes les batteries nécessaires à l'alimentation
d'une maison.

John explique le fonctionnement du
moteur à monopole à double platine.
Plus de photos sur
http://www.energyfromthevacuum.com/Disc2.htm
Ce nouveau DVD devrait être disponible avant l'été. L'équipe de Tom
Bearden remercie toux ceux qui ont répondu de manière formidable au
premier DVD de cette série ainsi qu'au livre de Bearden et Bedini "Free Energy Generation - Circuits and Schematics."
Les demandes ont largement dépassé leurs attentes, aussi ils sont heureux
de voir que cette information sur "la science qui n'est pas encore une
science" ait atteint les endroits les plus éloignés de la planète.
Caléfaction de
la goutte d'eau
Communiqué
par les frères PEL (19/01/2007) : la
caléfaction de la goutte d'eau
(par Pierre Lancien ) document paru dans
http://www.bleu-media.com/pierre/docs/rapport-plancien-calefaction.pdf

Voir également les
images publiées par MM. Lauterwasser et Emoto dans notre
nouvelle du 09/12/2005
Carburants
végétaux
Communiqué par
Jean R. (25.01.07) - extrait de
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/40959.htm
"La production accélérée au niveau mondial d'éthanol
(à partir de maïs, de canne à sucre, de betteraves ou de déchets végétaux)
et de biodiesels (à partir de soja et d'autres oléagineux) crée une
compétition pour l'utilisation des terres les plus fertiles, doublée d'un
accroissement de l'utilisation des engrais et des pesticides, et d'une
menace pour la
biodiversité quand de nouvelles terres sont converties à ce
type de monoculture.
Des chercheurs de l'Université du Minnesota, Saint Paul, viennent de
montrer qu'une source potentielle très prometteuse de biocarburants aux Etats-Unis réside dans des cultures de type prairie, à forte biodiversité,
établies sur des sols peu fertiles ou dégradés, qui ne nécessitent que peu
d'apport d'engrais et de traitements chimiques (cultures Low Input-High
Diversity ou LIHD).
L'étude a porté sur 152 parcelles plantées en 1994 dans des sols dégradés
de Cedar Creek dans le Minnesota et suivies chaque année depuis. Pour
étudier l'effet de la biodiversité les parcelles ont été plantées avec 1,
2, 4, 8 ou 16 espèces herbacées pérennes, sans engrais, et irriguées
seulement au début de l'expérience. La
biomasse produite chaque année est mesurée début Août après
brûlage à la fin de l'hiver. L'effet de la
biodiversité est manifeste: les parcelles ensemencées avec 16 espèces
produisent 258% plus de biomasse que celles ayant reçu des monocultures,
quelle que soit l'espèce.
Par des calculs complexes de rendements énergétiques (suivant les
biocarburants produits avec la biomasse) les auteurs montrent que le gain
net d'énergie par hectare obtenu avec les parcelles LIHD (à 16 espèces)
est supérieur (de + 51%) à celui des cultures classiques -sur des sols
fertiles de maïs- dont les grains sont utilisés pour fabriquer de
l'éthanol. Par ailleurs, l'effet de ce type de cultures LIHD sur la
séquestration du CO2 par les racines et le sol excède largement
le CO2 émis pour la production du biocarburant à partir de ces
parcelles (4,4 contre 0.32 Mg/ha/année).
Les biocarburants peuvent donc être produits avec des rendements (très)
satisfaisants à partir de cultures robustes, demandant peu
d'interventions, sur des sols pauvres ou dégradés souvent abandonnés par
l'agriculture classique. Ceci est important aux Etats-Unis où la tendance
était plutôt de convertir de nouvelles surfaces à la culture intensive au
détriment de la production d'autres plantes alimentaires et de la
biodiversité."
Par Claire Notin & Jean-Pierre Toutant
Document paru dans
http://www.futura-sciences.com/news-nouvelles-sources-biocarburants_10282.php
Dans le JDLE
http://www.journaldelenvironnement.net/fr/index/index.asp du
11/01/2007 un article de Agnès Ginestet "L’UFC que choisir critique le
plan sur les biocarburants" Le 10 janvier, l’association de défense des
consommateurs UFC-Que choisir a affiché son désaccord avec le plan de
développement des biocarburants du gouvernement.
Voici le texte
paru dans cette revue
" Plan de développement des biocarburants
Une politique aveugle et dispendieuse
Les biocarburants peuvent représenter un moyen intéressant de
diminuer la consommation de pétrole des ménages. Certains produits
disponibles, comme le biodiesel à base d'oléagineux en Europe et
l'éthanol brésilien à base de canne à sucre, ou des produits du
futur, comme le carburant à base de biomasse, pourront nous aider à
consommer moins d'énergie fossile pour un coût raisonnable.
L'UFC Que Choisir soutient donc le développement des
biocarburants. Mais il faut rappeler que l'objectif essentiel de
diminution de la dépendance au pétrole nécessite avant tout de faire
porter l'effort sur des leviers plus importants que les
biocarburants, tels que les transports collectifs ou les moteurs
économes, car permettant des économies de consommation.
Sous cet angle global de la politique énergétique, l'UFC Que
Choisir constate que la politique menée par le gouvernement pour les
biocarburants présente deux carences rédhibitoires :
- Elle est aveugle : compte tenu de la forte incertitude
scientifique sur le rendement énergétique de certains biocarburants
comme l'éthanol à base de céréales, son intense promotion financière
par les pouvoirs publics pose question. Le bilan officiel de l'Ademe
est en effet contredit par l'INRA, une étude de la Commission
européenne et plusieurs articles scientifiques. Le gouvernement
fonde donc sa politique sur le seul bilan de l'Ademe qui est très
fragile.
- Elle est dispendieuse car les deux avantages fiscaux attribués
aux biocarburants pour les rendre compétitifs ont été calculés sur
la base d'un baril de pétrole à 30 dollars et deviennent donc
démesurés :
- La défiscalisation de la TIPP sur les biocarburants ne
profitera pas aux usagers domestiques. Elle permettra en fait aux
producteurs de constituer une très forte marge en augmentant leur
prix de vente tout en restant compétitif par rapport au prix du
carburant fossile. Une taxe supplémentaire sur le carburant fossile
(TGAP) de 2 milliards d'euros par an à partir de 2010, viendra
renforcer cette rente et grever le pouvoir d'achat des
consommateurs. - Ces avantages fiscaux ont donc été surtout élaborés
pour rémunérer les producteurs nationaux et leur octroyer une
situation de monopole. Dans cette logique, il n'est toujours pas
envisagé d'importer de l'éthanol de canne à sucre qui offre pourtant
un bon rendement environnemental et qui permettrait de nettement
diminuer le prix payé par le consommateur.
L'UFC Que Choisir demande au gouvernement :
- d'organiser une conférence de consensus scientifique qui mette
un terme à la cacophonie actuelle,
- de globalement diviser par deux l'avantage fiscal des
biocarburants puis de moduler la défiscalisation de la TIPP en
faveur du biodiesel et à la défaveur de l'éthanol à base de
céréales,
- de rééquilibrer sa politique pétrolière en diminuant l'effort
financier pour les producteurs de biocarburants et en investissant
davantage sur les transports en commun ou les moteurs économes."
Paru dans
http://www.quechoisir.org/
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Eolienne
Dieudonné
Communiqué par Pierre Dieudonné (29/01/2007)
-
Tel 33 (0) 383 724 557 et 33 (0) 681 913 132
pierre.dieudonne@laposte.net
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N°EUT7164 - Brevet INPI 06/02890 Médaille d'argent en
Avril 2006 au salon de Genève
Pour voir la présentation de cette
éolienne cliquez sur
http://www.eolprocess.com/start.php
Procédé
d'éolienne très astucieux adaptable à différentes tailles qui mérite
une attention particulière et pour lequel il est souhaitable qu'un
débouché commercial se fasse rapidement. |
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Moteur
gravitationnel Hackenberger
Communiqué par Jim Hackenberger
(10/02/2007)
" Dimanche 28 Janvier 2007 - Grande nouvelle: un nouveau moteur est né!
Cette semaine marque un grand tournant
technologique; en effet un nouveau moteur est né: le moteur Hackenberger.
Sa principale caractéristique: Il ne consomme RIEN !!!
Un moteur qui ne consomme rien, celà peut-il exister? n'est pas
contraire à la célèbre formule: "rien ne se crée, tout se transforme"? En
fait, une éolienne, consomme-t-elle quelque chose? Non! Elle récupère
l'énergie du vent! Un moulin à eau consomme-t-il quelque chose? Non! il
récupère l'énergie produite par une chute d'eau! Eh bien le moteur
Hackenberger ne consomme rien, mais il récupère l'attraction terrestre.
En fait, c'est un moteur gravitationnel.
Les recherches sur les moteurs gravitationnels ne
sont pas nouvelles! Autrefois, on appelait, à tort, ces dispositifs:
mouvements perpétuels. Pourquoi cette appellation est-elle erronée? Tout
simplement parce qu'un véritable mouvement perpétuel devrait, s'il était
possible à créer, déliver de l'énergie, ou tout au moins être en mouvement
perpétuellement, quelque soit le lieu où il serait installé, ce qui n'est
pas le cas du moteur gravitationnel, qui ne peut fonctionner que s'il est
soumis à la gravitation; si on place un moteur gravitationnel dans
l'espace, en apesanteur, il ne fonctionnera pas puisqu'il n'aura aucune
énergie à récupérer.
La première mention d'un "mouvement perpétuel" se trouve dans un
manuscrit en sanskrit du cinquième siècle avant J-C, intitulé Siddhanta
Ciromani.
De nombreux savants se sont penchés sur le sujet, sans grand succès, il
est vrai, à tel point qu'en 1775, sous l'influence de Laplace, l'Académie
des sciences de Paris condamna ces recherches.
Jusqu'à présent, le seul "mouvement perpétuel" ayant correctement
fonctionné, et dont on a les preuves du bon fonctionnement est la Roue d'Orffyreus,
inventée par Johann BESSLER. Pour de plus amples détails, on se réfèrera à
cet excellent site:
http://membres.lycos.fr/quanthomme/energielibre/machines/MVP.htm
*
...En quoi le moteur Hackenberger se diférencie-t-il
des autres moteurs gravitationnels?
D'abord parce qu'il n'a pas été conçu comme un mouvement perpétuel ou
comme un moteur miraculeux qui pourrait produire de l'énergie ex
nihilo mais il a été conçu en tant que récupérateur de l'attraction
terrestre.
Ensuite parce qu'il est très simple! La complication n'est pas un gage de
bon fonctionnement, et la simplicité est souvent la meilleur façon d'avoir
quelque chose de fonctionnel, facile à fabriquer, et fiable."
Voir
la suite et les détails dans son site :
http://moteur-hackenberger.over-blog.com/
* Merci à Jim
Hackenberger de citer la section
MP (accès
direct) dans notre site ! Toutefois, il est préférable
d'utiliser cette adresse
De l'Or à partir d'APE
Communiqué par Jean-Louis
Naudin (19/01/2007) : "Voici quelqu'un qui à reproduit l'expérience de Asymmetrical
Plasma Electrolysis -(APE) en partant de la page
http://jlnlabs.imars.com/cfr/ape/index.htm
C'est Karl Reinhart
(Shekinahguild@yahoo.com)
qui parle :
" Vos informations (il s'adresse à
Jean-Louis ) m'ont été très utiles pour répliquer l'expérience...Lors du
premier essai, je ne m'attendais pas à obtenir des résultats spéciaux. Je
m'appliquais plutôt à tout faire au mieux et ne pas abîmer mon matériel
plutôt que de l'expérience elle-même. Je n'avais pas travaillé sur les
expériences de transmutation dont j'ai indiqué les liens en première page.
Il est bien possible - et ce ne serait pas surprenant -
d'avoir des résultats semblables aux miens sans le manchon de céramique
spéciale qui a été utilisé dans les expériences de transmutation.
Une fois que j'ai eu retiré mes
électrodes du bocal, j'ai remarqué une curieuse bande de couleur or sur la
tige de tungstène négative.

Un côté de la bande
d'or sur la cathode de tungstène
D'autres photos et détails dans http://research.colloidalgoldmachines-central.com/APE2.htm
Brefs extraits du
JDLE : CO2 en progression - Hydroélectricité - Solaire - Charbon
etc.
Lire la suite
des articles dans le site du JDLE
http://www.journaldelenvironnement.net/fr/index/index.asp
22/01/2007 :
La concentration en CO2 progresse de
plus en plus vite
"...David Hofmann annonce que le niveau de gaz carbonique a cru de 2,6
parties par million (ppm) en 2006 et de 2,2 ppm par an entre 2001 et
2005, contre une moyenne de 1,5 ppm par an entre 1970 et 2000. Si rien
n’est fait, estime le directeur de la Global monitoring division, la
croissance pourrait prochainement atteindre les 3 ppm par an..."
22/01/2007 : En France, le bonheur serait dans le
solaire par Bérangère
Lepetit
"...Nous sommes en 2004. Avec ses 750.000 mètres carrés (m2) de capteurs
solaires et son titre de championne du monde, l'Allemagne fait figure de
pionnière dans l'industrie solaire. Florissantes, les sociétés allemandes
spécialisées dans l'énergie photovoltaïque entrent en bourse et affichent
des progressions considérables. Petite entreprise créée en 1998, Conergy
atteint en 2004 le chiffre d'affaire de 285 millions d'euros. Le succès
allemand fait des envieux. Derrière l'Allemagne, se profilent les
Pays-Bas, l'Autriche et plus loin, beaucoup plus loin, la France qui,
forte de son énergie nucléaire, ne se préoccupe guère de ses rayons de
soleil.
Deux ans plus tard, la situation a évolué. Outre-Rhin, le soleil ne semble
plus à son zénith. L'Allemagne détient toujours la première place mais à
la Bourse de Francfort, les valeurs des industries solaires connaissent un
ralentissement. En un an, Conergy est passé de 65 à 45 euros. L'été
dernier, Solarword subit une baisse de 70 à 35 euros, soit un repli de 30
à 50% des valeurs. A contrario, en France, quelques rayons percent les
nuages. En 2005, l'Hexagone a connu la plus forte progression du marché
solaire thermique d'Europe: +134%. Signal encourageant: le 15 mai 2006,
Dominique de Villepin, Premier ministre, annonce l'augmentation
significative des tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque,
prenant ainsi exemple sur l'Allemagne et sa loi de 2000 sur les énergies
renouvelables..."
23/01/2007 :
Hydroélectricité: une option qui pose
question
"...Déjà 10% de la production nationale d’électricité, une disponibilité
rapide, et pas de rejets de CO2: au vu des différents discours prononcés
lors du colloque organisé par l’Union française de l’électricité (UFE) et
l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe),
l’hydroélectricité est une des solutions phares pour atteindre les
objectifs de la loi de programme fixant les orientations de la politique
énergétique (loi Pope) (1): réduire les émissions de gaz à effet de serre
de 3% par an et produire, d’ici 2010, 21% de l’électricité française à
partir d’énergies renouvelables. Le but étant de trouver un équilibre
entre cette loi et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques (2) qui
contient des mesures de protection de l’environnement..."
23/01/2007 : Allemagne: quand le nucléaire
subventionne le charbon propre
"...Comment accroître son parc de production thermique tout en réduisant ses
émissions de CO2? Telle est la quadrature que les énergéticiens allemands
doivent résoudre. Un problème auquel la Deutsche Bank apporte peut-être un
début de solution. Dans une récente note, la banque allemande rappelle les
faits. Pour remplacer les centrales qui vont être déclassées et satisfaire
l’évolution de la demande, l’Allemagne devra mettre en service 42
gigawatts (GW) de capacités nouvelles d’ici 2020 (20 GW pour remplacer les
réacteurs qui doivent être fermés, 12 GW pour suivre l’accroissement de la
demande et 10 GW pour remplacer d’anciennes centrales thermiques).
Le problème, rappellent les consultants, c’est qu’au prix actuel du gaz et
avec les contraintes que devra imposer le prochain plan national
d’allocation des quotas, dit Pnaq 2 (la première mouture ayant été rejetée
par Bruxelles), l’avenir réside dans le «clean coal». D’où l’idée
d’allonger la durée de vie des centrales nucléaires tout en taxant leurs
exploitants. Le produit de la taxe devant servir à financer la capture et
la séquestration du carbone rejeté par les futures centrales thermiques.
Cela étant, remarquent les auteurs, le prix du courant devra
nécessairement s’en ressentir. Selon eux, la viabilité de leur système
n’est possible qu’avec un prix du mégawattheure (MWh) voisin de 64 euros..."
Et si un jour,
on reparlait du carburant
Makhonine
?
Document extrait du
site
http://www.sortirdunucleaire.fr
Fermeture de 7 réacteurs au 1er janvier 2007 : le déclin inexorable du
nucléaire est amorcé
Ce 1er
janvier 2007, sept réacteurs nucléaires ont cessé définitivement de
fonctionner : deux à Dungeness et deux à Sizewell (Angleterre), deux à
Kozlodoui (Bulgarie), et un à Bohunice (Slovaquie)
Il ne s'agit
là que des prémices d'un déclin inexorable de l'industrie nucléaire
mondiale, parfois présentée a tort comme faisant son "grand retour" alors
qu'elle est en réalité menacée de disparition.
Ainsi, le 10
novembre 2006, Claude Mandil, directeur exécutif de l'Agence
internationale de l'énergie (AIE) a déclaré : "la tâche principale de
l'industrie nucléaire dans les années à venir sera de remplacer les
centrales existantes qui auront atteint leur fin de vie. Cela signifie
qu'on aura besoin de nombreuses centrales sans pour autant augmenter la
part du nucléaire dans la production d'électricité." Or, la seule chose
qui soit certaine est la fermeture, d'ici 2025, d'environ 250 réacteurs
nucléaires sur les 435 en fonctionnement actuellement sur la planète. Et
la fermeture des autres arrivera dans les deux décennies suivantes. Par
contre, la plupart des nouveaux réacteurs annoncés restent pour le moment
très virtuels.
Illustration
à travers quelques exemples :
-
Grande-Bretagne : 22 des 23
réacteurs actuels seront fermés en 2023. Certes, M. Blair annonce des
projets de nouvelles centrales, mais il est un des seuls à soutenir cette
idée, face à une opinion publique qui y est très défavorable. Qui plus
est, M. Blair a annoncé que les éventuelles nouvelles centrales devraient
être construites par des entreprises privées... sans subventions de l'Etat.
Or, le
nucléaire ne s'est développé que lorsque des Etats lui ont consacré
d'immenses sommes d'argent public (sans jamais demander leurs avis aux
citoyens, mais cela est encore un autre débat). Il est vraisemblable que,
vers 2020, le nucléaire représentera moins de 1% de l'énergie consommée en
Grande-Bretagne.
- Russie
:
Vladimir
Poutine annonce de nombreux nouveaux réacteurs nucléaires, mais il est
bien moins loquace concernant la fermeture prochaine des 31 réacteurs
actuels : "Tous nos réacteurs (opérationnels) s'éteindront dans dix ans.
Pour éviter le "gel" du secteur nucléaire civil, il nous aurait fallu
construire 1,5 réacteur par an depuis longtemps" a expliqué un membre
d'une délégation du
Kremlin en visite aux USA (cf dépêche de l'agence RIA Novosti du 7
décembre 2006).
- Europe
centrale : Les quelques
vingt réacteurs nucléaires de ces pays, pour la plupart anciens et de
technologie soviétique, sont promis à une fermeture prochaine. Les pays
Baltes et la Pologne se sont associés pour essayer de construire un
réacteur nucléaire. Loin d'être un élément du supposé "grand retour" du
nucléaire, ce projet vise seulement à essayer de compenser la fermeture avant 2009 du
second réacteur d'Ignalina (Lituanie), le premier étant... déjà fermé.
- USA
:
Aucune
commande de réacteur n'a eu lieu depuis l'accident nucléaire de Three Mile
Island (1979). Depuis, la durée de vie des 103 réacteurs en activité est
régulièrement prolongée (jusqu'à 60 ans pour certains), augmentant
considérablement le risque d'accident. Le Président Bush a certes signé en
juin 2005 des dispositions pour attribuer de fortes sommes publiques aux
compagnies privées qui construiraient des réacteurs nucléaires, mais aucun
projet ne semble se concrétiser et le processus pourrait être remis en
cause du fait de l'alternance du pouvoir avec les Démocrates. Et, même si
certains projets se réalisaient , ils seraient très loin de compenser la
véritable bérézina qui frappera l'industrie nucléaire des USA lorsque les
vieux réacteurs fermeront enfin. (Il faut espérer que ce ne soit pas après
une catastrophe nucléaire).
- Asie
:
C'est dans
cette région du monde que les projets semblent (hélas) les plus sérieux.
Ainsi, la Chine est parfois annoncée comme "le nouvel eldorado" du
nucléaire parce qu'elle entend construire 30, et peut-être 40 nouveaux
réacteurs. Rien ne permet de penser qu'ils seront tous construits (tant
les investissements financiers nécessaires sont immenses) mais, même si
c'est le cas, la Chine produira alors "royalement" 4% de son électricité
avec le nucléaire, soit 0,7% de sa consommation d'énergie. De même, les
projets annoncés en Inde, une vingtaine de réacteurs, permettraient à
peine à ce pays de couvrir environ 5% de son électricité (1% de sa
consommation d'énergie).
Le parc
nucléaire japonais, le troisième au monde après les USA et la France,
connait de graves problèmes de sûreté, 17 réacteurs ayant même été fermés
d'un coup (pour plusieurs mois) en 2003 du fait de la falsification par
les exploitants de rapports de sûreté alarmants. L'opinion publique a été
très marquée par ce scandale mais aussi par l'accident de Tokaï-Mura en
1999, qui a causé la mort de trois travailleurs et irradié des centaines
d'habitants.
- Amérique
du Sud : Le Brésil, où
ne fonctionnent que deux réacteurs, en annonce 5 nouveaux, mais il est
d'abord confronté au problème d'Angra3, réacteur resté en pièces détachées
depuis... 20 ans. Idem pour l'Argentine (où fonctionnent aussi deux
réacteurs) qui a annoncé en août 2006 un plan nucléaire dont le premier
objectif est de terminer la construction du réacteur Atucha 2,
commencée...en 1981.
-
Dictatures : Ici ou là,
des dictateurs pensent se donner du prestige en annonçant la construction
d'un réacteur nucléaire. C'est le cas de Kadhafi (Libye), Loukachenko
(Biélorussie, pays toujours contaminé par la catastrophe de Tchernobyl) ou
de l'Egypte où le fils de Moubarak a le soutien des USA pour la
construction d'un réacteur. La Corée du Nord et l'Iran ont chacun un programme
nucléaire pour lequel la production d'électricité reste virtuelle,
l'objectif étant l'accès à l'arme atomique. En résumé, beaucoup d'annonces
pour... fort peu d'électricité.
-
Allemagne / Suède : On peut lire
ici où là que le plan de sortie du nucléaire en Allemagne serait remis en
cause. Ce n'est pour le moment pas le cas mais, de toute façon, le pire
qui soit envisagé est de ne pas fermer les réacteurs de façon anticipée.
En aucun cas la construction de nouveaux réacteurs n'est envisagée : le
nucléaire est de toute façon promis à la disparition en Allemagne. La
situation est identique en Suède où la fermeture des 10 réacteurs actuels
a été décidée en 1980. Ce plan traîne certes en longueur mais, là aussi,
aucun nouveau réacteur n'est prévu et le nucléaire va de toute façon
disparaître. Notons aussi qu'un accident, potentiellement très grave, a été
frôlé le 25 juillet dernier à la centrale de Forsmark
(voir notre
nouvelle du 16/10/2006)
- Finlande
/ France : Ces deux pays
portent les espoirs de l'industrie nucléaire en Europe : ils souhaitent
construire chacun... un réacteur, l'EPR du français Areva. Une fois de
plus, rien à voir avec un "grand retour" du nucléaire. D'autant que le
chantier finlandais, le seul à être lancé, est un véritable calvaire : 18
mois de retard officiellement, au moins trois ans en réalité. Le
constructeur Areva perdrait dans l'affaire près d'un milliard d'euros. Qui
plus est, l'EPR a été refusé le 16 décembre dernier par les chinois à
l'occasion ce qui était présenté comme le "contrat du siècle", la
construction de quatre réacteurs. De fait, on ne saurait trop conseiller à
la France de renoncer à construire l'EPR prévu à Flamanville (Manche), et
d'en reverser le financement vers les économies d'énergie et les énergies
renouvelables.
Conclusion
: Le rapport
"Facteur 4", remis au gouvernement français en octobre dernier, explique
que "l'énergie nucléaire représente 2 % de l'énergie finale dans le monde"
et pointe "l'apport finalement marginal du nucléaire" dans la lutte contre
l'effet de serre. On ne saurait mieux illustrer le fait que le nucléaire,
même s'il impose un danger maximal, a en réalité une place très faible
dans l'énergie mondiale. Et, nous venons de le décrire, cette faible part
est en déclin inexorable. La fermeture de sept réacteurs, ce 1er janvier
2007, est donc le début d'un mouvement irréversible vers la disparition de
l'énergie nucléaire. Il convient néanmoins de hâter cette disparition
avant que ne survienne un nouveau Tchernobyl, mais aussi parce que chaque
réacteur en fonctionnement produit des déchets radioactifs qui vont durer
des millions d'années, et parce que la prolifération nucléaire vers l'arme
atomique est un des pires dangers qui menacent la planète.
Communiqué par Jean-Louis
Naudin (30/01/2007) :
Tous les
détails, liens vers les brevets, schémas détaillés concernant la GFS de
Geoff Hatton sont en bas de la page sur la GFS-UAV dans le site
de Jean-Louis Naudin
http://jlnlabs.imars.com/gfsuav/index.htm
Communiqué par Alain D (13/02/2007):
Voici un lien pour
des vidéos qui pourraient vous intéresser
WATER POWERED VEHICLE
http://www.youtube.com/watch?v=ImGaraPrEo8
Communiqué par Laurent P.
(04/01/2007) :
"A moins qu'il y
ait un vice caché, pour créer de l'énergie en boucle et de façon
régulière, ne suffit-il pas d'utiliser un Bélier hydraulique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bélier_hydraulique
avec une roue à aube. Des
explications dans le site
http://clients.newel.net/particulier/amader/index.htm L'énergie
hydraulique
Communiqué de Jacques Collin (10/02/2007)
:
"De nombreuses informations
sur cette nouvelle pensée qui émerge un peu partout dans le monde et qui,
je suis sûr, va être aussi la nouvelle Conscience de cette humanité qui se
débat encore dans ses contradictions et ses violences" dans ce site
http://www.connaissance-conscience.com/index.htm
Jacques Collin pérégrine depuis quelques années déjà en parlant de
l'eau dans ses livres, et dans ses conférences. Il lui arrive
régulièrement de citer les systèmes Pantone, (il a été un des premiers,
dès la fin 2000, à voir fonctionner notre
premier moteur) et fréquemment des spectateurs témoignent
de leur intérêt parfois confirmé par leurs propres réalisations.
Vous pourrez le retrouver chaque mois dans les News et la rubrique
Vitalité du site
06/05/2010

http://www.tredanielwebtv.com/Deshydratation-on-boit-beaucoup-mais-mal--Jacques-Collin_a42.html
http://www.tredanielwebtv.com/Message-et-miracle-de-l-eau-Jacques-Collin_a47.html
http://www.tredanielwebtv.com/Comment-et-pourquoi-energiser-l-eau-Jacques-Collin-auteur-de-l-insoutenable-verite-de-l-eau_a48.html
Communiqué par les frères "PEL"
(02/02/2007) : " Le tort d’avoir raison"
Un extrait :
" Vous avez eu tort d’avoir raison trop tôt ". C’est ce
qu’entend dire un inventeur lorsqu’il se dépite que l’on ait perdu des
années avant d’appliquer une solution qui était, pour lui, évidente.
La "conversation" entre l’inventeur et l’entreprise s’est mal
passée. Il n’a pas su se faire comprendre, elle n’a pas su comprendre. Qui
a eu tort ? Si une conversation échoue, c’est que la relation entre les
deux interlocuteurs n’a pas fonctionné ; ils en sont tous deux
responsables, la faute ne pèse pas tout entière sur l’inventeur."
pour lire la suite www.volle.com
Quanthomme ajoute :
" Invente et tu mourras persécuté comme un criminel ; copie
et tu vivras heureux comme un sot."
Honoré de Balzac
Et toujours des systèmes Pantone
1 -
Pantone sur Fiat126
PREPARATION
SPORT DE MOTEURS FIAT 500 FIAT 126 ET AUTRES PAR UN AMATEUR PASSIONNE
Serge C.
2 - Communiqué par Edouard B.
(19.02.2007):
"Le 28 Février, Rachid Nekkaz, candidat à l'élection présidentielle,
présentera une voiture équipée
d'un réacteur PANTONE ! Regardez à
http://www.nekkaz.com/
AGENDA au 28 Février"
Les médias
feront-ils état de cette information ?
Prochainement une mise à jour
de la page des A.V.E.C. Nous attendons photos et comptes rendus plus détaillés
des derniers réalisés et en cours d'expérimentation,
mais qui montrent déjà des résultats tout à fait intéressants.
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