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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 24/02/2007 - mise à jour le 06/05/2010

 

Petites infos

Batteries du futur - Bearden et Bedini : le DVD 2 - Caléfaction de la goutte d'eau - Carburants végétaux
Eolienne Dieudonné - Moteur gravitationnel Hackenberger - De l'Or à partir d'APE - Diverses adresses


Batteries du futur

Communiqué par Michel F. (06/01/2007) extrait de http://www.01net.com/article/336557.html?rss

Les batteries du futur dopées aux plastiques et aux algues
Plus petites, plus puissantes et plus endurantes, les batteries de demain devront leurs performances à leurs électrodes, conçues avec des matériaux pour le moins originaux...
Jean-Marie Portal , L'Ordinateur Individuel, le 27/12/2006 à 14h00
De l'avis de nombreux scientifiques, les batteries rechargeables actuelles ont atteint leurs limites. En termes de puissance, de coût de fabrication, de durée de vie, mais également de confort d'utilisation : il faut les recharger fréquemment et pendant plusieurs heures... Et ce ne sont pas les possesseurs de PC portables, de mobiles, de PDA ou de baladeurs qui les contrediront !

Rechargement quasi-instantané

La pile à combustible devrait permettre de repousser ces limites, ce qui lui vaut d'être considérée comme la batterie du futur. Mais des chercheurs continuent de miser sur les batteries traditionnelles et, pour certains, de parier sur les accumulateurs électriques comme les condensateurs (ou les supercondensateurs), dont le principe consiste à emmagasiner de l'électricité entre deux électrodes. Ce sont d'ailleurs ces électrodes qui font l'objet de toute leur attention, car elles influent sur la capacité de stockage d'un accumulateur. Sans s'être donné le mot, des chercheurs français et américains ont ainsi eu la même idée : utiliser de nouveaux matériaux pour fabriquer ces électrodes, tout en suivant des pistes différentes : algues au CNRS, nanotubes au MIT, plastique à l'université Brown...

Leurs premiers prototypes, très prometteurs, permettent d'envisager la réalisation d'accumulateurs plus petits que les batteries rechargeables actuelles, jusqu'à cent fois plus puissants, capables de se recharger en quelques instants, et à l'autonomie bien plus importante... Des accumulateurs qui s'avéreront, par ailleurs, plus économiques et plus écologiques car sans métaux lourds dangereux à manipuler - et nuisibles à l'environnement - comme le lithium.

Fortifiée aux plastiques

Incroyable, mais vrai : une batterie qui se charge aussi rapidement qu'un condensateur... et qui utilise du plastique comme conducteur électrique ! Tel est le fruit des recherches menées par l'université Brown de Rhode Island. Pour arriver à un tel exploit, les scientifiques américains ont mélangé deux plastiques différents - des polymères découverts par les trois prix Nobel de chimie décernés en 2000 - à une substance qui en rectifie les propriétés. Une bandelette de film plastique recouverte d'or a été enduite de l'un des polymères modifiés ; et une seconde, de l'autre. Les deux bandelettes ont été serrées l'une contre l'autre, simplement séparées par une fine membrane isolante. Résultat : non seulement ce prototype de batterie se charge en quelques minutes, mais il est également plus petit qu'une pile alcaline standard, pour une puissance cent fois supérieure !

 

Grâce à ses électrodes en plastique, la batterie de l'université Brown se recharge en quelques minutes seulement.

 

Nourries aux algues

Un supercondensateur qui conserverait 85 % de sa capacité nominale après avoir été rechargé 10 000 fois, soit une durée de vie au moins dix fois supérieure à celle d'une batterie au lithium ! Voilà le résultat auquel est arrivé le Centre de recherche sur matière divisée (CRMD), une unité mixte du CNRS et de l'Université d'Orléans. Pour y parvenir, l'équipe de chercheurs, dirigée par François Béguin, s'est tournée vers la mer, et plus particulièrement vers les algues brunes. Car l'acide alginique, une substance fibreuse située dans leur paroi cellulaire, offre une propriété intéressante : il est naturellement riche en oxygène, et le demeure après avoir été réduit par cuisson à l'état de charbon. Plus riche encore que le charbon actif, le composant principal des deux électrodes d'un supercondensateur traditionnel ! Or, l'oxygène emprisonné dans ces électrodes leur permet d'absorber le courant plus facilement.

Les chercheurs ont vérifié leurs théories en utilisant des sels d'acide alginique (alginate de sodium) carbonisés pour fabriquer des électrodes. Sachant que l'extraction de l'alginate de sodium est une activité qui bat déjà son plein (les industries agroalimentaire et pharmaceutique en engloutissent plus de 20 000 tonnes chaque année), que sa transformation en charbon coûte moins cher que la production de charbon actif, et qu'elle est plus écologique, l'utilisation d'algues pourrait bien se généraliser...

C'est une algue brune dont la variété est tenue secrète qui permet de fabriquer les électrodes increvables du CNRS.

Gonflées aux nanotubes

Le condensateur de l'Institut de technologie du Massachusetts (MIT) serait plus puissant qu'une batterie de même taille ! Quand on sait que les condensateurs actuels les plus performants stockent 25 fois moins d'énergie qu'une batterie chimique de taille équivalente, on mesure la portée du projet sur lequel travaille le MIT. L'idée des chercheurs américains ? Recouvrir les électrodes des condensateurs de millions de petits tubes de carbone, trente mille fois plus fins qu'un cheveu : des nanotubes.

Un procédé qui permet de pallier le principal handicap du condensateur : sa capacité à stocker l'énergie est proportionnelle à la superficie de ses électrodes, ce qui, dit autrement, signifie que plus ses électrodes sont petites, moins il peut stocker d'électricité. En recouvrant ses électrodes de nanotubes, on augmente, d'une certaine manière, leur surface ; un peu comme une serviette-éponge qui, grâce à ses fibres alvéolées, arrive à contenir beaucoup plus d'eau qu'un simple morceau de tissu... Avec pour résultat d'accroître considérablement la capacité de stockage du condensateur.

Les millions de nanotubes en carbone tapissant chaque électrode du condensateur du MIT transforment ce dernier en véritable éponge électrique.

 

 


Bearden et Bedini : le DVD 2

Communiqué du 19/02/2007 par Anthony Craddock webmaster du site de Tom Bearden

Un nouvel article du 18/02/2007 de T. Bearden : http://www.cheniere.org/articles/index.html " Les phase de la R&D et certains problèmes"
Un article technique du 18/02/2007 : http://www.cheniere.org/techpapers/index.html
Quelques vues extraites de la partie 2 de la série documentaire en  DVD
 "Energy from the Vacuum"TM Documentary Series

Tom Bearden explique comment l'énergie radiante converge dans un circuit - tout l'opposé de nos circuits d'énergie positive

John explique comment le moteur à monopole qui est derrière lui charge toutes les batteries nécessaires à l'alimentation d'une maison.

John explique le fonctionnement du moteur à monopole à double platine.

Plus de photos sur http://www.energyfromthevacuum.com/Disc2.htm

Ce nouveau DVD devrait être disponible avant l'été. L'équipe de Tom Bearden remercie toux ceux qui ont répondu de manière formidable au premier DVD de cette série ainsi qu'au livre de Bearden et Bedini "Free Energy Generation - Circuits and Schematics."  Les demandes ont largement dépassé leurs attentes, aussi ils sont heureux de voir que cette information sur "la science qui n'est pas encore une science" ait atteint les endroits les plus éloignés de la planète.


Caléfaction de la goutte d'eau

Communiqué par les frères PEL (19/01/2007) :  la caléfaction de la goutte d'eau (par Pierre Lancien ) document paru dans http://www.bleu-media.com/pierre/docs/rapport-plancien-calefaction.pdf

Voir également les images publiées par MM. Lauterwasser et Emoto dans notre nouvelle du 09/12/2005


Carburants végétaux

Communiqué par Jean R. (25.01.07) - extrait de
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/40959.htm

"La production accélérée au niveau mondial d'éthanol (à partir de maïs, de canne à sucre, de betteraves ou de déchets végétaux) et de biodiesels (à partir de soja et d'autres oléagineux) crée une compétition pour l'utilisation des terres les plus fertiles, doublée d'un accroissement de l'utilisation des engrais et des pesticides, et d'une menace pour la biodiversité quand de nouvelles terres sont converties à ce type de monoculture.

Des chercheurs de l'Université du Minnesota, Saint Paul, viennent de montrer qu'une source potentielle très prometteuse de biocarburants aux Etats-Unis réside dans des cultures de type prairie, à forte biodiversité, établies sur des sols peu fertiles ou dégradés, qui ne nécessitent que peu d'apport d'engrais et de traitements chimiques (cultures Low Input-High Diversity ou LIHD).

L'étude a porté sur 152 parcelles plantées en 1994 dans des sols dégradés de Cedar Creek dans le Minnesota et suivies chaque année depuis. Pour étudier l'effet de la biodiversité les parcelles ont été plantées avec 1, 2, 4, 8 ou 16 espèces herbacées pérennes, sans engrais, et irriguées seulement au début de l'expérience. La biomasse produite chaque année est mesurée début Août après brûlage à la fin de l'hiver. L'effet de la biodiversité est manifeste: les parcelles ensemencées avec 16 espèces produisent 258% plus de biomasse que celles ayant reçu des monocultures, quelle que soit l'espèce.

Par des calculs complexes de rendements énergétiques (suivant les biocarburants produits avec la biomasse) les auteurs montrent que le gain net d'énergie par hectare obtenu avec les parcelles LIHD (à 16 espèces) est supérieur (de + 51%) à celui des cultures classiques -sur des sols fertiles de maïs- dont les grains sont utilisés pour fabriquer de l'éthanol. Par ailleurs, l'effet de ce type de cultures LIHD sur la séquestration du CO2 par les racines et le sol excède largement le CO2 émis pour la production du biocarburant à partir de ces parcelles (4,4 contre 0.32 Mg/ha/année).

Les biocarburants peuvent donc être produits avec des rendements (très) satisfaisants à partir de cultures robustes, demandant peu d'interventions, sur des sols pauvres ou dégradés souvent abandonnés par l'agriculture classique. Ceci est important aux Etats-Unis où la tendance était plutôt de convertir de nouvelles surfaces à la culture intensive au détriment de la production d'autres plantes alimentaires et de la biodiversité." Par Claire Notin & Jean-Pierre Toutant

Document paru dans http://www.futura-sciences.com/news-nouvelles-sources-biocarburants_10282.php

 

Dans le JDLE http://www.journaldelenvironnement.net/fr/index/index.asp du 11/01/2007 un article de Agnès Ginestet "L’UFC que choisir critique le plan sur les biocarburants" Le 10 janvier, l’association de défense des consommateurs UFC-Que choisir a affiché son désaccord avec le plan de développement des biocarburants du gouvernement.

Voici le texte paru dans cette revue

 

" Plan de développement des biocarburants

Une politique aveugle et dispendieuse

Les biocarburants peuvent représenter un moyen intéressant de diminuer la consommation de pétrole des ménages. Certains produits disponibles, comme le biodiesel à base d'oléagineux en Europe et l'éthanol brésilien à base de canne à sucre, ou des produits du futur, comme le carburant à base de biomasse, pourront nous aider à consommer moins d'énergie fossile pour un coût raisonnable.

L'UFC Que Choisir soutient donc le développement des biocarburants. Mais il faut rappeler que l'objectif essentiel de diminution de la dépendance au pétrole nécessite avant tout de faire porter l'effort sur des leviers plus importants que les biocarburants, tels que les transports collectifs ou les moteurs économes, car permettant des économies de consommation.

Sous cet angle global de la politique énergétique, l'UFC Que Choisir constate que la politique menée par le gouvernement pour les biocarburants présente deux carences rédhibitoires :

- Elle est aveugle : compte tenu de la forte incertitude scientifique sur le rendement énergétique de certains biocarburants comme l'éthanol à base de céréales, son intense promotion financière par les pouvoirs publics pose question. Le bilan officiel de l'Ademe est en effet contredit par l'INRA, une étude de la Commission européenne et plusieurs articles scientifiques. Le gouvernement fonde donc sa politique sur le seul bilan de l'Ademe qui est très fragile.

- Elle est dispendieuse car les deux avantages fiscaux attribués aux biocarburants pour les rendre compétitifs ont été calculés sur la base d'un baril de pétrole à 30 dollars et deviennent donc démesurés :

- La défiscalisation de la TIPP sur les biocarburants ne profitera pas aux usagers domestiques. Elle permettra en fait aux producteurs de constituer une très forte marge en augmentant leur prix de vente tout en restant compétitif par rapport au prix du carburant fossile. Une taxe supplémentaire sur le carburant fossile (TGAP) de 2 milliards d'euros par an à partir de 2010, viendra renforcer cette rente et grever le pouvoir d'achat des consommateurs. - Ces avantages fiscaux ont donc été surtout élaborés pour rémunérer les producteurs nationaux et leur octroyer une situation de monopole. Dans cette logique, il n'est toujours pas envisagé d'importer de l'éthanol de canne à sucre qui offre pourtant un bon rendement environnemental et qui permettrait de nettement diminuer le prix payé par le consommateur.

L'UFC Que Choisir demande au gouvernement :
 

- d'organiser une conférence de consensus scientifique qui mette un terme à la cacophonie actuelle,

- de globalement diviser par deux l'avantage fiscal des biocarburants puis de moduler la défiscalisation de la TIPP en faveur du biodiesel et à la défaveur de l'éthanol à base de céréales,

- de rééquilibrer sa politique pétrolière en diminuant l'effort financier pour les producteurs de biocarburants et en investissant davantage sur les transports en commun ou les moteurs économes."

Paru dans http://www.quechoisir.org/

 


Eolienne Dieudonné

Communiqué par Pierre Dieudonné (29/01/2007) - Tel 33 (0) 383 724 557 et 33 (0) 681 913 132

pierre.dieudonne@laposte.net

N°EUT7164 - Brevet INPI 06/02890 Médaille d'argent en Avril 2006 au salon de Genève

Pour voir la présentation de cette éolienne cliquez sur 

 http://www.eolprocess.com/start.php

Procédé d'éolienne très astucieux adaptable à différentes tailles qui mérite une attention particulière et pour lequel il est souhaitable qu'un débouché commercial se fasse rapidement.


Moteur gravitationnel Hackenberger

Communiqué par Jim Hackenberger (10/02/2007)

" Dimanche 28 Janvier 2007 - Grande nouvelle: un nouveau moteur est né!

Cette semaine marque un grand tournant technologique; en effet un nouveau moteur est né: le moteur Hackenberger.
Sa principale caractéristique: Il ne consomme RIEN !!!
Un moteur qui ne consomme rien, celà peut-il exister? n'est pas contraire à la célèbre formule: "rien ne se crée, tout se transforme"? En fait, une éolienne, consomme-t-elle quelque chose? Non! Elle récupère l'énergie du vent! Un moulin à eau consomme-t-il quelque chose? Non! il récupère l'énergie produite par une chute d'eau! Eh bien le moteur Hackenberger ne consomme rien, mais il récupère l'attraction terrestre. En fait, c'est un moteur gravitationnel.

Les recherches sur les moteurs gravitationnels ne sont pas nouvelles! Autrefois, on appelait, à tort, ces dispositifs: mouvements perpétuels. Pourquoi cette appellation est-elle erronée? Tout simplement parce qu'un véritable mouvement perpétuel devrait, s'il était possible à créer, déliver de l'énergie, ou tout au moins être en mouvement perpétuellement, quelque soit le lieu où il serait installé, ce qui n'est pas le cas du moteur gravitationnel, qui ne peut fonctionner que s'il est soumis à la gravitation; si on place un moteur gravitationnel dans l'espace, en apesanteur, il ne fonctionnera pas puisqu'il n'aura aucune énergie à récupérer.
La première mention d'un "mouvement perpétuel" se trouve dans un manuscrit en sanskrit du cinquième siècle avant J-C, intitulé Siddhanta Ciromani.
De nombreux savants se sont penchés sur le sujet, sans grand succès, il est vrai, à tel point qu'en 1775, sous l'influence de Laplace, l'Académie des sciences de Paris condamna ces recherches.
Jusqu'à présent, le seul "mouvement perpétuel" ayant correctement fonctionné, et dont on a les preuves du bon fonctionnement est la Roue d'Orffyreus, inventée par Johann BESSLER. Pour de plus amples détails, on se réfèrera à cet excellent site: http://membres.lycos.fr/quanthomme/energielibre/machines/MVP.htm *
...En quoi le moteur Hackenberger se diférencie-t-il des autres moteurs gravitationnels?
D'abord parce qu'il n'a pas été conçu comme un mouvement perpétuel ou comme un moteur miraculeux qui pourrait produire de l'énergie ex nihilo mais il a été conçu en tant que récupérateur de l'attraction terrestre.
Ensuite parce qu'il est très simple! La complication n'est pas un gage de bon fonctionnement, et la simplicité est souvent la meilleur façon d'avoir quelque chose de fonctionnel, facile à fabriquer, et fiable."

Voir la suite et les détails dans son site : http://moteur-hackenberger.over-blog.com/

* Merci à Jim Hackenberger de citer la section MP (accès direct)  dans notre site ! Toutefois, il est préférable d'utiliser cette adresse


De l'Or à partir d'APE

Communiqué par Jean-Louis Naudin (19/01/2007) : "Voici quelqu'un qui à reproduit l'expérience de Asymmetrical Plasma Electrolysis -(APE) en partant de la page  http://jlnlabs.imars.com/cfr/ape/index.htm

C'est Karl Reinhart (Shekinahguild@yahoo.com) qui parle :

" Vos informations (il s'adresse à Jean-Louis ) m'ont été très utiles pour répliquer l'expérience...Lors du premier essai, je ne m'attendais pas à obtenir des résultats spéciaux. Je m'appliquais plutôt à tout faire au mieux et ne pas abîmer mon matériel plutôt que de l'expérience elle-même. Je n'avais pas travaillé sur les expériences de transmutation dont j'ai indiqué les liens en première page. Il est bien possible -  et ce ne serait pas surprenant -  d'avoir des résultats semblables aux miens sans le manchon de céramique spéciale qui a été utilisé dans les expériences de transmutation.
Une fois que j'ai eu retiré mes électrodes du bocal, j'ai remarqué une curieuse bande de couleur or sur la tige de tungstène négative.

 

Un côté de la bande d'or sur la cathode de tungstène

D'autres photos et détails dans   http://research.colloidalgoldmachines-central.com/APE2.htm



Brefs extraits du JDLE :  CO2 en progression - Hydroélectricité - Solaire - Charbon etc.

Lire la suite des articles dans le site du JDLE http://www.journaldelenvironnement.net/fr/index/index.asp

22/01/2007 : La concentration en CO2 progresse de plus en plus vite
"...David Hofmann annonce que le niveau de gaz carbonique a cru de 2,6 parties par million (ppm) en 2006 et de 2,2 ppm par an entre 2001 et 2005, contre une moyenne de 1,5 ppm par an entre 1970 et 2000. Si rien n’est fait, estime le directeur de la Global monitoring division, la croissance pourrait prochainement atteindre les 3 ppm par an..."

22/01/2007 : En France, le bonheur serait dans le solaire par Bérangère Lepetit
"...Nous sommes en 2004. Avec ses 750.000 mètres carrés (m2) de capteurs solaires et son titre de championne du monde, l'Allemagne fait figure de pionnière dans l'industrie solaire. Florissantes, les sociétés allemandes spécialisées dans l'énergie photovoltaïque entrent en bourse et affichent des progressions considérables. Petite entreprise créée en 1998, Conergy atteint en 2004 le chiffre d'affaire de 285 millions d'euros. Le succès allemand fait des envieux. Derrière l'Allemagne, se profilent les Pays-Bas, l'Autriche et plus loin, beaucoup plus loin, la France qui, forte de son énergie nucléaire, ne se préoccupe guère de ses rayons de soleil.
Deux ans plus tard, la situation a évolué. Outre-Rhin, le soleil ne semble plus à son zénith. L'Allemagne détient toujours la première place mais à la Bourse de Francfort, les valeurs des industries solaires connaissent un ralentissement. En un an, Conergy est passé de 65 à 45 euros. L'été dernier, Solarword subit une baisse de 70 à 35 euros, soit un repli de 30 à 50% des valeurs. A contrario, en France, quelques rayons percent les nuages. En 2005, l'Hexagone a connu la plus forte progression du marché solaire thermique d'Europe: +134%. Signal encourageant: le 15 mai 2006, Dominique de Villepin, Premier ministre, annonce l'augmentation significative des tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque, prenant ainsi exemple sur l'Allemagne et sa loi de 2000 sur les énergies renouvelables..."

23/01/2007 : Hydroélectricité: une option qui pose question
"...Déjà 10% de la production nationale d’électricité, une disponibilité rapide, et pas de rejets de CO2: au vu des différents discours prononcés lors du colloque organisé par l’Union française de l’électricité (UFE) et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), l’hydroélectricité est une des solutions phares pour atteindre les objectifs de la loi de programme fixant les orientations de la politique énergétique (loi Pope) (1): réduire les émissions de gaz à effet de serre de 3% par an et produire, d’ici 2010, 21% de l’électricité française à partir d’énergies renouvelables. Le but étant de trouver un équilibre entre cette loi et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques (2) qui contient des mesures de protection de l’environnement..."

23/01/2007 : Allemagne: quand le nucléaire subventionne le charbon propre
"...Comment accroître son parc de production thermique tout en réduisant ses émissions de CO2? Telle est la quadrature que les énergéticiens allemands doivent résoudre. Un problème auquel la Deutsche Bank apporte peut-être un début de solution. Dans une récente note, la banque allemande rappelle les faits. Pour remplacer les centrales qui vont être déclassées et satisfaire l’évolution de la demande, l’Allemagne devra mettre en service 42 gigawatts (GW) de capacités nouvelles d’ici 2020 (20 GW pour remplacer les réacteurs qui doivent être fermés, 12 GW pour suivre l’accroissement de la demande et 10 GW pour remplacer d’anciennes centrales thermiques).
Le problème, rappellent les consultants, c’est qu’au prix actuel du gaz et avec les contraintes que devra imposer le prochain plan national d’allocation des quotas, dit Pnaq 2 (la première mouture ayant été rejetée par Bruxelles), l’avenir réside dans le «clean coal». D’où l’idée d’allonger la durée de vie des centrales nucléaires tout en taxant leurs exploitants. Le produit de la taxe devant servir à financer la capture et la séquestration du carbone rejeté par les futures centrales thermiques. Cela étant, remarquent les auteurs, le prix du courant devra nécessairement s’en ressentir. Selon eux, la viabilité de leur système n’est possible qu’avec un prix du mégawattheure (MWh) voisin de 64 euros..."

Et si un jour, on reparlait du carburant  Makhonine


Document extrait du site http://www.sortirdunucleaire.fr  

Fermeture de 7 réacteurs au 1er janvier 2007 : le déclin inexorable du nucléaire est amorcé
Ce 1er janvier 2007, sept réacteurs nucléaires ont cessé définitivement de fonctionner  : deux à Dungeness et deux à Sizewell (Angleterre), deux à Kozlodoui (Bulgarie), et un à Bohunice (Slovaquie)
Il ne s'agit là que des prémices d'un déclin inexorable de l'industrie nucléaire mondiale, parfois présentée a tort comme faisant son "grand retour" alors qu'elle est en réalité menacée de disparition.
 Ainsi, le 10 novembre 2006, Claude Mandil, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a déclaré : "la tâche principale de l'industrie nucléaire dans les années à venir sera de remplacer les centrales existantes qui auront atteint leur fin de vie. Cela signifie qu'on aura besoin de nombreuses centrales sans pour autant augmenter la part du nucléaire dans la production d'électricité." Or, la seule chose qui soit certaine est la fermeture, d'ici 2025, d'environ 250 réacteurs nucléaires sur les 435 en fonctionnement actuellement sur la planète. Et la fermeture des autres arrivera dans les deux décennies suivantes. Par contre, la plupart des nouveaux réacteurs annoncés restent pour le moment très virtuels.

Illustration à travers quelques exemples :

 - Grande-Bretagne : 22 des 23 réacteurs actuels seront fermés en 2023. Certes, M. Blair annonce des projets de nouvelles centrales, mais il est un des seuls à soutenir cette idée, face à une opinion publique qui y est très défavorable. Qui plus est, M. Blair a annoncé que les éventuelles nouvelles centrales devraient être construites par des entreprises privées... sans subventions de l'Etat.
Or, le nucléaire ne s'est développé que lorsque des Etats lui ont consacré d'immenses sommes d'argent public (sans jamais demander leurs avis aux citoyens, mais cela est encore un autre débat). Il est vraisemblable que, vers 2020, le nucléaire représentera moins de 1% de l'énergie consommée en Grande-Bretagne.

 - Russie : Vladimir Poutine annonce de nombreux nouveaux réacteurs nucléaires, mais il est bien moins loquace concernant la fermeture prochaine des 31 réacteurs actuels : "Tous nos réacteurs (opérationnels) s'éteindront dans dix ans. Pour éviter le "gel" du secteur nucléaire civil, il nous aurait fallu construire 1,5 réacteur par an depuis longtemps" a expliqué un membre d'une délégation du Kremlin en visite aux USA (cf dépêche de l'agence RIA Novosti du 7 décembre 2006).

 - Europe centrale : Les quelques vingt réacteurs nucléaires de ces pays, pour la plupart anciens et de technologie soviétique, sont promis à une fermeture prochaine. Les pays Baltes et la Pologne se sont associés pour essayer de construire un réacteur nucléaire. Loin d'être un élément du supposé "grand retour" du nucléaire, ce projet vise seulement à essayer de compenser la fermeture avant 2009 du second réacteur d'Ignalina (Lituanie), le premier étant... déjà fermé.

 - USA : Aucune commande de réacteur n'a eu lieu depuis l'accident nucléaire de Three Mile Island (1979). Depuis, la durée de vie des 103 réacteurs en activité est régulièrement prolongée (jusqu'à 60 ans pour certains), augmentant considérablement le risque d'accident. Le Président Bush a certes signé en juin 2005 des dispositions pour attribuer de fortes sommes publiques aux compagnies privées qui construiraient des réacteurs nucléaires, mais aucun projet ne semble se concrétiser et le processus pourrait être remis en cause du fait de l'alternance du pouvoir avec les Démocrates. Et, même si certains projets se réalisaient , ils seraient très loin de compenser la véritable bérézina qui frappera l'industrie nucléaire des USA lorsque les vieux réacteurs fermeront enfin. (Il faut espérer que ce ne soit pas après une catastrophe nucléaire).

 - Asie : C'est dans cette région du monde que les projets semblent (hélas) les plus sérieux. Ainsi, la Chine est parfois annoncée comme "le nouvel eldorado" du nucléaire parce qu'elle entend construire 30, et peut-être 40 nouveaux réacteurs. Rien ne permet de penser qu'ils seront tous construits (tant les investissements financiers nécessaires sont immenses) mais, même si c'est le cas, la Chine produira alors "royalement" 4% de son électricité avec le nucléaire, soit 0,7% de sa consommation d'énergie. De même, les projets annoncés en Inde, une vingtaine de réacteurs, permettraient à peine à ce pays de couvrir environ 5% de son électricité (1% de sa consommation d'énergie).
Le parc nucléaire japonais, le troisième au monde après les USA et la France, connait de graves problèmes de sûreté, 17 réacteurs ayant même été fermés d'un coup (pour plusieurs mois) en 2003 du fait de la falsification par les exploitants de rapports de sûreté alarmants. L'opinion publique a été très marquée par ce scandale mais aussi par l'accident de Tokaï-Mura en 1999, qui a causé la mort de trois travailleurs et irradié des centaines d'habitants.

 - Amérique du Sud : Le Brésil, où ne fonctionnent que deux réacteurs, en annonce 5 nouveaux, mais il est d'abord confronté au problème d'Angra3, réacteur resté en pièces détachées depuis... 20 ans. Idem pour l'Argentine (où fonctionnent aussi deux réacteurs) qui a annoncé en août 2006 un plan nucléaire dont le premier objectif est de terminer la construction du réacteur Atucha 2, commencée...en 1981.

 - Dictatures : Ici ou là, des dictateurs pensent se donner du prestige en annonçant la construction d'un réacteur nucléaire. C'est le cas de Kadhafi (Libye), Loukachenko (Biélorussie, pays toujours contaminé par la catastrophe de Tchernobyl) ou de l'Egypte où le fils de Moubarak a le soutien des USA pour la construction d'un réacteur. La Corée du Nord et l'Iran ont chacun un programme nucléaire pour lequel la production d'électricité reste virtuelle, l'objectif étant l'accès à l'arme atomique. En résumé, beaucoup d'annonces pour... fort peu d'électricité.

 - Allemagne / Suède : On peut lire ici où là que le plan de sortie du nucléaire en Allemagne serait remis en cause. Ce n'est pour le moment pas le cas mais, de toute façon, le pire qui soit envisagé est de ne pas fermer les réacteurs de façon anticipée. En aucun cas la construction de nouveaux réacteurs n'est envisagée : le nucléaire est de toute façon promis à la disparition en Allemagne. La situation est identique en Suède où la fermeture des 10 réacteurs actuels a été décidée en 1980. Ce plan traîne certes en longueur mais, là aussi, aucun nouveau réacteur n'est prévu et le nucléaire va de toute façon disparaître. Notons aussi qu'un accident, potentiellement très grave, a été frôlé le 25 juillet dernier à la centrale de Forsmark (voir notre nouvelle du 16/10/2006)

 - Finlande / France : Ces deux pays portent les espoirs de l'industrie nucléaire en Europe  : ils souhaitent construire chacun... un réacteur, l'EPR du français Areva. Une fois de plus, rien à voir avec un "grand retour" du nucléaire. D'autant que le chantier finlandais, le seul à être lancé, est un véritable calvaire : 18 mois de retard officiellement, au moins trois ans en réalité. Le constructeur Areva perdrait dans l'affaire près d'un milliard d'euros. Qui plus est, l'EPR a été refusé le 16 décembre dernier par les chinois à l'occasion ce qui était présenté comme le "contrat du siècle", la construction de quatre réacteurs. De fait, on ne saurait trop conseiller à la France de renoncer à construire l'EPR prévu à Flamanville (Manche), et d'en reverser le financement vers les économies d'énergie et les énergies renouvelables.

 Conclusion : Le rapport "Facteur 4", remis au gouvernement français en octobre dernier, explique que "l'énergie nucléaire représente 2 % de l'énergie finale dans le monde" et pointe "l'apport finalement marginal du nucléaire" dans la lutte contre l'effet de serre. On ne saurait mieux illustrer le fait que le nucléaire, même s'il impose un danger maximal, a en réalité une place très faible dans l'énergie mondiale. Et, nous venons de le décrire, cette faible part est en déclin inexorable. La fermeture de sept réacteurs, ce 1er janvier 2007, est donc le début d'un mouvement irréversible vers la disparition de l'énergie nucléaire. Il convient néanmoins de hâter cette disparition avant que ne survienne un nouveau Tchernobyl, mais aussi parce que chaque réacteur en fonctionnement produit des déchets radioactifs qui vont durer des millions d'années, et parce que la prolifération nucléaire vers l'arme atomique est un des pires dangers qui menacent la planète.


Communiqué par Jean-Louis Naudin (30/01/2007) :

Tous les détails, liens vers les brevets, schémas détaillés concernant la GFS de Geoff Hatton sont   en bas de la page sur la GFS-UAV dans le site de Jean-Louis Naudin http://jlnlabs.imars.com/gfsuav/index.htm


Communiqué par Alain D (13/02/2007):

Voici un lien pour des vidéos qui pourraient vous intéresser WATER POWERED VEHICLE http://www.youtube.com/watch?v=ImGaraPrEo8


Communiqué par Laurent P. (04/01/2007) :

"A moins qu'il y ait un vice caché, pour créer de l'énergie en boucle et de façon régulière, ne suffit-il pas d'utiliser un Bélier hydraulique http://fr.wikipedia.org/wiki/Bélier_hydraulique  avec une roue à aube. Des explications dans le site http://clients.newel.net/particulier/amader/index.htm L'énergie hydraulique


Communiqué de Jacques Collin (10/02/2007) :

"De nombreuses informations sur cette nouvelle pensée qui émerge un peu partout dans le monde et qui, je suis sûr, va être aussi la nouvelle Conscience de cette humanité qui se débat encore dans ses contradictions et ses violences" dans ce site http://www.connaissance-conscience.com/index.htm

Jacques Collin pérégrine depuis quelques années déjà en parlant de l'eau dans ses livres, et dans ses conférences. Il lui arrive régulièrement de citer les systèmes Pantone, (il a été un des premiers, dès la fin 2000, à voir fonctionner notre premier moteur) et  fréquemment des spectateurs témoignent de leur intérêt parfois confirmé par leurs propres réalisations.

Vous pourrez le retrouver chaque mois dans les News et la rubrique Vitalité du site

06/05/2010

http://www.tredanielwebtv.com/Deshydratation-on-boit-beaucoup-mais-mal--Jacques-Collin_a42.html

http://www.tredanielwebtv.com/Message-et-miracle-de-l-eau-Jacques-Collin_a47.html

http://www.tredanielwebtv.com/Comment-et-pourquoi-energiser-l-eau-Jacques-Collin-auteur-de-l-insoutenable-verite-de-l-eau_a48.html


Communiqué par les frères "PEL" (02/02/2007) : " Le tort d’avoir raison"

Un extrait  : Vous avez eu tort d’avoir raison trop tôt ". C’est ce qu’entend dire un inventeur lorsqu’il se dépite que l’on ait perdu des années avant d’appliquer une solution qui était, pour lui, évidente.
La "conversation" entre l’inventeur et l’entreprise s’est mal passée. Il n’a pas su se faire comprendre, elle n’a pas su comprendre. Qui a eu tort ? Si une conversation échoue, c’est que la relation entre les deux interlocuteurs n’a pas fonctionné ; ils en sont tous deux responsables, la faute ne pèse pas tout entière sur l’inventeur."

pour lire la suite  
www.volle.com

Quanthomme ajoute :

" Invente et tu mourras persécuté comme un criminel ; copie et tu vivras heureux comme un sot."

Honoré de Balzac


Et toujours des systèmes Pantone

1 - Pantone sur Fiat126 PREPARATION SPORT DE MOTEURS FIAT 500 FIAT 126 ET AUTRES PAR UN AMATEUR PASSIONNE Serge C.

2 - Communiqué par Edouard B. (19.02.2007) "Le 28 Février, Rachid Nekkaz, candidat à l'élection présidentielle, présentera une voiture équipée d'un réacteur PANTONE ! Regardez à http://www.nekkaz.com/ AGENDA au 28 Février"

Les médias feront-ils état de cette information ?
 


Prochainement une mise à jour de la page des A.V.E.C. Nous attendons photos et comptes rendus plus détaillés des derniers réalisés et en cours d'expérimentation, mais qui montrent déjà des résultats tout à fait intéressants.