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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 26/11/2010

Terre à terre

  Méthane

 http://www.youtube.com/watch?v=25BE42PzZZc

 Cette vidéo est issue d'une émission de télévision US. Elle part de l'hypothèse que les clathrates situés dans le golfe du Mexique, auraient pu être déstabilisés par l'accident de la plateforme pétrolière de BP.
Ceci étant, il faut savoir que les clathrates en zone arctique, sont déjà déstabilisés par le réchauffement planétaire, et que ceci va s'étendre tôt ou tard à toutes les réserves de clathrates du monde. 

Les clathrates sont des "cages de glace" contenant du méthane gazeux, issu du catabolisme de bactéries primitives vivant au fond des océans, en se nourrissant de matières organiques. Ces stocks de méthane représentent au bas mot entre 1.200 et 10.000 milliards de tonnes. Une fois libéré de ces cages de glace, le méthane va remonter et finir par s'enflammer comme un gigantesque feu follet, libérant de 3.000 à 24.000 milliards de tonnes de CO2 dans l'atmosphère.

 Les océans étant déjà saturés en CO2 de part nos émissions, il est peu probable d'espérer un délai avant de faire face à une extinction de masse... Car autant de CO2 aura forcément un impact sur les équilibres biologiques liés à la respiration.

 Cette vidéo et les travaux scientifiques sur lesquels elle s'appuie, confirment mes travaux sur la « stérilisation carbonique », mécanisme de grande ampleur d’interaction néfaste du CO2 avec la vie, pouvant entraîner une extinction de masse, en perturbant les mécanismes respiratoires à l’échelle planétaire.

 Voir source : http://sosterrien.skynetblogs.be

 Un tel phénomène a eu lieu il y a 251 millions d'années et ceci correspond à la plus grande extinction d'espèce de l'histoire de la Terre, 90 à 95% des espèces aquatiques ayant été éradiquées, ainsi que 70% des espèces terrestres. Une solution technique existe pour nous éviter le pire. Il nous reste une chance...Saisissons la !

Méthane encore : dégazage, danger !

Bruno Bartnicki nous livre quelques unes de ses réflexions. Merci à lui pour ce complément d'informations, certes pas du tout rassurantes mais il vaut mieux ne pas jouer aux autruches (même si on aime bien les animaux !)

Rendez-vous dans la page 3 de Bruno.

  Une petite mousse ...qui éjecte ses spores à très haute vitesse.

Dwight Whitaker, physicien au Pomona College (Californie) et Joan Edwards biologiste au Williams College (Massachusetts) ont filmé la sphaigne et vu qu'elle éjectait ses psores sous forme d'anneaux en vortex et à des accélérations stupéfiantes de plus de 36000 g. ET cela tout simplement pour que cette petite mousse au ras du sol puisse faire parvenir ses spores à une hauteur où les vents pourront les saisir et les disperser sur une vaste zone.

La sphaigne couvre environ 1% de la surface de la terre, mais personne ne s'était inquiété d'aller la voir de près, à des échelles de temps si courtes (en dessous des millisecondes). Cette mousse connue aussi comme tourbe horticole  joue un rôle clé dans l'arôme de nombreux whisky. De plus elle a aussi des propriétés antiseptiques qui ont joué un rôle important dans les pansements des blessures en temps de guerre.

Source Cern Courier Octobre 2010 - D.L. Whitaker and J Edwards 2010 Science 239 406

"Beijing fait ses courses nucléaires"

05/11/2010

 "La Chine est en passe de devenir le partenaire stratégique de la France dans le domaine de l’énergie nucléaire. Jeudi 4 novembre, durant la visite d’Etat du président chinois Hu Jintao, Areva a conclu plusieurs accords avec des entreprises chinoises.

Le groupe nucléaire français vendra ainsi 20.000 tonnes d’uranium, sur 10 ans, à China Guangdong Nuclear Power Corp (CGNPC). L’électricien chinois exploite les centrales de Ling Ao et de Daya Bay, construites par les Français. Le montant de ce premier contrat est estimé à 3,5 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros).

Anne Lauvergeon, la présidente du directoire d’Areva a également signé, avec Sun Qin, le patron de la China National Nuclear Corporation (CNNC), un accord de coopération dans le domaine du recyclage des combustibles usés. Cette convention ouvre la voie à l’ouverture de négociations sur la vente par Areva d’une usine de retraitement de combustibles usés, comparable à celle de La Hague (Manche) et d’une usine de fabrication de combustible Mox. Deux installations dont le devis global pourrait atteindre une vingtaine de milliards €.

Dans l’amont du cycle du combustible, Areva pourrait aussi ouvrir à ses clients chinois la mine d’uranium d'Imourarène (Niger), dont elle est l’actionnaire majoritaire.

Parallèlement, le groupe français pourrait engager un partenariat avec CGNPC pour développer l’Atmea, un réacteur à eau pressurisée de moyenne puissance (1.000 mégawatts).

Trois jours avant que ne soient signés ces accords, deux compagnies chinoises, la Jiangsu Nuclear Power Corporation (JNPC) et la China Nuclear Energy Industry Corporation (CNEIC) signaient des contrats de fourniture de combustible avec TVEL. Le producteur russe devrait livrer 6 cœurs pour l’un des réacteurs de la centrale chinoise de Tianwan, de technologie russe. TVEL va aussi aider la Chine à bâtir sa propre usine de production de combustible pour ses réacteurs VVER. AtomStroyExport devrait, par ailleurs, lancer la construction de deux nouvelles tranches VVER sur le site de Tianwan. "

Source http://www.journaldelenvironnement.net/article/beijing-fait-ses-courses-nucleaires,19959?token=ba39d7a62bebaf140afa9c3e22d7d16c&xtor=EPR-9

"16 milliards d’euros mais une facture lourde en carbone."

"Le chiffre vient de l’Elysée. La Chine, elle, par la voix de sa vice-ministre des Affaires étrangères, a estimé à 14 milliards d’euros la valeur des contrats passés. Et table sur un doublement des échanges commerciaux avec Paris d’ici à cinq ans. Mais au-delà des espèces, c’est du carbone qui était sur la table ce jeudi 4 novembre. Au devant de la scène : des groupes pétrolier, nucléaire ou des avionneurs. Total et China Power Investment Corporation envisagent d’investir conjointement 2 à 3 milliards d’euros dans une usine pétrochimique de transformation du charbon en Chine. Areva devrait fournir 20 000 tonnes d’uranium sur dix ans à l’électricien chinois CGNPC pour la modique somme de 2,5 milliards d’euros tandis qu’Airbus destine 102 appareils (pour un montant de 10 millliards d’euros) au ciel chinois.
Et ce n’est pas fini. Une nouvelle vague de 15 contrats devraient être signés vendredi. Il y a du CO2 dans l’air."

Source : http://www.terra-economica.info/16-milliards-d-euros,13579.html

  Les nouveaux compteurs

Linky, ENERGYBOX loi NOME etc. farfouillez sur la Toile et vous aurez une foule d'infos, les officielles et les gros bémols : vous pourrez ainsi vous faire une idée sur ce nouveau compteur. Mais réfléchissez avant de signer cet achat (dans les 300 euros) surtout si vous n'avez rien demandé...

http://www.journaldelenvironnement.net/article/la-cre-ouvre-le-debat-sur-les-reseaux-intelligents,19982?token=ba39d7a62bebaf140afa9c3e22d7d16c&xtor=EPR-9 

  Où est l'indépendance des universités ?

 Jennifer Washburn tire la sonnette d’alarme. Cette journaliste d’investigation américaine (1) a récemment publié sur le site du « think tank » Center for American Progress « Big Oil goes to College ». Ce rapport de 220 pages se penche sur les relations troubles qui lient aux Etats-Unis universités et géants du pétrole. Elle y analyse notamment les 10 accords – qui totalisent 833 millions de dollars (604 millions d’euros) sur dix ans – passés avec certains centres de recherche les plus réputés du pays comme Stanford ou Berkeley. Son constat ? Cinq des dix plus grosses entreprises du secteur – ExxonMobil, Chevron, BP, Royal Dutch Shell et ConocoPhilips – ont signé des partenariats avec des universités américaines, preuve qu’elles ne sont plus des citadelles inviolables pour le big business.

 Si ce rapport ne va pas jusqu’à dénoncer le bien-fondé de telles associations, l’auteure déplore que dans 9 cas sur 10, les universités ne détiennent pas la majorité des sièges dans les comités chargés de gérer les alliances. Et dans 8 cas sur 10, les géants pétroliers ont le droit d’évaluer et de sélectionner eux-mêmes les projets soumis par les chercheurs. L’indépendance de ces derniers s’en trouve entachée d’un sale soupçon

Source http://www.terra-economica.info/Comment-les-geants-petroliers-s,13328.html

  Un cimetière sous-marin dans le Golfe du Mexique 

10.11.2010 - Une zone de corail mort vient d'être découverte à proximité du site où la plateforme de BP avait fait naufrage.

 Une nouvelle expédition chargée par le gouvernement fédéral d’explorer les fonds marins à l’aide de robots vient de découvrir une zone de corail mort localisée à 1400 mètres de profondeur et 11 km du lieu du sinistre. Charles Fisher, un biologiste de l’Université de Penn State, qui dirige l’expédition, interrogé par le New York Times, soulignait que 90% du corail sur le site en question était soit mort, soit sur le point de mourir. Selon lui, le suspect principal est incontestablement le pétrole qui s’est échappé du puits même si des tests supplémentaires devront confirmer ce verdict. Les scientifiques qui ont participé à cette expédition estiment que 25 autres zones à proximité du puits ont probablement été contaminées.

Menaces sur l’Arctique 12 novembre 2010

" Les scientifiques n’ont probablement pas fini de découvrir de nouvelles conséquences de la dramatique marée noire qui a dévasté le golfe du Mexique ces derniers mois. Mais cela n’empêche pas les compagnies pétrogazières de pousser le gouvernement américain à autoriser la production d’hydrocarbures dans l’océan Arctique. Un océan dont le sous-sol est réputé très riche en hydrocarbures.
 Selon une estimation réalisée en 2008 par les services géologiques américains (USGS), le sous-sol marin arctique pourrait receler 90 milliards de barils de brut, 1.700 milliards de pieds cubes de gaz naturel et 44 milliards de barils de condensats. Considérable ! 
A la demande du Pew Trust américain, les consultants Nuka Research et Pearson Consulting ont étudié les impacts potentiels de l’exploration pétrolière dans les mers de Beaufort et des Tchouktches, deux mers bordant l’océan Arctique. Leur rapport est plus qu’inquiétant.  
Une marée noire survenant dans cette région serait bien plus difficile à juguler qu’au large de la Louisiane"
Article de Valéry Laramée de Tannenberg dans
http://www.journaldelenvironnement.net/article/menaces-sur-l-arctique,20035?token=ba39d7a62bebaf140afa9c3e22d7d16c&xtor=EPR-9

  A un siècle (ou presque) d'intervalle

Pierre Langlois a travaillé tout  l'été  "à l’étude sur la mobilité durable pour le compte du Réseau des ingénieurs du Québec." 

" Cette étude est consultable ici  http://www.reseauiq.qc.ca/fr/discussion/enquete_etudes/mobilitedurable.html
ou à partir du site de Pierre Langlois http://www.planglois-pca.com

"L'IREC (Institut de recherche en économie contemporaine http://www.irec.net )publie aussi une étude qui démontre les avantages économiques d’électrifier les transports collectifs au Québec, dont un réseau de monorails rapides décrits dans l'article du journal Le Devoir. L’IRÉC a inclus dans son mémoire celle des transports collectifs urbains également car le travail de Pierre Langlois a contribué à l’évaluation sommaire des coûts d’implantation d’un réseau de monorail (voir notre nouvelle du 05/01/10). Les retombées économiques au niveau des emplois au Québec ont été évalués par l’IRÉC".

"Toujours sur le monorail : un article paru dans le journal La Presse de Montréal samedi dernier, sur le monorail. C’est Robert Laplante de directeur général de l’IREC qui a accordé l’entrevue au journal. "

Il y mentionne les estimations que Pierre Langlois a faites dans le rapport qu'il leur avait remis.

Voir  http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/201011/13/01-4342457-un-monorail-montreal-quebec.php

" Il y a de l’action dans l’air présentement (dit Pierre Langlois) au sujet du monorail rapide à moteurs-roues. Je ne croyais pas que mon entrevue de mardi (16 novembre 2010) avec Tim Belford de CBC Radio One était en ligne, mais c’est le cas.
Voir http://www.cbc.ca/video/news/audioplayer.html?clipid=1646615114

Et toujours le souci, quand ce n'est pas le désarroi à cause de cette "ruée vers l'Ouest" comme l'écrit Charles Côté - La Presse

" Une activité frénétique agite Fort St. John, la «ville énergétique», selon le slogan municipal. Le long de l'Alaska Highway qui traverse la ville de 20 000 habitants, des convois de machinerie lourde défilent devant les hôtels construits en hâte et les ateliers de mécanique industrielle...
...
(Montréal) Même en faisant rouler tous les poids lourds du Québec au gaz, la pollution néfaste pour le climat ne serait réduite que de façon marginale, au prix de plus de 4 milliards de crédits d'impôt.

C'est l'avis de Daniel Breton, du mouvement Maître chez nous 21e siècle, qui a présenté un mémoire au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) hier.
M. Breton s'en est pris aux vertus écologiques du gaz dans les transports, une des raisons pour lesquelles il faudrait, selon le gouvernement Charest, lancer l'industrie du gaz de schiste.
"Il y a 71 000 camions lourds au Québec, a dit M. Breton. Même s'ils étaient tous convertis au gaz naturel liquide, les émissions totales du Québec ne diminueraient que de 1,9 %. Et avec un coût de 50 000 $ à 90 000 $ par camion, avec la déduction d'impôt accélérée prévue dans le dernier budget, on parle de 4,5 milliards de déductions. C'est beaucoup d'argent pour peu de réduction de gaz à effet de serre."
Et c'est sans compter un facteur important : les réservoirs de gaz naturel liquide installés sur les camions comportent une valve qui laisse constamment échapper un peu de produit. Ce gaz, le méthane, a un impact 25 fois plus grand sur le climat que le gaz carbonique qui est émis pendant la combustion. (ndlr: Le méthane, encore...voir en haut de cette page).
M. Breton remet aussi en doute la capacité du gaz naturel de remplacer le mazout, ce qui permettrait de réduire d'environ 2 % les émissions québécoises de GES.
"Parmi les 25 questions que nous avons posées au BAPE, nous avons demandé un document sur les résultats du programme actuel de substitution des hydrocarbures depuis les trois dernières années. On n'a pas eu cette information."
20 kilomètres capable de pomper annuellement 2,2 millions de mètres cubes d'eau, l'équivalent de deux piscines olympiques par jour, à partir du réservoir hydroélectrique Williston, l'un des plus vastes de la Colombie-Britannique. La facture atteindra les 50 millions, selon M. McGoogan...."

Sans oublier les problèmes dus à l'énorme besoin en eau pour l'exploitation de ce gaz de shiste

"Car même si Talisman se targue de recycler 90% de son eau, elle en aura besoin en quantité pour poursuivre l'exploitation de son gisement." écrit Charles Côté.

Le sujet est d'importance

La Santé publique n'a pas pu évaluer les risques que pose l'exploitation du gaz de schiste. Les médecins sont inquiets

http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/sante/30351-medecins-schiste

Un moratoire de 20 ans pour les gaz de schiste est demandé.

A suivre...

Tony Craddock, Web Administrator du site de Tom Bearden (www.cheniere.org) nous communique ce jour cette information

Une conférence où John Bedini présente un moteur monopole de 14 pieds de haut.

Voir http://www.youtube.com/watch?v=VYtUL8OU7s4

Evadons-nous un peu : D'autres petites sœurs de la terre ?

Des chasseurs d'exoplanètes ont découvert des systèmes planétaires riches de planètes.

Dans 2 systèmes entiers, ce sont 6 et même 7 planètes qui sont en orbite autour de leur étoile. Une nouvelle ère de découvertes d'exoplanètes s'est ouverte. Il est possible de découvrir une planète de la taille de la terre dans la zone habitable d'une d'un des 2 systèmes.

Depuis la découverte, il y a 15 ans de 51Peg b, la première exoplanète autour d'une étoile normale, ce sont plus de 450 exoplanètes qui ont été découvertes, et ce nombre pourrait s'augmenter d'une centaine pour 2010.

On doit tout cela à CoRoT (Convection, Rotation and Planetary transits), le satellite Franco-Européen lancé en 2006 et à la mission Kepler de la NASA en 2009. Déjà, en 2004, deux planètes à peine plus grosses que la terre avaient été détectées, elles orbitaient autour de Gliese 581 (voir Page de Bruno 10) à 20 années-lumière de nous. Au début, on a pensé qu'elles étaient en zone habitable, mais après d'autres investigations, elles se sont révélées, respectivement trop chaude et trop froide pour que de l'eau à l'état liquide puisse demeurer à leur surface.

Toutefois, Gliese est toujours à la une de l'actualité car il se peut qu'une planète plus petite se trouve entre les deux autres et à une distance convenable de l'étoile pour qu'il y ait la vie.

Steven Vogt et ses collègues du Lick Observatory de l'Université de Californie utilisent les mesures combinées de plusieurs équipements : HIRES (High-Resolution Echelle Spectrometer) du télescope Keck de 10 m sur Mauna Kea (Hawaï) avec les 119 précédentes mesures de HARPS (High Accuracy Radial-Velocity Planet Searcher) monté sur le télescope de 3,6 m de l'ESA à La Silla (Chili).

En Octobre 2010, l'attention s'est portée sur le groupe utilisant HARPS grâce à la détection d'un système stellaire riche en planètes, jusqu'à 7 en orbite autour de HD 10180 à 130 années-lumière, mais du type de notre soleil. cette étude est menée par Christophe Lovis de l'Observatoire de l'Université de Genève.

Cinq planètes du type de Neptune ont été nettement détectées et il y a des preuves de l'existence d'une autre planète en orbite plus éloignée, ainsi que d'une planète de la taille de la Terre proche de ce soleil.

Certes, l'existence de nouvelles planètes doit être davantage confirmée dans ces 2 systèmes exoplanétaires. Mais ces nouvelles études montrent qu'ils peuvent être très peuplés de planètes à faible masse et suggère que des planètes potentiellement habitables pourraient être relativement communes, et selon Steven Vogt, il pourrait y avoir un pourcentage de l'ordre quelque dizaines d'étoiles dans le voisinage du soleil.

Source Cern Courier de Novembre 2010 - S.S.Vogt et al. 2010 ApJ, in press arXiv : 1009.5733 - C. Lovis et al. A&A, in press

"Indignez-vous" dit et écrit Monsieur Stéphane Hessel

En 1945, il fit partie du Conseil national de la Résistance (CNR) à qui on doit rien moins que : La Déclaration universelle des droits de l'homme  - la Sécurité Sociale -  le régime de retraite par répartition  - des règles strictes visant à « l'éviction des grandes féodalités économiques et financières » -  les lois sur l'indépendance de la presse « à l'égard de l'Etat, des puissances d'argent et des influences étrangères »…

Vous voyez où on en est aujourd'hui ?