Les Nouvelles de Quant'Homme
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07/08/2007 - mise à jour le 30/11/2009 - le 11/01/2011 - le 24/09/2011 -
18/01/2012
Dans les documents recueillis
par
Bruno Bartnicki
Page
3 : des combustibles
Page 1 : des moteurs -
Page 2 : des matériaux - Page 3 : des
combustibles Page 4 : piles et batteries
- Page 5 : du solaire -
Page 6 : de l'eau-
Page 7 : planète Terre -
Page 8 : Lumière -
Page 9 : nanotechnologies -
Page10 : Gravité et Cosmos -
Page 11 : Sujets divers
- Page 12 : Stirling pour voiture économique
- Page13 - S'inspirer du modèle vivant
- Page 14: Sujets divers

De l'éthanol avec le petit lait par Theo Müller
|

De la fibre de bois à l'éthanol : Xénathol
Energie et Développement Durable
Magazine n° 14 oct-nov 2006 |

Carburant avec les vieux papiers par Pure Energy
SetV n°970 juillet 1998 |

Carburants liquides de charbon par Rentech
Energie et Développement Durable
Magazine n° 14 oct-nov 2006 |

Veloform et son tricycle à pile à combustible

Des centrales à chardon en Espagne : une énergie bio et
bon marché

Flash-pyrolise : le bois liquide est un bon combustible
Mise à jour du 30/11/2009

Du carburant à partir de bois.
Les spécialistes de l'A.N. Frumkin l'Institut de Chimie
Physique et Electrochimie (de l'académie russe des Sciences) ont réussi à
obtenir un carburant liquide à partir de sciure de bois.
La lignine et la cellulose sont les matières premières de
ce carburant.
La sciure est distillée et chauffée entre 400 et 450 °
dans du méthane ou dans un mélange de butane et de propane.
Pour les chercheurs, cette solution offre de nombreux
avantages : le carburant peut être utilisé pour tous types de véhicules, entre
55 et 65% de la masse de la matière première est utilisée et elle permet de
transformer toutes les matières premières riches en composés organiques non
saturés.
Source Monde Inconnu / Août/Septembre 2009
|

Energie du grisou à Freyming-Merlebach
S et V n°968 mai 1998

De l'électricité à partir du lisier par Biopower

Combustion plus efficace avec le turbotransducteur de
MEC System
Le méthane des océans
Mise à jour du 30/11/2009
Plus de 250 plumeux de bulles repérés par sonar à
l'Ouest du Spitzberg par une équipe internationale d'océanographes qui
témoignent de ce dégazage à effet de serre. C'est une élévation de température
de 1° C d'un courant marin arctique au cours des trente dernières années qui
serait la cause du dégazage.
Voir la suite dans Science & Vie d'Octobre
2009
Et une brève de Sciences et Avenir d'octobre
2009, d'après l'article de Geophysical Research Letters
|
Mise à jour du 25/11/2010
Méthane encore !
Bruno nous livre ses
réflexions et inquiétudes
"Nous sommes assis sur un tonneau de
poudre car l'avenir est peut-être derrière nous ;-("
Le froid
En effet, le permafrost de la
toundra contient énormément de CO2. En fait, si le permafrost fondait, le taux
de CO2 atmosphérique doublerait. Autant dire que ce serait la fin de l'aventure
de l'Homo Sapiens sur cette planète !
En vérité, le permafrost est bien en
train de fondre. Pour preuve, des photos satellites montrent que depuis 60 ans
dont 40
années d'observation, des dolines d'effondrement ont envahi la toundra et la
température a augmenté de 5° dans ces zones. C'est un signe très, très
inquiétant.
Un
article de Science et Vie de Mai 2010 titrait
" L'Océan Arctique dégaze du
méthane en grande quantité."le permafrost, sorte de couvercle de sol gelé du
fond de l'océan ne retient plus le méthane qu'il renferme, il est nettement
perforé...8 millions de tonnes rejoignent l'atmosphère chaque année, ce flux
mesuré est comparable à celui que l'on estimait pour tous les océans du monde
réunis dit Natalia Shakova, une universitaire de l'Alaska. Selon Jérôme
Chappellaz du laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement de
Grenoble, la valeur globale des sources de méthane est estimée à 600 millions de
tonnes par an. On ne peut pas savoir si ce phénomène signale l'imminence d'un
dégazage plus massif. |
Ces dégazages semblent bien être en train de
s'intensifier sous les banquises, dans les toundras et dans la fermentation des
vases des grands lacs du monde (en raison du réchauffement climatique). Depuis
quelques années, des cas de mortalités massives de millions de tonnes de
poissons (visibles par satellites) sont advenues par exemple au large de
l'Angola et du désert de la Namibie, sans doute déclenchées par un dégazage
d'hydrates de méthane toujours accompagné d'émissions de sulfures d'hydrogène
avec augmentation de l'acidité marine (et baisse de l'oxygène).
Précisions : ne pas confondre permafrost inondé
(depuis environ 10000 ans) et banc de glace d'hydrates de méthane qui
constituent le plancher marin à partir de moins 600m. Leur formation résulte
d'une stratification de dépôts successifs de matière organique (majoritairement
la neige marine) qui, grâce à la pression, à la température (basse), donc
à la profondeur, agglomèrent tous ces hydrocarbures pour former des immenses
bancs de glace de méthane dont certains au large de la Norvège en se gazéifiant
ont laissé, autrefois de gigantesques cratères.
Vu la quantité et la répartition de ces glaces,
elles pourraient à cause d'une "peut-être récente débâcle" par dégazage massif,
être en cause dans les derniers phénomènes tectoniques hors normes (tremblements
de terre, tsunamis, hyper-vagues ou vagues scélérates, éruptions volcaniques...
Car en créant une texture de "termitière" dans la
partie supérieure du plancher océanique (plancher glissant), celui-ci pourrait
connaître toutes sortes de déséquilibres, dont aussi des glissements de
terrains. L'acidification des océans à cause du sulfure d'hydrogène associé à la
glace ou sous-jacent à la glace, l'un entraînant l'autre. Le processus de
"décarboxylation" (dégazage), c'est comme un cachet effervescent, qui, à
température et pression ambiante dégaze en bulles une fois plongé dans l'eau,
mais les gisements en cause "truffent" littéralement, et sur une grande
épaisseur le plancher océanique, alors que le permafrost inondé ne concerne
qu'une couronne en marge des zones péri-arctiques et péri-antarctiques.
N'oublions pas le problème des fermentations des
vases des grands lacs, encombrés de matières organiques, à cause du
réchauffement de certains secteurs du monde, idem pour les tourbières, toundras,
forêts etc...alors que d'autres zones comme l'Europe pourraient se refroidir
légèrement à cause de l'éventuelle "panne" du Gulf-Stream et de son influence.
Les premières études (du GIEC) n'ont souvent pas
pris en compte la multitude des sources possibles de gaz des marais : vasières,
deltas de fleuves...Aussi la vitesse du réchauffement et un emballement
pourraient être beaucoup plus brutaux et rapides que le pire scénario. Mais quel
est le point à partir duquel un déséquilibre peut se produire et que
l'emballement ne puisse s'arrêter de lui-même. Les bancs de glace de méthane de
"taille continentale", sont susceptibles, lors d'un lâchage brutal de produire
un tremblement de terre ou un tsunami, car ils constituent par leur masse et
leur texture, avant et après dégazage, un mécanisme tectonique majeur que
personne ne semble avoir relevé.
Tous ces phénomènes sont, à mon avis, liés, et en
sont soit, la cause, soit la conséquence. Pour moi, c'est la menace numéro UN
aujourd'hui
Le chaud
En CEI
(ex URSS) comme chez nous, on a vite fait de dire que les feux sont le fait de
pyromanes...Mais en
vérité, ces feux qui éclatent partout spontanément en cas de canicule sont,
en France, le fait de fermentation de tas de feuilles un peu humides à
l'intérieur (de la même manière qu'un tas de fumier prend feu et est très
difficile à éteindre), parfois aussi de morceaux de verre ou bouteilles, mais le
plus souvent de l'électricité statique attisée par le vent et les éclairs même
sans orage (éclairs de chaleur), tout forestier sait cela.
Enfin,
l'abandon des zones non cultivées en hauteur, voire les alpages par les éleveurs
de chèvres et moutons, ainsi que les disparitions voulues du lapin de garenne
sont en France les vraies raisons de feux et non les prétendus pyromanes et
autres imprudents, même s'ils existent, bien sûr !
Des pays
baltes, jusqu'au Béring, en passant par l'infinie taïga (forêt), la tourbe est
partout et dans la partie nord, le permafrost est, avec cette canicule inédite,
en train de fondre, libérant du même coup du méthane semblable au gaz des marais
qui peut s'enflammer spontanément à l'air et bien sûr enflammer la tourbe
desséchée. Ainsi, c'est une chaîne pyrotechnique diabolique pouvant dans l'absolu
brûler la moitié de ce continent, hormis les marais, lacs et fleuves. Fleuves
qui recevront le produit de cette fonte du pergelisol, moins le
volume évaporé par l'exceptionnelle canicule. Quelles crues par la suite ?
C'est
grave, d'autant que, après la sécheresse aux USA et la mauvaise récolte,
notamment en blé, les champs de la CEI partent en fumée, ainsi bientôt que ceux
de l'Ukraine - grenier à blé du continent.
Un espoir ?
Gaïa, superbe machine vivante ! L'homme vil l'a
abreuvée d'outrages, de pourriture, qu'elle peut transformer en nectar ! Tout
est possible. Ainsi la théorie logique de l'emballement dû au méthane géologique
peut être contrariée par des mécanismes auxquels nous n'avons jamais pensé, les
plus évidents étant l'accroissement de la pousse de très nombreux végétaux et
algues, ainsi que de phytoplancton. Même si d'emblée, on pense au blanchissement
des coraux ou à la mort de certaines essences végétales, d'autres plus adaptés
peuvent à la fois remplacer ces "perdants" du réchauffement et accroître leur
croissance en stockant davantage de carbone comme par exemple certains conifères
dont la croissance a presque doublé en un siècle !
Nous ne connaissons donc pas la totalité des
mécanismes, y compris de sauvegarde, toute la "plomberie" de la planète terre et
il serait sans doute naïf de croire que "l'intelligence planétaire" n'ait pas
prévu qu'un "gugusse" comme l'homme puisse un jour "foutre le b..."dans tous ses
équilibres délicats.
Même si de réelles catastrophes devaient advenir,
mille fois pire que Katrina par exemple, cela ne signifie pas forcément la fin
du monde mais une "claque" à l'Homme, même s'il est vrai que ce ne seraient pas
les responsables qui paient la note, mais là, c'est une autre question.
Alors, il reste à espérer que Gaïa ait un système
de compensation autorégulateur (ce qui reste à prouver).
Tout le pire n'est donc pas certain, et il faut
redoubler d'efforts pour aider la Terre."
Mise à jour du 11/01/2011
http://www.journaldelenvironnement.net/article/des-bacteries-gloutonnes-de-methane,20993?token=ba39d7a62bebaf140afa9c3e22d7d16c&xtor=EPR-9
Des
bactéries gloutonnes de méthane
Le 07 janvier 2011 par Valéry Laramée de
Tannenberg
Ils n’en sont
toujours pas revenus. Tout au long de la marée noire provoquée par le naufrage
de la plate-forme DeepwaterHorizon , des océanographes américains n’ont cessé de
mesurer les volumes d’hydrocarbures relâchés par le puits accidenté.
Mettant leurs
forces en commun, les scientifiques des universités Texas A&M, de Californie et
du New Hampshire ont évalué que le méthane représentait 20 % du volume total
d’hydrocarbures relargués en mer, entre le 20 avril et le 15 juillet derniers.
Or, selon les
derniers relevés (datant de septembre), ces importants volumes de gaz naturel
ont disparu. La cause ? L’insatiable appétit de micro-organismes méthanotrophes.
Selon un article publié jeudi 6 janvier sur le site de
Science,
la dispersion du panache sous-marin de méthane a provoqué des blooms de
bactéries mangeuses de méthane qui ont digéré la totalité du CH 4
dilué dans l’eau de mer. Le méthane «a été complètement consommé par ces
bactéries début septembre, ce qui a été plus rapide que ce à quoi nous nous
attendions», explique David Valentine, l’un des principaux auteurs de ces
travaux.
Le professeur de
géochimie à l'université de Californie à Santa Barbara ajoute que d’autres
organismes ont également consommé une partie de l’huile, ainsi que la totalité
de l’éthane et du propane relâchés dans l’Atlantique.
Mal expliqué, ce
développement spontané de micro-mangeurs d’hydrocarbures est une aubaine. Pour
les dépollueurs, tout d’abord. Car sans leur aide inattendue, il est probable
que la marée noire aurait pu être beaucoup plus dévastatrice pour
l’environnement lacustre côtier. Pour les climatologues, ensuite. Le méthane est
un puissant gaz à effet de serre (son pouvoir de réchauffement global est 25
fois supérieur, sur un siècle, à celui du CO 2). Or le fond des
océans en recèle des volumes considérables, pour le moment séquestré sous forme
d’hydrates de gaz. Mélange de glace et de gaz, ces clathrates pourraient
relarguer le méthane dans l’atmosphère, en cas de réchauffement de la
température régnant à grande profondeur. Sauf si, entre le fond et la surface,
de petites bactéries digéraient à temps les molécules de gaz naturel.
Commentaire de Quanthomme : Mais ce n'est pas une raison si ces bactéries
boulottent le méthane pour laisser fuir toutes les marées noires possibles et
imaginables ! et ce n'est pas Bruno qui va nous contredire ! Nous souhaitons bon
appétit à ces petites bébêtes !
Voir ou revoir la page où l'on parle de
méthanisation
Mise à jour du 24/09/2011
Les mystères du méthane
demeurent
Le 23 août 2011 par Valéry Laramée de
Tannenberg
dans
http://www.journaldelenvironnement.net/article/les-mysteres-du-methane-demeurent,24639
On l’oublie trop
souvent, le méthane est un puissant gaz à effet de serre. Ce gaz que l’on
retrouve dans nos gazinières (il est le principal composant du gaz naturel),
dans les décharges d’ordures ménagères (sous forme de biogaz) est aussi le fruit
des activités agricoles (élevage et riziculture, notamment). Au total, nous
rappelle le Giec[1],
ce gaz, dont le pouvoir de réchauffement global est 25 fois supérieur à celui du
CO2, représente 14,3% des émissions mondiales de GES anthropiques.
Pas négligeable, donc.
Mais ce GES reste,
à bien des égards, encore très mystérieux. Pour preuve: la récente publication,
dans le même numéro de Nature, de deux études portant sur les
fluctuations inexpliquées des émissions de CH4.
Depuis la
révolution industrielle du XVIIIe siècle, la concentration dans
l’atmosphère de méthane a connu une vertigineuse ascension: +150%, contre moins
de 40% pour le CO2. Problème: depuis deux décennies, la croissance
des émissions tend à diminuer, voire à se stabiliser, pour des
raisons inconnues.
Deux équipes ont
tenté de résoudre le mystère. D’un côté,
Fuu
Ming Kai (centre de recherche du MIT à Singapour) et ses
collègues, de l’autre
Murat Aydin et ses confrères de l’université de Californie.
Les premiers se
sont intéressés aux émissions des rizières asiatiques, situées au nord de
l’Equateur. Ils considèrent que le remplacement progressif du lisier par des
engrais de synthèse, associé à un meilleur usage de l’eau, explique la moitié de
la baisse des émissions de méthane dans l’hémisphère nord.
Leurs confrères
californiens ont traqué le méthane d’une tout autre façon: en mesurant les
concentrations d’éthane dans les névés d’Arctique et d’Antarctique. Emis lors de
la combustion d’un hydrocarbure, cet alcane, proche du méthane, est facile à
quantifier. Pour ces deux raisons, il constitue un bon traceur du méthane. Pour
Murat Aydin, c’est l’accroissement de la consommation de gaz naturel, au
détriment du charbon, qui expliquerait le ralentissement du taux de croissance
des rejets de méthane.
Bref, changement
de combustible fossile ou de mode de culture du riz, le débat reste entier. Car
les climatologues ne semblent emballés par aucun des deux résultats. Pour Jérôme
Chappellaz, directeur de recherche au CNRS (laboratoire de glaciologie et
géophysique de l’environnement), les deux travaux présentent des biais. «Avec
seulement 40 stations de mesure du méthane dans le monde, notre connaissance des
émissions anthropiques de méthane reste très imparfaite. D’autre part, le modèle
qui a été utilisé pour évaluer les fluctuations d’émissions d’éthane est très
rudimentaire. Et les mesures d’éthane dans les névés donnent des résultats peu
fiables.»
Bref, dans un cas
comme dans l’autre, les résultats sont basés sur des données très imprécises.
Conclusion: pour connaître la(es) véritable(s) raison(s) des fluctuations
d’émissions de méthane, il faudra encore poursuivre les recherches.
[1] Giec : Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat
18/01/2012
Arctique :
des fontaines de méthane dans l’atmosphère
Le changement
climatique entraîne la libération d’immenses poches de gaz à effet de serre
jusque-là prisonnières des glaces, ce qui accélère encore le réchauffement de la
planète. C’est la terrible conclusion d’une étude menée dans l’océan Arctique et
publiée par le magazine Nature, alors que se prépare la
10e conférence internationale sur le
pergélisol (sous-sol gelé en
permanence),
qui se déroulera à Salekhard en Russie en juin. (02/01/2012)
Lire
http://www.terraeco.net/Arctique-des-fontaines-de-methane,41328.html
26/06/2014
http://www.journaldelenvironnement.net/article/l-atlantique-nord-regorge-de-methane,49301?xtor=EPR-9
"Près de 600 sources de méthane répertoriées au large
du NE des USA.
C’est une découverte très inquiétante que viennent de faire des
scientifiques américains. Les émissions sous-marines de méthane
seraient beaucoup plus importantes que ce que l’on imaginait
jusqu’alors.
Entre 2011 et 2013, des chercheurs de l’USGS, de l’université du
Mississipi et de l’université Brown, ont passé au peigne fin le
talus continental situé au large des côtes du nord-est des
états-Unis, sur un millier de kilomètres de long. Au total, près
de 100.000 km2 de fonds marins ont ainsi été auscultés par les
caméras d’un robot sous-marin et les sonars et appareils de
mesure du navire océanographique Okeanos Explorer.
Conclusion: près de 600 sources de méthane ont été recensées, à
des profondeurs comprises entre 180 et 600 mètres. Ces rejets
sont probablement la conséquence de la fonte d’hydrates de gaz,
piégés dans le fond marin. Si ces premiers résultats —publiés
par Adam Skarke (université du Mississipi) dans
Nature Geoscience— se confirmaient, ils pourraient renforcer
les prévisions climatiques les plus pessimistes. De précédentes
explorations, menées dans la même région, n’avaient révélé que
trois rejets naturels de méthane. En extrapolant à l’échelle du
globe ses données préliminaires, l’équipe d’Adam Skarke estime
que 30.000 sources sous-marines de méthane pourraient exister
dans les océans.
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