ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller

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Les Nouvelles de Quant'Homme - Page créée le 30/06/2006

 

Le générateur du Pr Kanarev

 

Le Pr Kanarev

Un scientifique Russe donne plus de détails sur le procédé de production d'hydrogène à la demande. En s'inspirant de l'efficacité de la photosynthèse, il a eu le sentiment que l'électrolyse classique, était tout simplement dans l'erreur. Le Pr Kanarev publie sur le web des articles techniques. On trouve plus d'informations sur le site   PESwiki   (par Greg Watson et Sterling Allan)

Pourquoi le Pr Kanarev n'est pas encore riche ? Se pourrait-il que le Pétrole contrôle même l'économie de la Russie ?
 

Le générateur du Pr Kanarev

http://guns.connect.fi/innoplaza/energy/story/Kanarev/energygenerators/index.html
http://peswiki.com/index.php/Directory:Kanarev_Electrolysis

http://video.google.com/videoplay?docid=-2125666471710220733

Le commentaire est en russe, mais on peut y trouver ce trait de ressemblance avec la Joe Cell : l'appareil de Kanarev continue de fonctionner un certain temps après avoir été débranché.

Voir aussi :

http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Nouvelles12102001.htm
http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Nouvelles26062001.htm
http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Nouvelles01092001.htm
http://quanthomme.free.fr/energielibre/fusion/liensff.html

 

Autour de l'histoire de la Joe-Cell 

3 Joe Cells

 Entre les difficultés à reproduire l'expérimentation et des utilisations de vocabulaire métaphysique comme par exemple "énergie de l'orgone", il y a toujours une atmosphère de controverse autour de la Joe Cell. C'était seulement une curiosité jusqu'à ce qu'un homme Bill Williams se voit menacé par deux hommes armés. http://peswiki.com/index.php/OS:Bill_Williams'_Joe_Cell

D'un seul coup il semble donc que ce soit une forme d'électrolyse légèrement plus efficace (Ndt : voir le texte ci-après de M Hamish Robertson qui dit, lui, que c'est une erreur de parler d'électrolyse pour une Joe Cell)

Sterling Allan a fait à ce jour (24 avril 2006) une bonne compilation de l'information disponible sur la Joe Cell. Beaucoup de lecture sur son site FreeEnergyNews

 Peter Stevens viendra d'Australie pour donner une conférence et faire une démonstration de son travail sur une Joe Cell au séminaire du 30 juillet 2006 à Salt Lake City http://pureenergysystems.com/academy/JoeCell2006/

Un atelier de 5 heures est prévu : comment construire une Joe Cell, comment l'installer sur la voiture et comment faire fonctionner sa voiture avec une Joe Cell une fois l'alimentation en carburant du véhicule débranchée (enfin, on espère !)

 

Comment Hamish Robertson voit la Joe Cell

Traduction de la page  http://www.thejoecell.com  du site de Hamish Robertson .

Page publiée avec l'aimable autorisation de son auteur que Quanthomme remercie vivement !

Des moteurs à charge d'espace *  

et le futur de l'énergie. 

Hamish Robertson, Technology  Researcher, © All rights reserved, April 19 2006

L’excès d’électrons ou d‘ions dans un volume donné

Source: The American Heritage® Dictionary of the English Language

Bienvenue dans le site « Joe Cell ». Vous y  trouverez  des informations relatives à la Technologie des moteurs à charge d’espace, une science dont le potentiel peut révolutionner le monde dans lequel nous vivons en éliminant le besoin de consommer des combustibles fossiles.

Cette technologie propre, peut alimenter votre voiture, votre logement et tout ce qui a besoin d’énergie. De plus, elle peut sauver des millions de vie chaque année en fournissant un moyen de produire de grandes quantités d’eau douce pure. Et ce qui est complètement fou, c’est qu’elle est gratuite.

Prenez le temps de lire l‘histoire de la Joe Cell et voyez la section des liens en référence (ces liens sont sur le site de Hamish Robertson) pour mieux comprendre les concepts présentés.

Qu’est ce qu’une Joe Cell

Pour quelqu’un qui n’est pas averti, la Joe Cell parait défier toutes les lois scientifiques. Elle paraît produire de grandes quantités d’énergie à partir de rien. Quand on utilise un moteur classique à combustion interne, l’appareil produit jusqu’à 50 % de plus d’énergie qu’il serait possible d’en produire en utilisant de l’essence comme carburant. Elle fonctionne avec un timing différent d’un moteur essence et celui-ci est plus froid. Certaines personnes, disons plus spiritualistes, ont affirmé que la Joe Cell maîtrise un sorte d’énergie « de vie » magique. D’autres croient qu’elle tire de l’énergie directement de ce qui édifie vraiment l’Univers – l’éther.

Où est la vérité ? Eh ! bien la vérité est encore plus excitante !

En général, une Joe Cell est fabriquée avec une série de cylindres en acier inox disposés de façon concentrique, et scellés en bas et en haut. En général on connecte une batterie de 12 v à l’appareil avec 2 fils. Le positif est connecté au cylindre extérieur, le plus gros, et le négatif à celui de l’intérieur, le plus petit. L’appareil est rempli d’eau pure. On y laisse passer pendant un temps de chargement initial du courant continu de l’ordre de 1 ampère seulement. Généralement, l’appareil est relié au carburateur du véhicule par un tube en aluminium avec seulement un bout de tuyau en caoutchouc qui relie les deux.

Un des aspects les plus curieux de la Joe Cell, c’est que c’est un système fermé. Il n’y a pas de gaz qui puissent passer réellement de l’appareil dans le carburateur. Elle paraît alimenter le moteur de façon presque télépathique. Et c’est ce fait à lui seul qui a donné à la Joe Cell une qualité magique, qui vous donnerait presque le frisson.

 

 

 Qu’est ce qu’un générateur électrostatique ?

Les générateurs électrostatiques développent des charges électrostatiques de signes opposés délivrés à des conducteurs séparés.

Ces appareils peuvent donner de hauts voltages en sortie avec des courants relativement faibles et il y en a eu pendant longtemps.

 La connaissance de l’électricité statique remonte aux toutes premières civilisations, mais pendant un millénaire c’est resté simplement un phénomène intéressant et curieux. C’est Otto von Guericke qui a construit une forme primitive de machine électrostatique et cela remonte à 1663. A la fin du XVIII ème siècle, Benjamin Franklin,  Ewald Jürgen Georg von Kleist, et Pieter van Musschenbroek (ces deux derniers étant les inventeurs de la bouteille de Leyde)  ont fait plusieurs découvertes importantes au sujet des machines électrostatiques.

Benjamin Franklin a utilisé le champ magnétique terrestre et l’électricité atmosphérique dans ses appareils. En 1929, le générateur de Van de Graff a été développé au MIT. Cette machine avait un ruban de soie comme courroie de transport de charge. Vers 1931 une version capable de produire 1 000 000 de volts a été décrite dans un brevet. En 1934, Nikola Tesla a écrit dans un article de Scientific American, au sujet du générateur de Van de Graff : «  Les possibilités des générateurs électro-statiques » . Il déclarait : «  Je pense que lorsque de nouveaux types de générateurs de van de Graff seront développés et suffisamment améliorés, un grand avenir leur sera assuré. »

Entre 1858 et 1867, Lord Kelvin a aussi mis au point un générateur électrostatique à goutte d’eau, dénommé « Condensateur à goutte d’eau » . Parfois il y est fait référence sous le nom de « orage de Kelvin ». L’appareil utilise des gouttes d’eau qui tombent pour produire des différences de voltage en se servant de l’induction électrostatique se produisant entre des systèmes connectés entre eux et chargés de manière opposée. De l’eau descend du haut de l’appareil. Il y a l’eau à légère charge positive, attirée vers l’anneau négatif, et l’eau à charge légèrement négative attirée vers l’anneau positif. L’eau chargée passe dans l’anneau et va dans un récipient. L’eau qui circule dans l’anneau négatif devient H3O+ et l’eau passant dans l’anneau positif devient OH-. Les charges qui se constituent alors dans l’anneau connecté au récipient  lui sont opposées- ce qui attire même davantage de charge. Le résultat en est une boucle de retour positif. Quand la charge atteint par la suite un certain seuil une étincelle se produit sur l’espace entre les anneaux.

 

  

On sait que les systèmes à chute d’eau de Lord Kelvin faisaient une charge de 20.000 volts avec seulement 100 gouttes d’eau passant de chaque côté et ce, en moins de 6 secondes.
Et cela sans aucune source d’énergie extérieure, en utilisant simplement l’énergie de gouttes d’eau qui tombent. Comme vous le voyez, on peut faire des générateurs électrostatiques très puissants.
Et maintenant, imaginez un générateur électrostatique qui ne peut pas se décharger, et vous obtenez alors votre propre Joe Cell.
La Joe Cell est parfaitement un générateur électrostatique, en transformant le moteur en une sorte de bobine Tesla géante – avec la charge d’espace limitée à la zone située entre les cylindres.

 

Comment est-ce possible ?
 

On sait que certains types spécifiques de production de bulles sont associés avec des cellules efficaces.

En soi, c’est un indice valable quant à la cause de l’énergie. Il est tout à fait probable que la Joe Cell utilise un principe connu comme étant la Cavitation Electrodynamique Quantique (QED).

Cependant, avant de parler de la cavitation QED, examinons-en l’histoire.

En 1840 un dénommé Lord Armstrong (voir encadré en fin de texte) observait que, lorsque de la vapeur s’échappait des chaudières, elle produisait une charge électrique. On appelait ça l’électricité de vapeur. A cette époque, Faraday a mené des recherches poussées sur ce phénomène.

Il en a été ainsi pendant environ 120 ans, puis, en 1969, l’intérêt pour l’électricité de la vapeur a été ravivé en raison des explosions dues aux vapeurs qui s’enflammaient pendant le nettoyage avec des jets de vapeur des tankers pétroliers. On suppose que ce qui explique l’électricité de la vapeur, ce sont les bulles à noyaux (nucleated)  dans l’ébullition des gouttelettes d’eau qui se comportent comme des cavités résonantes QED.

Pendant la croissance de la bulle, au moment où la résonance de la cavité qu’est la bulle coïncide avec les fréquences de l’ultraviolet du vide, les molécules d’eau se trouvant sur les parois de la bulle se dissocient par l’effet de cavité QED en ions hydronium H3O+ et en hydroxyl OH- .

Les ions hydronium disponibles sont repoussés de la surface de la bulle chargée positivement et tendent à aller vers le centre de la bulle en formant une vapeur chargée positivement ; alors que les ions hydroxyl disponibles sont attirés vers la surface de la bulle.

L’éclatement des bulles à la surface de la gouttelette produit une vapeur de charge positive et des gouttelettes d’eau chargées négativement. A l’époque, les scientifiques  calculaient que les éclatements se produisaient seulement quand on utilisait de l’eau pure dans les jets de vapeur.

En ajoutant un peu d’huile d’olive dans l’eau, ils en altéraient le PH et la vapeur ne pouvait plus du tout porter de charge, ainsi il ne se produisait plus d’explosions.

En théorie, si c’est suffisamment bon pour faire sauter des bateaux, ça devrait être assez bon pour faire fonctionner un moteur.

L’électrification de la vapeur causée par la séparation des ions hydronium et hydroxyl dans les bulles s’observe couramment dans l’électricité atmosphérique, l’électrification des nuages d’orage, l’électricité des chutes d’eau et le phénomène de Leidenfrost.

Quand deux charges opposées se constituent dans une Joe Cell, H3O+ est produit à la cathode et OH- à l’anode. Coïncidence ? Probablement pas.

Quand l’H3O et l’OH- sont attirés dans le moteur, il y a alors une très forte charge d’espace. Ajoutez un courant d’électrons provenant de la bougie et vous obtenez une explosion induite électriquement. Le même type d’explosion qui faisait sauter les bateaux en 1969.

Cependant il peut être difficile pour certains de comprendre que, réellement, Joe et Peter   avaient découvert une manière d’alimenter une voiture sur ...un éclair – exactement la même force énergétique puissante dont la nature fait montre pendant un orage. La Joe Cell ne défie pas du tout  les lois de la physique. Simplement, elle les maîtrise avec une grande efficacité.

 

Avec la cavitation QED, on a affaire au comportement d’atomes excités se trouvant à l’intérieur d’un espace métallique/diélectrique. La cavitation QED a toujours été considérée comme un problème pour de nombreuses industries. En plus d’être responsable de l’explosion de bateaux, elle a également été liée au fait que des pipelines de gaz explosaient et à la destruction rapide des propulseurs des bateaux. Cependant, récemment, il en a été fait bon usage dans un certain nombre d’applications, la plus significative étant celle des appareils de purification d’eau – les systèmes de purification basés sur la cavitation  sont efficaces pour enlever de l’eau une large gamme d’impuretés organiques et inorganiques.

La cavitation QED peut produire un bruit grave, causé par les bulles qui s’effondrent plus vite que la vitesse du son. En général, parler de cavitation, c’est parler d’implosion au niveau microscopique. De fait il y a un certain nombre de formes variées de cavitation. Certaines peuvent réellement produire de la lumière, c’est ce que l’on connaît en tant que sonoluminescence. (pour en savoir un peu plus inscrire ce mot-clé dans notre moteur de recherche interne)

Dans le cas de la Joe Cell il est probable que l’état initial requis pour produire l’énergie est induit par une sorte très spécifique de champ électromagnétique statique. Champ très difficile à reproduire.

De telles manifestations (événements) peuvent créer des plasmas très chauds.

Le terme de plasma fait référence à un système de particules chargées suffisamment grandes pour se comporter comme une seule. Un plasma peut se former par haute température ou par l’application d’un champ électrique tel celui qui est fourni par la bobine et les bougies du moteur. Même un gaz partiellement ionisé dans lequel un pourcentage aussi faible que 1 % des particules est ionisé, peut former les caractéristiques d’un plasma. **

Cette boule d’énergie électrique chaude surchauffe l’air dans le cylindre. Il peut même se faire que le plasma soit dissocié en hydrogène et oxygène dans le processus précédent sa combustion en tant que carburant. L’air surchauffé se dilate rapidement en entraînant le piston vers le bas. Ensuite, quand il n’y a plus d’énergie électrique disponible venant de l’étincelle, la colonne de plasma s’effondre sur elle-même et l’air est re-compressé. L’implosion tire le piston vers le haut sous vide. Ce faisant, le temps d’implosion aide aussi le moteur à se refroidir un peu. Le résultat de ce processus, c’est une grande quantité d’énergie produite avec moins de chaleur que dans un moteur classique. Tout le processus se déroule bien plus rapidement qu’il ne serait possible de le faire en brûlant du carburant fossile dans le cylindre et avec plus de puissance, et ce, de manière significative.
 
Une des conceptions populaires erronée au sujet des Joe Cells a toujours été reliée au concept d’implosion. Un tas de gens semblent croire que les gaz n’implosent pas, par conséquent ce qui se passe dans une Joe Cell doit provenir d’une sorte d’énergie mystérieuse bien que non identifiée encore. La réalité, c’est que des plasmas contrairement aux gaz purs, peuvent imploser et implosent vraiment. Ils peuvent imploser parce que strictement parlant, ce ne sont pas des gaz. On fait souvent référence aux plasmas en tant que quatrième état de la matière parce qu’ils n’ont pas toujours le comportement des gaz, même s’il y a des ressemblances.
*** Les plasmas implosent tout le temps dans la nature et les physiciens les créent régulièrement dans leurs labos. Si vous faites une recherche avec google en indiquant « plasma implosion » vous obtiendrez des centaines de milliers de références à ce phénomène. Une grande partie de cette recherche est relative au phénomène de « Fusion froide »
 

Quelques observations sur cette technologie

A

Tout comme une batterie, chaque Joe Cell contiendra un nombre limité d’électrons. Quand la Joe Cell approche de ce maximum, il peut se produire probablement deux choses. Soit la performance du véhicule diminuera progressivement soit la charge deviendra si forte qu’une étincelle traversera l’intervalle et court-circuitera la cellule. Ceci signifie que les cellules doivent être déchargées régulièrement. En fin de compte, la manière la plus efficace de faire rouler un véhicule avec la technologie de Joe Cell, peut être d’avoir 2 cellules ou plus toutes prêtes même si c’est superflu.

Qui sait, dans le futur, nous pourrons avoir des appareils de mesure et de commutation qui automatiseraient le processus de décharge et ferait la commutation entre les cellules. Il va sans dire que si vous installez deux cellules, vous devriez toujours vous assurer qu’il y en a  au moins une de chargée. Il serait judicieux de les monter sur les côtés opposés du   compartiment  moteur, pour réduire l’interférence de leurs champs magnétiques respectifs

B

Pour que la cellule fonctionne correctement, l’eau doit être complètement polaire : H2O, de l’eau pure, absolument. La présence de minéraux comme le sodium, le potassium, le magnésium ou la silice réduira la capacité de l’eau à séparer les charges opposées. Il a été dit beaucoup  de choses sur les sortes d’eau qui peuvent être utilisées dans une Joe Cell. J’ai la ferme conviction qu’il faut que l’eau soit pure, sans polluants, ni traces d’éléments, y compris d’électrolytes. La meilleure façon de produire cette eau est de monter votre propre distillerie en verre pour enlever les impuretés. Certains expérimentateurs ont fait ce qu’ils ont appelé des cellules de pré-chargement dont ils se servent pour préparer leur eau avant de la mettre dans la cellule. La seule différence entre une cellule de pré chargement et une distillerie, c’est qu’avec la cellule de pré chargement il vous faudra enlever à la main, les impuretés à la surface de l’eau. Il faut laisser refroidir complètement l’eau distillée avant de l’utiliser dans une Joe Cell.    

C

Comme la Joe Cell crée au sol un état  ressemblant à un nuage d'orage, il est logique de penser qu’elle peut influencer les conditions climatiques. Cela suggère également que les changements de temps peuvent affecter la performance d’un véhicule alimenté par une Joe cell. S’il y a naturellement un nombre élevé  de particules à charge négative déjà présentes dans l’atmosphère, il se peut que la cellule ne puisse pas fonctionner correctement, ce qui a pour résultat une chute de compression et une perte de puissance  du moteur

D

Dans ses toutes premières expérimentations, la Joe Cell version 2 fonctionnait avec des plaques d’acier inox comme anode et cathode. La cellule ne fonctionnait pas vraiment bien. Ce qui veut dire que la conception en cylindres concentriques est probablement plus efficace parce que les anneaux neutres créent une séparation physique des deux charges à l’intérieur de la cellule. Si c’est le cas, on peut apporter à la conception de la  cellule des améliorations avec des innovations qui aideraient à garder une séparation concrète de charge.

E

Le choix des pièces séparant les tubes de la cellule est d’une importance capitale pour ses performances. Il existe de nombreuses substances qui isolent une charge électrique, mais il y en a très peu qui ne portent pas de charge statique. Le nylon par exemple. Il isolera mais il est très bon pour porter une charge statique. Le meilleur des matériaux pour les écarteurs sera complètement inerte, non conducteur et anti statique.

F

La Joe Cell peut emmagasiner une charge même quand elle est déconnectée du circuit qui la charge, mais pas longtemps. Cependant il est plus probable qu’elle garde une charge quand une petite batterie est reliée en permanence à la cathode négative seule. C’est ce qui permettra à l’eau de garder sa polarisation, et empêchera à la cellule de s’auto court-circuiter.

G

Les électrons peuvent circuler facilement. Quand une charge se fait dans la cellule, une étincelle tentera de franchir l’espace provenant du moteur et de court-circuiter la cellule. C’est pour cela qu’il faut se servir d’un tuyau en caoutchouc pour séparer le carburateur de la cellule. Il doit avoir au minimum 13 cm de longueur, mais on peut le faire plus long.

H

Pour la conception des Joe Cells il faut de l’acier inox Austenitic. ****Ces aciers Austenitiques ne sont pas magnétiques. Même un faible magnétisme affecte la capacité de la cellule à tenir la charge. Quand on ajoute une quantité suffisante de nickel à l’acier inox, la structure cristalline change elle est alors « austenitique ». La composition de base d’aciers inox austenitiques comprend 18 % de chrome et 8 % de nickel. C’est ce qui améliore leur résistance à la corrosion et modifie leur structure : de ferritique ils deviennent austenitique. Les catégories austenitiques sont celles des aciers inox les plus utilisées habituellement dans plus de 70 % de la production (le type 304 étant de loin la qualité la  plus indiquée habituellement). On ne peut les durcir par traitement à la chaleur. Les qualités super austenitique ont amélioré la résistance à la corrosion - piquage et crevasses - comparé aux qualités austenitiques ordinaires ou aux types duplex. C’est du à des additions ultérieurs de chrome, de molybdène et d’azote dans ces qualités. Les aciers inox qui ont un L indiquant leur qualité à la fin de leur nom ne contiennent que peu de carbone. Ce sont les qualités à préférer, c'est-à-dire 316L. La qualité 904 L  est un super austenitique contenant moins de 50 % de fer. Elle possède en général environ 23 % de chrome, 23 % de nickel et 4 à 5 % de Molybdène. Elle est faite pour des usages dans des environnements très corrosifs et c’est le moins magnétique de tous les aciers inox.

Le 904L est probablement le choix d’inox le plus efficace pour fabriquer une Joe Cell. C’est cependant le plus cher. Une production en masse ferait par la suite baisser le coût de manière significative. Le choix de tubes sans soudures est également préférable car les soudures peuvent induire du magnétisme. Il y a aussi une autre qualité d’acier inox appelé 6% Molybdène. Elle ressemble beaucoup au 904L, mais comme son nom l’indique, le % plus élevé de Molybdène le rend moins corrosif.

I

Utiliser des bougies, un distributeur et une bobine à haute performance peut améliorer de manière significative le fonctionnement d’un moteur équipé d’une Joe Cell.

J

L’état de charge à l’intérieur des cellules peut être affecté par une interférence électromagnétique provenant d’autres appareils électriques et sources d’énergie. On peut réduire cette interférence en utilisant du matériau isolant pour empêcher le court-circuit. Il est recommander d’envelopper la cellule dans de la toile d’emballage  (Hessian) et de la mettre dans un seau en plastique maintenu en place avec des morceaux de bois

K

Il est très facile de court-circuiter les Joe Cells, particulièrement en les touchant. C’est probablement la principale raison qui fait que les expérimentateurs n’arrivent pas à les faire fonctionner. Chaque fois qu’on les touche, on agit comme une terre et on court-circuite la cellule. Une fois qu’une cellule est installée sur un véhicule, et qu’elle est chargée, on ne devrait plus la toucher. Et spécialement si une autre partie du corps touche un autre endroit du véhicule ou le sol. Prenez des gants de caoutchouc pour empêcher toute décharge accidentelle.

L

Tout mouvement ou vibration dans la cellule augmentera les risques de court-circuit. C’est probablement une autre des principales raisons qui font que les cellules meurent quand on ne s’y attend pas.

 

Idées fausses sur les Joe Cells

Il y a beaucoup d’idées fausses au sujet de la Joe Cell et de ses principes de fonctionnement. La plus évidente est celle disant que la cellule est un électrolyseur et qu’elle produit en tant que carburant de l’hydrogène et de l’oxygène (du gaz électrolytique).

C’est totalement faux. En fait il ne devrait pas y avoir de courant circulant dans la cellule, sauf pendant le processus initial de chargement. Un processus qui prend seulement 3 minutes. Le gaz électrolytique n’a rien à voir avec l’énergie crée par la Joe Cell

Et au sujet d’autres théories ?

Je les ai toutes considérées et le rasoir de Okham vaut d’être mentionné. Dans le développement d’idées scientifiques ce principe à suivre insiste sur le fait qu’il est préférable d’avoir l’explication la plus simple pour s’accorder aux faits. Et tous les faits mettent l’accent sur l’explication statique comme étant la plus probable. Cependant il y a d’autres théories avec lesquelles on peut prendre la peine de se divertir.

En premier, je parle de la plus improbable.

Se pourrait-il que ce soit une sorte d’énergie de force de vie ?

Vraisemblablement, non. Il n’y a guère que de petits faits pour soutenir cette idée. En vérité ce ne sont pas des faits. Mais vous pouvez en examiner certains si cette voie vous plaît.

Une des raisons pour laquelle la technologie de Joe Cell a fait une aussi lente progression ces dix  dernières  années, c’est parce que des gens qui n’avaient pas de réelle connaissance des processus sous-jacents ont inventé des réponses non scientifiques pour tenter de décrire quelque chose qu’ils ne comprenaient pas. C’est un processus qui n’est pas très différent de ceux des civilisations primitives qui inventaient un nouveau dieu chaque fois qu’ils voyaient quelque chose de naturel qu’ils ne pouvaient pas expliquer. On voyait les sécheresses comme l’œuvre du Dieu Soleil. Les inondations étaient l’oeuvre du dieu de l’eau. Les sociétés créaient des réponses qui fonctionnaient à l’intérieur de leur cadre de compréhension, mais n’avaient pas de base sur des faits réels. Et c’est exactement ce qui s’est passé avec la Joe Cell. Parce qu’elle paraît magique, les gens pensent qu’elle DOIT être magique. C’est ainsi qu’ils l’ont élevée de l’état naturel à spirituel. Il est très improbable que la Joe Cell maîtrise une quelconque sorte d’énergie de force de vie.

Et au sujet de l’énergie de l’éther ?

J’ai considéré cette possibilité : que la décharge dans le cylindre puisse être un sorte de courant de déplacement. Pour plus d’information, voir les théories de Maxwell sur le courant de déplacement et l’éther. Ses théories sur l’existence de l’éther ont une valeur mathématique, même si l’existence de l’éther n’a jamais été prouvée directement. On ne peut pas ignorer les ressemblances entre la Joe Cell et la Fusion froide. Si une énergie, qui ne peut pas être expliquée mathématiquement, est produite par la Joe Cell, alors, cette énergie doit probablement être aussi la même que celle observée dans les expériences de Fusion froide et les plasmas des éclairs comme étant un résultat de la Cavitation QED. Un grand nombre de scientifiques ont proposé qu’une densité élevée d’énergie d’implosion peut capter l’Energie du Point zéro. Mais arrivé à ce point, cela nécessite toujours une charge d’espace initiale, ainsi aucune théorie d’éther ou de ZPE ne devient vraiment une extension de notre première théorie statique. On ne peut pas  ne pas complètement tenir compte de cette possibilité. 

Le mot de la fin

La Joe Cell est un appareil qui manipule l’équilibre naturel entre les protons et les électrons. En créant un déséquilibre de charge à l’intérieur du cylindre, elle peut produire un plasma puissant qui, en retour, crée de la chaleur et une compression/implosion. La technologie des moteurs à charge d’espace est réelle et fonctionne. Comme n’importe quelle technologie qui en est à ses débuts, elle a ses problèmes. Les Joe Cells sont difficiles à fabriquer correctement et sont difficiles à rendre fiable. Mais comme nous nous concentrons de plus en plus sur la science, ces problèmes seront rapidement surmontés. La technologie du moteur à charge d’espace est simplement la plus importante découverte des cent dernières années. C’est important car c’est la seule chose qui peut nous sauver maintenant d’une catastrophe environnementale totale.

Avec l’accès à une énergie abondante, peu coûteuse et propre, le monde sera transformé. Les océans pourront être convertis en eau douce (sic) * * * * * , les déserts transformés en forêts. Nous entrerons dans une période de prospérité globale ne ressemblant à rien de ce que nous avons connu auparavant.

La technologie du moteur à charge d’espace, c’est notre futur.
 

Notes * A défaut d'une autre expression plus appropriée, nous restons près du texte d'origine.
**
Ce pourcentage si faible est très certainement obtenu dans la plupart des montages de systèmes Pantone
***
C'est ce que Jean a exprimé dans la page "Système G: système simple réactions complexes"
****
  Aciers spéciaux dont le nom vient de l'ingénieur Sir W.C. Robert Austen décédé en 1902
*****  
M. Robertson veut sans doute dire que l'eau des océans  pourra être plus facilement dessalée

http://www.thejoecell.com/
http://www.thejoecell.com/History.html
http://www.thejoecell.com/files/Self_inducng_plasma_generator_-_Geet_fuel_processor.doc
http://www.thejoecell.com/References.html

 

 

 

 

Autres documents sur la Joe Cell : galerie photos - livre...

 

Ken Rasmussen

Encore des menaces sur les chercheurs : on ne tient pas à alimenter un état de paranoïa mais tout de même, ces récentes agressions répétées, font se poser des questions.

 "Si le mouvement perpétuel et la sur unité sont impossibles, pourquoi donc quiconque essaie d’avancer la preuve de leur faisabilité voit sa vie menacée ou même est éliminé ?" dit Ken Rasmussen.

http://www.commutefaster.com/Energy.html

Depuis cette agression armée, le chercheur menacé (un collègue de Ken Rasmussen) a arrêté son travail . Et c’est toujours le même genre de récit, « on » demande au chercheur de tout arrêter, de ne rien dire aux autorités, sinon, tel ou tel membre de la famille en subira les conséquences, et à chaque fois, les précisions sur la personne visées sont nombreuses.

Après Bill William, (voir notre nouvelle du 11 mai 2006) c’est un technicien de l’équipe de Ken Rasmussen qui vient d’être menacé par des types du genre MIB. C’était le 16 mai 2006 dans le Comté de Ventura en Californie. Le jour précédent, Rasmussen avait établi le contact avec un financeur potentiel qui cherchait à le joindre depuis novembre 2005. Ce n’était qu’une question de détails pour fixer la date de la prochaine démonstration

 L’équipe de Rasmussen travaille sur un procédé d’électrolyse super efficace ressemblant à celui que développe le Professeur Kanarev. Comme lui, il utilise un signal pulsé et obtient les mêmes performances. Le Pr Kanarev a de nombreux brevets. Une semaine auparavant, Rasmussen avait entendu parler de ce que fait Kanarev en Russie.

Malgré l’interdiction de parler de ces menaces,  Rasmussen tient à rompre le silence pour prévenir d’autres chercheurs, cette alerte rouge restera sur son site jusqu’à ce que les coupables soient appréhendés.  Il a pris des mesures pour protéger les personnes visées tout en sachant bien qu’en parlant de tout ça, il risque de passer pour un paranoïaque. Toutefois, il pense que ses investisseurs n’ont rien à voir avec ces menaces, mais que les gens derrière ces menaces  doivent réussir à capter des conversations téléphoniques

Si toutefois, un drame se produisait, menaces mises à exécution, Rasmussen a déclaré que tous les plans concernant sa technologie seraient publiés via Internet.

Note de Quanthomme (et de bien d'autres parmi ses lecteurs) :

N’est-ce pas là que se trouve la meilleure manière de se protéger ? une diffusion massive via Internet donne plus de garanties que les démarches commerciales que l’on est obligé de mener dans la discrétion ce qui est normal…

http://pesn.com/2006/06/02/9500276_Water_fuel_experimenter_threatened
http://peswiki.com/index.php/Congress:Member:Ken_Rasmussen

http://www.stevequayle.com/dead_scientists/UpdatedDeadScientists.html : 75 microbiologistes décédés dans des circonstances curieuses
http://peswiki.com/index.php/Directory:Suppression : la censure de l’énergie alternative,n’est pas nouvelle

 

"The Telekinetic Heater" de Peter Daysh Davey

 

Voir notre page d'expérimentations sur le système Davey

extrait du site http://jan-pajak.com/index.htm ce site qui ne répond plus, mais des documents sont visibles sur les sites suivants

http://www.totalizm.pl/boiler.htm

http://tornado.zxq.net/boiler.htm

http://www.rexresearch.com/davey/davey.htm

Certaines parties du site de Jan Pajak ont été passées à la "moulinette" d'un traducteur automatique : cela peut aider, mais aussi induire en erreur ;-(

Cet appareil a déjà été fabriqué, son fonctionnement, vérifié. On estime que son efficacité énergétique atteint les 2000 % .

S'il est correctement construit sa consommation d'électricité n'est que de 5% de l'énergie totale produite sous forme de chaleur. L'inventeur de cet appareil est Peter Daysh DAVEY de Christchurch (Nouvelle-Zélande).

La conception est extrêmement simple : deux parties seulement le composent comme illustré dans ce schéma

 

 

La plus importante partie est un bol à résonance hémisphérique fait d'une plaque de métal induisant le son.(1)

La seconde est un bol hémisphérique amortisseur pratiquement de la même forme que le premier. (2) Ce second bol a un rayon plus long de 4mm que celui du bol résonant et est placé à l'extérieur du premier.

L'appareil comprend aussi un long tuyau, (8) boulons (5) et rondelles nécessaires pour maintenir ensemble les pièces, dont celle (4)  permettant de régler l'écartement L entre les deux bols, des fils électriques (6 et 7) qui fournissent l'électricité aux deux bols et permettent que le radiateur soit plongé dans l'eau quand il chauffe. Mais ces autres pièces sont seulement marginales, ce sont les deux bols qui sont les plus importants..

Lors de l'expérimentation de ce radiateur, le bol hémisphérique résonant (1) est en général fait à partir d'un vieux couvercle de sonnette de vélo. Les dimensions de ce bol ne sont pas importantes. Il faut seulement que la résonance sonore soit sur une fréquence de 50 hertz et que sa surface externe soit bien à égale distance partout du bol extérieur amortisseur (2). A chaque bol est fixé un fil d'alimentation électrique (du type utilisé pour les maisons( 220 V, 50 Hz). Il faut immerger le radiateur dans l'eau qu'il va chauffer, et elle arrive à ébullition très vite. (Plus de détails dans des sections spéciales indiquées par Jan Pajak)

Une fois construit ce radiateur télékinétique de M. Davey peut être accordé de deux manières :

- la première  dépend du fait qu'on fournit au bol (1) une fréquence telle que celle de sa propre vibration, ce qui fait que ce bol résonnera quand on émettra un son de 50 hertz à proximité.

l- a seconde vient du choix de la distance "L" entre les deux bols, c'est de cette distance que dépendra la formation d'ondes stationnaires entre les deux bols, et que se déterminera l'efficacité énergétique du radiateur.

Le principe de fonctionnement de ce radiateur ressemble à celui de la batterie télékinétique citée auparavant (voir dans la page du site de Jan Pajak indiquée en lien). A savoir : l'effet télékinétique est libéré dedans grâce à l'accélération et à la décélération du champ magnétique. Le champ magnétique accéléré est celui qui est produit par le courant électrique qui circule dans l'eau entre les deux bols. En retour l'accélération de ce champ est faite par les vibrations sonores du bol interne. La nécessaire asymétrie des vibrations du champ qui est exigée pour produire l'effet télékinétique, (et qui est causée, dans la batterie télékinétique par des aimants permanents placés à l'intérieur des bobines)  est fournie, dans le radiateur, par la courbure des deux bols. Ainsi, le bol intérieur dans ce radiateur fait le même travail que l'inducteur dans la cellule télékinétique.

L'efficacité énergétique de ce radiateur

Elle est annoncée comme importante, bien plus d'énergie produite que celle mise à l'entrée. Jan Pajak dit qu'en partant des informations données par l'inventeur, il a récupéré des mesures faites par des scientifiques Néo-Zélandais et que le radiateur consommerait moins de 5 % de l'énergie produite.

On pourrait donc, avec un tel appareil faire tourner tout moteur à vapeur.

Plusieurs institutions scientifiques de nouvelle-Zélande ont de la peine à expliquer cette sur unité qui contredit toutes les lois de la thermodynamique. Le DSIR a eu l'idée que ce radiateur, au lieu de consommer de l'électricité consommerait ce que l'on nomme "cosinus phi", c'est à dire la quantité abstraite que représente un glissement de phase entre les impulsions du voltage et celles de l'ampérage dans le courant alternatif. Ce paramètre particulier n'est pas mesurable avec les instruments classiques. Toutefois, les mesures plus spécialisées et les recherches menées par les scientifiques de cet institut n'ont pas confirmé ce qu'ils avançaient. Une accusation en quelque sorte, mais leur explication sur laquelle il a bien été insisté ce qui a sauvé l'autorité de la science orthodoxe.

Une révolution scientifique potentielle

Le radiateur de Davey -  La pièce a 32 mm de diamètre

Peter Daysh Davey était pilote de chasse et aussi musicien. Si cet appareil inventé pendant la seconde guerre mondiale. avait été produit en masse au moment où l'inventeur avait l'intention de le faire, c'est à dire en 1945 et n'avait pas été confronté à des obstacles bureaucratiques, la science et la technologie humaine auraient été bouleversées. Même la télékinésie humaine aurait pu être mieux comprise, selon Jan Pajak.

Curieuse histoire que celle de cette invention, mais triste aussi car Peter Davey a subi des persécutions.

Comment a-t-il eu l’idée ? Lorsqu’il était pilote de chasse, volontaire, il a participé à la bataille d’Angleterre. A cette époque, les avions de combat avaient des propulseurs et des moteurs qui faisaient vibrer la cabine des pilotes à diverses fréquences pendant les acrobaties des batailles aériennes. En tant que musicien, Davey avait une certaine sensibilité, et avait remarqué que c’était une certaine fréquence venant du moteur et propulseur qui se produisait au moment où la cabine de l’avion et son corps entraient en résonance. Et à cette fréquence de résonance unique, il ressentait toujours une chaleur dans la cabine de son avion.

Ce qu’il ne savait pas encore, c’est que ce phénomène serait plus tard utilisé dans les systèmes d’armes à ultrasons pour tuer efficacement et sans risque d’être détecté.

Il a décidé de faire des essais pour voir si le même phénomène se produisait si on plongeait dans l’eau une forme métallique hémisphérique représentant la cabine et si on l’excitait avec une fréquence de résonance. C’est là qu’il a pris deux vieux couvercles de sonnettes de vélo, les a reliés, accordés sur 50 Hz, leur a fixé à chacun un fil électrique et a mis le tout dans l’eau. A sa grande surprise, l’eau s’est mise à bouillir très vite. C’est ainsi qu’il a fait enregistrer, en 1944,  le brevet de son premier radiateur

Revenu en héros de la guerre, il avait donc un appareil qui prouvait autant de fois qu’on le voulait et à quiconque faisait les mesures, que l’efficacité dépassait 100 %  Lorsqu’il a réalisé cela, il a cru que le monde allait s’en servir, après tout les gens font des déclarations sur les économies d’énergie, les ressources, la protection de la nature (c’est pareil de nos jours)

Cependant la réalité a été totalement à l’opposé. Tout de suite après que les expérimentations aient prouvé que l’appareil avait une efficacité inexplicablement élevée, il est tombé en disgrâce face aux différentes institutions liées à la production d’électricité. Et cette invention extraordinaire a reçu un traitement extraordinaire !

Les autorités ont tout fait pour empêcher la production et la vente de cet appareil en Nopuvelle-Zélande. Une des astuces légales contre lui était qu’on le déclarait officiellement « dangereux pour la santé et la vie des utilisateurs ». Notez bien que pratiquement tous les appareils électriques fonctionnant sur du 220 V pourraient être qualifiés ainsi dans la mesure où une autorité quelconque voudrait les "descendre".

Face à cette qualification, impossible d’entreprendre quoi que ce soit sans cet agrément du gouvernement. M Davey a combattu pratiquement 50 ans pour recevoir l’autorisation de produire ce radiateur à échelle industrielle, elle lui a toujours été refusée, malgré ses efforts.

Curieusement, en Australie un pichet électrique avec élément chauffant d’une conception ressemblant à celle du radiateur de Davey a été produit en masse (et l’est probablement encore) . Ce pichet fonctionne sur le principe de la résistance de l’eau, pas comme le radiateur de Davey …mais ce pichet peut tout aussi bien être qualifié d’aussi dangereux  que le radiateur de Davey, mais lui, n’a pas rencontré la même résistance car son efficacité énergétique est « normale ».

Jan Pajak poursuit son récit en rappelant sa première rencontre avec Davey, en 1990. L’inventeur en était encore à combattre pour obtenir les autorisations pour produire. Il avait même  récolté différents composants qui lui auraient permis de démarrer la production, une fois le permis accordé.

 Cependant il a tout laissé tomber, même son propre radiateur est cassé et il n’avait même plus envie de le réparer (c’est celui de la photo). En 1992 il était au bord de la dépression nerveuse, n’arrivant pas à comprendre pourquoi on lui refusait de donner au monde un appareil à sur unité.

Quand Jan Pajak est revenu en 1998 à Christchurch, à l’emplacement de la maison de Davey, il n’y avait qu’un tas de gravats et planches entremêlées, et il ne lui a pas été possible de retrouver M Davey. Comme, lors de leur dernier entretien, Jan Pajak avait promis à Davey de publier son histoire et des documents sur son radiateur, la page web indiquée ci-dessus permet à Jan Pajak de dire qu’il a tenu sa promesse.

Merci à  Jacques G.  de nous avoir  signalé cet appareil qui devrait pouvoir être reproduit assez facilement...

Ce système nous fait penser à la poire de Tim Lucas. Voici, extraites de notre page, les seules indications que nous ayons sur ce système.  PageChercheurAEC2

LUCAS Tim
Ce physicien américain ayant précédemment travaillé au laboratoire National de Los Alamos a réussi à produire de l’énergie à partir d’ondes sonores. Son invention, pourrait changer le monde du son aussi spectaculairement que le laser a changé celui de la lumière.
Ce nouveau type de résonateur, basé sur un mécanisme physique permet de créer des ondes sonores à pression extrêmement élevée. L’appareil en forme de poire fait des allers et retours à un rythme de plusieurs centaines de fois par seconde grâce à un moteur électrique. Ceci excite l’air ou le gaz à l’intérieur du résonateur et produit des ondes sonores qui sont ensuite réfléchies sur les parois intérieures si bien que des ondes stationnaires se forment, ondes qui ne changent pas même si l’on augmente de façon nette la sortie d’énergie.
Ces ondes sonores effectives à l’intérieur du résonateur sont d’une telle intensité qu’on les aurait crues impossibles. Elles peuvent atteindre une densité 1600 fois plus élevée que tout ce qui est connu de nos jours. En même temps, des variations de pression allant jusqu’à 34 atmosphères sont possibles (34 atmosphères = 34 kg/cm2, 3,5 Mpa, 485 psi). Malgré toutes les forces qui règnent à l’intérieur du résonateur, on ne peut rien entendre de l’extérieur.
On peut utiliser cette nouvelle technologie qui libère complètement les ondes sonores pour produire de l’électricité en brûlant du gaz dans une centrale acoustique en utilisant une chambre de combustion conçue de façon optimale. Des ondes sonores stationnaires extrêmement puissantes feront vibrer fortement la chambre. Un générateur pourra alors convertir ce mouvement en électricité.
Cette nouvelle est confirmée par des sources compétentes, et il a été certifié qu’elle représentait la découverte d’une nouvelle force naturelle. RQM, dans son commentaire, rappelle que sa propre technologie est basée sur le principe (protégé par un brevet) de résonance d’onde sonore (interaction mécanique).